974 resultados para couple therapy


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Introduction Provoked vestibulodynia (PVD), a recurrent, localized vulvovaginal pain problem, carries a significant psychosexual burden for afflicted women, who report impoverished sexual function and decreased frequency of sexual activity and pleasure. Interpersonal factors such as partner responses to pain, partner distress, and attachment style are associated with pain outcomes for women and with sexuality outcomes for both women and partners. Despite these findings, no treatment for PVD has systematically included the partner. Aims This study pilot‐tested the feasibility and potential efficacy of a novel cognitive–behavioral couple therapy (CBCT) for couples coping with PVD. Methods Couples (women and their partners) in which the woman was diagnosed with PVD (N = 9) took part in a 12‐session manualized CBCT intervention and completed outcome measures pre‐ and post‐treatment. Main Outcome Measures The primary outcome measure was women's pain intensity during intercourse as measured on a numerical rating scale. Secondary outcomes included sexual functioning and satisfaction for both partners. Exploratory outcomes included pain‐related cognitions; psychological outcomes; and treatment satisfaction, feasibility, and reliability. Results One couple separated before the end of therapy. Paired t‐test comparisons involving the remaining eight couples demonstrated significant improvements in women's pain and sexuality outcomes for both women and partners. Exploratory analyses indicated improvements in pain‐related cognitions, as well as anxiety and depression symptoms, for both members of the couple. Therapists' reported high treatment reliability and participating couples' high participation rates and reported treatment satisfaction indicate adequate feasibility. Conclusions Treatment outcomes, along with treatment satisfaction ratings, confirm the preliminary success of CBCT in reducing pain and psychosexual burden for women with PVD and their partners. Further large‐scale randomized controlled trials are necessary to examine the efficacy of CBCT compared with and in conjunction with first‐line biomedical interventions for PVD.

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Resumen tomado de la publicaci??n

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Essai doctoral présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de Docteur en psychologie (D.Psy.), option clinique

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Tese de doutoramento, Psicologia (Psicologia da Família), Universidade de Lisboa, Faculdade de Psicologia, 2015

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L’objectif général de cette thèse est d’examiner le lien entre l’attachement amoureux des conjoints, la satisfaction conjugale, le mandat thérapeutique et le résultat de la thérapie conjugale telle que conduite en milieu naturel. Afin d’atteindre cet objectif, des couples se présentant en thérapie conjugale ont d’abord complété une batterie de questionnaires comprenant l’Échelle d’ajustement dyadique (Spanier, 1976) et le Questionnaire sur les expériences d’attachement amoureux (Brennan, Clark, & Shaver, 1998). Les thérapeutes ont par la suite indiqué le mandat thérapeutique poursuivi avec chaque couple (réconciliation ou résolution de l’ambivalence), suivant la classification de Poitras-Wright et St-Père (2004). À la fin de la consultation, le jugement du thérapeute a été utilisé pour classer chacun des cas comme ayant abandonné ou complété le traitement. Les couples ayant complété la thérapie ont rempli l’Échelle d’ajustement dyadique au post-traitement. Dans le premier des articles composant cette thèse, le lien entre l’attachement amoureux et la satisfaction conjugale a été examiné auprès d’un échantillon de 172 couples en détresse débutant une thérapie conjugale, de même qu’auprès de 56 couples non en détresse débutant également une thérapie conjugale, pour fins de comparaison. Les résultats ont démontré que l’évitement de la proximité semble être une caractéristique distinctive des couples en détresse et que cette dimension de l’attachement est fortement liée à l’insatisfaction conjugale de ce même groupe. Dans le deuxième article, le mandat thérapeutique, l’attachement amoureux et la satisfaction conjugale ont été examinés en tant que prédicteurs de l’abandon de la thérapie conjugale, auprès de 141 couples. Les résultats ont notamment démontré qu’un mandat de résolution de l’ambivalence augmente les probabilités d’abandon de la thérapie conjugale. De plus, les prédicteurs du résultat de la thérapie ont également été examinés dans ce second article. Les résultats obtenus au moyen d’analyses acteur-partenaire ont démontré que la satisfaction conjugale pré-traitement apparaît comme le meilleur prédicteur de la satisfaction conjugale post-traitement, et ce, malgré l’inclusion de l’attachement amoureux parmi les variables investiguées. Considérés dans leur ensemble, les résultats de cette thèse suggèrent que l’insécurité d’attachement serait fortement associée à l’insatisfaction des couples en détresse, mais ne nuirait pas pour autant à l’obtention d’un résultat positif en thérapie conjugale. En somme, cette thèse contribue à l’avancement des connaissances en se penchant sur l’utilité de la théorie de l’attachement en thérapie conjugale et en soulignant la nécessité de tenir compte des mandats thérapeutiques dans les futures études en thérapie conjugale. Les implications cliniques des résultats et des recommandations pour la recherche clinique sont présentées dans la conclusion de l’ouvrage.

