13 resultados para brothel
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Nikolaus Knupfer; 1 ft. 11 5/8 in.x 2 ft. 5 21/64 in.; oil on panel
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Nikolaus Knupfer; oil on panel
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Caesar van Everdingen; oil on panel
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Introduction: Various agents can lead to an acquired methaemoglobinaemia (MHB) with potentially fatal consequences. There is a lack of literature on the formation of methaemoglobin (MH) in the blood after the intake of poppers (amyl nitrite). Poppers are a popular aphrodisiac agent. Case description: A 56-year-old diabetic called an ambulance after using poppers in a brothel with subsequent associated acrocyanosis, confusion and headache. The paramedics reported tachycardia and blood glucose of 3.8 mmol/l. The arterial blood gas analysis in the Emergency Department (ED) revealed a MHB of 23.1%. MH levels decreased rapidly without antidotal therapy. The patient was discharged the next day free of symptoms. Discussion: This case illustrates the potential risks of taking poppers. A wide spectrum of symptoms were present in our patient. For the differential diagnosis of acquired MHB, poppers should be considered.
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Cette thèse explore le leitmotiv de la prostitution dans l’oeuvre de Tennessee Williams et soutient que la plupart des personnages de Williams sont engagés dans une forme de prostitution ou une autre. En effectuant une analyse formaliste des textes de Williams qui illustrent toute forme de prostitution, avec une attention particulière à quatre grandes pièces, A Streetcar Named Desire (1947), Cat on a Hot Tin Roof (1955), Suddenly Last Summer (1958) et Sweet Bird of Youth (1959), cette présente étude fait valoir que le dramaturge utilise un mode de fiction—le gothique—en lien avec une pratique transgressive—la prostitution—pour relier les classes sociales et troubler les catégories de prostitution. Ce faisant, Williams offre une vision plus représentative et nuancée de la prostitution. Théoriquement, cette thèse repose sur des oeuvres critiques portant sur le genre, la sexualité et l'histoire de Michel Foucault, David Savran, et Michael Paller afin de situer la dramaturgie de Williams dans le contexte historique et culturel des années 1940 et 1950. La première partie de cette thèse (chapitres un et deux) fournit de nombreuses informations autobiographiques et biographiques qui expliquent pourquoi la prostitution est devenue le thème de prédilection pour Williams. Cette section met l’accent sur sa préoccupation constante à l’égard de sa prostitution artistique (en prostituant son art pour le succès commercial) et sexuelle (en payant pour des prostitués). Cette partie présente également un inventaire détaillé des prostituté(e)s, que je divise en trois catégories: 1) la prostitution des enfants, 2) la prostitution masculine et 3) la prostitution féminine. La deuxième partie de cette étude, composée des chapitres trois et quatre, identifie les personnages de Williams qui s’engagent dans une forme de prostitution morale. Ce groupe comprend ceux qui tirent directement profit de la prostitution des autres ainsi que ceux qui se marient uniquement pour un gain financier ou une promotion sociale ou les deux. L’oeuvre de Williams résiste la représentation stéréotypée de la prostituée en littérature comme étant uniquement de sexe féminin ou provenant des classes sociales défavorisées ou les deux. La prostituée de Williams n’est ni une figure romantique ni une rebelle menaçant la société. Cette thèse conclut qu’en représentant des enfants prostitués, des femmes de rue, des prostitués de sexe masculin, des souteneurs, des proxénètes, des propriétaires de bordels, des leaders corrompus et des personnes qui se prostituent en concluant des mariages de convenance, Williams a effectivement et incontestablement dramatisé la prostitution sous toutes ses formes.
