794 resultados para critical theory of law


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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Almost a full century separates Lewis’ Alice in Wonderland (1865) and the second, lengthier and more elaborate edition of Hans Kelsen’s Pure Theory of Law (1960; first edition published in 1934). And yet, it is possible to argue that the former anticipates and critically addresses many of the philosophical assumptions that underlie and are elemental to the argument of the latter. Both texts, with the illuminating differences that arise from their disparate genre, have as one of their key themes norms and their functioning. Wonderland, as Alice soon finds out, is a world beset by rules of all kinds: from the etiquette rituals of the mad tea-party to the changing setting for the cricket game to the procedural insanity of the trial with which the novel ends. Pure Theory of Law, as Kelsen emphatically stresses, has the grundnorm as the cornerstone upon which the whole theoretical edifice rests2. This paper discusses some of the assumptions underlying Kelsen’s argument as an instance of the modern worldview which Lewis satirically scrutinizes. The first section (Sleepy and stupid) discusses Lewis critique of the idea that, to correctly apprehend an object (in the case of Kelsen’s study, law), one has to free it from its alien elements. The second section (Do bats eat cats?) discusses the notion of systemic coherence and its impact on modern ways of thinking about truth, law and society. The third section (Off with their heads!) explores the connections between readings of systems as neutral entities and the perpetuation of political power. The fourth and final section (Important, Unimportant) explains the sense in which a “critical anticipation” is both possible and useful to discuss the philosophical assumptions structuring some positivist arguments. It also discusses the reasons for choosing to focus on Kelsen’s work, rather than on that of Lewis’ contemporary, John Austin, whose The Province of Jurisprudence Determined (published in 1832) remains influential in legal debates today.

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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

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El objetivo de este ensayo es el de relacionar de forma reflexiva las nuevas dinámicas de colonización, dominación y poder contemporáneas, con las cartografías simbólicas de la ciudad global y sus respectivas fronteras o bordes sistémicos, muchos de ellos desapercibidos por las personas y atravesados por jerarquías y clasificaciones las cuales se hallan inmersas, a su vez,en una multidimensionalidad social tanto positiva como negativa que genera que podamos hablar de una indecibilidad de lo simbólico. En torno a ello se desprende, asimismo, el objetivo de repensar desde una perspectiva crítica y relacional el espacio urbano y heterogéneo en el cual confluyen formas diversas de identidad, subjetividad y aplicabilidad normativa y social de lo jurídico. Finalmente se dejará planteada la pregunta de hasta dónde puede llegar la agencia humana ante cada una de las distintas fronteras y bordes sistémicos y simbólicos de lo global-heterogéneo, considerando para ello aportes teóricos como los de Suely Rolnik, que indican que hoy en día existen subjetividades acríticas por las cuales el poder adquiere cierta plasticidad y hegemonía alienantes.

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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.

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The 'integral theory of pelvic floor dysfunction', first proposed by Petros and Ulmsten in 1990, claims that anterior vaginal wall relaxation is associated with symptoms of urgency, frequency, nocturia and urge incontinence. A retrospective study was designed to test this hypothesis. Imaging data and urodynamic reports from 272 women suffering from symptoms of lower urinary tract dysfunction were evaluated. Opening of the retrovesical angle, bladder neck descent, urethral rotation and descent of a cystocele during Valsalva were used to quantify anterior vaginal wall laxity None of the tested parameters were associated with symptoms and signs of detrusor overactivity. On the contrary, patients with higher grades of urethral and bladder descent were less likely to suffer from nocturia and urge incontinence and were less likely to leave sensory urgency and detrusor instability diagnosed on urodynamic testing. The findings of this study therefore do not support this hypothesis of the 'integral theory'.

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This article addresses the normative dilemma located within the application of `securitization,’ as a method of understanding the social construction of threats and security policies. Securitization as a theoretical and practical undertaking is being increasingly used by scholars and practitioners. This scholarly endeavour wishes to provide those wishing to engage with securitization with an alternative application of this theory; one which is sensitive to and self-reflective of the possible normative consequences of its employment. This article argues that discussing and analyzing securitization processes have normative implications, which is understood here to be the negative securitization of a referent. The negative securitization of a referent is asserted to be carried out through the unchallenged analysis of securitization processes which have emerged through relations of exclusion and power. It then offers a critical understanding and application of securitization studies as a way of overcoming the identified normative dilemma. First, it examines how the Copenhagen School’s formation of securitization theory gives rise to a normative dilemma, which is situated in the performative and symbolic power of security as a political invocation and theoretical concept. Second, it evaluates previous attempts to overcome the normative dilemma of securitization studies, outlining the obstacles that each individual proposal faces. Third, this article argues that the normative dilemma of applying securitization can be avoided by firstly, deconstructing the institutional power of security actors and dominant security subjectivities and secondly, by addressing countering or alternative approaches to security and incorporating different security subjectivities. Examples of the securitization of international terrorism and immigration are prominent throughout.

