943 resultados para aidant familial
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Problématique. Le vieillissement de la population continuera à transformer la démographie. Sa conséquence est une augmentation des besoins de santé chez les personnes âgées que le système sanitaire ne peut couvrir à lui seul. La contribution conséquente des aidants familiaux constitue un pilier nécessaire et essentiel du maintien à domicile. Or, les exigences du rôle d'aidant peuvent dépasser ses capacités et conduire à une hospitalisation. Ces sources de stress, auxquelles s'ajoutent les manifestations de la maladie du proche et des difficultés de collaboration avec les professionnels de santé, peuvent générer un sentiment d'impuissance chez l'aidant. Ce dernier s'ajuste à ce stress par des stratégies de coping, influencées par le degré de contrôle perçu, dont le niveau le plus bas est l'impuissance. But. Explorer la relation entre le sentiment d'impuissance et le coping chez l'aidant à l'occasion de l'hospitalisation du proche. Méthode. Cette étude corrélationnelle descriptive a été conduite auprès de 33 aidants familiaux dont le proche est hospitalisé, recrutés selon un échantillonnage de convenance. Le questionnaire auto-administré comportait trois1 instruments : (a) questionnaire sociodémographique, (b) Ways of Coping Checklist-R, (c) sous-échelle d'impuissance de l'Empowerment Scale (allant de 1 à 4, quatre correspondant à un faible degré d'impuissance). Des comparaisons de moyennes et des corrélations de Pearson ont été effectués. Résultats. L'échantillon est constitué de 45,45 % d'hommes aidants, âgés en moyenne de 61 ans. Les participants viennent en aide à des proches âgés en moyenne de 79 ans. Pour la plus grande part, les aidants assistent leurs proches pour les activités instrumentales de la vie quotidienne. La moitié de l'échantillon fournit de 1 à 5 heures d'aide par semaine. Les participants se sentent relativement peu impuissants (M = 2,55). Cependant, plus l'âge des aidants augmente, plus l'impuissance augmente (r = -0,45 ; p < 0,0106). L'impuissance est plus élevée chez les hommes que chez les femmes (M = 2,40 vs M = 2,67 ; p = 0,0270). Dans cet échantillon, il n'y a pas de différence de sentiment d'impuissance selon que les aidants fournissent ou non une aide pour les activités de la vie quotidienne (AVQ), ni selon le nombre d'heures d'aide fournies par semaine. Le style de coping privilégié par les aidants est le coping centré sur le problème, puis sur la recherche de soutien social et finalement sur l'émotion. Les aidants fournissant de l'aide dans les AVQ privilégient le coping centré sur l'émotion alors qu'il n'existe pas de différence pour les deux autres styles de coping. Aucune relation entre l'impuissance et le coping n'apparaît. Conclusions. Malgré les limites de l'étude, notamment liées à la mesure de l'impuissance, les présents résultats sont compatibles avec les études antérieures. Il est néanmoins préconisé d'approfondir les connaissances utiles au renforcement du rôle infirmier auprès des aidants familiaux. Cela doit contribuer à préserver la santé de l'aidant, son rôle auprès du proche et le maintien à domicile de ce dernier.
