957 resultados para Utilisation de l’habitat


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le sanctuaire Agoa est une aire marine protégée dans la zone économique exclusive (ZEE) des Antilles françaises qui fut créée en 2010 pour la conservation des mammifères marins et de leurs habitats. Il est connu que le rorqual à bosse fréquente les eaux des Antilles de décembre à mai pour la reproduction et la mise bas. Par contre, peu d’information existe sur l’abondance, le comportement, la distribution et les pressions anthropiques sur cette espèce aux Antilles et encore moins dans le sanctuaire. Cette maîtrise s’intéresse principalement à connaître cette espèce dans un secteur précis de cette aire marine et les liens qu’elle entretient avec certains utilisateurs humains de son habitat. Le tout vise à informer les intervenants en place, autant institutionnels qu’utilisateurs, vers une mise en place de mesures de conservation adaptées. Un suivi terrestre hivernal de plus de 300 heures, en 2012 et 2013, a permis de déterminer l’utilisation de l’habitat et les pressions anthropiques sur une population de rorquals à bosse fréquentant le sud de la péninsule de la Pointe-des-Châteaux en Guadeloupe. Il s’agit du premier suivi terrestre de cette espèce aux Antilles françaises et un des premiers dans l'arc caribéen. La zone d’étude couvre environ 264 km2 et serait une des zones les plus fréquentées de l’archipel guadeloupéen par l’espèce. À l’aide d’un théodolite, la trajectoire de 107 groupes différents (137,8 heures, 699 remontées) a été décrite. Les résultats montrent que la zone d’étude est principalement fréquentée en mars et avril, avec une abondance maximale au début du mois d’avril. La forte présence de baleineaux, particulièrement au mois de mars, pousse à croire que cette zone est utilisée comme pouponnière. Le comportement n’est pas aléatoire dans la zone d’étude et les trajectoires convergent vers certaines zones ayant possiblement un lien avec la bathymétrie. De plus, la zone marine à proximité de la Pointe-des-Châteaux pourrait potentiellement être un lieu de convergence des groupes. Ceux-ci se déplacent à vitesse réduite en direction ENE en général, à l’exception des femelles accompagnées de baleineaux qui prennent une orientation tout autre, c’est-à-dire vers le ONO, et ce à plus grande vitesse. Bien que la pression d’observation soit considérée comme modérée, une forte proportion des remontées se trouve dans les corridors de navigation présents dans la zone d’étude. De plus, le corridor de navigation des navettes entre Saint-François et La Désirade comporte le plus grand risque relatif de collision mortelle. Une réduction de vitesse des embarcations fréquentant le corridor des navettes diminuerait significativement le risque de collision mortelle. Ces pistes de réflexion mèneront sans doute à d’autres études plus poussées afin de continuer à en apprendre sur l’écologie de cette espèce fascinante.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Les plantes envahissantes sont considérées comme l'une des plus grandes menaces sur les espèces, mais leurs impacts sur les amphibiens demeurent peu connus. L’objectif de ce projet est de déterminer l’effet de l’établissement du roseau commun (Phragmites australis) sur la répartition des amphibiens et sur leur développement larvaire. Il est présumé que cette plante s'accapare l'espace et les ressources disponibles en produisant une importante biomasse, qu’elle peut modifier l’hydrologie des marais et la structure des communautés d’amphibiens. J’ai évalué les facteurs influençant la répartition des amphibiens selon les caractéristiques des étangs et du paysage dans 50 sites envahis ou non à divers degrés. Des expériences ont également été menées afin d’étudier les répercussions de trois densités de roseau sur des têtards de la Grenouille des bois (Lithobates sylvaticus) et sur la qualité de son habitat. Mes résultats suggèrent que le roseau à forte densité ralentit le développement larvaire de la grenouille des bois et influence les assemblages phytoplanctoniques. Cependant, il n’y a aucune relation entre la densité de la plante et la survie, la morphologie des têtards et les caractéristiques biotiques et abiotiques de l’eau. Dans notre aire d’étude, le paysage autour des étangs a une plus grande influence sur la répartition des amphibiens que l'établissement du roseau. Toutefois, la probabilité d’assèchement est plus élevée lorsque la plante est établie en grande quantité, ce qui, si l’envahissement s’intensifie, aura un effet néfaste sur la survie des têtards et mettra en péril la persistance des populations.