191 resultados para febrile convulsion
Resumo:
The aim of the present investigation was to study the distribution of T-cell subsets in peripheral blood defined by monoclonal antibodies and by the lymphocyte proliferative response to phytohemagglutinin (PHA) in 30 children with febrile seizures and in 14 age-matched control subjects. Frequent respiratory, urinary and dermatologic infections were observed in 22 patients. The immunologic parameters showed that 64% of the patients presented an increased number of CD8+ cells and a low helper/suppressor ratio was observed in 60% of the patients. In addition, the proliferative response of lymphocytes to PHA was impaired in the patients It was observed the presence of inhibitory activity on lymphocyte function in the plasma of 33% of children with febrile seizures. These results suggest that patients with febrile seizures have an impairment of cellular immunity that may be connected with this epileptic syndrome and explain the infections observed.
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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.
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Le co-transporteur KCC2 spécifique au potassium et chlore a pour rôle principal de réduire la concentration intracellulaire de chlore, entraînant l’hyperpolarisation des courants GABAergic l’autorisant ainsi à devenir inhibiteur dans le cerveau mature. De plus, il est aussi impliqué dans le développement des synapses excitatrices, nommées aussi les épines dendritiques. Le but de notre projet est d’étudier l’effet des modifications concernant l'expression et la fonction de KCC2 dans le cortex du cerveau en développement dans un contexte de convulsions précoces. Les convulsions fébriles affectent environ 5% des enfants, et ce dès la première année de vie. Les enfants atteints de convulsions fébriles prolongées et atypiques sont plus susceptibles à développer l’épilepsie. De plus, la présence d’une malformation cérébrale prédispose au développement de convulsions fébriles atypiques, et d’épilepsie du lobe temporal. Ceci suggère que ces pathologies néonatales peuvent altérer le développement des circuits neuronaux irréversiblement. Cependant, les mécanismes qui sous-tendent ces effets ne sont pas encore compris. Nous avons pour but de comprendre l'impact des altérations de KCC2 sur la survenue des convulsions et dans la formation des épines dendritiques. Nous avons étudié KCC2 dans un modèle animal de convulsions précédemment validé, qui combine une lésion corticale à P1 (premier jour de vie postnatale), suivie d'une convulsion induite par hyperthermie à P10 (nommés rats LHS). À la suite de ces insultes, 86% des rats mâles LHS développent l’épilepsie à l’âge adulte, au même titre que des troubles d’apprentissage. À P20, ces animaux presentent une augmentation de l'expression de KCC2 associée à une hyperpolarisation du potentiel de réversion de GABA. De plus, nous avons observé des réductions dans la taille des épines dendritiques et l'amplitude des courants post-synaptiques excitateurs miniatures, ainsi qu’un déficit de mémoire spatial, et ce avant le développement des convulsions spontanées. Dans le but de rétablir les déficits observés chez les rats LHS, nous avons alors réalisé un knock-down de KCC2 par shARN spécifique par électroporation in utero. Nos résultats ont montré une diminution de la susceptibilité aux convulsions due à la lésion corticale, ainsi qu'une restauration de la taille des épines. Ainsi, l’augmentation de KCC2 à la suite d'une convulsion précoce, augmente la susceptibilité aux convulsions modifiant la morphologie des épines dendritiques, probable facteur contribuant à l’atrophie de l’hippocampe et l’occurrence des déficits cognitifs. Le deuxième objectif a été d'inspecter l’effet de la surexpression précoce de KCC2 dans le développement des épines dendritiques de l’hippocampe. Nous avons ainsi surexprimé KCC2 aussi bien in vitro dans des cultures organotypiques d’hippocampe, qu' in vivo par électroporation in utero. À l'inverse des résultats publiés dans le cortex, nous avons observé une diminution de la densité d’épines dendritiques et une augmentation de la taille des épines. Afin de confirmer la spécificité du rôle de KCC2 face à la région néocorticale étudiée, nous avons surexprimé KCC2 dans le cortex par électroporation in utero. Cette manipulation a eu pour conséquences d’augmenter la densité et la longueur des épines synaptiques de l’arbre dendritique des cellules glutamatergiques. En conséquent, ces résultats ont démontré pour la première fois, que les modifications de l’expression de KCC2 sont spécifiques à la région affectée. Ceci souligne les obstacles auxquels nous faisons face dans le développement de thérapie adéquat pour l’épilepsie ayant pour but de moduler l’expression de KCC2 de façon spécifique.
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Background: An inpatient medication chart review at the Gold Coast Hospital identified shortcomings with the prescribing and monitoring of antiepileptic medications. Aim: To evaluate medication management of patients with epilepsy, seizure or convulsion; to map their transition through the health system; and to identify lifestyle behaviours that may lead to overt risks for seizure occurrence. Method: A retrospective observational audit of adult patients (16 years and over) admitted to hospital with a diagnosis of epilepsy, seizure or convulsion from 1 to 31 January 2012. Results: Majority of the 62 episodes of care investigated involved patients who were discharged directly from the ED (68%). Only 30% of all patients discharged from an inpatient unit received a discharge medication record from a pharmacist. Non-adherence with antiepileptic medications, alcohol and/ or recreational drug use and prescription medication misuse were identified as overt risks for seizure occurrence. Conclusion: Valuable insights were gained into the management of seizure patients. The role of the ED pharmacist was reviewed to focus on high-risk seizure patients. An increase in the provision of discharge medication records and patient education on the overt risks for seizure occurrence is needed.