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La présente thèse avait pour but d’analyser les problèmes conjugaux, les mandats et les objectifs thérapeutiques des couples qui consultent en thérapie conjugale en milieu naturel. Cette thèse a été rédigée sous la forme de deux articles. Le premier article visait à dresser un portrait des problèmes conjugaux rapportés par les conjoints à l’aide d’une question ouverte. Les problèmes conjugaux de 108 couples débutant une thérapie conjugale ont d’abord été catégorisés. Les résultats ont montré que les problèmes conjugaux les plus fréquemment rapportés étaient liés à la communication, à la distance émotionnelle, à des problèmes spécifiques de la relation et à la sexualité. En comparant les couples selon le mandat thérapeutique, il a été trouvé que les couples en mandat de résolution de l’ambivalence rapportent davantage de problèmes liés à l’engagement/sécurité et à l’infidélité/flirting que les couples en mandat d’amélioration de la relation. Ces résultats ont démontré l’importance de l’utilisation du construit des mandats thérapeutiques et la nécessité d’étudier davantage l’ambivalence des couples. Le deuxième article visait à examiner les propriétés psychométriques de la mesure individualisée Goal Attainment Scaling (GAS) dans l’évaluation du changement des couples en thérapie conjugale en milieu naturel. L’atteinte des objectifs thérapeutiques de 100 couples ayant complété une thérapie conjugale a été évaluée. Une catégorisation des objectifs thérapeutiques a également été proposée. Les résultats obtenus soutiennent l’efficacité de la thérapie conjugale en milieu naturel. Le pronostic du thérapeute quant au déroulement de la thérapie ainsi que le motif de fin de thérapie et la stabilité conjugale ont été identifiés comme étant liés à l’atteinte des objectifs. En comparant les couples selon le mandat thérapeutique, il a été trouvé que les couples en mandat d’amélioration de la relation ont davantage d’objectifs thérapeutiques liés à la communication, à la résolution de problèmes et à l’acceptation des différences que les couples en mandat de résolution de l’ambivalence. Les résultats appuient la validité et l’utilité de la mesure GAS pour la recherche et la pratique clinique. En somme, cette thèse a contribué à l’avancement des connaissances en apportant un appui empirique au construit des mandats thérapeutiques et comporte des implications tant au niveau de la clinique qu’au niveau méthodologique et théorique.

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Introduction Entry dyspareunia is a sexual health concern which affects about 21% of women in the general population. Characterized by pain provoked during vaginal penetration, introital dyspareunia has been shown by controlled studies to have a negative impact on the psychological well-being, sexual function, sexual satisfaction, and quality of life of afflicted women. Many cognitive and affective variables may influence the experience of pain and associated psychosexual problems. However, the role of the partner's cognitive responses has been studied very little. Aim The aim of the present study was to examine the associations between partners' catastrophizing and their perceptions of women's self-efficacy at managing pain on one side and women's pain intensity, sexual function, and sexual satisfaction on the other. Methods One hundred seventy-nine heterosexual couples (mean age for women = 31, SD = 10.0; mean age for men = 33, SD = 10.6) in which the woman suffered from entry dyspareunia participated in the study. Both partners completed quantitative measures. Women completed the Pain Catastrophizing Scale and the Painful Intercourse Self-Efficacy Scale. Men completed the significant-other versions of these measures. Main Outcome Measures Dependent measures were women's responses to (i) the Pain Numeric Visual Analog Scale; (ii) the Female Sexual Function Index; and (iii) the Global Measure of Sexual Satisfaction scale. Results Controlled for women's pain catastrophizing and self-efficacy, results indicate that higher levels of partner-perceived self-efficacy and lower levels of partner catastrophizing are associated with decreased pain intensity in women with entry dyspareunia, although only partner catastrophizing contributed unique variance. Partner-perceived self-efficacy and catastrophizing were not significantly associated with sexual function or satisfaction in women. Conclusions The findings suggest that partners' cognitive responses may influence the experience of entry dyspareunia for women, pointing toward the importance of considering the partner when treating this sexual health problem.

