977 resultados para bee colonies
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In order to achieve the high performance, we need to have an efficient scheduling of a parallelprogram onto the processors in multiprocessor systems that minimizes the entire executiontime. This problem of multiprocessor scheduling can be stated as finding a schedule for ageneral task graph to be executed on a multiprocessor system so that the schedule length can be minimize [10]. This scheduling problem is known to be NP- Hard.In multi processor task scheduling, we have a number of CPU’s on which a number of tasksare to be scheduled that the program’s execution time is minimized. According to [10], thetasks scheduling problem is a key factor for a parallel multiprocessor system to gain betterperformance. A task can be partitioned into a group of subtasks and represented as a DAG(Directed Acyclic Graph), so the problem can be stated as finding a schedule for a DAG to beexecuted in a parallel multiprocessor system so that the schedule can be minimized. Thishelps to reduce processing time and increase processor utilization. The aim of this thesis workis to check and compare the results obtained by Bee Colony algorithm with already generatedbest known results in multi processor task scheduling domain.
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Apiculturists have recently been confronted with drastic and inexplicable winter losses of colonies, and virus infections may be involved. Here, we surveyed 337 Swiss honey bee colonies in the winter of 2005 and 2006 and categorized their health status as: 1. dead (= no or few live bees left); 2. weak (= dwindling, high mortality of adult bees); or 3. healthy (= normal overwintering colony). From each colony, pooled adult workers were analyzed for deformed wing virus (DWV), acute bee paralysis virus (ABPV), chronic bee paralysis virus (CBPV) and Kashmir bee virus (KBV). Neither KBV nor CBPV were found, but significantly higher ABPV and DWV infections were found in dead vs. weak vs. healthy colonies (except DWV in 2006 between weak and healthy). Moreover, ABPV and DWV loads were positively correlated with each other. This is the first report demonstrating statistically significant correlations between viruses associated with Varroa destructor and winter mortality.
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Bibliography: p. 32.
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Sacbrood disease, an affliction of honey bees (Apis mellifera) characterized by brood that fails to pupate and subsequently dies, is an important threat to honey bee health. The disease is caused by the sacbrood virus (SBV), a positive-, single-stranded RNA virus in the order Picornavirales. Because of the economic importance of honey bees for both pollination and honey production, it is vital to understand and monitor the spread of viruses such as SBV. This virus has been found in many places across the globe, including recently in some South American countries, and it is likely that it will continue to spread. We performed a preliminary study to search for SBV in two apiaries of Africanized honey bees in the State of Sao Paulo, Brazil, using RT-PCR and Sanger sequencing and found the first evidence of SBV in honey bee colonies in Brazil. The virus was detected in larvae, foraging and nurse bees from two colonies, one of which had symptoms of sacbrood disease, at the beginning of the winter season in June 2011. No SBV was found in samples from nine other nearby colonies.
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Despite a multitude of environmental stressors, the Varroa mite is still regarded as the greatest cause of honey bee mortality in its invaded range. Breeding honey bees that are resistant to the mite is an important area of research. This thesis aimed to gain a better understanding of the grooming and hygienic behaviours of Russian honey bees (RHB). The effect of a break in the synchrony of a mite’s life cycle on reproductive success was tested through brood inoculation experiments. Mites released by hygienic behaviour and forced to enter a new cell are less likely to lay male offspring. Through laboratory cage assays it was found that daughter mites are more susceptible to grooming behaviour. A new method of marking Varroa mites was developed which would enable a single cohort of mites to be followed after inoculation. A strong brood removal trait was noticed in RHB colonies, therefore they were tested for Varroa sensitive hygienic (VSH) behaviour. RHB demonstrated levels of VSH as high as the USDA line bred specifically for this behaviour. In addition the same QTL found to be responsible for the trait in VSH bees, was associated with VSH in RHB stock. Previous work showed that the ratio of older mites to total trapped mites (O/T) in the debris of honey bee colonies demonstrated the strongest association with colony infestation. This research showed that O/T is associated with VSH and brood removal behaviour. In addition, bees that displayed high levels of VSH in this study were also more likely to spend a longer amount of time grooming in laboratory assays. This indicates that both grooming and hygienic behaviours play important roles in the resistance of RHB stock. Their likelihood to be expressed by other stocks is discussed and recommendations for further research are provided.
