466 resultados para affections pédiatriques
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Travail d'intégration réalisé dans le cadre du cours PHT-6113.
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Bien que la transition des soins pédiatriques aux soins adultes soit extrêmement importante pour les adolescents souffrant de maladies chroniques, celle-ci se limite le plus souvent à un simple transfert. L'objectif de cet article est de décrire les barrières au bon déroulement de la transition du point de vue du patient et de sa famille, des professionnels de la santé et du système de soins; de détailler les éléments clés pour que la transition soit la moins traumatique possible; et d'énoncer les différentes approches proposées dans la littérature. [Abstract] The transition from pediatric to adult care of chronically ill adolescents Even though the transition from pediatric to adult health care is extremely important for chronically ill adolescents, most of the times it is limited to a simple transfer The objective of this paper is to describe the barriers to a smooth transition from the point of view of the patient and his/her family, the health professionals and the health system, to review the key elements for a smooth transition, and to address the different approaches proposed in the literature.
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Le type d'affections rencontrées en pédiatrie générale ambulatoire traduit partiellement, d'une part, les compétences du pédiatre qui les prend en charge et, d'autre part, indirectement les besoins de la population en terme de soins pédiatriques. Il est utile de décrire le profil de ces affections pour plusieurs raisons ; en terme de santé publique, une connaissance du recours aux soins pédiatriques permet de mieux planifier la formation des futurs pédiatres en suivant les besoins de la population ; en terme de politique de formation, ces données permettent d'assurer un cursus éducatif de qualité adapté aux types de pathologies pédiatriques locales ; finalement, la description détaillée de l'activité de pédiatrie générale ambulatoire permet aux jeunes médecins de mieux se projeter et de s'identifier à cette profession en tant que futurs pédiatres. Il n'existe actuellement à notre connaissance que peu de données concernant les affections ambulatoires en pédiatrie de premier recours en Suisse romande ; de même, la proportion de consultations de pédiatrie ayant comme motif une pathologie infectieuse ou encore la fréquence du recours à l'antibiothérapie lors de ces dernières est méconnue en Suisse romande.
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Résumé Contexte et objectifs Le premier volet a comme objectif d'évaluer la prévalence de l'affection chronique (AC) parmi les adolescents en Suisse, de décrire leurs comportements (loisirs, sexualité, conduites à risque) et de les comparer aux adolescents non porteur d'AC afin d'évaluer l'impact de l'AC sur leur bien-être. Le second volet a comme objectif d'explorer leur réseau de soutien, leur mode d'adaptation et leur perception de la prise en charge dont ils bénéficient par les équipes soignantes. Chacun des objectifs est traité dans un article : - « Chronic illness, life style and emotional health in adolescence: results of a cross-sectional survey on the health of 15-20-year-olds in Switzerland » Eur J Pediatr (2003) 162: 682-689 - « Adolescents porteurs d'affections chroniques: la parole aux patients » Med Hyg 2004 ; 62 : 2224-9. Méthode Première partie: les données ont été obtenues par analyse secondaire de l'enquête sur la santé des adolescents en Suisse, réalisée en 1993-1994 auprès d'un échantillon de 9268 jeunes de 15 à 20 ans (6% de la population visée), à l'aide d'un questionnaire auto administré de 100 questions environ. Le programme SPSS a été utilisé pour effectuer les analyses bi- et multi-variées. Seconde partie: la commission d'éthique de la Faculté de médecine de l'Université de Lausanne a donné son accord permettant la réalisation d'un focus group (discussion en petit groupe) de 12 jeunes. Ils ont participé à une discussion de 2 heures, conduite par un modérateur entraîné à cette méthode. Résultats Premier volet : 11.4% des filles et 9.6% des garçons se déclarent porteurs d'une AC. 25% des filles porteuses d'une AC (versus 13% de non porteur; p=0.007) et 38% des garçons porteurs d'une AC (versus 25% de non porteur; p=0.002) déclarent ne pas utiliser la ceinture de sécurité quand ils conduisent. 