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Conjugal problems may damage parents and children relationships favoring the appearance of behavior problems, as well as causing psychological problems. Given the lack of studies which value several interrelated behavioral repertoires, the present paper aims at presenting assessment results employing multiple instruments in regards to the three couples that sought clinical services at a University clinic. Results indicated that participants were presenting communication deficits, problem solving difficulties, and problems in expressing affection confirming literature findings. Problems in other areas were also reported, which influenced the marital relationship. It stands out that the children were presenting indications of behavior problems. The relevance of data collection applying different instruments is discussed, and it is necessary that intervention programs consider individual difficulties, besides setting up singular objectives for each person searching for service.

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Sexual scripts—the definitions and expectations that individuals hold for sexual interactions—are thought to play an important role in the maintenance of sexual well-being. Sexual scripts can be rigid or flexible, and they can be concordant or discordant between members of a couple. Sex therapists support sexual script flexibility for maintaining sexual and relationship satisfaction when couples are navigating sexual issues. However, empirical research examining the role of sexual script flexibility and the degree of script concordance/discordance in couples’ sexual well-being has been limited, due in part to the limited measures available. Furthermore, within the existing research, there has been an unfortunate tendency to exclude individuals in same-gender relationships – perpetuating the long-standing knowledge gap in the literature on positive sexuality in diverse relationships. To address these gaps in the literature, we conducted a series of online studies that recruited individuals in diverse relationships. A measure of individual sexual script flexibility in response to sexual issues was developed (Chapter 2); in addition, the structure of an existing measure assessing couple sexual scripts in response to a sexual issue was evaluated (Chapter 3). Chapter 4 examined how individuals in diverse relationships compared on measures of individual sexual script flexibility and on couple sexual scripts. Findings suggest that there are more similarities than differences across diverse couples. Chapter 5 explored how flexibility in an individual’s approach to sexual issues relates to sexual well-being, specifically by assessing sexual communication and partner responses as mediators. Results suggest that individual sexual script flexibility relates to sexual well-being through reciprocal partner processes. Collectively, this research program suggests that more similarities than differences exist between individuals in same- and mixed-gender relationships, and that partners are important to consider in the relationship between individual sexual script flexibility and sexual well-being. These findings have implications for sex and couple therapy; these results emphasize the importance of interventions that target both members of the couple, and further our understanding of sexuality in same- and mixed-gender relationships.

