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Resumo:
Strawberries represent the main source of ellagic acid derivatives in the Brazilian diet, corresponding to more than 50% of all phenolic compounds found in the fruit. There is a particular interest in the determination of the ellagic acid content in fruits because of possible chemopreventive benefits. In the present study, the potential health benefits of purified ellagitannins from strawberries were evaluated in relation to the antiproliferative activity and in vitro inhibition of alpha-amylase, alpha-glucosidase, and angiotensin I-converting enzyme (ACE) relevant for potential management of hyperglycemia and hypertension. Therefore, a comparison among ellagic acid, purified ellagitannins, and a strawberry extract was done to evaluate the possible synergistic effects of phenolics. In relation to the antiproliferative activity, it was observed that ellagic acid had the highest percentage inhibition of cell proliferation. The strawberry extract had lower efficacy in inhibiting the cell proliferation, indicating that in the case of this fruit there is no synergism. Purified ellagitannins had high alpha-amylase and ACE inhibitory activities. However, these compounds had low alpha-glucosidase inhibitory activity. These results suggested that the ellagitannins and ellagic acid have good potential for the management of hyperglycemia and hypertension linked to type 2 diabetes. However, further studies with animal and human models are needed to advance the in vitro assay-based biochemical rationale from this study.
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Fruits of seven fully ripened strawberry cultivars grown in Brazil (Dover, Camp Dover, Camarosa, Sweet Charlie, Toyonoka, Oso Grande, and Piedade) were evaluated for total phenolics, antioxidant activity based on DPPH radical scavenging assay, and functionality such as inhibition of alpha-amylase, alpha-glucosidase, and angiotensin I-converting enzyme (ACE) relevant for potentially managing hyperglycemia and hypertension. The total phenolics content ranged from 966 to 1571 mu g of gallic acid/g of fruit fresh weight for Toyonoka and Dover, respectively. No correlation was found between total phenolics and antioxidant activity. The major phenolic compounds in aqueous extracts of strawberries were ellagic acid, quercetin, and chlorogenic acid. Strawberries had high alpha-glucosidase inhibitory activity. However, alpha-amylase inhibitory activity was very low in all cultivars. This suggested that strawberries could be considered as a potential dietary source with anti-hyperglycemic potential. The evaluated cultivars had no significant ACE inhibitory activity, reflecting low anti-hypertensive potential.
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Strawberries are one of the most popular edible fruits in Brazil and their consumption has increased with the development of new varieties available at almost all seasons. Fruit of seven full-ripened strawberry cultivars (Dover, Camp Dover, Camarosa, Sweet Charlie, Toyonoka, Oso Grande and Piedade) were characterized in relation to the total phenolics, vitamin C, flavonoids, free and total ellagic acid contents and antioxidant capacity. Camp Dover had the lowest values for anthocyanins and total phenolics but the highest total flavonoid content. Dover presented the highest anthocyanin, total phenolics and ellagic acid contents and also elevated antioxidant capacity. The best conditions for the determination of the total ellagic acid content in strawberries were also optimized and the results showed that the extraction with 80% acetone, and hydrolysis using 2 N TFA at 120 degrees C for 60 min allowed a 99% recovery. (C) 2007 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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[Coutume. Anvers. 1870-1879]
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Original. — En tête (fol. 1-7), procès-verbal de rédaction, signé par Thibault Baillet et Guillaume de Besançon. On y a inséré des lettres de Louis XII, datées de Lyon, 11 avril 1499, par lesquelles sont vidimées des lettres de Charles VIII, données à Moulins, le 2 septembre 1497.
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Ancien possesseur : Argenson, Antoine-René de Voyer (1722-1787 ; marquis de Paulmy d')
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O presente trabalho objetivou estudar o uso de biofilmes de fécula de mandioca, na conservação pós-colheita de morango, armazenados em condição ambiente (21ºC; 64,5% UR). O delineamento experimental utilizado foi inteiramente casualizado, com análise de regressão, com 3 repetições, constituindo dos seguintes tratamentos: testemunha, 1, 2, 3, 4 e 5% de revestimento com biofilme de fécula de mandioca. Foram avaliados 540 frutos durante 10 dias, determinado perda de peso, análise sensorial, aspecto visual (cor e textura). Verificou que houve diminuição da perda de peso nos tratamentos com 1, 2 e 3% de biofilme e aumento de textura, prolongando em até 5 vezes a vida pós-colheita dos frutos. Na análise sensorial não foi detectado sabor e aroma estranho em todos os tratamentos.
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Os morangos possuem curta vida útil pós-colheita devido à rápida deterioração causada por fungos, mesmo quando armazenados sob refrigeração. O presente trabalho teve por objetivo avaliar as alterações físico-químicas em morangos irradiados. Morangos (Fragaria anassa Duch.) da variedade Sweet Charles, colhidos na região de Valinhos-SP, foram irradiados um dia após a colheita em fonte de 60Co, nas doses de 0,5; 1,0; 1,5 e 2,0 kGy e controle, armazenados sob refrigeração (4 °C) por 1, 8, 15, 22 e 29 dias. Para a caracterização dos frutos foi realizada a composição química. Os frutos foram avaliados quanto aos teores de sólidos solúveis totais (°Brix), acidez total titulável, pH, pectina total e solúvel nos diferentes tempos. A irradiação não provocou alterações em nenhum dos parâmetros analisados, pois não foram verificadas diferenças entre as amostras irradiadas e a controle, já entre os períodos de armazenamento ocorreram diferenças em todos os parâmetros avaliados.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.