922 resultados para cortisol salivaire


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L’objectif principal de ce mémoire est d’approfondir les connaissances à propos de l’impact des stresseurs organisationnels sur la concentration du cortisol salivaire. Plus précisément, nous étudierons la contribution des modèles demande-contrôle de Karasek (1979) et demande-contrôle-soutien de Karasek et Theorell (1990) à la variation du cortisol salivaire chez les individus. Les associations entre les composantes principales de chacun des modèles (demandes psychologiques, latitude décisionnelle et soutien social), mais également les effets d’interaction inclus dans ces modèles, c’est-à-dire de l’effet modérateur de la latitude décisionnelle et du soutien social, seront étudiés. L’axe HPS a été associé aux symptômes de la santé mentale (Abelson et al., 2007; Havermans et al., 2011; Vreeburg et al., 2009b, 2010, 2013; Staufenbiel, 2013) ainsi qu’aux stresseurs en milieu de travail (Chida et Steptoe, 2009). À l’heure actuelle, le cortisol salivaire serait un indicateur de l’axe hypothalamo-pituito-surrénalien (HPS) le plus prometteur pour mesurer la réponse physiologique face à un événement stressant ou à un stress chronique (Maïna et al., 2009). Les données proviennent de l’étude SALVEO, menée par l’Équipe de recherche sur le travail et la santé mentale de l’Université de Montréal. Les résultats des analyses multiniveaux ne soutiennent pas l’implication du modèle demande-contrôle-soutien sur la concentration de cortisol. En effet, elles ne permettent pas de conclure que les effets, autant principaux que d’interaction, du modèle demande-contrôle-soutien expliquent la variation dans les concentrations de cortisol. La consommation de tabac est significativement reliée à la concentration de cortisol salivaire et doit être prise en considération dans les études futures. Par conséquent, ces résultats suggèrent que d’autres recherches sont nécessaires pour comprendre comment les stresseurs du travail s’incorporent à l’individu au niveau physiologique. Des connaissances approfondies de ces associations permettraient de mieux comprendre les associations entre le stress à long terme et les effets sur la santé, c’est-à-dire, comment les tensions au travail affectent la santé mentale à long terme (Karhula et al., 2015).

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Plusieurs études antérieures ont proposé que la ménarche pouvait représenter une vulnérabilité accrue au développement de la dépression en augmentant la réactivité au stress chez les filles ayant atteint leur cycle menstruel. Dans la présente étude, les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol salivaire ont été mesurés chez 198 garçons et 142 filles (11 - 13 ans), et ce, à quatre reprises au cours de leur première année de transition vers l’école secondaire, une période de stress chez les adolescents. Les résultats ont montré que les filles qui avaient atteint la ménarche au moment de la transition vers le secondaire avait des niveaux significativement plus élevés de symptômes dépressifs et de cortisol salivaire entre l’automne et le printemps, comparativement aux filles qui n'avaient pas encore atteint la ménarche. Ces dernières présentaient des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs que les filles sans et les garçons. Les filles sans ménarche présentaient d’avantages des niveaux de symptômes dépressives plus élevés que les garçons. En utilisant l’âge de ménarche comme variable catégorique, les résultats démontrent que les filles ayant eu leur ménarche plus jeunes présentent des symptômes dépressifs plus élevés tout au long de l'année scolaire, alors que les filles qui ont commencé leur cycle menstruel à l’âge dit ‘normal’ présentent des symptômes dépressifs transitoires. Globalement, ces résultats suggèrent que la ménarche est un indice significatif d’une vulnérabilité accrue pour les symptômes dépressifs et les niveaux de cortisol plus élevés chez les adolescentes qui font leur entrée au secondaire. Également, ces résultats suggèrent qu’un âge précoce de ménarche peut exposer à long-terme le cerveau en développement à des niveaux élévés de cortisol, rendant ainsi ce groupe d’adolescentes plus vulnérables à la dépression.