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Depuis environ 40 ans, l’intensification des pratiques agricoles a grandement transformé le paysage agricole et ce tant, dans les Amériques qu’en Europe. Quoique, plusieurs espèces animales soient affectées négativement par ces changements, certaines espèces en bénéficient. C’est le cas de la Grande Oie des neiges (Chen caerulescens atlantica) qui a vu sa population croître de façon importante et ce, au point de devenir problématique. De fait, la Grande Oie des neiges cause des dommages importants aux cultures du Québec (1 646 229 ± 800 000 par an entre 2009 et 2015) et aux écosystèmes qu’elle utilise lorsqu’elle fait halte dans la vallée du Saint-Laurent, Québec, Canada. Bien que plusieurs actions aient été tentées pour contrôler sa population le problème persiste. La quête alimentaire des animaux est entre autres modulée par les comportements anti-prédateurs, tels que le temps passé en vigilance et une utilisation différentielle des habitats. Ces comportements sont à leur tour affectés par le risque de prédation et la vie en groupe. En effet, le risque de prédation perçu par un individu dépend entre autres (1) de la taille du groupe auquel il appartient ; (2) de la densité et de l’activité des proies et des prédateurs dans l’environnement ; (3) de son niveau de connaissance de l’environnement ; et (4) des caractéristiques du paysage qu’il occupe. Il s’ensuit que le risque de prédation varie dans l’espace et dans le temps. La représentation cartographique de ce risque à un moment donné consiste en un paysage de la peur, où chaque location ou chaque élément d’un paysage se voit associé un risque de prédation. On s’attend donc à ce que la quête alimentaire des individus, tant dans leur utilisation des habitats que dans leur budget d’activité, soit affectée par la structure du paysage de la peur. Par conséquent, on peut se demander si le paysage de la peur peut être utilisé comme outil de gestion d’une espèce, notamment pour la Grande Oie des neiges. Mon objectif est de quantifier comment la perception du risque de prédation par la Grande Oie des neiges varie en fonction de différents éléments des paysages agricoles visités par les oies, mais aussi de quantifier cette variation selon différentes contraintes énergétiques et temporelles durant leurs haltes migratoires. Ceci afin de voir si le paysage de la peur pourrait être utiliser comme outil de gestion. À ce titre, je vise à mesurer l’effet du type de cultures, de la nature de l’élément paysager, de la distance de celui-ci et du niveau de compétition intraspécifique au sein des sites d’alimentation et ce, durant les deux migrations, sur l’utilisation des habitats et le budget d’activité des oies. Je pose que les oies prendront plus de risques si les contraintes temporelles sont fortes, de même que si elles se nourrissent dans une parcelle alimentaire de haute qualité et si elles subissent une plus forte de compétition. Pour ce faire, j’ai parcouru les Basses-Terres-du-Saint-Laurent de Salaberry-de-Valleyfield jusqu’à l’Islet lors des printemps 2014 et 2015 et de l’automne 2014. J’ai ainsi repéré et observé 141 groupes d’oies exploitant des terres agricoles pour lesquels j’ai noté la position des individus dans les champs et mesuré leur taux de vigilance, de même que noté divers facteurs qui pourraient affecter ces deux comportements, dont le type de cultures exploitées et le fait d’être ou non au sein d’une zone où la chasse est permise. Au printemps, le taux de vigilance des oies était, plus élevé dans les cultures de maïs, plus bas si la densité locale d’oies augmentait et plus bas dans les sanctuaires (i.e., en absence de chasse). Alors qu’à l’automne, le taux de vigilance était, plus élevé à proximité d’une route ou d’un fossé et plus élevé en bordure du groupe. Au printemps, la distance aux éléments du paysage potentiellement dangereux était, plus grande face à une bordure de forêt et plus faible face à la route. La distance était plus petite dans les cultures de maïs, plus élevée dans le foin et plus faible dans les sanctuaires. À l’automne, les effets des différents éléments étaient semblables à ceux du printemps. La distance était plus grande si la taille du groupe augmentait et plus petite dans les sanctuaires. De plus, les oies semblaient montrer un évitement des bordures forestières alors que les autres éléments du paysage étudiés ne semblent pas être sélectionnés ou évités. Les oies subissent des contraintes différentes au printemps et à l’automne. Ces contraintes semblent moduler la prise en compte du risque de prédation entre les saisons. En effet, les oies semblent privilégier l’alimentation au détriment de la prise de risques au printemps, une décision probablement liée à la reproduction dont le succès dépend d’une arrivée relativement hâtive sur les aires de nidification arctiques et donc, des réserves