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La malnutrition est identifiée comme l’un des facteurs potentiellement responsables des mortalités élevées de colonies d’abeilles des dernières années au Québec. Pour contrer cela, les apiculteurs donnent des suppléments de pollen à leurs colonies, mais les impacts d’une telle pratique à diverses périodes sont méconnus. Les effets de la disponibilité du pollen sur le développement de colonies d’abeilles ont été mesurés pendant 3 différentes périodes : au printemps, durant la pollinisation de la canneberge et à la fin de l’été. À chacune des périodes correspondait une expérience distincte utilisant 40 colonies. Pour chaque expérience, des conditions d’abondance de supplément de pollen et de restriction de pollen naturel étaient créées chez les colonies pendant un mois selon un plan d’expérience factorielle 2x2. L’élevage du couvain et la récolte de miel ont été mesurés jusqu’à la fin de l’été (début de l’été suivant pour l’expérience de fin d’été). Au printemps, les colonies restreintes en pollen naturel ont élevé 18% moins de couvain (p<0.05) pendant la période de restriction et 11% de moins à la fin de l’été alors que l’utilisation du supplément n’a eu aucun effet (p>0.05). Les colonies supplémentées durant la pollinisation des canneberges ont élevé moins de couvain (p<0.05) à la fin de l’été. Pour l’expérience de fin d’été, les colonies supplémentées ont eut une meilleure reprise printanière (p<0.05) de l’élevage du couvain (60% de plus) alors qu’une restriction en pollen naturel avait un effet négatif (p>0.05). Les récoltes de miel ont été augmentées (p<0.05) de 1,3 kg pendant la pollinisation de la canneberge alors qu’elles ont été diminuées (p<0.05)par une restriction en pollen naturel de 4,2 kg à la fin de l’été et de 15 kg au printemps.
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Le parasite Varroa destructor provoque depuis plus de 30 ans la perte de nombreuses colonies à travers le monde. L’utilisation d’acaricides de synthèse s’est avérée inefficace au Canada et ailleurs dans le monde à la suite de la sélection de varroas résistants. Dans ce contexte, il est devenu impératif de trouver de nouveaux moyens pour contrôler cette peste apicole. Ce travail original de recherche a pour but de déterminer les paramètres fondamentaux d’une lutte intégrée contre la varroase fondée sur l’utilisation périodique de différents pesticides organiques (l’acide oxalique, l’acide formique et le thymol) associée à des seuils d’interventions. Les seuils d’intervention ont été déterminés à l’aide de régressions linéaires entre les taux de parasitisme par V. destructor et la formance zootechnique des colonies d’abeilles mellifères (production de miel et force des colonies). Un total de 154 colonies d’abeilles du Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD) ont été suivies de septembre 2005 à septembre 2006. Les seuils calculés et proposés à la suite de cette recherche sont de 2 varroas par jour (chute naturelle) au début mai, 10 varroas par jour à la fin juillet et de 9 varroas par jour au début septembre. L’efficacité des traitements organiques avec l’acide oxalique (AO), l’acide formique (AF) et le thymol a été vérifiée en mai (avant la première miellée) en juillet (entre deux miellées), en septembre (après la miellée et pendant le nourrissage des colonies) et en novembre (avant l’hivernage). L’acide oxalique a été appliqué en utilisant la méthode d’égouttement (4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v). L’acide formique a été appliquée sous forme de MiteAwayII™ (tampon commercial imbibé d’AF 65% v/v placé sur le dessus des cadres à couvain), Mitewipe (tampons Dri-Loc™ 10/15cm imbibés de 35 mL d’AF 65% v/v placés sur le dessus des cadres à couvain) ou Flash (AF 65% coulé directement sur le plateau inférieur d’une colonie, 2 mL par cadre avec abeilles). Le thymol a été appliqué sous forme d’Apiguard™ (gélose contenant 25% de thymol p/v placée sur le dessus des cadres à couvain). Les essais d’efficacité ont été réalisés de 2006 à 2008 sur un total de 170 colonies (98 appartenant au CRSAD et 72 appartenant au privé). Les résultats montrent que les traitements de printemps testés ont une faible efficacité pour le contrôle des varroas qui sont en pleine croissance durant cette période. Un traitement avec l’AF à la mi-été permet de réduire les taux de parasites sous le seuil en septembre mais il y a risque de contaminer la récolte de miel avec des résidus d’AF. Les traitements en septembre avec le MiteAwayII™ suivis par un traitement à l’acide oxalique en novembre (5 mL par égouttement entre chaque cadre avec abeilles, 4% d’AO p/v dans un sirop de sucrose 1 :1 p/v) sont les plus efficaces : ils réduisent les niveaux de varroase sous le seuil de 2 varroas par jour au printemps. Nos résultats montrent également que les traitements réalisés tôt en septembre sont plus efficaces et produisent des colonies plus fortes au printemps comparativement à un traitement réalisé un mois plus tard en octobre. En conclusion, ce travail de recherche démontre qu’il est possible de contenir le développement de la varroase dans les ruchers au Québec en utilisant une méthode de lutte intégrée basée sur une combinaison d’applications d’acaricides organiques associée à des seuils d’intervention.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Few areas of the world have western honey bee (Apis mellifera) colonies that are free of invasive parasites Nosema ceranae (fungi) and Varroa destructor (mites). Particularly detrimental is V. destructor; in addition to feeding on host haemolymph, these mites are important vectors of several viruses that are further implicated as contributors to honey bee mortality around the world. Thus, the biogeography and attendant consequences of viral communities in the absence of V. destructor are of significant interest. The island of Newfoundland, Province of Newfoundland and Labrador, Canada, is free of V. destructor; the absence of N. ceranae has not been confirmed. Of 55 Newfoundland colonies inspected visually for their strength and six signs of disease, only K-wing had prevalence above 5% (40/55 colonies = 72.7%). Similar to an earlier study, screenings again confirmed the absence of V. destructor, small hive beetles Aethina tumida (Murray), tracheal mites Acarapis woodi (Rennie), and Tropilaelaps spp. ectoparasitic mites. Of a subset of 23 colonies screened molecularly for viruses, none had Israeli acute paralysis virus, Kashmir bee virus, or sacbrood virus. Sixteen of 23 colonies (70.0%) were positive for black queen cell virus, and 21 (91.3%) had some evidence for deformed wing virus. No N. ceranae was detected in molecular screens of 55 colonies, although it is possible extremely low intensity infections exist; the more familiar N. apis was found in 53 colonies (96.4%). Under these conditions, K-wing was associated (positively) with colony strength; however, viruses and N. apis were not. Furthermore, black queen cell virus was positively and negatively associated with K-wing and deformed wing virus, respectively. Newfoundland honey bee colonies are thus free of several invasive parasites that plague operations in other parts of the world, and they provide a unique research arena to study independent pathology of the parasites that are present.
