3 resultados para biomaker
Resumo:
Le lymphome est l'une des tumeurs les plus communes tant chez le chien que l’humain. Chaque année, un nombre important de chiens développe ce cancer agressif. La majorité décédant un an suivant le diagnostic. Le lymphome canin est maintenant identifié comme un excellent modèle de recherche pour la tumeur chez l'homme, particulièrement en ce qui concerne la biologie moléculaire de la maladie. En conséquence, la recherche sur le lymphome canin sera bénéfique non seulement pour les chiens mais aussi pour l’oncologie humaine. Parmi les méthodes diagnostiques de choix pour dépister de façon hâtive le lymphome se trouve la mesure de marqueurs tumoraux. Ceci a l’avantage d’être peu invasive, simple et peu dispendieuse. Ainsi, dans le but d’évaluer la protéine VCP (valosin containing protein) comme biomarqueur tumoral dans les lymphomes canins à cellules B et T, nous avons évalué la protéine VCP par immunobuvardage sur sérums et tissus tumoraux de chiens atteints et par immunohistochimie sur des tumeurs de haut grade, grade intermédiaire et bas grade. Pour mieux définir l’expression de VCP dans les cellules cancéreuses, nous avons également examiné par immunobuvardage les niveaux de VCP dans 3 lignées cellulaires: CLBL-1, CL-1, et 17-71. Il s’avère que les lymphomes à cellules B de haut grade avaient une élévation significative du taux de VCP comparé aux tumeurs de bas grade (P < 0,05). De même, une accumulation importante de VCP a également été détectée dans les lignées tumorales comparées aux cellules mononucléaires du sang périphérique (P < 0,05). D’autre part, le taux sérique de VCP est resté similaire à ceux des chiens normaux. Ces résultats suggèrent une corrélation entre le taux de VCP et le degré de malignité des lymphomes à cellules B. En conclusion, la protéine VCP doit faire l’objet d’une évaluation approfondie pour déterminer son utilité comme marqueur pronostique.
Resumo:
Phosphatases have long been regarded as tumor suppressors, however there is emerging evidence for a tumor initiating role for some phosphatases in several forms of cancer. Low Molecular Weight Protein Tyrosine Phosphatase (LMWPTP; acid phosphatase 1 [ACP1]) is an 18 kDa enzyme that influences the phosphorylation of signaling pathway mediators involved in cancer and is thus postulated to be a tumor-promoting enzyme, but neither unequivocal clinical evidence nor convincing mechanistic actions for a role of LMWPTP have been identified. In the present study, we show that LMWPTP expression is not only significantly increased in colorectal cancer (CRC), but also follows a step-wise increase in different levels of dysplasia. Chemical inhibition of LMWPTP significantly reduces CRC growth. Furthermore, downregulation of LMWPTP in CRC leads to a reduced migration ability in both 2D- and 3D-migration assays, and sensitizes tumor cells to the chemotherapeutic agent 5-FU. In conclusion, this study shows that LMWPTP is not only overexpressed in colorectal cancer, but it is correlated with the malignant potential of this cancer, suggesting that this phosphatase may act as a predictive biomaker of CRC stage and represents a rational novel target in the treatment of this disease.
Resumo:
The activities of 7-ethoxyresorufin-O-deetylase (EROD), 7-benzyloxyresorufin-O-debenzylase (BROD), 7-pentoxyresorufin-O-depentilase (PROD), and glutathione S-transferase (GST) were measured in Nile tilapias exposed for 7 days of 5 and 15 μg/L 17 β-estradiol. EROD and GST activities were unchanged. PROD activity increased in animals exposed to the higher dose of the hormone, while BROD was increased after 7 exposure days to both doses of the compound. These results indicate the usefulness of these enzymes as biomarkers for 17 β-estradiol exposure.