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By means of computer simulations and solution of the equations of the mode coupling theory (MCT),we investigate the role of the intramolecular barriers on several dynamic aspects of nonentangled polymers. The investigated dynamic range extends from the caging regime characteristic of glass-formers to the relaxation of the chain Rouse modes. We review our recent work on this question,provide new results, and critically discuss the limitations of the theory. Solutions of the MCT for the structural relaxation reproduce qualitative trends of simulations for weak and moderate barriers. However, a progressive discrepancy is revealed as the limit of stiff chains is approached. This dis-agreement does not seem related with dynamic heterogeneities, which indeed are not enhanced by increasing barrier strength. It is not connected either with the breakdown of the convolution approximation for three-point static correlations, which retains its validity for stiff chains. These findings suggest the need of an improvement of the MCT equations for polymer melts. Concerning the relaxation of the chain degrees of freedom, MCT provides a microscopic basis for time scales from chain reorientation down to the caging regime. It rationalizes, from first principles, the observed deviations from the Rouse model on increasing the barrier strength. These include anomalous scaling of relaxation times, long-time plateaux, and nonmonotonous wavelength dependence of the mode correlators.

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By means of computer simulations and solution of the equations of the mode coupling theory (MCT),we investigate the role of the intramolecular barriers on several dynamic aspects of nonentangled polymers. The investigated dynamic range extends from the caging regime characteristic of glass-formers to the relaxation of the chain Rouse modes. We review our recent work on this question,provide new results, and critically discuss the limitations of the theory. Solutions of the MCT for the structural relaxation reproduce qualitative trends of simulations for weak and moderate barriers. However, a progressive discrepancy is revealed as the limit of stiff chains is approached. This dis-agreement does not seem related with dynamic heterogeneities, which indeed are not enhanced by increasing barrier strength. It is not connected either with the breakdown of the convolution approximation for three-point static correlations, which retains its validity for stiff chains. These findings suggest the need of an improvement of the MCT equations for polymer melts. Concerning the relaxation of the chain degrees of freedom, MCT provides a microscopic basis for time scales from chain reorientation down to the caging regime. It rationalizes, from first principles, the observed deviations from the Rouse model on increasing the barrier strength. These include anomalous scaling of relaxation times, long-time plateaux, and nonmonotonous wavelength dependence of the mode correlators.

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Tutkielmassa eritellään Norman Faircloughin kriittisen diskurssianalyysin teoriaa ja siihen kohdistettua kritiikkiä. Pyrkimyksenä on sovittaa näitä erilaisia näkemyksiä keskenään ja tarjota ratkaisuja yhteen kiriittisen diskurssianalyysin keskeiseen ongelmaan eli emansipaation (sosiaalisten epäkohtien tunnistamisen ja ratkaisemisen) puutteellisuuteen. Teoriaosuudesta esiin nousevia mahdollisuuksia sovelletaan tekstianalyysiin. Tutkimuksen kohteena on teksti Rebuilding America’s Defenses: Strategy, Forces and Resources For a New Century ja jossain määrin sen tuottanut järjestö Project for the New American Century. Näitä tarkastellaan ennen kaikkea sosiaalisina ilmiöinä ja suhteessa toisiinsa. Faircloughin mallin suurimmiksi ongelmiksi muodostuvat perinteinen käsitys kielestä, jonka mukaan kielen järjestelmän abstraktit ja sisäiset suhteet ovat tärkeimpiä, sekä ideologinen vastakkainasettelu kritiikin lähtökohtana. Ensimmäinen johtaa kielellisten tutkimustulosten epätyydyttävään kykyyn selittää sosiaalisia havaintoja ja jälkimmäinen poliittiseen tai maailmankatsomukselliseen väittelyyn, joka ei mahdollista uusia näkemyksiä. Tutkielman lopputulema on, että keskittymällä asiasisältöön kielen rakenteen sijasta ja ymmärtämällä tekstin tuottaja yksittäisenä, rajattuna sosiaalisena toimijana voidaan analyysiin saada avoimuutta ja täsmällisyyttä. Kriittiinen diskurssianalyysi kaipaa tällaista näkemystä kielellisten analyysien tueksi ja uudenlaisen relevanssin löytääkseen.

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This qualitative study is an exploration of transformation theory, the Western tradition, and a critical evaluation of a graduate studies class at a university. It is an exploration of assumptions that are embedded in experience, that influence the experience and provide meaning about the experience. An attempt has been made to identify assumptions that are embedded in Western experience and connect them with assumptions that shape the graduate class experience. The focus is on assumptions that facilitate and impede large group discussions. Jungian psychology of personality type and archetype and developmental psychology is used to analyze the group experience. The pragmatic problem solving model, developed by Knoop, is used to guide thinking about the Western tradition. It is used to guide the analysis, synthesis and writing of the experience of the graduate studies class members. A search through Western history, philosophy. and science revealed assumptions about the nature of truth, reality, and the self. Assumptions embedded in Western thinking about the subject-object relationship, unity and diversity are made explicit. An attempt is made to identify Western tradition assumptions underlying transformation theory. The critical evaluation of the graduate studies class experience focuses upon issues associated with group process, self-directed learning, the educator-learner transaction and the definition of adult education. The advantages of making implicit assumptions explicit is explored.