6.3% des filles (versus 2.7% ; p= 0.000) disent avoir conduit en étant ivres. 43% des filles (versus 36% ; p= 0.004) et 47% des garçons (versus 39% ; p=0.001) sent fumeurs de cigarettes. 32% des garçons (versus 27% p=0.02) rapportent avoir consommé du cannabis. 17% des filles (versus 13°h ; p=0.013) et 43% des garçons (versus 36% ; p= 0.002) disent boire de l'alcool. Le fait d'être porteur d'AC a aussi des conséquences psychologiques : 7.7% des filles (versus 3.4% ; p= 0.000) et 4.9% des garçons (versus 2% ; p=0.000) ont effectué un tentamen durant les 12 mois précédents. Deuxième volet: Sur oui peuvent-ils compter ? Avant tout sur eux-mêmes, puis sur leurs parents ou leurs amis. Les pairs, l'équipe soignante, les autres malades et les enseignants ont chacun des rôles à jouer à des moments précis de l'évolution de l'AC. Leurs modes d'adaptation: prendre du recul, faire preuve d'humour et demander de l'aide à leurs proches. Ils s'évadent dans l'écriture, les pensées ou la musique. Demande aux médecins une prise en charge globale qui permette une compréhension de l'ensemble de leurs besoins plutôt que focalisée seulement sur leur AC. Le respect, la possibilité d'un soutien et d'explications précises leur paraissent importants. Conclusions Les conduites dites à risque ne sont pas moins fréquentes chez les adolescents porteurs d'AC que chez leurs pairs Elles peuvent être expliquées par le besoin de tester leurs limites tant sur le plan des consommations que du comportement. Une prévention et une attention spécifiques des équipes soignantes sont nécessaires. Un réseau social diversifié paraît nécessaire aux jeunes souffrant d'AC. Les médecins devraient avoir une vision globale de leur patient, les aider à se situer dans le monde de l'adolescence, leur permettre de nommer leurs émotions et anticiper les questions difficiles à poser. Abstract The objective was to evaluate the prevalence of chronic conditions (CC) in adolescents in Switzerland; interval to describe their behaviour (leisure, sexuality, risk taking behaviour) and to compare them to those in adolescents who do not have CC in order to evaluate the impact of those conditions on their well-being. The data were obtained from the Swiss Multicentre Adolescent Survey Introduction on Health, targeting a sample of 9268 in-school adolescents aged 15 to 20 years, who answered a self-administered questionnaire. Some 11.4% of girls and 9.6% of boys declared themselves carriers of a CC. Of girls suffering from a CC, 25% (versus 13% of non carriers; P = 0.007) and 38% of boys (versus 25%; P=0.002) proclaimed not to wear a seatbelt whilst driving. Of CC girls, 6.3% (versus 2.7%; P= 0.000) reported within the last 12 months to have driven whilst drunk. Of the girls, 43% (versus 36%; P=0.004) and 47% (versus 39%; P=0.001) were cigarette smokers. Over 32% of boys (versus 27%; P=0.02) reported having ever used cannabis and 17% of girls (versus 13%; P=0.013) and 43% of boys (versus 36%; P=0.002) admitted drinking alcohol. The burden of their illness had important psychological consequences: 7.7% of girls (versus 3.4%; P=0.000) and 4.9% of boys (versus 2.0%; P=0.000) had attempted suicide during the previous 12 months. Conclusion: Experimental behaviours are not rarer in adolescents with a chronic condition and might be explained by a need to test their limits both in terms of consumption and behaviour. Prevention and specific attention from the health caring team is necessary.
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This short review begins by defining some basic medico-legal concepts such as "impairment" and "disability" and gives the corresponding terms in French and German. It is then shown how, in stable obstructive and restrictive respiratory diseases such as COPD and lung fibrosis, the degree of impairment can be assessed on the basis of FEV1 and indices of gas exchange. In the case of bronchial asthma, however, with its typically variable degree of airflow limitation, the amount of reversibility and treatment necessary to achieve optimum bronchodilatation must be taken into account. This can best be done using a score system. Impairment represents a base but in no way equals the final percentage of disability pension or compensation, which are always assessed by the competent administrative authority. However, it is the physician who specifies the amount and type of work an individual patient, with his or her particular degree of disability, can or cannot be expected to do.
