942 resultados para family planning clinics


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Background - This study examined demographic profile, continuation rates and reasons for removal among Implanon® users accessing two family planning clinics in Queensland, Australia. Study Design - A retrospective chart audit of 976 women who attended for implant insertion over a 3-year period between May 2001 and May 2004. Results - Continuation rates showed that at 6 months after insertion, 94% of women continued, 74% continued at 1 year and 50% continued at 2 years. Metropolitan women were more likely than rural women to discontinue use because of dissatisfaction with bleeding patterns. Cox regression analysis showed that those attending the regional clinic experienced significantly shorter time to removal. Conclusions - Implanon® continuation rates and reasons for removal differ between clinics in metropolitan and rural locations. A cooling-off period did not affect the likelihood of continuation with Implanon®. Preinsertion counselling should emphasize potential changes in bleeding patterns.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Objectives: The aim of this article is to analyze the factors associated with HIV testing among 767 sexually active women. Methods: Participants were administered several self-report questionnaires that assessed behavioral and psychosocial measures. Results: Overall, 59.8% of the participants reported ever having tested for HIV. Results show that higher levels of education, being pregnant or having been pregnant, concern about AIDS, AIDS knowledge, self-efficacy in condom negotiation and perception of no risk in partner significantly predicted the likelihood of testing among women. Attending the mass was negatively associated with HIV testing. Conclusions: These findings provide information that can be used in the development of a focused gender sensitive HIV prevention program to increase HIV testing.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Women account for 30% of all AIDS cases reported to the Health Ministry in Portugal and most infections are acquired through unprotected heterosexual sex with infected partners. This study analyzed socio-demographic and psychosocial predictors of consistent condom use and the role of education as a moderator variable among Portuguese women attending family planning clinics. A cross-sectional study using interviewer-administered fully structured questionnaires was conducted among 767 sexually active women (ages 18–65). Logistic regression analyses were used to explore the association between consistent condom use and the predictor variables. Overall, 78.7% of the women were inconsistent condom users. The results showed that consistent condom use was predicted by marital status (being not married), having greater perceptions of condom negotiation self-efficacy, having preparatory safer sexual behaviors, and not using condoms only when practicing abstinence. Living with a partner and having lack of risk perception significantly predicted inconsistent condom use. Less educated women were less likely to use condoms even when they perceive being at risk. The full model explained 53% of the variance in consistent condom use. This study emphasizes the need for implementing effective prevention interventions in this population showing the importance of taking education into consideration.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Mode of access: Internet.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