énergétiques accumulées sur les haltes migratoires. En opposition, les oies semblent prendre davantage conscience du risque de prédation dans leur quête alimentaire à l’automne, ce qui pourrait être lié au fait qu’elles sont accompagnées de leurs jeunes et à une contrainte énergétique et temporelle plus faible qu’au printemps. En bref, les oies semblent subir les effets de la peur reliée à la chasse. Mes résultats semblent indiquer que le paysage de la peur pourrait être utilisé dans les stratégies de gestion. Par exemple, en instaurant des haies brise-vent dans les secteurs où le risque de dommages agricoles est élevé, le risque de prédation perçu par les oies y serait plus élevé et pourrait ainsi diminuer l’utilisation de ces secteurs.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Le béluga du Saint-Laurent est une espèce menacée au Canada et protégée par la Loi sur les espèces en péril du Canada. La détermination des fonctions biologiques de ses habitats essentiels est nécessaire afin d’assurer le rétablissement de la population. Parcs Canada a entamé en 2009 un suivi des proies du béluga dans deux de ses aires de fréquentation intensive situées dans le Parc marin du Saguenay–Saint-Laurent : l’embouchure de la rivière Saguenay et la baie Sainte-Marguerite. L’étude de l’abondance et de la distribution des proies est réalisée par sondage hydroacoustique le long de transects à l’aide d’un échosondeur multifréquences. Un protocole d’observations systématiques du béluga est mené simultanément aux sondages hydroacoustiques à partir de sites terrestres. Le premier objectif de cette étude est de développer la méthodologie concernant le traitement, la classification et la cartographie des données hydroacoustiques échantillonnées. L’objectif principal consiste à déterminer si l’abondance et la distribution des proies pélagiques ont une influence sur l’utilisation de ces deux habitats par le béluga. La cartographie de la biomasse relative de poissons a été réalisée pour la couche de surface, la couche en profondeur et pour l’ensemble de la colonne d’eau par krigeage ordinaire pour les deux habitats pour les 29 transects. À la baie Sainte-Marguerite, le nombre de bélugas observés augmente avec la biomasse relative des proies en surface et en profondeur. À l’embouchure de la rivière Saguenay, les résultats n’ont pas été concluants. Les résultats suggèrent que l’alimentation pourrait être l’une des fonctions biologiques de la baie Sainte-Marguerite.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To examine the impact on dental utilisation following the introduction of a participating provider scheme (Regional and Rural Oral Health Program {RROHP)). In this model dentists receive higher third party payments from a private health insurance fund for delivering an agreed range of preventive and diagnostic benefits at no out-ofpocket cost to insured patients. Data source/Study setting: Hospitals Contribution Fund of Australia (HCF) dental claims for all members resident in New South Wales over the six financial years from l99811999 to 200312004. Study design: This cohort study involves before and after analyses of dental claims experience over a six year period for approximately 81,000 individuals in the intervention group (HCF members resident in regional and rural New South Wales, Australia) and 267,000 in the control group (HCF members resident in the Sydney area). Only claims for individuals who were members of HCF at 31 December 1997 were included. The analysis groups claims into the three years prior to the establishment of the RROHP and the three years subsequent to implementation. Data collection/Extraction methods: The analysis is based on all claims submitted by users of services for visits between 1 July 1988 and 30 June 2004. In these data approximately 1,000,000 services were provided to the intervention group and approximately 4,900,000 in the control group. Principal findings: Using Statistical Process Control (SPC) charts, special cause variation was identified in total utilisation rate of private dental services in the intervention group post implementation. No such variation was present in the control group. On average in the three years after implementation of the program the utilisation rate of dental services by regional and rural residents of New South Wales who where members of HCF grew by 12.6%, over eight times the growth rate of 1.5% observed in the control group (HCF members who were Sydney residents). The differences were even more pronounced in the areas of service that were the focus of the program: diagnostic and preventive services. Conclusion: The implementation of a benefit design change, a participating provider scheme, that involved the removal of CO-payments on a defined range of preventive and diagnostic dental services combined with the establishment and promotion of a network of dentists, appears to have had a marked impact on HCF members' utilisation of dental services in regional and rural New South Wales, Australia.