Los clásicos de la gerencia

Este texto está dirigido a quienes desean iniciarse en los estudios de gerencia y a aquellos interesados por los orígenes de esta joven disciplina que inunda los campos empresarial, académico y social. Este texto compila los escritos que dieron origen a la gerencia moderna. Cada uno de sus autores representa diversas corrientes del pensamiento administrativo generador del discurso gerencial que, a manera de retóricas como sostienen Kunda y Barley, constituyen la dinámica evolutiva del discurso de la productividad en las organizaciones y en su estudio del contexto norteamericano de finales del siglo XIX, hasta la entrada de la década de los noventa, en donde sólo reseñan a Robert Owen, Frederick Winslow Taylor, George Elton Mayo, Peter Drucker y E. Deming. Como aporte, en este trabajo se reseñan el concepto fayolista de la organización y el weberiano de burocracia, para complementar la evolución del saber gerencial en su dimensión clásica y para demostrar que la gerencia, como saber disciplinar, se ha originado también en estas prácticas empresariales del contexto europeo. Este libro es un pretexto para comprender la necesidad de ir a la fuente como camino para la contextualización pertinente de la investigación y la formación. No se trata de resúmenes, sino de esquemas sintéticos de lo que, a juicio del autor, son los siete clásicos de la gerencia; no se refiere al pensamiento estratégico, aunque sí guarda una profunda relación con esta racionalidad, dado que la administración es gerencia y dirección como funciones de servicio a la perdurabilidad de las organizaciones.

As idéias: asas espirituais do interesse : um estudo de sociologia política de Max Weber

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Max Weber diante do Socialismo

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Weber e a teoria das organizações: questão da racionalidade

O objeto original da dissertação era a análise crítica da teoria das organizações, através da "sociologia compreensiva" de Max Weber. Em resumo, essa dissertação é uma tentativa de penetrar uma pequena parte do universo intelectual de Max Weber.

Epistemologia, construção conceitual e comparação histórica em Weber

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Archiv für Sozialwissenschaft und Sozialpolitik.

Editors: 1904- , H. Braun, W. Sombart, M. Weber, E. Jaffé, and R. Michels--1922- , E. Lederer.

プロテスタンテイズムの倫理と資本主義の精神

Mode of access: Internet.

Buber e Weber em torno da política e da ética: o vértice da decisão valorativa como espaço para a dialogia

Weber, como perceberemos mais tarde, assumiu como desafio a tentativa de apontar um resgate para a possível corrosão da política na modernidade, pois em uma época histórica marcada pela percepção de empreendimento, constitui-se uma dificuldade fazer com que a política assuma a característica de vocação. Buber assumirá a importância para a compreensão de um viés para o agir oriundo de uma outra vertente interpretativa da política, distinta dos traços clássicos da modernidade ocidental, contribuindo decisivamente para a elaboração da decisão ética firmada em uma transcendência alicerçada na mística judaica e no humanismo hebraico. Quais seriam então as condições para a política assumir uma relação digna com a ética, em uma era marcada pela desvalorização de todos os valores? Ou em uma concepção Iluminista, como doar à política a possibilidade de retomar o princípio da emancipação dentro da própria eficácia, incorporando a necessidade do “responder ético” em relação à face do outro? Questões como as apontadas acima são os alicerces que motivaram esta pesquisa.

Weber, Max. Historia económica general. Fondo de Cultura Económica. México, 1997. 331 páginas.

Fil: Inda, Graciela. Universidad Nacional de Cuyo. Facultad de Ciencias Políticas y Sociales

Die leiden der Arbeiterklasse und ihr Heilmittel,

Issued in 1839 at Leeds under title: Labour's wrongs and labour's remedy; or, The age of might and the age of right.