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El autor realiza un análisis sociológico de la novela de Pareja, amparado en los criterios del crítico Lucien Goldmann. Las categorías narratológicas que sirven de pauta son: el narrador, el espacio, el tiempo y los personajes. Se detiene en el análisis de los tres espacios que Pareja proyecta en la novela: campo, ciudad (ámbito identificado con la pobreza, el robo y el abuso de las autoridades) y mundo exterior (apenas referencial, pero gravitante en los inicios de modernización del país). Revisa los personajes y la estructura mental del autor. Concluye que el texto plantea una concepción diferente del arte de novelar, a tono con la vanguardia europea, a pesar de que muestra una realidad social que no cambia (Baldomera nació pobre, se desplaza entre el burdel, la cantina, el hospital y, finalmente, la cárcel). El texto se aleja del simple documento testimonial gracias al diseño del personaje: pese a su descomunal físico ya que personifica la desgracia, Baldomera expresa, al mismo tiempo, los valores de fidelidad, amor maternal y solidaridad.
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The city that presents itself to our eyes is not just made of stone. The urban layout hides the tactics of the subjects who subjectivate spaces, giving it meaning through the representations that it produces, whether written or oral. The city's art, is represented, is home to the place where the good and bad places. The aim of this study is to analyze the representations about the spaces occupied by mossoroenses brothels in the 1950 and 1960. With this goal we organize the work into three chapters. At first, we present the formation of red-light district in the city, highlighting the composition of the bohemian spaces in good and bad places. In the second chapter we discuss how the representations developed by the newspaper O Mossoroense created a space damn for identifying the area as a place of crime and misdemeanor. In the last chapter we seek to identify and reconstruct the residents of Mossoró, in contemporary times, their memories about the peak time of the brothels in the city. In oral narratives seek to understand how people describe the places of the brothel, comparing the spatiality of the past with this experienced in the city. Therefore, we discuss how these spaces have been turned into places of pleasure and a curse, as places become common in places marked morally.
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La canicule des pauvres (2009) raconte dans le détail la vie quotidienne de vingt-six personnages habitant Le Galant, une ancienne maison de passe transformée en un immeuble locatif situé à Montréal, au cœur du Quartier latin. Cette étude prend acte du fait que ce roman choral dresse un portrait particulier et complexe de la ville. Les questions qu’elle se pose sont de cet ordre : qu’est-ce que cette représentation de Montréal nous apprend de la société québécoise actuelle ? que devient la civilisation urbaine — l’urbanité, au sens ancien du terme — dans le monde de La canicule des pauvres ? comment l’écriture de DesRochers travaille-t-elle les représentations habituelles de la ville, que celles-ci proviennent de l’imaginaire social contemporain ou de la littérature passée ? existe-t-il telle chose qu’une postmodernité montréalaise ? S’inspirant des principes de la sociocritique des textes, la lecture proposée postule que c’est dans la forme même du texte que peut se comprendre le complexe de sens lié à la représentation de Montréal élaborée par le roman. Par les images qu’il en donne, par les modes d’énonciation et de narration, par la façon d’unir l’efficacité des brefs chapitres et l’ampleur de la vision romanesque, par les multiples récits de vie décrits et leurs entrecroisements, le roman donne à lire une ville devenue par bien des côtés étrangère et opaque à ses propres habitants. L’étude comprend quatre parties qui examinent respectivement les principaux traits de la mise en texte, la fragmentation du récit, le motif récurrent du smog et la façon de présenter les relations interindividuelles. Au bout du chemin, la ville apparaît paradoxale, vivante certes, mais sans proposer une manière cohérente et émancipatrice du vivre ensemble.