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Les troubles du spectre de l'autisme (TSAR se caractérisent par des altérations au niveau de la réciprocité des interactions sociales, des habiletés de communication verbale et non verbale, ainsi que la présence de comportements et champs d'intérêts stéréotypés. Compte tenu des conclusions décrivant leurs parents comme vivant plus de stress comparativement aux parents d'enfants non diagnostiqués sur le spectre de l'autisme, il devient nécessaire d'offrir un soutien susceptible d'alléger leur quotidien et celui de leur enfant. Le recueil de données sur l'application d'une intervention novatrice qu'est l'intégration permanente d'un chien d'assistance au sein du milieu familial offrirait une contribution considérable basée sur les conclusions des études précédentes. Le modèle conceptuel de la présente étude réfère aux transactions entre la régulation diurne du cortisol, la perception de stress parental, la sévérité des atteintes comportementales de l'enfant ainsi que les représentations d'attachement de la mère. L'approche analytique s'oriente ainsi sur le caractère multidimensionnel des variables et s'intéresse particulièrement aux différences intra-individuelles dans l'adaptation parentale illustrée par l'activité totale de cortisol sur une période de 15 semaines. L'ensemble des données soulève la présence d'une sous-activation de l'axe 1-IPA ainsi qu'une perception de niveaux élevés de stress parental. Suivant une approche centrée sur la personne, les analyses ont permis de dégager deux profils distincts de régulation basés sur l'activité totale de cortisol salivaire. La présence du chien d'assistance au sein de la famille apporte des changements notables décrits par une diminution de la réponse du cortisol au réveil spécifique au sous-groupe de mères ayant un profil de sécrétion supérieur. L'étude apporte une démonstration empirique d'une hétérogénéité des patrons de régulation hormonale issus d'un même échantillon caractérisé par le vécu d'un stress chronique. L'efficacité d'une nouvelle forme d'intervention pouvant soulager les difficultés rencontrées par les parents est discutée selon un point de vue transdisciplinaire.

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Directeur(s) de thèse : Alain Marchand. M. Sc. Université de Montréal 2015. Comprend un résumé en anglais et en français. Disponible en format Adobe PDF.

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L’acceptabilité d’un décès lors d’une simulation médicale reste débattue mais il existe peu de données sur la perspective des apprenants. Des médecins résidents ont effectué une pratique de code et ont rempli un questionnaire pré et post-simulation. Ils ont été exposés à deux scénarios où un bébé naissait sans signe de vie: 1. Nouveau-né ne répondant pas aux manœuvres de réanimation (DCD); 2. Nouveau-né s’améliorant avec une réanimation adéquate (REA). Les performances étaient évaluées à l’aide de la grille standardisée du Programme de Réanimation Néonatale. Le stress objectif (cortisol salivaire) et subjectif a été mesuré après le code. La rétroaction («feedback»), individuelle et en groupe, fut analysée à l’aide de méthodologies qualitatives. 59/62 apprenants ont répondu au questionnaire et 42 ont participé à la simulation. Tous les résidents trouvent les simulations bénéfiques et souhaitent y être exposés davantage. Le type et l’ordre des scénarios n’ont pas eu d’impact sur la performance. Un seul résident a interrompu les manœuvres de réanimation après 10 minutes d’asystolie, tel que recommandé, et 31% ont poursuivi après 20 minutes. Les participants trouvaient le scénario DCD plus stressant. Les niveaux de cortisol salivaire ont augmenté après les simulations (p<0.001) et ce, pour les deux scénarios. Cette augmentation était indépendante du scénario (p=0.06) et n’était pas associée à la performance. Les réponses à la question « Comment a été votre expérience? », ont permis d’identifier deux thèmes: 1. Le mannequin ne meurt pas en simulation médicale; 2. Le décès lors de la simulation signifie une réanimation inadéquate. Le décès lors d’une pratique de code est stressant, mais n’interfère pas avec la performance des soignants. Les apprenants trouvent cet exercice acceptable et bénéfique à leur pratique future.