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La vestibulodynie provoquée (VP) est la forme la plus répandue de douleur génito-pelvienne/trouble de la pénétration et la cause la plus fréquente de douleur vaginale chez les femmes pré-ménopausées. Les femmes qui en souffrent rapportent plus de détresse psychologique ainsi qu’un fonctionnement sexuel appauvri, une diminution de la fréquence des activités sexuelles et du plaisir, et plus d’attitudes négatives à l’égard de la sexualité. Les recherches portant sur les couples souffrant de VP ont montré le rôle prépondérant des variables relationnelles dans la modulation des conséquences sexuelles et psychologiques pour les femmes et leurs partenaires. Cependant, aucune analyse dyadique n’a été appliquée au facteur de risque étiologique le plus robuste, soit la maltraitance durant l’enfance. Par ailleurs, malgré des recommandations répétées pour inclure le partenaire dans le traitement psychologique pour la VP, aucune étude à ce jour n’a examiné l’efficacité d’une psychothérapie qui inclut systématiquement le partenaire et dont la cible est le couple. L’objectif général de cette thèse a été d’utiliser une perspective dyadique afin d’examiner les antécédents de maltraitance et l’efficacité d’une intervention conçue pour améliorer les issues des couples souffrant de VP. Le premier article vise à examiner les liens entre la maltraitance durant l’enfance des femmes souffrant de VP et leurs partenaires, et leur fonctionnement sexuel, leur ajustement psychologique, leur satisfaction conjugale et enfin avec la douleur rapportée par les femmes durant les relations sexuelles. Quarante-neuf couples souffrant de VP ont complété des questionnaires auto-rapportés. La maltraitance durant l’enfance chez les femmes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible chez les femmes et les hommes, une augmentation de l’anxiété chez les femmes seulement, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles. La maltraitance durant l’enfance chez les hommes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible, moins de satisfaction conjugale, plus d’anxiété chez les femmes et les hommes, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles rapportée par les femmes. En se basant sur les recommandations issues des études empiriques, une thérapie cognitive et comportementale pour les couples (TCCC) souffrant de VP a été développée. Le deuxième article présente les résultats d’une étude pilote testant son efficacité, fidélité et faisabilité potentielles. Neuf couples ont complété des questionnaires auto-rapportés pré- et post-traitement. La TCCC de 12 rencontres était manualisée. Les femmes ont rapporté une amélioration significative de la douleur, du fonctionnement et de la satisfaction sexuels, et les partenaires ont rapporté une amélioration significative de leur satisfaction sexuelle. Les couples ont rapporté des niveaux élevés de satisfaction quant à la psychothérapie, et les psychothérapeutes ont rapporté suivre le manuel de traitement de manière fidèle. Le troisième article, s’appuyant sur les résultats prometteurs de l’étude pilote, décrit le protocole de recherche pour un essai clinique randomisé mesurant l’efficacité de la TCCC comparée à une intervention médicale de première ligne, la lidocaïne topique, pour le traitement de la VP. Enfin, les implications cliniques et théoriques de la thèse sont discutées.

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La vestibulodynie provoquée (VP) est la forme la plus répandue de douleur génito-pelvienne/trouble de la pénétration et la cause la plus fréquente de douleur vaginale chez les femmes pré-ménopausées. Les femmes qui en souffrent rapportent plus de détresse psychologique ainsi qu’un fonctionnement sexuel appauvri, une diminution de la fréquence des activités sexuelles et du plaisir, et plus d’attitudes négatives à l’égard de la sexualité. Les recherches portant sur les couples souffrant de VP ont montré le rôle prépondérant des variables relationnelles dans la modulation des conséquences sexuelles et psychologiques pour les femmes et leurs partenaires. Cependant, aucune analyse dyadique n’a été appliquée au facteur de risque étiologique le plus robuste, soit la maltraitance durant l’enfance. Par ailleurs, malgré des recommandations répétées pour inclure le partenaire dans le traitement psychologique pour la VP, aucune étude à ce jour n’a examiné l’efficacité d’une psychothérapie qui inclut systématiquement le partenaire et dont la cible est le couple. L’objectif général de cette thèse a été d’utiliser une perspective dyadique afin d’examiner les antécédents de maltraitance et l’efficacité d’une intervention conçue pour améliorer les issues des couples souffrant de VP. Le premier article vise à examiner les liens entre la maltraitance durant l’enfance des femmes souffrant de VP et leurs partenaires, et leur fonctionnement sexuel, leur ajustement psychologique, leur satisfaction conjugale et enfin avec la douleur rapportée par les femmes durant les relations sexuelles. Quarante-neuf couples souffrant de VP ont complété des questionnaires auto-rapportés. La maltraitance durant l’enfance chez les femmes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible chez les femmes et les hommes, une augmentation de l’anxiété chez les femmes seulement, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles. La maltraitance durant l’enfance chez les hommes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible, moins de satisfaction conjugale, plus d’anxiété chez les femmes et les hommes, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles rapportée par les femmes. En se basant sur les recommandations issues des études empiriques, une thérapie cognitive et comportementale pour les couples (TCCC) souffrant de VP a été développée. Le deuxième article présente les résultats d’une étude pilote testant son efficacité, fidélité et faisabilité potentielles. Neuf couples ont complété des questionnaires auto-rapportés pré- et post-traitement. La TCCC de 12 rencontres était manualisée. Les femmes ont rapporté une amélioration significative de la douleur, du fonctionnement et de la satisfaction sexuels, et les partenaires ont rapporté une amélioration significative de leur satisfaction sexuelle. Les couples ont rapporté des niveaux élevés de satisfaction quant à la psychothérapie, et les psychothérapeutes ont rapporté suivre le manuel de traitement de manière fidèle. Le troisième article, s’appuyant sur les résultats prometteurs de l’étude pilote, décrit le protocole de recherche pour un essai clinique randomisé mesurant l’efficacité de la TCCC comparée à une intervention médicale de première ligne, la lidocaïne topique, pour le traitement de la VP. Enfin, les implications cliniques et théoriques de la thèse sont discutées.

