872 resultados para crisis of trade-unionism
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"Part I ... is based on the History of labour in the United States by Commons and associates ..."
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Bibliography: p. 204-211.
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Cette thèse part du postulat que la crise du syndicalisme résulte d’une remise en cause des identités collectives ayant légitimé jusque dans les années 70 leur représentation des travailleurs. En témoignent les mobilisations, qui se déroulent souvent en dehors des syndicats et de façon conflictuelle avec eux, de travailleuses et travailleurs longtemps minorés par les arrangements institutionnels prévalant avec la société salariale. Différents travaux dans le renouveau syndical relèvent de leur côté que les syndicats peinent à prendre en compte les besoins et aspirations de ces travailleurs car leur identité collective les entraîne à rester dans les sentiers des orientations et représentations institutionnalisées. Cependant, les auteurs se focalisent sur la façon dont le syndicalisme, et en particulier les leaders, peuvent reconstruire une représentation des travailleurs, et non sur la façon dont les identités collectives se transforment. Les études sur le syndicalisme héritent d’un débat sur les mouvements sociaux qui a abouti à scinder les approches théoriques entre celles conceptualisant les identités collectives, mais dans le cadre de théorisations contestables de l’évolution des sociétés, et celles qui sous-théorisent les identités collectives et considèrent que les mouvements sociaux émergent des processus politique et de la mobilisation des ressources. Les travaux sur le renouveau syndical reprennent généralement cette seconde approche et assimilent les mouvements de travailleurs à des organisations en considérant, implicitement, les buts de l’action collective comme donné. Or, un mouvement social est un concept ; il n’est pas réductible à une organisation, au risque sinon de perdre sa valeur heuristique, qui est de chercher à saisir les identités collectives en conflit et les stratégies associées. À partir de l’étude du cas du mouvement de travailleurs dans l’économie solidaire brésilienne, cette thèse questionne donc le « pourquoi de nouvelles identités collectives de travailleurs émergent » et le « comment ou le pourquoi des identités syndicales se transforment ou se reproduisent », lorsqu’elles sont confrontées à l’émergence de nouvelles façons de définir les dominations à combattre et les orientations. Les identités collectives sont opérationnalisées comme des matrices cognitives et normatives, ce qui permet de rendre compte de leur caractère évolutif en fonction des modalités d’interaction. L’étude de cas met en évidence que les mobilisations autonomes des travailleurs minorés sont porteuses de nouvelles définitions des problèmes et de pratiques sociales transformatrices, qui entrent en conflit avec les significations et les pratiques syndicales institutionnalisées. Elle montre que c’est à la suite d’interactions délibératives entre ces travailleurs et les syndicalistes que les identités syndicales se transforment. Cependant, la reconstitution des trajectoires de deux syndicats (de la principale centrale brésilienne) indique que le fait d’entrer dans de telles interactions ne dépend pas d’une décision rationnelle, mais de la perception (de la part des syndicats) des capacités des travailleurs à transformer le rapport au travail et au monde lorsqu’ils agissent collectivement. Un dernier résultat, corollaire, tient dans la falsification de l’hypothèse – défendue par une partie de la littérature sur le renouveau syndical – selon laquelle les syndicats, et en particulier les leaders, peuvent conduire une transformation de la représentation collective en procédant eux-mêmes à une agrégation des multiples identités collectives. Cette hypothèse, qui revient à considérer le but de l’action collective comme donné, est contredite par les données : elles montrent que, dans un tel cas, s’il y a bien des innovations institutionnelles conduites par le syndicat, ces innovations favorisent l’adaptation du syndicalisme aux mutations du capitalisme et non la transformation des rapports sociaux de domination, parce que prédominent alors les liens sociaux avec les groupes dominants, c’est-à-dire les interprétations cognitives dominantes des problèmes.
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Analiza el desequilibrio estructural interno de los centros con la periferia y los problemas de la relacion comercial entre ellos. Subraya la importancia de la actual crisis ideologica de la periferia y la necesidad de superarla.
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Cette recherche se propose de réfléchir sur la place des groupes d’intérêts dans le système politique de l’UE en partant de l’exemple de la filière lait. Dans un système généralement pluraliste, la PAC fait en effet figure de cas particulier puisqu’elle a fonctionné à partir des années 1960 sur une logique de co-gestion de la politique des marchés entre la Commission et la principale fédération agricole européenne, le Comité des Organisations Professionnelles agricoles (COPA) associé depuis 1962 au Comité Général de la Coopération agricole de l'Union européenne (COGECA). Néanmoins, du fait du processus de réforme de la PAC engagé depuis 1992, il paraît nécessaire d’analyser si la logique de co-gestion est remise en cause. Cette recherche conclue qu’il existe bien un rapport néo-corporatiste dans le secteur laitier, dans le sens où un acteur en particulier, le syndicat COPA-COGECA est parvenu à influencer de manière déterminante la procédure en obtenant de renforcer le pouvoir de négociation des producteurs sans revenir sur les réformes récentes de la PAC.