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L’acceptabilité d’un décès lors d’une simulation médicale reste débattue mais il existe peu de données sur la perspective des apprenants. Des médecins résidents ont effectué une pratique de code et ont rempli un questionnaire pré et post-simulation. Ils ont été exposés à deux scénarios où un bébé naissait sans signe de vie: 1. Nouveau-né ne répondant pas aux manœuvres de réanimation (DCD); 2. Nouveau-né s’améliorant avec une réanimation adéquate (REA). Les performances étaient évaluées à l’aide de la grille standardisée du Programme de Réanimation Néonatale. Le stress objectif (cortisol salivaire) et subjectif a été mesuré après le code. La rétroaction («feedback»), individuelle et en groupe, fut analysée à l’aide de méthodologies qualitatives. 59/62 apprenants ont répondu au questionnaire et 42 ont participé à la simulation. Tous les résidents trouvent les simulations bénéfiques et souhaitent y être exposés davantage. Le type et l’ordre des scénarios n’ont pas eu d’impact sur la performance. Un seul résident a interrompu les manœuvres de réanimation après 10 minutes d’asystolie, tel que recommandé, et 31% ont poursuivi après 20 minutes. Les participants trouvaient le scénario DCD plus stressant. Les niveaux de cortisol salivaire ont augmenté après les simulations (p<0.001) et ce, pour les deux scénarios. Cette augmentation était indépendante du scénario (p=0.06) et n’était pas associée à la performance. Les réponses à la question « Comment a été votre expérience? », ont permis d’identifier deux thèmes: 1. Le mannequin ne meurt pas en simulation médicale; 2. Le décès lors de la simulation signifie une réanimation inadéquate. Le décès lors d’une pratique de code est stressant, mais n’interfère pas avec la performance des soignants. Les apprenants trouvent cet exercice acceptable et bénéfique à leur pratique future.

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Cette thèse de doctorat s’intéresse à mieux comprendre, d’une part, ce qui influence la sécrétion de cortisol salivaire, et d’autre part, ce qui influence l’épuisement professionnel. Plusieurs objectifs en découlent. D’abord, elle vise à mieux cerner la contribution des conditions de l’organisation du travail (utilisation des compétences, autorité décisionnelle, demandes psychologiques, demandes physiques, horaire de travail irrégulier, nombre d’heures travaillées, soutien social des collègues, soutien social des superviseurs, insécurité d’emploi) sur la sécrétion de cortisol salivaire, ainsi que le rôle modérateur de certains traits de personnalité (extraversion, agréabilité, névrosisme, conscience, ouverture d’esprit, estime de soi, centre de contrôle) sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire. Par ailleurs, cette thèse vise à établir la contribution des conditions de l’organisation du travail sur l’épuisement professionnel, ainsi que le rôle modérateur des traits de personnalité sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel. Finalement, cette thèse vise à vérifier si la sécrétion de cortisol salivaire joue un rôle médiateur sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel, ainsi qu’à identifier les effets de médiation modérés par les traits de personnalité sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire. Ces objectifs sont inspirés de nombreuses limites observées dans la littérature, principalement l’intégration de déterminants à la fois biologiques, psychologiques et du travail dans la compréhension de l’épuisement professionnel. La thèse propose un modèle conceptuel qui tente de savoir comment ces différents stresseurs entraînent une dérégulation de la sécrétion de cortisol dans la salive des travailleurs. Ensuite, ce modèle conceptuel vise à voir si cette dérégulation s’associe à l’épuisement professionnel. Finalement, ce modèle conceptuel cherche à expliquer comment la personnalité peut influencer la manière dont ces variables sont reliées entre elles, c’est-à-dire de voir si la personnalité joue un rôle modérateur. Ce modèle découle de quatre théories particulières, notamment la perspective biologique de Selye (1936). Les travaux de Selye s’orientent sur l’étude de la réaction physiologique d’un organisme soumis à un stresseur. Dans ces circonstances, l’organisme est en perpétuel effort de maintien de son équilibre (homéostasie) et ne tolère que très peu de modifications à cet équilibre. En cas de modifications excessives, une réponse de stress est activée afin d’assurer l’adaptation en maintenant l’équilibre de base de l’organisme. Ensuite, le modèle conceptuel s’appuie sur le modèle de Lazarus et Folkman (1984) qui postule que la réponse de stress dépend plutôt de l’évaluation que font les individus de la situation stressante, et également sur le modèle de Pearlin (1999) qui postule que les individus exposés aux mêmes stresseurs ne sont pas nécessairement affectés de la même manière. Finalement, le modèle conceptuel de cette thèse s’appuie sur le modèle de Marchand (2004) qui postule que les réactions dépendent du décodage que font les acteurs des contraintes et ressources qui les affectent. Diverses hypothèses émergent de cette conceptualisation théorique. La première est que les conditions de l’organisation du travail contribuent directement aux variations de la sécrétion de cortisol salivaire. La deuxième est que les conditions de l’organisation du travail contribuent directement à l’épuisement professionnel. La troisième est que la sécrétion de cortisol salivaire médiatise la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel. La quatrième est que la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire est modérée par les traits de personnalité. La cinquième est que la relation entre les conditions de l’organisation du travail, la sécrétion de cortisol salivaire et l’épuisement professionnel est modérée par les traits de personnalité. Des modèles de régression multiniveaux et des analyses de cheminement de causalité ont été effectués sur un échantillon de travailleurs canadiens provenant de l’étude SALVEO. Les résultats obtenus sont présentés sous forme de trois articles, soumis pour publication, lesquels constituent les chapitres 4 à 6 de cette thèse. Dans l’ensemble, le modèle intégrateur biopsychosocial proposé dans le cadre de cette thèse de doctorat permet de mieux saisir la complexité de l’épuisement professionnel qui trouve une explication biologique, organisationnelle et individuelle. Ce constat permet d’offrir une compréhension élargie et multiniveaux et assure l’avancement des connaissances sur une problématique préoccupante pour les organisations, la société ainsi que pour les travailleurs. Effectivement, la prise en compte des traits de personnalité et de la sécrétion du cortisol salivaire dans l’étude de l’épuisement professionnel assure une analyse intégrée et plus objective. Cette thèse conclue sur les implications de ces résultats pour la recherche, et sur les retombées qui en découlent pour les milieux de travail.