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A new ternary iron(III) complex [FeL(dpq)] containing dipyridoquinoxaline (dpq) and 2,2-bis(3,5-di-tert-butyl-2-hydroxybenzyl)aminoacetic acid (H3L) is prepared and structurally characterized by X-ray crystallography. The high-spin complex with a FeN3O3 core shows a quasi-reversible iron(III)/iron(II) redox couple at -0.62 V (vs SCE) in DMF/0.1 M TBAP and a broad visible band at 470 nm in DMF/Tris buffer. Laser photoexcitation of this phenolate (L)-to-iron(III) charge-transfer band at visible wavelengths including red light of >= 630 nm leads to cleavage of supercoiled pUC19 DNA to its nicked circular form via a photoredox pathway forming hydroxyl radicals.

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The case of a married couple developing polymyalgia rheumatica (PMR) consecutively is presented. The 55-year-old wife complained in June 2010 about pain in her neck. Case history, physical examination, and erythrocyte sedimentation rate (ESR) of 80 mm/hour led to the diagnosis of PMR. In May 2011, her 66-year old husband complained about pain in his neck, shoulders, buttocks, and thighs. Considering anamnesis, physical examination, and ESR of 56 mm/hour, the diagnosis of PMR was made. Both wife and husband responded to steroid treatment. When the steroid dose was gradually reduced, both patients relapsed. In order to lower the cumulative dose of glucocorticoid therapy, 10 mg methotrexate per week was added. In the literature, six cases of polymyalgia rheumatica in married couples have been described to date. In four cases, polymyalgia rheumatica occurred first in the wife. The interval of the diagnosis between the spouses ranged from 0 to 89 months. Although in most of the previous case reports a genetic disposition and an infectious agent have been discussed, this hypothesis must be questioned.

