25 resultados para appendicite, typhlite, laparoscopie


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La typhlite est une entitée utilisée pour décrire une entérocolite iléo-caecale survenant chez des enfants neutropéniques ou immunosupprimés. Cependant, des enfants par ailleurs sains peuvent également présenter une typhlite. Nous rapportons le cas d'une jeune fille de 13,5 ans, sans autre pathologie, chez qui il a été possible de visualiser une typhlite par laparoscopie.

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Les récents progrès de la laparoscopie ont modifié l'approche chirurgicale des patientes atteintes d'un cancer de l'endomètre. Le centre Swissendos Fribourg en collaboration avec l'AGO (Groupe de travail pour la gynécologie oncologique) et l'AGE (Groupe de travail pour la gynécologie endoscopique) ont entrepris d'élaborer un consensus basé sur l'évidence pour la pratique de la laparoscopie dans le traitement du cancer de l'endomètre. L'objectif a été de définir une approche propre à la Suisse en fournissant aux praticiens une aide à la prise en charge. Recent advance in laparoscopy have changed the surgical approach of endometrial cancer patients. The Swissendos Center, Fribourg, in collaboration with AGO (Groupe de travail pour la gynécologie oncologique) and AGE (groupe de travail pour la gynécologie endoscopique) have established a consensus based on the available evidence for the use of laparoscopy in the management of patients with endometrial cancer The main objective was to define Swiss clinical practice guidelines appropriate to the country and consistent with the needs of the physicians.

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Objectif : Comparer les hystérectomies réalisées par laparoscopie à celles accomplies par laparotomie pour des pathologies gynécologiques malignes. Méthode : Etude basée sur 169 hystérectomies effectuées pour cancer de l'endomètre, du col ou de l'ovaire, pratiquées dans le service de gynécologie de la Maternité du CHUV de janvier 2002 à décembre 2009 sur des femmes âgées de 28 à 91 ans. Le but est de comparer deux différentes voies d'abord chirurgicales qui sont la laparotomie et la laparoscopie en terme de durée d'hospitalisation, d'indications, de complications per et post opératoires mineures et majeures et de nécessité de reprise ou d'une ré-hospitalisation. Résultats: Cette étude compte 169 patientes, dont 126 hystérectomies réalisées par laparotomie et 43 accomplies par laparoscopie. Les deux groupes sont similaires en terme d'âge (âge moyen : 63ans), d'indice de masse corporelle (26 vs 25) et de parité (1.5 enfants). Le temps opératoire est semblable entre les deux groupes (211 vs 219 minutes). Des hémorragies (pertes sanguines de plus de 1000ml) surviennent dans 24.6% des hystérectomies par laparotomie et dans 11.63% des hystérectomies par laparoscopie. Il existe une différence statistiquement significative entre la nécessité d'une transfusion peropératoire et les deux différentes voie d'abord (p=0.045). Une transfusion peropératoire a été nécessaire dans 13.22% des laparotomies contre seulement 2.33% des laparoscopies. La durée d'hospitalisation est significativement plus longue pour les patientes ayant subi une hystérectomie par laparotomie (12 vs 6 jours; p<0.001). Les complications peropératoires et postopératoires mineures dépendent de manière significative de la voie d'abord (p=0.01 ; p= 0.025). On observe des complications peropératoires dans 31.75% des laparotomies et dans 11.63% des laparoscopies. Les complications postopératoires mineures sont observées dans 28.57% des laparotomies et dans 11.63% des laparoscopies. Dans 7.14% des laparotomies on observe une complications postopératoire majeure et aucune de sont apparues lors d'hystérectomie par laparoscopie. La nécessité de reprise, de ré-opération ou de ré-hospitalisation n'est statistiquement pas différente entre la laparoscopie et la laparotomie. Conclusion : On observe un avantage significatif en faveur de l'hystérectomie par laparoscopie avec une réduction de la durée d'hospitalisation, ainsi que des complications peropératoires et postopératoires mineures et majeures, moins importantes.

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The laparoscopic approach has emerged as a valid option for surgical management of kidney cancer, as well as a few benign pathologies. The immediate benefits of laparoscopy are well established and include less estimated blood loss, decreased pain, shorter perioperative convalescence, and improved cosmesis. Long-term oncologic outcomes of patients treated laparoscopically for kidney tumors are similar to those of open surgery.