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: There are indications that pre-hospital emergency care and management of patients can help reduce the demand for hospital emergency departments (EDs). Ambulance services play a significant role at this stage of care. In 2003, the Queensland Government introduced a Community Ambulance Cover (CAC) levy in return for a free ambulance service at the point of access to all Queenslanders. This may have led to the impression in consumers of an entitlement to free ambulance services under any circumstances regardless of the urgency of the matter which may have in turn contributed to the crowding of EDs in Queensland. Objectives: This paper aims to answer the following questions: - How many patients arrive at hospital EDs by ambulance in Queensland, compared to other modes of arrival? - How has this changed over time, particularly after the CAC introduction in 2003? What percentage of ambulance arrivals are urgent ED patients? - Has the perceived free ambulance services created extra demand for EDs in Queensland, compared with other Australian jurisdictions that charge patients for ambulance services? Methods: We will secondary analyse the data from sources such as Queensland Ambulance Services, Department of Health and Australian Bureau of Statistics to answer the research questions. Findings and Conclusions Queensland has the highest utilization rate of ambulance services (about 18% in 2007-08) and the highest annual growth rate in demand for these services (7.7% on average since 2000-01), well above the population growth. On the other hand, the proportion of ED patients arriving by ambulance in Queensland has increased by about 4% annually. However, when compared with other states and territories with charge at the point of access, it seems that the growth in demand for EDs cannot be explained solely or mainly by CAC or ambulance utilisation in Queensland.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: Relatively little research attention has been given to the development of standardised and psychometrically sound scales for measuring influences relevant to the utilisation of health services. This study aims to describe the development, validation and internal reliability of some existing and new scales to measure factors that are likely to influence utilisation of preventive care services provided by general practitioners in Australia.----- Methods: Relevant domains of influence were first identified from a literature review and formative research. Items were then generated by using and adapting previously developed scales and published findings from these. The new items and scales were pre-tested and qualitative feedback was obtained from a convenience sample of citizens from the community and a panel of experts. Principal Components Analyses (PCA) and internal reliability testing (Cronbach's alpha) were then conducted for all of the newly adapted or developed scales utilising data collected from a self-administered mailed survey sent to a randomly selected population-based sample of 381 individuals (response rate 65.6 per cent).----- Results: The PCA identified five scales with acceptable levels of internal consistency were: (1) social support (ten items), alpha 0.86; (2) perceived interpersonal care (five items), alpha 0.87, (3) concerns about availability of health care and accessibility to health care (eight items), alpha 0.80, (4) value of good health (five items), alpha 0.79, and (5) attitudes towards health care (three items), alpha 0.75.----- Conclusion The five scales are suitable for further development and more widespread use in research aimed at understanding the determinants of preventive health services utilisation among adults in the general population.