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Cette thèse de doctorat s’intéresse à mieux comprendre, d’une part, ce qui influence la sécrétion de cortisol salivaire, et d’autre part, ce qui influence l’épuisement professionnel. Plusieurs objectifs en découlent. D’abord, elle vise à mieux cerner la contribution des conditions de l’organisation du travail (utilisation des compétences, autorité décisionnelle, demandes psychologiques, demandes physiques, horaire de travail irrégulier, nombre d’heures travaillées, soutien social des collègues, soutien social des superviseurs, insécurité d’emploi) sur la sécrétion de cortisol salivaire, ainsi que le rôle modérateur de certains traits de personnalité (extraversion, agréabilité, névrosisme, conscience, ouverture d’esprit, estime de soi, centre de contrôle) sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire. Par ailleurs, cette thèse vise à établir la contribution des conditions de l’organisation du travail sur l’épuisement professionnel, ainsi que le rôle modérateur des traits de personnalité sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel. Finalement, cette thèse vise à vérifier si la sécrétion de cortisol salivaire joue un rôle médiateur sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel, ainsi qu’à identifier les effets de médiation modérés par les traits de personnalité sur la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire. Ces objectifs sont inspirés de nombreuses limites observées dans la littérature, principalement l’intégration de déterminants à la fois biologiques, psychologiques et du travail dans la compréhension de l’épuisement professionnel. La thèse propose un modèle conceptuel qui tente de savoir comment ces différents stresseurs entraînent une dérégulation de la sécrétion de cortisol dans la salive des travailleurs. Ensuite, ce modèle conceptuel vise à voir si cette dérégulation s’associe à l’épuisement professionnel. Finalement, ce modèle conceptuel cherche à expliquer comment la personnalité peut influencer la manière dont ces variables sont reliées entre elles, c’est-à-dire de voir si la personnalité joue un rôle modérateur. Ce modèle découle de quatre théories particulières, notamment la perspective biologique de Selye (1936). Les travaux de Selye s’orientent sur l’étude de la réaction physiologique d’un organisme soumis à un stresseur. Dans ces circonstances, l’organisme est en perpétuel effort de maintien de son équilibre (homéostasie) et ne tolère que très peu de modifications à cet équilibre. En cas de modifications excessives, une réponse de stress est activée afin d’assurer l’adaptation en maintenant l’équilibre de base de l’organisme. Ensuite, le modèle conceptuel s’appuie sur le modèle de Lazarus et Folkman (1984) qui postule que la réponse de stress dépend plutôt de l’évaluation que font les individus de la situation stressante, et également sur le modèle de Pearlin (1999) qui postule que les individus exposés aux mêmes stresseurs ne sont pas nécessairement affectés de la même manière. Finalement, le modèle conceptuel de cette thèse s’appuie sur le modèle de Marchand (2004) qui postule que les réactions dépendent du décodage que font les acteurs des contraintes et ressources qui les affectent. Diverses hypothèses émergent de cette conceptualisation théorique. La première est que les conditions de l’organisation du travail contribuent directement aux variations de la sécrétion de cortisol salivaire. La deuxième est que les conditions de l’organisation du travail contribuent directement à l’épuisement professionnel. La troisième est que la sécrétion de cortisol salivaire médiatise la relation entre les conditions de l’organisation du travail et l’épuisement professionnel. La quatrième est que la relation entre les conditions de l’organisation du travail et la sécrétion de cortisol salivaire est modérée par les traits de personnalité. La cinquième est que la relation entre les conditions de l’organisation du travail, la sécrétion de cortisol salivaire et l’épuisement professionnel est modérée par les traits de personnalité. Des modèles de régression multiniveaux et des analyses de cheminement de causalité ont été effectués sur un échantillon de travailleurs canadiens provenant de l’étude SALVEO. Les résultats obtenus sont présentés sous forme de trois articles, soumis pour publication, lesquels constituent les chapitres 4 à 6 de cette thèse. Dans l’ensemble, le modèle intégrateur biopsychosocial proposé dans le cadre de cette thèse de doctorat permet de mieux saisir la complexité de l’épuisement professionnel qui trouve une explication biologique, organisationnelle et individuelle. Ce constat permet d’offrir une compréhension élargie et multiniveaux et assure l’avancement des connaissances sur une problématique préoccupante pour les organisations, la société ainsi que pour les travailleurs. Effectivement, la prise en compte des traits de personnalité et de la sécrétion du cortisol salivaire dans l’étude de l’épuisement professionnel assure une analyse intégrée et plus objective. Cette thèse conclue sur les implications de ces résultats pour la recherche, et sur les retombées qui en découlent pour les milieux de travail.