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Dans les centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD), jusqu’à 80 % des personnes admises vivent avec une démence (Conseil des aînés, 2007). Parmi ces personnes âgées, plusieurs crient. Ce comportement a fait l’objet de quelques études, mais ces études ne fournissent pas une compréhension des sens de ces cris qui pourrait orienter le choix d’interventions face à ces personnes et leur entourage. À l’aide de la perspective infirmière de Leininger (2001) et de la théorie de la communication et des interactions à l’intérieur de triades d’Adams et Gardiner (2005), le but de cette étude était de décrire les sens des cris de personnes âgées vivant avec une démence et les facteurs les influençant en tenant compte de la perspective des personnes âgées, de leurs aidants familiaux et de leurs soignants. Pour atteindre ce but, l’ethnographie critique a été choisie comme méthode. L’étude s’est découlée dans un CHSLD au sein duquel sept triades, composées de personnes âgées vivant avec une démence qui crient, d’aidants familiaux principaux et de soignants, ont été recrutées selon un échantillonnage théorique. Diverses méthodes de collecte des données ont été utilisées dont l’observation des personnes âgées et du milieu et des entrevues semi-dirigées auprès des aidants et soignants. L’analyse des données a été effectuée à l’aide des quatre approches proposées par Spradley (1979) soit l’analyse : des domaines, taxonomique, componentielle et thématique. Les résultats ont permis d’identifier des thèmes sur les sens des cris et sur les facteurs influençant ceux-ci. Les cris peuvent avoir pour sens la vulnérabilité, la souffrance et la perte de sens vécues par la personne âgée. Ce comportement peut aussi indiquer diverses finalités, par exemple l’expression d’insatisfactions ou d’émotions. Ces finalités peuvent être distinguées à partir de critères de modulation tels que la prévisibilité des cris ou un faciès émotif. Par ailleurs, divers aspects rendent les sens des cris singuliers. La stabilité et la flexibilité dans la façon d’organiser les soins ainsi que l’effet réciproque entre les personnes âgées qui crient et les autres personnes dans le CHSLD se sont dégagées comme étant des facteurs qui influencent les sens des cris. Il s’est aussi révélé que les cris de chaque personne âgée peuvent être considérés comme un langage unique que les aidants et les soignants sont en mesure d’apprendre et qui influence l’interprétation des sens des cris. L’accompagnement de la personne âgée, en tenant compte de ses volontés, ses besoins et de sa personnalité, les fluctuations dans les relations de pouvoir au sein des triades personnes âgées-aidants-soignants et les sentiments d’impuissance et de culpabilité des aidants et des soignants sont d’autres facteurs qui influencent les cris. Les connaissances découlant de cette étude augmentent la compréhension sur les sens des cris des personnes âgées vivant avec une démence. Elles ont des implications pour les divers champs d’activités des infirmières et qui pourront contribuer à offrir des soins culturellement cohérents et caring pour les personnes âgées vivant avec une démence et leur entourage.
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Avec l’avancement en âge, les personnes âgées qui vivent à domicile ont besoin du soutien des membres de leur entourage, notamment d’un aidant familial dont le rôle n’est toutefois pas sans conséquence sur sa santé. Les écrits empiriques ont montré que certains aidants sont résilients, c’est-à-dire qu’ils s’adaptent à leur situation et continuent leur développement. Toutefois, aucune étude n’a été effectuée au Liban auprès des aidantes familiales pour expliquer la résilience dans ce contexte et, plus spécifiquement, pour déterminer les facteurs qui pourraient l’influencer. Cette étude à devis corrélationnel de prédiction avait pour but de vérifier certaines des relations postulées par un modèle empirique découlant des écrits, soit la contribution de facteurs personnels (stratégies de coping et auto-efficacité) et de facteurs contextuels (relations familiales, perception du soutien de l’entourage, et sens accordé au « prendre soin »),à la résilience des aidantes familiales libanaises qui prennent soin d’un proche âgé à domicile. L’étude a été effectuée au Liban auprès d’un échantillon de convenance composé de 140 aidantes familiales principales cohabitant à domicile avec un parent âgé de 65 ans et plus ayant une perte d’autonomie fonctionnelle ou cognitive. La collecte des données a été réalisée en arabe en utilisant un guide d’entrevue standardisé regroupant des instruments nord-américains traduits selon la méthode de traduction inversée parallèle, de même qu’une question ouverte portant sur la perception des aidantes de la résilience, soit des facteurs qui les aident à continuer à prendre soin de leur proche âgé tout en continuant à se développer. Une analyse de régression hiérarchique a permis de vérifier la contribution unique des facteurs personnels et contextuels à expliquer la résilience des aidantes familiales, en contrôlant pour l’âge et le niveau de scolarité des aidantes et pour le niveau de perte d’autonomie et la fréquence des comportements dysfonctionnels de leurs parents âgés. Une analyse de contenu a permis de décrire la perception des aidantes eu égard à la résilience. Les résultats ont montré que le modèle empirique, incluant les variables de contrôle explique 54% de la variance de la résilience et que quatre des facteurs considérés, soit les stratégies de coping centrées sur le problème, les stratégies de coping centrées sur les émotions, le sentiment d’auto-efficacité et le sens du « prendre soin » ont une contribution statistiquement significative à la résilience des aidantes. Parmi ces quatre facteurs, le sens du « prendre soin » et le sentiment d’auto-efficacité expliquent davantage de variance, soit 11% et 5% respectivement. L’analyse qualitative du discours des aidantes a montré qu’elles prennent soin de leur proche âgé surtout par souci de réciprocité, mais également parce qu’il s’agit d’un membre de la famille et par respect pour Dieu. Ce sont par ailleurs leurs croyances et la satisfaction liée au prendre soin qui les aident à continuer et à se développer. Cette étude offre une meilleure compréhension du concept de la résilience des aidantes familiales au Liban et de certains facteurs qui en sont des prédicteurs significatifs. Elle offre des pistes pour l’intervention infirmière dans le but de promouvoir la santé de la personne/famille en tant que partenaire de soins. Des recommandations pour la pratique, la formation et la recherche sont proposées.