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Within the Australian wet tropics bioregion, only 900 000 hectares of once continuous rainforest habitat between Townsville and Cooktown now remains. While on the Atherton Tableland, only 4% of the rainforest that once occurred there remains today with remnant vegetation now forming a matrix of rainforest dispersed within agricultural land (sugarcane, banana, orchard crops, townships and pastoral land). Some biologists have suggested that remnants often support both faunal and floral communities that differ significantly from remaining continuous forest. Australian tropical forests possess a relatively high diversity of native small mammal species particularly rodents, which unlike larger mammalian and avian frugivores elsewhere, have been shown to be resilient to the effects of fragmentation, patch isolation and reduction in patch size. While small mammals often become the dominant mammalian frugivores, in terms of their relative abundance, the relationship that exists between habitat diversity and structure, and the impacts of small mammal foraging within fragmented habitat patches in Australia, is still poorly understood. The relationship between foraging behaviour and demography of two small mammal species, Rattus fuscipes and Melomys cervinipes, and food resources in fragmented rainforest sites, were investigated in the current study. Population densities of both species were strongly related with overall density of seed resources in all rainforest fragments. The distribution of both mammal species however, was found to be independent of the distribution of seed resources. Seed utilisation trials indicated that M.cervinipes and R.fuscipes had less impact on seed resources (extent of seed harvesting) than did other rainforest frugivores. Experimental feeding trials demonstrated that in 85% of fruit species tested, rodent feeding increased seed germination by a factor of 3.5 suggesting that in Australian tropical rainforest remnants, small mammals may play a significant role in enhancing germination of large seeded fruits. This study has emphasised the role of small mammals in tropical rainforest systems in north eastern Australia, in particular, the role that they play within isolated forest fragments where larger frugivorous species may be absent.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

A mathematical model is developed to simulate the discharge of a LiFePO4 cathode. This model contains 3 size scales, which match with experimental observations present in the literature on the multi-scale nature of LiFePO4 material. A shrinking-core is used on the smallest scale to represent the phase-transition of LiFePO4 during discharge. The model is then validated against existing experimental data and this validated model is then used to investigate parameters that influence active material utilisation. Specifically the size and composition of agglomerates of LiFePO4 crystals is discussed, and we investigate and quantify the relative effects that the ionic and electronic conductivities within the oxide have on oxide utilisation. We find that agglomerates of crystals can be tolerated under low discharge rates. The role of the electrolyte in limiting (cathodic) discharge is also discussed, and we show that electrolyte transport does limit performance at high discharge rates, confirming the conclusions of recent literature.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objective: To identify knowledge, attitudes and practices of child health nurses relating to infant wrapping as an effective settling/sleep strategy. Methods: A pre-test/post-test intervention design was used to explore knowledge, attitudes and practices relating to wrapping in a sample of child health nurses (n=182): a) pre-test survey; b) educational intervention incorporating evidence relating to infant wrapping; SIDS&KIDS endorsed infant wrapping pamphlet; Safe Sleeping recommendations. Emphasis was placed on infant wrapping as an effective settling strategy for parents to use as an alternative to prone positioning; c) post-test survey to evaluate intervention effectiveness. Results: Pretest results identified wide variation in nurses’ knowledge, attitudes and practices of infant wrapping as a settling/sleep strategy. The intervention increased awareness of wrapping guidelines and self-reported practices relating to parent advice. Significant positive changes in nurses’ awareness of wrapping guidelines (p<0.001); to wrap in supine position only (p<0.001); and parental advice to use wrapping as an alternative strategy to prone positioning to assist settling/sleep (p<0.01), were achieved post-test. Conclusions: Managing unsettled infants and promoting safe sleeping practices are issues routinely addressed by child health nurses working with parents of young infants. Queensland has a high incidence of prone sleeping. Infant wrapping is an evidence-based strategy to improve settling and promote supine sleep consistent with public health recommendations. Infant wrapping guidelines are now included in Queensland Health’s state policy and Australian SIDSandKids information relating to safe infant sleeping. In communicating complex health messages to parents, health professionals have a key role in reinforcing safe sleeping recommendations and offering safe, effective settling/sleep strategies to address the non-recommended use of prone positioning for unsettled infants.