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BACKGROUND Antiretroviral drugs have been shown to reduce risk of mother-to-child transmission of human immunodeficiency virus (HIV) and are also widely used for post-exposure prophylaxis for parenteral and sexual exposures. Sexual transmission may be lower in couples in which one partner is infected with HIV and the other is not and the infected partner is on antiretroviral therapy (ART). OBJECTIVES To determine if ART use in an HIV-infected member of an HIV-discordant couple is associated with lower risk of HIV transmission to the uninfected partner compared to untreated discordant couples. SEARCH METHODS We used standard Cochrane methods to search electronic databases and conference proceedings with relevant search terms without limits to language. SELECTION CRITERIA Randomised controlled trials (RCT), cohort studies and case-control studies of HIV-discordant couples in which the HIV-infected member of the couple was being treated or not treated with ART DATA COLLECTION AND ANALYSIS: Abstracts of all trials identified by electronic or bibliographic scanning were examined independently by two authors. We initially identified 3,833 references and examined 87 in detail for study eligibility. Data were abstracted independently using a standardised abstraction form. MAIN RESULTS One RCT and nine observational studies were included in the review. These ten studies identified 2,112 episodes of HIV transmission, 1,016 among treated couples and 1,096 among untreated couples. The rate ratio for the single randomised controlled trial was 0.04 [95% CI 0.00, 0.27]. All index partners in this study had CD4 cell counts at baseline of 350-550 cells/µL. Similarly, the summary rate ratio for the nine observational studies was 0.58 [95% CI 0.35, 0.96], with substantial heterogeneity (I(2)=64%). After excluding two studies with inadequate person-time data, we estimated a summary rate ratio of 0.36 [95% CI 0.17, 0.75] with substantial heterogeneity (I(2)=62%). We also performed subgroup analyses among the observational studies to see if the effect of ART on prevention of HIV differed by the index partner's CD4 cell count. Among couples in which the infected partner had ≥350 CD4 cells/µL, we estimated a rate ratio of 0.12 [95% CI 0.01, 1.99]. In this subgroup, there were 247 transmissions in untreated couples and 30 in treated couples. AUTHORS' CONCLUSIONS ART is a potent intervention for prevention of HIV in discordant couples in which the index partner has ≤550 CD4 cells/µL. A recent multicentre RCT confirms the suspected benefit seen in earlier observational studies and reported in more recent ones. Questions remain about durability of protection, the balance of benefits and adverse events associated with earlier therapy, long-term adherence and transmission of ART-resistant strains to partners. Resource limitations and implementation challenges must also be addressed.Counselling, support, and follow up, as well as mutual disclosure, may have a role in supporting adherence, so programmes should be designed with these components. In addition to ART provision, the operational aspects of delivering such programmes must be considered.

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Importance A key factor in assessing the effectiveness and cost-effectiveness of antiretroviral therapy (ART) as a prevention strategy is the absolute risk of HIV transmission through condomless sex with suppressed HIV-1 RNA viral load for both anal and vaginal sex. Objective To evaluate the rate of within-couple HIV transmission (heterosexual and men who have sex with men [MSM]) during periods of sex without condoms and when the HIV-positive partner had HIV-1 RNA load less than 200 copies/mL. Design, Setting, and Participants The prospective, observational PARTNER (Partners of People on ART-A New Evaluation of the Risks) study was conducted at 75 clinical sites in 14 European countries and enrolled 1166 HIV serodifferent couples (HIV-positive partner taking suppressive ART) who reported condomless sex (September 2010 to May 2014). Eligibility criteria for inclusion of couple-years of follow-up were condomless sex and HIV-1 RNA load less than 200 copies/mL. Anonymized phylogenetic analysis compared couples' HIV-1 polymerase and envelope sequences if an HIV-negative partner became infected to determine phylogenetically linked transmissions. Exposures Condomless sexual activity with an HIV-positive partner taking virally suppressive ART. Main Outcomes and Measures Risk of within-couple HIV transmission to the HIV-negative partner. Results Among 1166 enrolled couples, 888 (mean age, 42 years [IQR, 35-48]; 548 heterosexual [61.7%] and 340 MSM [38.3%]) provided 1238 eligible couple-years of follow-up (median follow-up, 1.3 years [IQR, 0.8-2.0]). At baseline, couples reported condomless sex for a median of 2 years (IQR, 0.5-6.3). Condomless sex with other partners was reported by 108 HIV-negative MSM (33%) and 21 heterosexuals (4%). During follow-up, couples reported condomless sex a median of 37 times per year (IQR, 15-71), with MSM couples reporting approximately 22 000 condomless sex acts and heterosexuals approximately 36 000. Although 11 HIV-negative partners became HIV-positive (10 MSM; 1 heterosexual; 8 reported condomless sex with other partners), no phylogenetically linked transmissions occurred over eligible couple-years of follow-up, giving a rate of within-couple HIV transmission of zero, with an upper 95% confidence limit of 0.30/100 couple-years of follow-up. The upper 95% confidence limit for condomless anal sex was 0.71 per 100 couple-years of follow-up. Conclusions and Relevance Among serodifferent heterosexual and MSM couples in which the HIV-positive partner was using suppressive ART and who reported condomless sex, during median follow-up of 1.3 years per couple, there were no documented cases of within-couple HIV transmission (upper 95% confidence limit, 0.30/100 couple-years of follow-up). Additional longer-term follow-up is necessary to provide more precise estimates of risk.