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L'intubation endotrachéale reste la méthode de premier choix pour assurer la ventilation et la protection des voies aériennes supérieures. Ce geste fait partie intégrante du savoir-faire des équipes d'anesthésiologie, dans un contexte de chirurgie élective, de réanimation ou de soins intensifs. En règle générale, l'intubation s'avère rapide, sûre et efficace. Un apprentissage et une pratique régulière sont néanmoins nécessaires pour acquérir et maintenir les habilités requises pour gérer les situations standards et d'urgences usuelles, et pour minimiser le risque de complication, notamment iatrogènes. De nombreuses techniques ont été conçues pour faciliter l'intubation ou palier aux éventuelles difficultés. De nouveaux outils ne cessent d'être mis au point. La place qu'ils seront amenés à prendre dans la pratique quotidienne reste à définir. Ils font néanmoins désormais partie du paysage anesthésique. Il existe un certain nombre de conditions morphologiques ou pathologiques qui peuvent entraver l'intubation et risquer de converger pour aboutir à une situation d'intubation difficile. Afin de minimiser les risques de prise en charge des voies aériennes, il importe de détecter ces conditions et de pouvoir s'y adapter, notamment par le choix d'un matériel et d'un protocole adaptés. Les voies aériennes difficiles représentent en ce sens une interaction complexe entre les facteurs propres au patient, le contexte clinique et les capacités de l'anesthésiste. Les intubations trachéales difficiles restent une source majeure de morbidité et de mortalité dans la pratique clinique, particulièrement lorsqu'elles ne sont pas anticipées et dans les situations d'urgence. Même si la pharmacologie, les méthodes de travail et les moyens techniques ont évolués et garantissent une meilleure gestion du risque et une meilleure prise en charge des situations complexes, la gestion des voies aériennes et la prédiction des voies aériennes difficiles restent un défi central de la prise en charge anesthésiologique. La gestion des voies aériennes difficiles reste donc une composante importante de la pratique anesthésique, de part l'incidence d'événements potentiellement graves pour le patient qu'elle génère. La nécessité d'évaluer le risque d'ID est désormais ancrée dans les préceptes de la prise en charge anesthésique. Lors de l'évaluation préopératoire, le dépistage des facteurs de risque d'ID doit être systématique et correctement documenté. L'anticipation d'un risque trop élevé ou d'une situation potentiellement compliquée permet d'adapter sa planification, de compléter les examens préopératoires, d'orienter le choix de la technique et de se préparer à pouvoir répondre de manière rapide et efficace à une situation urgente. Même si les situations d'ID ne pourront probablement jamais êtres toutes anticipées, il importe donc de définir les facteurs de risque significatifs et de les intégrer dans la prise en charge des voies aériennes. L'accent a notamment été mis sur la recherche de critères prédictifs efficaces. Ces stratégies ont toutes pour but de stratifier le risque de difficultés intubatoires afin de minimiser l'incidence d'événements délétères, par une préparation optimale et la prise en charge adéquate des situations difficiles. L'absence de recommandations internationales standardisées d'identification et de prise en charge de l'ID sont principalement liées à l'absence de définitions standardisées, au manque de critères suffisamment sensibles et spécifiques, au caractère subjectif de certains critères cliniques utilisés et à la kyrielle de techniques et d'outils alternatifs à l'intubation orotrachéale laryngoscopique standard à disposition. Aucune anomalie anatomo-pathologique usuelle ni aucune de leurs combinaisons n'est strictement associée à l'intubation difficile. Certains examens sont en outre difficilement justifiables pour une consultation pré-anesthésique usuelle. Dans le cadre de cette problématique, l'objectif fondamental de ce travail est de participer à l'amélioration la prédictibilité de l'intubation difficile dans la pratique anesthésique. L'étude portera sur l'analyse rétrospective de dossiers anesthésiques de 3600 patients, adultes et pédiatriques, pris en charge par le service d'anesthésiologie dans le secteur hors bloc opératoire au CHUV, entre le 1er janvier et le 31 décembre 2010. L'analyse des résultats devrait permettre de déterminer l'incidence et le taux de prédictibilité de l'intubation difficile prévue et non prévue, ainsi que de citer les techniques actuelles de prise en charge dans une institution hospitalière universitaire telle que le CHUV. Un analyse critique des stratégies de prédiction employées, de leur mise en pratique et des techniques de travail privilégiées dans la prise en charge des situations d'intubations difficiles pourrait permettre l'élaboration de pistes réflexives dans le but de les optimiser et d'améliorer la prise en charge du patient et la gestion du risque anesthésique. Cette étude pourrait déboucher sur la proposition d'un score simple de prédiction de l'intubation difficile à intégrer sur la feuille de consultation pré- anesthésique. Le but est est d'améliorer les recommandations de prise en charge préopératoire et d'améliorer la transmission interprofessionnelle des informations liées aux voies aériennes, afin de minimiser le risque d'intubation difficile non prévue ainsi que l'incidence et la sévérité des complications liées aux ID.
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Collection : Bibliothèque des femmes