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Mastocytosis are myeloproliferative neoplasms commonly related to gain-of-function mutations involving the tyrosine kinase domain of KIT. We herein report a case of familial systemic mastocytosis with the rare KIT K509I germ line mutation affecting two family members: mother and daughter. In vitro treatment with imatinib, dasatinib and PKC412 reduced cell viability of primary mast cells harboring KIT K509I mutation. However, imatinib was more effective in inducing apoptosis of neoplastic mast cells. Both patients with familial systemic mastocytosis had remarkable hematological and skin improvement after three months of imatinib treatment, suggesting that it may be an effective front line therapy for patients harboring KIT K509I mutation.
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CONTEXT: Desmoid tumors constitute one of the most important extraintestinal manifestations of familial adenomatous polyposis. The development of desmoids is responsible for increasing morbidity and mortality rates in cases of familial adenomatous polyposis. OBJECTIVES: To evaluate the occurrence of desmoid tumors in familial adenomatous polyposis cases following prophylactic colectomy and to present patient outcome. METHODS: Between 1984 and 2008, 68 patients underwent colectomy for familial adenomatous polyposis at the School of Medical Sciences Teaching Hospital, University of Campinas, SP, Brazil. Desmoid tumors were found in nine (13.2%) of these patients, who were studied retrospectively by consulting their medical charts with respect to clinical and surgical data. RESULTS: Of nine patients, seven (77.8%) were submitted to laparotomy for tumor resection. Median age at the time of surgery was 33.9 years (range 22-51 years). Desmoid tumors were found in the abdominal wall in 3/9 cases (33.3%) and in an intra-abdominal site in the remaining six cases (66.7%). Median time elapsed between ileal pouch-anal anastomosis and diagnosis of desmoid tumor was 37.5 months (range 14-60 months), while the median time between colectomy with ileorectal anastomosis and diagnosis was 63.7 months (range 25-116 months). In 6/9 (66.7%) patients with desmoid tumors, the disease was either under control or there was no evidence of tumor recurrence at a follow-up visit made a mean of 63.1 months later (range 12-240 months). CONCLUSIONS: Desmoid tumors were found in 13.2% of cases of familial adenomatous polyposis following colectomy; therefore, familial adenomatous polyposis patients should be followed-up and surveillance should include abdominal examination to detect signs and symptoms. Treatment options include surgery and clinical management with antiestrogens, antiinflammatory drugs or chemotherapy.
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Multiple endocrine neoplasia type 1 (MEN1) is an autosomal dominant hereditary cancer syndrome characterized mostly by parathyroid, enteropancreatic, and anterior pituitary tumors. We present a case of an 8-year-old boy referred because of hypoglycemic attacks. His diagnosis was pancreatic insulinoma. Paternal grandmother died due to repeated gastroduodenal ulcerations and a paternal aunt presented similar manifestations. At a first evaluation, the father presented only gastric ulceration but subsequently developed hyperparathyroidism and lung carcinoid tumor. During almost 15 years of follow-up, three brothers and the index case presented hyperparathyroidism and hyperprolactinemia. Molecular study showed a G to A substitution in intron 4, at nine nucleotides upstream of the splicing acceptor site, causing a splicing mutation. All affected members of the family have the same mutation. Paternal grandmother and aunt were not studied and the mother does not carry any mutation. MEN1 is a rare condition that requires permanent medical assistance. Early clinical and genetic identification of affected individuals is essential for their own surveillance and also for genetic counseling.