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Parasites and pathogens are apparent key factors for the detrimental health of managed European honey bee subspecies, Apis mellifera. Apicultural trade is arguably the main factor for the almost global distribution of most honey bee diseases, thereby increasing chances for multiple infestations/infections of regions, apiaries, colonies and even individual bees. This imposes difficulties to evaluate the effects of pathogens in isolation, thereby creating demand to survey remote areas. Here, we conducted the first comprehensive survey for 14 honey bee pathogens in Mongolia (N = 3 regions, N = 9 locations, N = 151 colonies), where honey bee colonies depend on humans to overwinter. In Mongolia, honey bees, Apis spp., are not native and colonies of European A. mellifera subspecies have been introduced ~60 years ago. Despite the high detection power and large sample size across Mongolian regions with beekeeping, the mite Acarapis woodi, the bacteria Melissococcus plutonius and Paenibacillus larvae, the microsporidian Nosema apis, Acute bee paralysis virus, Kashmir bee virus, Israeli acute paralysis virus and Lake Sinai virus strain 2 were not detected, suggesting that they are either very rare or absent. The mite Varroa destructor, Nosema ceranae and four viruses (Sacbrood virus, Black queen cell virus, Deformed wing virus (DWV) and Chronic bee paralysis virus) were found with different prevalence. Despite the positive correlation between the prevalence of V. destructor mites and DWV, some areas had only mites, but not DWV, which is most likely due to the exceptional isolation of apiaries (up to 600 km). Phylogenetic analyses of the detected viruses reveal their clustering and European origin, thereby supporting the role of trade for pathogen spread and the isolation of Mongolia from South-Asian countries. In conclusion, this survey reveals the distinctive honey bee pathosphere of Mongolia, which offers opportunities for exciting future research.
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L’abeille domestique (Apis mellifera Linnaeus) joue un rôle crucial comme pollinisateur dans l’industrie de l’agriculture. Cependant, durant les dernières décennies, une mortalité des colonies d’abeilles a été observée partout à travers le monde. La conservation du sperme d’abeille est un outil efficace pour sauvegarder la diversité génétique. Sa conservation est possible à température pièce, mais la cryoconservation serait une meilleure méthode pour la conservation à long terme. Notre objectif général est de développer une méthode de cryoconservation de la semence d’abeille. L’hypothèse no.1 était que la cryoconservation de la semence d’abeille est plus efficace à long terme que les températures au-dessus de 0 °C. Nous avons évalué l’efficacité, basé sur la viabilité des spermatozoïdes, de deux températures de conservation: -196 °C et 16 °C. Après un an de conservation, la semence congelée avait une meilleure viabilité comparée à 16°C (76% ± 5% vs 0%; p < 0,05). Par la suite, la spermathèque des reines inséminées avec la semence cryoconservée a été évaluée par la migration des spermatozoïdes ainsi que la viabilité des spermatozoïdes. Il y avait beaucoup de variabilités dans nos résultats. Nous n’avons pas été en mesure de vérifier si l’ajout de la centrifugation après la conservation améliore la fertilité des reines après insémination. Toutefois, nos résultats confirment que la cryoconservation est une technique efficace pour conserver la semence d’abeille à long terme.
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Growing evidence indicates that European managed honey bees are in decline, but information for Europe remains patchy and localized. Here we compile data from 18 European countries to assess trends in the number of honey bee colonies and beekeepers between 1965 and 2005. We found consistent declines in colony numbers in central European countries and some increases in Mediterranean countries. Beekeeper numbers have declined in all of the European countries examined. Our data support the view that honey bees are in decline at least in some regions, which is probably closely linked to the decreasing number of beekeepers. Our data on colony numbers and beekeepers must, however, be interpreted with caution due to different approaches and socioeconomic factors in the various countries, thereby limiting their comparability. We therefore make specific recommendations for standardized methodologies to be adopted at the national and global level to assist in the future monitoring of honey bees.