Littérature et sociologie : analyse de l'expérience moderne chez Joseph Roth, Thomas Mann et Max Weber

Ce présent mémoire est animé par une forte conviction : les frontières disciplinaires entre les sociologues et les écrivains ne doivent pas se transmuer en barbelés obstruant un éclairage de sens renouvelé sur la réalité sociale. Alors qu’au tournant du siècle dernier, le roman réaliste et la sociologie allemande se sont mutuellement inspirés, au fil du temps les canaux de communication se sont progressivement brouillés. Notre démarche consiste donc à renouer avec la tradition du monde germanophone à l’orée du 20e siècle, période au cours de laquelle la sociologie émerge comme discipline propre. Plus précisément, nous chercherons à faire converser les deux régimes d’écriture afin d’une part, d’explorer les vertus cognitives de la littérature pour la sociologie et d’autre part de mieux comprendre comment les hommes contemporains aux premiers sociologues entrevoyaient l’époque des temps modernes. Pour ce faire, nous nous appuierons sur la sociologie de Max Weber (1864-1920), un des pères fondateurs de la discipline, ainsi que sur l’analyse de trois romans réalistes, signés par deux romanciers germanophones du début du 20e siècle, c’est-à-dire Joseph Roth (1894-1939) et Thomas Mann (1875-1955).

Gouverner le monde désenchanté : le parlement du Reich et l’émergence d’hommes d’État dans la pensée politique de Max Weber

Initiée par Wolfgang J. Mommsen (1930-2004), la réception dominante de la pensée politique de Max Weber (1864-1920) conclut qu’il aura été un penseur précurseur au fascisme allemand. Ce mémoire revient aux textes politiques de Weber, écrits entre 1895 et 1919, afin de dégager le sens qu’il voulait leur conférer, indépendamment du rôle historique qu’ils purent jouer après sa mort. Il s’agit donc de reconstituer la pensée politique wébérienne dans le contexte social qui l’a vu naître et de saisir l’origine politique de la sociologie wébérienne de l’action. Pour y parvenir, un détour par l’histoire s’impose. Ce n’est que par la mise en relation, proposée dès le chapitre I, entre les écrits politiques et la configuration historique particulière de l’Allemagne wilhelmienne qu’il est possible de concilier deux dimensions dont l’une ou l’autre est souvent écartée des études wébériennes : l’étude d’acteurs historiques précis (Max Weber et ses contemporains) et la pensée wébérienne à proprement parler (les écrits). Nous verrons que Weber craint le processus de bureaucratisation inhérent à la sphère politique moderne de peur qu’il n’en vienne à pétrifier l’existence humaine. Le chapitre II examine l’opposition de Weber à cette « possibilité objective » afin de préserver les conditions d’une liberté individuelle authentique. C’est par la figure du chef charismatique, initialement développée dans le cadre de ses travaux scientifiques et présentée au chapitre III, que Weber croit pouvoir prévenir les pires conséquences du processus de bureaucratisation. Il s’agira alors de produire un édifice institutionnel propice à l’émergence de tels hommes politiques. Le dernier chapitre (IV) du mémoire cherche à démontrer comment Weber tente d’instrumentaliser la césarisation, second processus constitutif de la sphère politique moderne, pour l’opposer à la bureaucratisation. Sous le régime monarchiste, c’est par un renforcement des pouvoirs parlementaires qu’il compte y parvenir, mais la proclamation de la République de Weimar l’oblige à adapter son projet constitutionnel ; il propose alors la démocratie plébiscitaire de chef (Führerdemokratie). Si la conception wébérienne de la démocratie surprend, notamment par l’importance qu’elle accorde au chef, il n’en demeure pas moins que Weber met de l’avant un système politique démocratique. Loin de l’abandon de son projet politique auquel certains critiques ont conclu, la Führerdemokratie se révèle plutôt – c’est la thèse de ce mémoire — le fruit de la fidélité de Weber à ses idéaux politiques, et ce malgré les importants changements sociaux qui marquent la fin de sa vie.

Max Weber and the First World War: Protestant and Catholic living standards in Germany, 1915-1919

We assess informal institutions of Protestants and Catholics by investigating their economic
resilience in a natural experiment. The First World War constitutes an exogenous shock to living standards since the duration and intensity of the war exceeded all expectations. We assess the ability of Protestant and Catholic communities to cope with increasing food prices and wartime black markets. Literature based on Weber (1904, 1905) suggests that Protestants must be more resilient than their Catholic peers. Using individual height data on some 2,800 Germans to assess levels of malnutrition during the war, we find that living standards for both Protestants and Catholics declined; however, the decrease of Catholics’ height was disproportionately large. Our empirical analysis finds a large statistically significant difference between Protestants and Catholics for the 1914-19 birth cohort, and we argue that this height gap cannot be attributed to socioeconomic background and fertility alone.