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The threshold current densities and voltage tensions (body voltages) between the head and tail for bringing about distinct reactions in Salmo irideus, Cyprinus Carpio, Tinea tinca, Gasterosteus aculeatus and Salmo fario were studied. In C. carpio and T. tinca, absolute current densities required decreased with increase in length of fish. Threshold current densities for different reactions of fish increased with rise in water temperature and conductivity of surrounding medium except in case of T. tinca where low current densities were sufficient in higher conductivity of water. Impulse D.C. was superior to continuous D.C. Better effect was noticed in fishes in lower current densities when their bodies were parallel to the lines of current conduction.
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OBJECTIVE: Historically, management of infants with fever without localizing signs (FWLS) has generated much controversy, with attempts to risk stratify based on several criteria. Advances in medical practice may have altered the epidemiology of serious bacterial infections (SBIs) in this population. We conducted this study to test the hypothesis that the rate of SBIs in this patient population has changed over time. PATIENTS AND METHODS: We performed a retrospective review of all infants meeting FWLS criteria at our institution from 1997-2006. We examined all clinical and outcome data and performed statistical analysis of SBI rates and ampicillin resistance rates. RESULTS: 668 infants met criteria for FWLS. The overall rate of SBIs was 10.8%, with a significant increase from 2002-2006 (52/361, 14.4%) compared to 1997-2001 (20/307, 6.5%) (p = 0.001). This increase was driven by an increase in E. coli urinary tract infections (UTI), particularly in older infants (31-90 days). CONCLUSIONS: We observed a significant increase in E. coli UTI among FWLS infants with high rates of ampicillin resistance. The reasons are likely to be multifactorial, but the results themselves emphasize the need to examine urine in all febrile infants <90 days and consider local resistance patterns when choosing empiric antibiotics.
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Consecutive febrile admissions were enrolled at two hospitals in Moshi, Tanzania. Confirmed acute Chikungunya virus (CHIKV), Dengue virus (DENV), and flavivirus infection were defined as a positive polymerase chain reaction (PCR) result. Presumptive acute DENV infection was defined as a positive anti-DENV immunoglobulin M (IgM) enzyme-linked immunsorbent assay (ELISA) result, and prior flavivirus exposure was defined as a positive anti-DENV IgG ELISA result. Among 870 participants, PCR testing was performed on 700 (80.5%). Of these, 55 (7.9%) had confirmed acute CHIKV infection, whereas no participants had confirmed acute DENV or flavivirus infection. Anti-DENV IgM serologic testing was performed for 747 (85.9%) participants, and of these 71 (9.5%) had presumptive acute DENV infection. Anti-DENV IgG serologic testing was performed for 751 (86.3%) participants, and of these 80 (10.7%) had prior flavivirus exposure. CHIKV infection was more common among infants and children than adults and adolescents (odds ratio [OR] 1.9, P = 0.026) and among HIV-infected patients with severe immunosuppression (OR 10.5, P = 0.007). CHIKV infection is an important but unrecognized cause of febrile illness in northern Tanzania. DENV or other closely related flaviviruses are likely also circulating.
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We enrolled consecutive febrile admissions to two hospitals in Moshi, Tanzania. Confirmed leptospirosis was defined as a ≥ 4-fold increase in microscopic agglutination test (MAT) titer; probable leptospirosis as reciprocal MAT titer ≥ 800; and exposure to pathogenic leptospires as titer ≥ 100. Among 870 patients enrolled in the study, 453 (52.1%) had paired sera available, and 40 (8.8%) of these met the definition for confirmed leptospirosis. Of 832 patients with ≥ 1 serum sample available, 30 (3.6%) had probable leptospirosis and an additional 277 (33.3%) had evidence of exposure to pathogenic leptospires. Among those with leptospirosis the most common clinical diagnoses were malaria in 31 (44.3%) and pneumonia in 18 (25.7%). Leptospirosis was associated with living in a rural area (odds ratio [OR] 3.4, P < 0.001). Among those with confirmed leptospirosis, the predominant reactive serogroups were Mini and Australis. Leptospirosis is a major yet underdiagnosed cause of febrile illness in northern Tanzania, where it appears to be endemic.
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There is concern about the potential increase of hematological toxicity in elderly patients treated with chemotherapy. Recently, primary prophylaxis with colony-stimulating factors (CSFs) was proposed for elderly patients receiving moderately toxic chemotherapy. However, evidence for the benefits of this primary prophylaxis for elderly breast cancer patients is currently lacking. We retrospectively analyzed the incidence of febrile neutropenia (FN) and neutropenic infections in elderly breast cancer patients receiving anthracycline-based chemotherapy without primary prophylaxis with colony-stimulating factors. In addition, we assessed the direct costs of hospitalization for these complications. Febrile neutropenia or neutropenic infection occurred in 13% of the 46 patients. Further studies are needed to adequately evaluate the risk of neutropenic complications (NC) in elderly patients receiving standard-dose chemotherapy for breast cancer and the potential benefits of primary prophylaxis with colony-stimulating factors. © 2004 Elsevier Ireland Ltd. All rights reserved.