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The authors describe a family with three members affected by glioblastoma. The proband patient, a 7 year-old girl, developed a rare complication, a pulmonary metastasis. Chromosomal analysis of her peripheral blood lymphocytes showed a normal karyotype (46, XX), without structural abnormalities. Cytogenetic study of the tumor cells disclosed several abnormalities: 46, XX, 7q - / 46, XX, -2, 4p-, 7p-, +15/ 46, XX. Some aspects about genetics of glial neoplasms are discussed.
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We herein propose transfer of the two monotypic genera Globibunus (type-species G. rubrofemoratus Roewer, 1912) and Rivetinus (type-species R. minutus Roewer, 1919) to the subfamily Zamorinae (Agoristenidae) and Ramonus (type-species R. conifrons Roewer, 1956), previous placed in Agoristenidae, to the Prostygninae (Cranaidae) based on several characteristics of male genitalia. These transfers are corroborated by a cladistic analysis, which also recovered the three currently recognized agoristenid subfamilies.
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Background In familial hyperaldosteronism type I (FH-I), glucocorticoid treatment suppresses adrenocorticotrophic hormone-regulated hybrid gene expression and corrects hyperaldosteronism. Objective To determine whether the wild-type aldosterone synthase genes, thereby released from chronic suppression, are capable of functioning normally. Methods We compared mid-morning levels of plasma potassium, plasma aldosterone, plasma renin activity (PRA) and aldosterone : PRA ratios, measured with patients in an upright position, and responsiveness of aldosterone levels to infusion of angiotensin II (AII), for 11 patients with FH-I before and during long-term (0.8-14.3 years) treatment with 0.25-0.75 mg/day dexamethasone or 2.5-10 mg/day prednisolone. Results During glucocorticoid treatment, hypertension was corrected in all. Potassium levels, which had been low (< 3.5 mmol/l) in two patients before treatment, were normal in all during treatment (mean 4.0 +/- 0.1 mmol/l, range 3.5-4.6). Aldosterone levels during treatment [13.2 +/- 2.1 ng/100 ml (mean +/- SEM)] were lower than those before treatment (20.1 +/- 2.5 ng/100 ml, P < 0.05). PRA levels, which had been suppressed before treatment (0.5 +/- 0.2 ng/ml per h), were unsuppressed during treatment (5.1 +/- 1.5 ng/ml per h, P < 0.01) and elevated (> 4 ng/ml per h) in six patients. Aldosterone : PRA ratios, which had been elevated (> 30) before treatment (101.1 +/- 25.9), were much lower during treatment (4.1 +/- 1.0, P < 0.005) and below normal (< 5) in eight patients. Surprisingly, aldosterone level, which had not been responsive (< 50% rise) to infusion of AII for all 11 patients before treatment, remained unresponsive for 10 during treatment. Conclusions Apparently regardless of duration of glucocorticoid treatment in FH-I, aldosterone level remains poorly responsive to AII, with a higher than normal PRA and a low aldosterone : PRA ratio. This is consistent with there being a persistent defect in functioning of wild-type aldosterone synthase gene. (C) Rapid Science Publishers ISSN 0263-6352.