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"Delivered at the Annual Meeting of the Pittsburg Chapter, American Institute of Banking, at Pittsburg, Pa., on Tuesday evening, February 25, 1908."
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Community unionism has emerged in the past decade as a growing strand of industrial relations research and is influencing trade union strategies for renewal. This article seeks to further develop the concept, while exploring the potential roles for unions in communities subject to projects of urban regeneration.
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Active employer resistance to trade union recognition is often explained through the rubric of the unitary ideology. Yet, little attention has been devoted to an examination of unitarism as an explanatory construct for active employer hostility. This paper contributes to current knowledge and understanding on contemporary ideological opposition to unions, by placing unitarism under analytical scrutiny. Using empirical data from the Republic of Ireland, the paper applies a conceptual framework to a sample of non-union employers who actively resisted unionisation. The paper concludes by examining the ideological commitments uncovered and relevant implications.
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The NDP was founded out of the ashes of the Co-Operative Commonwealth Federation to cooperate with the Canadian Labour Congress to become the 'political arm of organized labour' in Canada. The NDP has long claimed they are the party which represents the policy goals of organized labour in Canada: that the NDP alone will fight for trade union rights, and will fight for Canadian workers. Divergent Paths is an examination of the links between the labour movement and the ND P in an era ofneo-liberalism. Provincial NDP governments have become increasingly neoliberal in their ideological orientation, and have often proved to be no friend to the labour movement when they hold office. The Federal party has never held power, nor have they ever formed the Official Opposition. This thesis charts the progress of the federal NDP as they become more neoliberal from 1988 to 2006, and shows how this trend effects the links between the NDP and labour. Divergent Paths studies each federal election from 1988 to 2006, looking at the interactions between Labour and the NDP during these elections. Elections provide critical junctions to study discourse - party platforms, speeches, and other official documents can be used to examine discourse. Extensive newspaper searches were used to follow campaign events and policy speeches. Studying the party's discourse can be used to determine the ideological orientation of the party itself: the fact that the party's discourse has become neoliberal is a sure sign that the party itself is neoliberal. The NDP continues to drive towards the centre of the political spectrum in an attempt to gain multi-class support. The NDP seems more interested in gaining seats at any cost, rather then promoting the agenda of Labour. As the party attempts to open up to more multi-class support, Labour becomes increasingly marginalised in the party. A rift which arguably started well before the 1988 election was exacerbated during that election; labour encouraged the NDP to campaign solely on the issue of Free Trade, and the NDP did not. The 1993 election saw the rift between the two grow even further as the Federal NDP suffered major blowbacks from the actions of the Ontario NDP. The 1997 and 2000 elections saw the NDP make a deliberate move to the centre of the political spectrum which increasingly marginalised labour. In the 2004 election, Jack Layton made no attempt to move the party back to the left; and in 2006 the link between labour and the NDP was perhaps irreparably damaged when the CAW endorsed the Liberal party in a strategic voting strategy, and the CLC did not endorse the NDP. The NDP is no longer a reliable ally of organized labour. The Canadian labour movement must decide wether the NDP can be 'salvaged' or if the labour movement should end their alliance with the NDP and engage in a new political project.
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When in 2012 China approached the countries of Central and Eastern Europe (CEE) with a proposal of cooperation in the ‘16+1’ formula, it declared it was willing to meet the needs of CEE countries. Beijing had been aware of the political importance of the problem of trade deficit (which has been ongoing for years) and launched cooperation with the governments of 16 CEE countries to boost imports from these states. The years 2011–2014 brought an improvement in the balance of trade between China and: Hungary, Latvia, the Czech Republic, Romania, Bulgaria and Croatia. The remaining ten CEE countries recorded an increase in their trade deficits. Changes in CEE countries’ balance of trade with China resulted only slightly from political actions. Instead, they were due to the macroeconomic situation and to a deterioration of the debt crisis in the EU which, for example, caused a decline in the import of Chinese goods in some of these countries. Multilateral trade cooperation was successfully developed in the entire region only in the agricultural and food production sector – the area of greatest interest to China. The pace of bilateral cooperation with specific countries varied, with the fastest being Poland, Latvia, Romania, Hungary and Bulgaria. Actions by governments of CEE countries resulted in Chinese market opening up to hundreds of local companies which, in turn, translated into an increase in the volume of foodstuffs sold by ‘the 16’ to China from US$ 137 million in 2011 to US$ 400 million in 2014. The success achieved in the agricultural and food production sector has demonstrated the effectiveness of trade cooperation in the ‘16+1’ formula. It is, however, insufficient to generate a significant improvement of the trade balance. At present, the sector’s share in the total volume of goods sold to China by CEE states is a mere 3.7%, and any reduction of the trade deficit would require long-term and more comprehensive solutions still to be implemented by the governments of individual CEE states.
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Mode of access: Internet.
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Reprinted from John R. Commons and Associates "History of Labor in the United States."
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Community unionism has emerged in the past decade as a growing strand of industrial relations research and is influencing trade union strategies for renewal. This article seeks to further develop the concept, while exploring the potential roles for unions in communities subject to projects of urban regeneration.