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Seizures associated with fever are a common pediatric problem, affecting about 2-7 % of children between 3 months and 5 years of age. Differentiation of febrile seizures from acute symptomatic seizures secondary to central nervous system infections or seizures associated with fever in children with epilepsy is essential to provide appropriate treatment and follow-up care. Here, we tested the hypothesis that children who exhibit simple febrile seizures during early childhood, but do not develop epileptic seizures later in life, might preferentially carry the ApoE2 allele of the gene coding for the apolipoprotein E. We did not find any differences in the distribution of ApoE alleles or genotypes between individuals who exhibited simple febrile seizures (n = 93) and age-matched, typically developing subjects (n = 80). We found that the observed allele and genotype frequencies did not deviate from Hardy-Weinberg equilibrium, which suggests that the frequencies of ApoE alleles and genotypes are stable in the Swiss population from which our samples were derived. Across both groups of subjects (n = 173), we found an ApoE2 allele frequency of 0.064, an ApoE3 frequency of 0.829 and an ApoE4 frequency of 0.107. Our findings are consistent with previous reports of the distribution of ApoE polymorphism for European subjects free of any neurological disorders, and show that the different alleles of the gene coding for the apolipoprotein E are not associated with the occurrence of simple febrile seizures.
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Environ 2-3% d’enfants avec convulsions fébriles (CF) développent une épilepsie, mais les outils cliniques existants ne permettent pas d’identifier les enfants susceptibles de développer une épilepsie post-convulsion fébrile. Des études ont mis en évidence des anomalies d’EEG quantifiée, et plus particulièrement en réponse à la stimulation lumineuse intermittente (SLI), chez des patients épileptiques. Aucune étude n’a analysé ces paramètres chez l’enfant avec CF et il importe de déterminer s’ils sont utiles pour évaluer le pronostic des CF. Les objectifs de ce programme de recherche étaient d’identifier, d’une part, des facteurs de risque cliniques qui déterminent le développement de l’épilepsie après des CF et, d’autre part, des marqueurs électrophysiologiques quantitatifs qui différencieraient les enfants avec CF des témoins et pourraient aider à évaluer leur pronostic. Afin de répondre à notre premier objectif, nous avons analysé les dossiers de 482 enfants avec CF, âgés de 3 mois à 6 ans. En utilisant des statistiques de survie, nous avons décrit les facteurs de risque pour développer une épilepsie partielle (antécédents prénataux, retard de développement, CF prolongées et focales) et généralisée (antécédents familiaux d’épilepsie, CF récurrentes et après l’âge de 4 ans). De plus, nous avons identifié trois phénotypes cliniques distincts ayant un pronostic différent : (i) CF simples avec des antécédents familiaux de CF et sans risque d’épilepsie ultérieure; (ii) CF récurrentes avec des antécédents familiaux d’épilepsie et un risque d’épilepsie généralisée; (iii) CF focales avec des antécédents familiaux d’épilepsie et un risque d’épilepsie partielle. Afin de répondre à notre deuxième objectif, nous avons d’abord analysé les potentiels visuels steady-state (PEVSS) évoqués par la SLI (5, 7,5, 10 et 12,5 Hz) en fonction de l’âge. Le tracé EEG de haute densité (128 canaux) a été enregistré chez 61 enfants âgés entre 6 mois et 16 ans et 8 adultes normaux. Nous rapportons un développement topographique différent de l’alignement de phase des composantes des PEVSS de basses (5-15 Hz) et de hautes (30-50 Hz) fréquences. Ainsi, l’alignement de phase des composantes de basses fréquences augmente en fonction de l’âge seulement au niveau des régions occipitale et frontale. Par contre, les composantes de hautes fréquences augmentent au niveau de toutes les régions cérébrales. Puis, en utilisant cette même méthodologie, nous avons investigué si les enfants avec CF présentent des anomalies des composantes gamma (50-100 Hz) des PEVSS auprès de 12 cas de CF, 5 frères et sœurs des enfants avec CF et 15 témoins entre 6 mois et 3 ans. Nous montrons une augmentation de la magnitude et de l’alignement de phase des composantes gamma des PEVSS chez les enfants avec CF comparés au groupe témoin et à la fratrie. Ces travaux ont permis d’identifier des phénotypes électro-cliniques d’intérêt qui différencient les enfants avec CF des enfants témoins et de leur fratrie. L’étape suivante sera de vérifier s’il y a une association entre les anomalies retrouvées, la présentation clinique et le pronostic des CF. Cela pourrait éventuellement aider à identifier les enfants à haut risque de développer une épilepsie et permettre l’institution d’un traitement neuroprotecteur précoce.