This study examines gendered attitudes and family planning in the Central American country of Honduras using a feminist perspective. Specifically, this study investigates the relationships between gendered attitudes (i.e., male oriented or non-male oriented attitudes) and who makes decisions about contraceptive use and family size among married and common-law Hondurans. This study also attempts to account for social elements such as gendered attitudes, education, economics, environment and demographics that may act to limit or enhance women's agency in reproductive decisionmaking. Furthermore, gender is examined to determine whether these relationships depend on the gender of the respondents. Two national Honduran surveys from 2001 are used in a secondary analysis, specifically muUinomial logisfic regression. Findings indicate that women reporting non-male oriented attitudes are significantly more likely to indicate that they (the wives) make the contraceptive decisions. Moreover, both men and women reporting non-male oriented attitudes are significantly more likely to indicate making contraceptive decisions together. Both of these effects remain significant when other social factors included in the analyses, though part of the effect is explained by education and economics. Similar effects are found in terms of family size decisions. Limitations and directions for future research are discussed.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le capital humain d’un pays est un facteur important de sa croissance et de son développement à long terme. Selon l’Unicef, ce capital humain est constitué en donnant à chaque enfant un bon départ dans la vie : non seule- ment la possibilité de survivre, mais aussi les conditions nécessaires pour se développer et réaliser tout son potentiel. Malheureusement, cet état de fait est loin d’être une réalité en Afrique Subsaharienne. En effet, selon toujours l’Unicef et sur la base d’enquêtes ménages dans 21 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre, c’est près de 32 millions d’enfants qui ont l’âge officiel d’être scolarisés, mais qui ne le sont pas. A ces chiffres, il faut ajouter 17 millions d’enfants scolarisés qui risquent fortement l’exclusion. De son Côté, l’OMS pointe du doigt la mauvaise santé des enfants dans cette région. Ainsi, les décès d’enfants sont de plus en plus concentrés en Afrique subsaharienne où les enfants ont plus de 15 fois plus de risques de mourir avant l’âge de cinq ans que les enfants des régions développées. Les difficultés économiques apparaissent comme la première explication des obstacles à l’amélioration du bien être des enfants aussi bien du côté de l’offre que de la demande. Cette thèse relie trois essais sur d’une part le lien entre conflit armés, l’éducation et la mortalité des enfants et d’autre part sur le lien entre fertilité et éducation des enfants en milieu urbain. Le premier chapitre identifie l’impact de la crise politico-militaire de la Côte d’Ivoire sur le bien être des enfants, en particulier sur l’éducation et la mor- talité infanto-juvénile en exploitant la variation temporelle et géographique de la crise. Il ressort de cette analyse que les individus qui vivaient dans les régions de conflit et qui ont atteint durant la crise, l’âge officiel d’entrer à l’école ont 10% moins de chance d’être inscrits à l’école. Les élèves qui habitaient dans des régions de conflit pendant la crise ont subit une diminu- tion du nombre d’années scolaire d’au moins une année. Les élèves les plus v vi âgés et qui sont susceptibles d’être au secondaire ont connu une décroissance du nombre d’année scolaire d’au moins deux années. Il ressort également que la crise ivoirienne a accru la mortalité infanto-juvénile d’au moins 3%. Mes résultats suggèrent également que la détérioration des conditions de vie et la limitation de l’utilisation des services de santé au cours du conflit con- tribuent à expliquer ces effets négatifs. Des tests de robustesse incluant un test de placebo suggèrent que les résultats ne sont pas dus à des différences préexistantes entre les régions affectées par le conflit et celles non affectées. Le deuxième chapitre étudie les disparités intra-urbaines en matière d’arbitrage entre le nombre d’enfant et la scolarisation des enfants en se focalisant sur le cas de Ouagadougou (Capitale du Burkina Faso). Dans cette ville, au moins 33% des deux millions d’habitants vivent dans des zones informelles (appelées localement des zones non-loties). Cette sous-population manque d’infrastructures socioéconomiques de base et a un niveau d’éducation très bas. Dans ce chapitre, prenant en compte la possible endogénéité du nombre d’enfants et en utilisant une approche "two-step control function" avec des modèles Probit, nous investiguons les différences de comportement des mé- nages en matière de scolarisation entre zones formelles et zones informelles. Nous nous focalisons en particulier sur l’arbitrage entre la "quantité" et la "qualité" des enfants. Compte tenu de l’hétérogénéité des deux types de zones, nous utilisons les probabilités prédites pour les comparer. Nos princi- pales conclusions sont les suivantes. Tout d’abord, nous trouvons un impact négatif de la taille de la famille sur le niveau de scolarisation dans les deux types de zone. Cependant, nous constatons que l’impact est plus aigu dans les zones informelles. Deuxièmement, si nous supposons que le caractère en- dogène du nombre d’enfants est essentiellement due à la causalité inverse, les résultats suggèrent que dans les zones formelles les parents tiennent compte de la scolarisation des enfants dans la décision de leur nombre d’enfants, mais ce ne est pas le cas dans les zones informelles. Enfin, nous constatons que, pour des familles avec les mêmes caractéristiques observables, la probabilité d’atteindre le niveau post-primaire est plus élevée dans les zones formelles que dans les zones informelles. En terme d’implications politique, selon ces résultats, les efforts pour améliorer la scolarisation des enfants ne doivent pas être dirigées uniquement vers les zones rurales. En plus de réduire les frais de scolarité dans certaines zones urbaines, en particulier les zones informelles, un accent particulier devrait être mis sur la sensibilisation sur les avantages de l’éducation pour le bien-être des enfants et leur famille. Enfin, du point vii de vue méthodologique, nos résultats montrent l’importance de tenir compte de l’hétérogénéité non observée entre les sous-populations dans l’explication des phénomènes socio-économiques. Compte tenu du lien négatif entre la taille de la famille et la scolarisation des enfants d’une part et les différences intra-urbaines de comportement des ménages en matière de scolarisation, le trosième chapitre étudie le rôle des types de méthodes contraceptives dans l’espacement des naissances en mi- lieu urbain. Ainsi, en distinguant les méthodes modernes et traditionnelles et en utilisant l’histoire génétique des femmes, ce chapitre fait ressortir des différences de comportement en matière de contraception entre les femmes des zones formelles et informelles à Ouagadougou (capitale du Burkina Faso). Les résultats montrent que les deux types de méthodes contraceptives aug- mentent l’écart des naissances et diminuent la probabilité qu’une naissance se produise moins de 24 mois après la précédente. Prendre en compte les caractéristiques non observées mais invariants avec le temps ne modifie pas significativement l’amplitude du coefficient de l’utilisation de la contracep- tion moderne dans les deux types de zone. Toutefois, dans la zone informelle, la prise en compte les effets fixes des femmes augmentent significativement l’effet des méthodes traditionnelles. Les normes sociales, la perception de la planification familiale et le rôle du partenaire de la femme pourraient expli- quer ces différences de comportement entre les zones formelles et informelles. Par conséquent, pour améliorer l’utilisation de la contraception et de leur efficacité, il est essentiel de hiérarchiser les actions en fonction du type de sous-population, même dans les zones urbaines.

Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Includes bibliography