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CC-chemokine receptor 2 (CCR2) and its ligand, monocyte chemotactic protein-1 (MCP-1, also known as CCL2), are crucial for the recruitment of monocytes/macrophages to sites of inflammation. We conducted a series of experiments to investigate the relationship between stress, monocyte CCR2 expression and migration activity. First, we collected peripheral blood mononuclear cells (PBMC) from untrained subjects (n=8) and measured CCR2 expression on CD14(+) monocytes cultured with cortisol, epinephrine and norepinephrine. Second, we collected PBMC from the subjects before and after they cycled for 60 min at 70% peak O(2) uptake (VO2(peak)), and measured alterations in CCR2 expression on monocytes following exercise. Third, we cultured PBMC with serum obtained before and after exercise and the glucocorticoid antagonist RU-486 to determine the effect of cortisol on CCR2 expression in vitro. Last, we measured the ability of PBMC treated with serum or cortisol to migrate through membrane filters in response to CCL2. Cortisol (but not epinephrine or norepinephrine) increased CCR2 expression on monocytes in a dose- and time-dependent manner. Exercise did not influence CCR2 expression on PBMC, whereas incubation of PBMC with post-exercise serum significantly increased CCR2 expression. Both cortisol and post-exercise serum increased the migration of PBMC toward CCL2. The increase in CCR2 expression on PBMC following stimulation with cortisol and serum was blocked by the glucocorticoid receptor antagonist RU-486. In conclusion, cortisol released during exercise increased monocyte CCR2 expression and migration activity in vitro. These alterations may influence inflammation and regeneration of damaged tissue after acute stress.

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The present study examined the effect of carbohydrate supplementation on changes in neutrophil counts, and the plasma concentrations of cortisol and myoglobin after intense exercise. Eight well-trained male runners ran on a treadmill for 1 h at 85% maximal oxygen uptake on two separate occasions. In a double-blind cross-over design, subjects consumed either 750 ml of a 10% carbohydrate (CHO) drink or a placebo drink on each occasion. The order of the trials was counter-balanced. Blood was drawn immediately before and after exercise, and 1 h after exercise. Immediately after exercise, neutrophil counts (CHO, 49%; placebo, 65%; P<0.05), plasma concentrations of glucose (CHO, 43%; P<0.05), lactate (CHO, 130%; placebo, 130%; P<0.01), cortisol (CHO, 100%; placebo, 161%; P<0.01), myoglobin (CHO, 194%; placebo, 342%; P<0.01) all increased significantly. One hour post-exercise, plasma myoglobin concentration (CHO, 331%; placebo, 482%; P<0.01) and neutrophil count (CHO, 151%; placebo, 230% P<0.01) both increased further above baseline. CHO significantly attenuated plasma myoglobin concentration and the neutrophil count after exercise (P<0.01), but did not affect plasma cortisol concentration. The effects of CHO on plasma myoglobin concentration may be due to alterations in cytokine synthesis, insulin responses or myoglobin clearance rates from the bloodstream during exercise. Plasma cortisol responses to CHO during exercise may depend on the intensity of exercise, or the amount of CHO consumed. Lastly, cortisol appears to play a minor role in the mobilisation of neutrophils after intense exercise.