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Laparoscopic cholecystectomy reduces postoperative pain, hospital stay and recovery in comparison with the open procedure. This approach allows to treat most of vesicular pathologies, as acute cholecystitis and choledocal lithiasis, with excellent results. Biliary tract injuries represent however the most feared complication. Concerning groin hernia pathology, two different laparoscopic approaches are described, as the trans-abdominal pre-peritoneal approach (TAPP) and the total extra-peritoneal approach (TEP). The first technique is easier to perform, but associated with more frequent significant intraabdominal morbidity. Results are comparable to the classic open Lichtenstein technique in term of reccurence. Laparoscopic approach could be associated with a lower chronic pain rate, but further studies should confirm this statement.

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Diagnostic laparoscopy is useful in the evaluation of patients with lower right quadrant pain when the diagnosis is uncertain. The object of this study was to determine whether a normal appendix should be routinely removed at laparoscopy. We have decided to do this in children, men under the age of 30 and women of childbearing age. However we do not perform appendectomy in men over the age of 30, women over 50 and in immunodeficient patients. This is a working hypothesis and is the basis of an on-going prospective study in our unit

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Laparoscopic surgery has become a standard approach for many interventions, including oncologic surgery. Laparoscopic instruments have been developed to allow advanced surgical procedure. Imaging and computer assistance in virtual reality or robotic procedure will certainly improve access to this surgery.

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Rapport de synthèse : But: comparer les taux d'infections du site chirurgical (ISC) en fonction de la voie d'abord, ouverte ou laparoscopique, pour 3 procédures : l'appendicectomie, la cholécystectomie et la colectomie. Evaluer l'effet de la laparoscopie sur l'ISC pour ces trois interventions. Contexte : la laparoscopie est associée à de nombreux avantages par rapport à la chirurgie ouverte. Parmi ceux-ci, des taux inférieurs d'ISC ont été rapportés lors de laparoscopie. Ceci a été décrit en particulier lors de cholécystectomie. Mais des biais tels que le manque de suivi après la sortie de l'hôpital, et certains facteurs confondants, auraient pu contribuer à l'observation de différences entre ces deux techniques. Méthode : étude descriptive basée sur des données collectées entre mars 1998 et décembre 2004 de manière prospective dans le cadre d'un programme de surveillance des ISC dans 8 hôpitaux suisses. Ce programme comportait un suivi standardisé après le départ de l'hôpital. Les taux d'ISC ont été comparés après interventions faites par laparoscopie et chirurgie ouverte. Différents paramètres pouvant influencer la survenue d'une infection ont été identifiés en utilisant des modèles de régression logistiques. Résultats : les taux d'ISC après interventions par laparoscopie et par voie ouverte ont été respectivement de 59/1051 (5.6%) versus 117/1417 (8.3%) après appendicectomie (p = 0.01), 46/2606 (1.7%) versus 35/144 (7.9%) après cholécystectomie (p < 0.0001), et 35/311 (11.3%) versus 400/1781 (22.5%) après colectomie (p < 0,0001). Après ajustement, les interventions par laparoscopie étaient associées à un taux inférieur d'ISC : odds ratio = 0.61 (IC 95% : 0.43 - 0.87) pour l'appendicectomie, 0.27 (0.16 - 0.43) pour la cholécystectomie et 0.43 (0.29 - 0.63) pour la colectomie. Discussion et conclusion : bien que les patients aient quitté plus tôt l'hôpital après une intervention laparoscopique, leur suivi à un mois a été identique, ce qui a permis d'éviter une sous-estimation des ISC après chirurgie laparoscopique. De plus, l'analyse multivariée a inclus de nombreux facteurs potentiellement confondants, et l'utilisation de la laparoscopie était indépendamment et significativement liée à un effet protecteur à l'égard de l'ISC. La laparoscopie lors d'appendicectomie, cholécystectomie et colectomie semble diminuer le taux d'ISC en comparaison à la même chirurgie pratiquée par voie ouverte. Lorsqu'elle est faisable, cette voie d'abord minimalement invasive devrait être préférée à la chirurgie ouverte.