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Aim: Unless specifically treated (glucocorticoids in low doses), Familial Hyperaldosteronism Type I(FH-I) may result in early death from stroke. We report the successful application of a rapid, polymerase chain reaction (PCR)-based method of detecting the 'hybrid' 11 beta-hydroxylase (11 beta-OHase)/aldosterone synthase (AS) gene as a screening test for FH-I. Methods: 'Long-PCR' was used to amplify, concurrently, a 4 kb fragment of AS gene (both primers AS-specific) and a 4 kb fragment of the hybrid gene (5' primer 11 beta-OHase-specific, 3'primer AS-specific) from DNA extracted from blood either collected locally or transported from elsewhere. Sample collection and transport were straightforward. This 4 kb fragment contains all the currently recognised hybrid gene 'crossover' points. Results: Within a single family, long-PCR identified all 21 individuals known to have FH-I. Hypertension was corrected in all 11 treated with glucocorticoids. Nine with normal blood pressure are being closely followed for development of hypertension. Long-PCR cord blood analysis excluded FH-I in three neonates born to affected individuals. Long-PCR newly identified two other affected families: (1) a female (60 years) with a personal and family history of stroke and her normotensive daughter (40 years), and (2) a female (51 years) previously treated for primary aldosteronism with amiloride, her two hypertensive sons (14 and 16 years) and her hypertensive mother (78 years). No false negative or false positive results have yet been encountered. At least seven other centres have successfully performed this test. Conclusion: Long-PCR is a reliable method of screening individuals of all ages for FH-I.
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The identification of familial forms of primary aldosteronism (PAL) has led to its detection in relatives of affected patients not suspected previously of having PAL. Many ave normokalemic and some ave even normotensive. This broadens the spectrum of PAL, permitting the study of its evolution and of intervention with specific therapy when hypertension develops. The genetic basis of one form involves steroid biosynthetic enzymes and the other form predisposes to hyperplasia and benign neoplasia.
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Familial hyperaldosteronism type II (FH-II) is characterized by autosomal dominant inheritance and hypersecretion of aldosterone due to adrenocortical hyperplasia or an aldosterone-producing adenoma; unlike FH type I (FH-I), hyperaldosteronism in FH-II is not suppressible by dexamethasone. Of a total of 17 FH-II families with 44 affected members, we studied a large kindred with 7 affected members that was informative for linkage analysis. Family members were screened with the aldosterone/PRA ratio test; patients with aldosterone/PRA ratio greater than 25 underwent fludrocortisone/salt suppression testing for confirmation of autonomous aldosterone secretion. Postural testing, adrenal gland imaging, and adrenal venous sampling were also performed. Individuals affected by FH-II demonstrated lack of suppression of plasma A levels after 4 days of dexamethasone treatment (0.5 mg every 6 h). All patients had neg ative genetic testing for the defect associated with FH-I, the CYP11B1/CYP11B2 hybrid gene. Genetic linkage was then examined between FH-II and aldosterone synthase (the CYP11B2 gene) on chromosome 8q. A polyadenylase repeat within the 5'-region of the CYP11B2 gene and 9 other markers covering an approximately 80-centimorgan area on chromosome 8q21-8qtel were genotyped and analyzed for linkage. Two-point logarithm of odds scores were negative and ranged from -12.6 for the CYP11B2 polymorphic marker to -0.98 for the D8S527 marker at a recombination distance (theta) of 0. Multipoint logarithm of odds score analysis confirmed the exclusion of the chromosome 8q21-8qtel area as a region harboring the candidate gene for FH-II in this family. We conclude that FH-II shares autosomal dominant inheritance and hyperaldosteronism with FH-I, but, as demonstrated by the large kindred investigated in this report, it is clinically and genetically distinct. Linkage analysis demonstrated that the CYP11B2 gene is not responsible for FH-II in this family; furthermore, chromosome 8q21-8qtel most likely does not harbor the genetic defect in this kindred.
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Familial partial epilepsy with variable foci (FPEVF) joins the recently recognized group of inherited partial epilepsies. We describe an Australian family with 10 individuals with partial seizures over four generations. Detailed electroclinical studies were performed on all affected and 17 clinically unaffected family members. The striking finding was that the clinical features of the seizures and interictal electroencephalographic foci differed among family members and included frontal, temporal, occipital, and centroparietal seizures. Mean age of seizure onset was 13 years (range, 0.75-43 years). Two individuals without seizures had epileptiform abnormalities on electroencephalographic studies. Penetrance of seizures was 62%. A genome-wide search failed to demonstrate definitive linkage, but a suggestion of linkage was found on chromosome 2q with a LOD score of 2.74 at recombination fraction of zero with the marker D2S133. FPEVF differs from the other inherited partial epilepsies where partial seizures in different family members are clinically similar. The inherited nature of this new syndrome may be overlooked because of relatively low penetrance and because of the variability in age at onset and electroclinical features between affected family members.