9 resultados para animism
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"Works of reference" : p. 113-116.
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En 1871, Edward Tylor rejeta fermement les récits de son temps qui niaient l'existence de croyances religieuses chez certains peuples alors considérés comme sauvages. C'était le cas, tout particulièrement, de l'explorateur victorien Samuel Baker, dont l'autorité ethnographique fut mise en cause à travers la citation de quelques voyageurs étrangers, dont deux français, qui avaient également observé les peuples nilotiques. Contrairement à d'autres sources de Primitive Culture, la qualité de ces ethnographies oubliées était, hélas, tout à fait médiocre ; mais elles permirent à Tylor de faire l'une des affirmations les plus décisives de son œuvre, celle de l'universalité de l'animisme. Ce passage capital - concernant des peuples qui deviendront célèbres dans l'histoire de l'anthropologie, à commencer par les Nuer - recèle par ailleurs une dimension additionnelle. Tylor voulait élargir à tout être spirituel les critères d'identification d'une religion, sauf que les ethnographes du Nil Blanc suggéraient que ces rudes populations croyaient bel et bien en un être suprême. Le dossier du monothéisme était comme anticipé par la force de ces données ; mais il ne faut pas y voir une contradiction de la part de Tylor. Au contraire, cette dialectique imprévue entre l'ethnographie et la théorie permet de mieux saisir la portée du concept d'animisme dont il fut le créateur.
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Con el ánimo de llevar a cabo una somera visión comparativa desde una perspectiva antropológica, trataremos de ubicar cada modelo conceptual de dios en un tiempo y en una civilización humana determinada en Occidente. Queremos detenernos a describir con leves pinceladas el concepto religioso que se ha tenido de dios en nuestra historia en tres etapas concretas: Paleolítico, Mundo Antiguo y Edad Media, en las cuales han predominado respectivamente las diferentes concepciones de dios (el animismo, el politeísmo y el monoteísmo).
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Le non-humain et son ontologie sont définis dans ce mémoire en fonction des écrits de Philippe Descola et d’Eduardo Viveiros de Castro, deux figures-clés en anthropologie contemporaine sur l’Amazonie. L’animisme de Descola prête aux non-humains une intériorité humaine et les différencie par leur corps. Le perspectivisme de Viveiros de Castro, quant à lui, suppose que les points de vue différents créent des mondes et établissent ce qui est humain ou non. L’humain correspond au sujet cosmologique à la position pronominale de la première personne du singulier, ou « I », au sein d’une relation. De la sorte, un non-humain se perçoit comme un humain à cette position pronominale « I » et voit l’Autre à la position pronominale « it », position du non-humain. Dans ces deux ontologies, le non-humain est conçu comme une personne capable d’agir dans les mondes. La diversité des êtres inclus dans cette ontologie relationnelle est démontrée par des illustrations provenant de l’ethnographie achuar et araweté de ces deux auteurs. Puis, les relations de parenté, d’alliance et de prédation que les non-humains tissent entre eux et avec les humains exposent l’homologie des rapports non-humains avec les rapports humains. Finalement, l’analyse des méthodes de communication entre le non-humain et l’humain élucide comment la reconnaissance du non-humain dans une communication permet le traitement de ces êtres en tant qu’humains. Le non-humain ne serait donc pas un sujet permanent, mais temporaire le moment de l’interaction.
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Proponents of physical intentionality argue that the classic hallmarks of intentionality highlighted by Brentano are also found in purely physical powers. Critics worry that this idea is metaphysically obscure at best, and at worst leads to panpsychism or animism. I examine the debate in detail, finding both confusion and illumination in the physical intentionalist thesis. Analysing a number of the canonical features of intentionality, I show that they all point to one overarching phenomenon of which both the mental and the physical are kinds, namely finality. This is the finality of ‘final causes’, the long-discarded idea of universal action for an end to which recent proponents of physical intentionality are in fact pointing whether or not they realise it. I explain finality in terms of the concept of specific indifference, arguing that in the case of the mental, specific indifference is realised by the process of abstraction, which has no correlate in the case of physical powers. This analysis, I conclude, reveals both the strength and weakness of rational creatures such as us, as well as demystifying (albeit only partly) the way in which powers work.
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Bibliographical footnotes.
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Bibliography: p. 417-463.
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Peer reviewed