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La canicule des pauvres (2009) raconte dans le détail la vie quotidienne de vingt-six personnages habitant Le Galant, une ancienne maison de passe transformée en un immeuble locatif situé à Montréal, au cœur du Quartier latin. Cette étude prend acte du fait que ce roman choral dresse un portrait particulier et complexe de la ville. Les questions qu’elle se pose sont de cet ordre : qu’est-ce que cette représentation de Montréal nous apprend de la société québécoise actuelle ? que devient la civilisation urbaine — l’urbanité, au sens ancien du terme — dans le monde de La canicule des pauvres ? comment l’écriture de DesRochers travaille-t-elle les représentations habituelles de la ville, que celles-ci proviennent de l’imaginaire social contemporain ou de la littérature passée ? existe-t-il telle chose qu’une postmodernité montréalaise ? S’inspirant des principes de la sociocritique des textes, la lecture proposée postule que c’est dans la forme même du texte que peut se comprendre le complexe de sens lié à la représentation de Montréal élaborée par le roman. Par les images qu’il en donne, par les modes d’énonciation et de narration, par la façon d’unir l’efficacité des brefs chapitres et l’ampleur de la vision romanesque, par les multiples récits de vie décrits et leurs entrecroisements, le roman donne à lire une ville devenue par bien des côtés étrangère et opaque à ses propres habitants. L’étude comprend quatre parties qui examinent respectivement les principaux traits de la mise en texte, la fragmentation du récit, le motif récurrent du smog et la façon de présenter les relations interindividuelles. Au bout du chemin, la ville apparaît paradoxale, vivante certes, mais sans proposer une manière cohérente et émancipatrice du vivre ensemble.
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The brothel, as a ‘symbolic location’ was the object of analysis in this dissertation, ascribable to its unusual and recurrent presence in Latin American narrative. The brothel was presented as a scenario, with polyvalent implications of both the space itself, as well as the different archetypes of the characters who occupy it. ^ Our analysis showed how the brothel functions as a cultural entity, social archetype, power center, mythical place and symbolic space, where man plays out his utmost dominant self. To achieve this, the analysis focused on sifting through the concepts of machismo, economic and political power, and the configuration of the ‘house’ as emblematic elements of Latin American culture. ^ The four novels chosen to underwrite this analysis were representative of the historical time frame, from Colonial times to the present, highlighting all the most distinctive features. These, in turn, led the reader to the inescapable fact that owing to certain characteristics of Latin American culture, the brothel maintains its raison d'être as a space that represents existential situations, and that far from converting itself into an anachronism, it will continue to thrive in the most significant achievements of Latin American prose. ^
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[en] In the first years of the twentieth century Ernest James Bellocq used his camera to capture the image of New Orleans’prosti¬tutes. Years later, in 1978, Louis Malle would be taking the life of this mysterious photographer to the screen in the controversial film Pretty Babe. Delving deeper into the work of these authors, we raise three questions. The first, will be to study the correspondence between the figure of Bellocq and that which Malle recreates. A second approach, will focus on the cinematic representation of them, in which the girls are portrayed in a brothel in Storyville. Finally, we will discuss the photographic act in its entirety and determine the transcription that the filmmaker builds, more definitively how Bellocq’s erotic vision and that of Louis Malle merge in the footage of the director. [fr] Au début du XXe siècle Ernest James Bellocq a photographié avec son appareil photo l’image des prostituées de la Nouvelle-Orléans. Des années plus tard, Louis Malle a donné vie à ce mystérieux photographe sur l’écran dans le contreversé film La petite (Pretty Baby, 1978). Trois questions se posent en faisant un étude précis des oeuvres de ces auteurs. L’une d’elles se centre sur le parallélisme entre le personnage de Bellocq et celui que Malle a recrée dans son film. Une deuxième question est en rapport avec la représentation cinématographique des filles photographiées dans le bordel de Storyville. Et finalement, on va aborder l’acte photographique pour déterminer la transcription construite par le cinéaste.