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Risk taking is central to human activity. Consequently, it lies at the focal point of behavioral sciences such as neuroscience, economics, and finance. Many influential models from these sciences assume that financial risk preferences form a stable trait. Is this assumption justified and, if not, what causes the appetite for risk to fluctuate? We have previously found that traders experience a sustained increase in the stress hormone cortisol when the amount of uncertainty, in the form of market volatility, increases. Here we ask whether these elevated cortisol levels shift risk preferences. Using a double-blind, placebo-controlled, cross-over protocol we raised cortisol levels in volunteers over eight days to the same extent previously observed in traders. We then tested for the utility and probability weighting functions underlying their risk taking, and found that participants became more risk averse. We also observed that the weighting of probabilities became more distorted among men relative to women. These results suggest that risk preferences are highly dynamic. Specifically, the stress response calibrates risk taking to our circumstances, reducing it in times of prolonged uncertainty, such as a financial crisis. Physiology-induced shifts in risk preferences may thus be an under-appreciated cause of market instability.

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OBJECTIVE Impaired regulation of the hypothalamic-pituitary-adrenal (HPA) axis and hyper-activity of this system have been described in patients with psychosis. Conversely, some psychiatric disorders such as post-traumatic stress disorder (PTSD) are characterised by HPA hypo-activity, which could be related to prior exposure to trauma. This study examined the cortisol response to the administration of low-dose dexamethasone in first-episode psychosis (FEP) patients and its relationship to childhood trauma. METHOD The low-dose (0.25 mg) Dexamethasone Suppression Test (DST) was performed in 21 neuroleptic-naive or minimally treated FEP patients and 20 healthy control participants. Childhood traumatic events were assessed in all participants using the Childhood Trauma Questionnaire (CTQ) and psychiatric symptoms were assessed in patients using standard rating scales. RESULTS FEP patients reported significantly higher rates of childhood trauma compared to controls (p = 0.001) and exhibited lower basal (a.m.) cortisol (p = 0.04) and an increased rate of cortisol hyper-suppression following dexamethasone administration compared to controls (33% (7/21) vs 5% (1/20), respectively; p = 0.04). There were no significant group differences in mean cortisol decline or percent cortisol suppression following the 0.25 mg DST. This study shows for the first time that a subset of patients experiencing their first episode of psychosis display enhanced cortisol suppression. CONCLUSIONS These findings suggest there may be distinct profiles of HPA axis dysfunction in psychosis which should be further explored.

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Dehydroepiandrosterone (DHEA) and its sulphate form (DHEA) are neuroactive steroids with antiglucocorticoid properties. An imbalance in the ratio of cortisol to DHEA(S) has been implicated in the pathophysiology of stress-related psychiatric disorders. This study prospectively investigated circulating cortisol, DHEAS and their ratio in first-episode psychosis (FEP) patients compared to healthy controls, and their relationship to perceived stress, psychotic, negative and mood symptoms. METHODS: Blood cortisol and DHEAS levels were obtained in 39 neuroleptic-naïve or minimally-treated FEP patients and 25 controls. Twenty-three patients and 15 controls received repeat assessments after 12 weeks. Perceived stress was assessed using the Perceived Stress Scale and symptoms were assessed in patients using standard rating scales. RESULTS: At baseline, no differences were observed in cortisol, DHEAS or the cortisol/DHEAS ratio between patients and controls. There were also no group differences in the change in these biological variables during the study period. Within FEP patients, decreases in cortisol and the cortisol/DHEAS ratio over time were directly related to the improvement in depression (r = 0.45; p = 0.031, r = 0.52; p = 0.01), negative (r = 0.51; p = 0.006, r = 0.55; p = 0.008) and psychotic symptoms (cortisol only, r = 0.53; p = 0.01). Perceived stress significantly correlated with DHEAS (r = 0.51; p = 0.019) and the cortisol/DHEAS ratio (r = -0.49; p = 0.024) in controls, but not patients, possibly reflecting an impaired hormonal response to stress in FEP patients. CONCLUSIONS: These findings further support the involvement of the stress system in the pathophysiology of psychotic disorders, with implications for treatment strategies that modulate these neurosteroids.