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Zgodnie z art. 203 Kodeksu karnego zabronione jest uprawianie prostytucji. Jednakże prostytucja jest to powszechnie istniejące zjawisko – fakt społeczny. Istnieje wiele czynników, dzięki którym dziewczyny decydują się na taki, a nie inny sposób zarabiania pieniędzy. Obecnie także pojawiła się nowa jego forma, a mianowicie sponsoring. Prostytucja jako zjawisko nie jest społecznie szkodliwa. Problem pojawia się, gdy nasilają się przyczyny tego stanu rzeczy, m.in. zanikanie silnych więzi społecznych, głębokiej emocjonalności czy utrata poczucia tożsamości. Seks niewątpliwie jest dziedziną życia człowieka. O sposobie zaspokojenia popędowych napięć seksualnych, a także o poziomie osiąganej przy tym satysfakcji nie decydują funkcje narządów płciowych, a cała osobowość. Seks pełni różne funkcje, a mianowicie psychologiczną, społeczną i biologiczną. Społeczeństwa były różnie nastawione do zjawiska prostytucji. Przez jednych była ona społeczne akceptowana, zaś przez drugich surowo represjonowana. Prostytucja w świetle prawa karnego oznacza nierząd prowadzony w celu osiągnięcia zysku. Także w związku z prostytucją jest karalne stręczycielstwo, kuplerstwo i sutenerstwo. Następstwa prostytucji mogą być psychologiczne i psychiatryczne. Pierwsze z nich polegają na tym, że młoda kobieta nie zdaje sobie sprawy z konsekwencji jakie mogą być po zdecydowaniu się na taką formę pracy, nie ma świadomości jak obciąża swoją psychikę. Kobiety mają do czynienia z przemocą i brutalnością w tym zawodzie, są upokarzane i wyszydzane przez klientów. Drugie natomiast polegają na tym, że kobieta sama do siebie traci szacunek, a potem zaczyna nawet siebie nienawidzić. Nawet jeśli kobieta z tym zerwie, pozostaje w niej poczucie winy i trauma wstydliwej przeszłości. Istnieją natomiast międzynarodowe regulacje prawne związane ze zjawiskiem prostytucji. Jedną z nich jest Konwencja ONZ w sprawie Eliminacji Wszelkich form Dyskryminacji Kobiet i druga Konwencja ONZ w sprawie Zwalczania Handlu Ludźmi i Eksploatacji Prostytucji.
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Il progetto di tesi nasce dalla volontà di far luce sul rapporto tra il medium fotografico e la nozione di nuova oscenità, teorizzata e disseminata nei suoi scritti da Jean Baudrillard. Nozione che – se intesa nell’accezione proposta dal filosofo francese, ovvero l’oscenità del visibile, del troppo visibile, del più visibile del visibile – ben si adatta a dettagliare i concetti di trasparenza e di visibilità peculiari della società attuale, costantemente impegnata nel mettere a nudo se stessa attraverso i social media in nome della cosiddetta ideologia della post-privacy. Incoraggiando una continua violazione della sfera del segreto, tale ideologia favorirebbe, infatti, la progressiva diminuzione dello scarto tra ciò che può essere reso di dominio pubblico e ciò che invece, tradizionalmente, sarebbe dovuto appartenere all’ambito del privato. Un andamento generale della cultura, quello appena delineato, che si è imposto capillarmente a cavallo di millennio, accelerato dalla nascita del World Wide Web, del quale la fotografia riesce a farsi promotrice oltre che sommo interprete, contribuendo – anche in virtù di un’innovata condizione tecnologica– al compimento della visibilità e della trasparenza totale. Nel corso della trattazione, la nozione “aggiornata” di osceno sarà, dunque, assurta a strumento euristico utile a tracciare gli svolgimenti paralleli della pratica fotografica nei campi delle arti visive, della moda e dei social media, in un arco temporale che va dall’inizio degli anni Novanta a oggi. Uno strumento attraverso cui connettere autori di riferimento, rileggerne alcuni e candidarne di nuovi tra quanti, allargando il “campo del fotografabile” teorizzato da Pierre Bourdieu, profanano la soglia del privato e portano alla ribalta i risvolti banali e ordinari della quotidianità, fino a quelli intimi, tragici, inquietanti, perturbanti o addirittura nefandi, favorendo così la concretizzazione di quel “bordello senza muri” che secondo Marshall McLuhan è il mondo nell’età fotografica.