802 resultados para Troubles comorbides
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Plusieurs études telles que le NESARC ont démontré la comorbidité chez les joueurs pathologiques dans la population générale et dans des échantillons cliniques. Le jeu pathologique se présente souvent avec des troubles comorbides tels que les toxicomanies, les troubles de l’humeur, les troubles anxieux et les troubles de la personnalité. Cette étude a été réalisée auprès de 40 joueurs pathologiques admis en traitement au Centre Dollard-Cormier, Institut universitaire sur les dépendances à Montréal. Les objectifs étaient d’évaluer : la consommation d’alcool et de drogues, la présence d’une détresse psychologique caractérisée par des symptômes et des syndromes cliniques ainsi que par des troubles de la personnalité et la prévalence du trouble de l’ÉSPT dans l’échantillon. L’ICJE a été utilisé pour évaluer la gravité du jeu. Les autres troubles ont été mesurés à travers l’IGT, l’AUDIT, le MCMI-III, le QÉT et l’ÉMST. Les résultats montrent que 65 % des participants présentent une consommation problématique d’alcool (25 % actuellement, 40 % dans le passé), 27,5 % une consommation problématique de drogues; 52,5 %, un diagnostic probable d’au moins un syndrome clinique (surtout anxiété et dépression), 55 %, un diagnostic probable d’au moins un trouble de la personnalité; 30 %, des symptômes du trouble d’ÉSPT et 17,5 %, un diagnostic probable du trouble. Alors, la comorbidité est présente chez les joueurs pathologiques de l’échantillon. Il est essentiel de l’identifier pour mieux répondre aux besoins particuliers de l’individu et l’aider avec les symptômes qui aggravent le problème de jeu et augmentent le risque de récidive.
L'anorexie mentale chez les adolescents et les jeunes adultes de sexe masculin: Recension des écrits
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Essai doctoral présenté à la Faculté des arts et des sciences en vue de l'obtention du grade de Doctorat en psychologie clinique (D.Psy.)
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Ce mémoire présente les résultats d’une synthèse systématique (SS) des écrits traitant des instruments d’évaluation multidimensionnelle des troubles concomitants qui peuvent être présentés par les adolescent(e)s. La SS a permis d’identifier 11 instruments en mesure d’évaluer les troubles comorbides de l’Axe I du DSM-IV, incluant chaque fois les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS). Une fois les instruments répertoriés, une seconde recherche fut effectuée afin identifier les études les ayant mis à l’épreuve du point de vue de leur validité et de leur fidélité diagnostique : 57 études furent identifiées. La robustesse méthodologique de ces études fut analysée à l’aide de la grille du QUADAS-2 et 47 études furent retenues pour l’échantillon final. Les résultats sont présentés par diagnostics (troubles liés à l’utilisation des substances (TUS) (obligatoire), trouble d’anxiété généralisée (TAG), épisode dépressif majeur (ÉDM), troubles des conduites (TC), trouble du déficit de l’attention /hyperactivité (TDA/H), état de stress post-traumatique (ÉSPT) et par instrument retenu. Suite à l’analyse des données recueillies, il s’avère difficile de comparer les instruments les uns aux autres, étant donnée la très grande diversité des échelles qu’ils contiennent, ainsi que les devis fort différents des études qui les ont mis à l’épreuve. Par contre, deux instruments se distinguent par la robustesse méthodologique des études à leur sujet, ainsi que leur excellente performance globale. Il s’agit du ChIPS et du K-SADS.
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Ce mémoire présente les résultats d’une synthèse systématique (SS) des écrits traitant des instruments d’évaluation multidimensionnelle des troubles concomitants qui peuvent être présentés par les adolescent(e)s. La SS a permis d’identifier 11 instruments en mesure d’évaluer les troubles comorbides de l’Axe I du DSM-IV, incluant chaque fois les troubles liés à l’utilisation de substances psychoactives (TUS). Une fois les instruments répertoriés, une seconde recherche fut effectuée afin identifier les études les ayant mis à l’épreuve du point de vue de leur validité et de leur fidélité diagnostique : 57 études furent identifiées. La robustesse méthodologique de ces études fut analysée à l’aide de la grille du QUADAS-2 et 47 études furent retenues pour l’échantillon final. Les résultats sont présentés par diagnostics (troubles liés à l’utilisation des substances (TUS) (obligatoire), trouble d’anxiété généralisée (TAG), épisode dépressif majeur (ÉDM), troubles des conduites (TC), trouble du déficit de l’attention /hyperactivité (TDA/H), état de stress post-traumatique (ÉSPT) et par instrument retenu. Suite à l’analyse des données recueillies, il s’avère difficile de comparer les instruments les uns aux autres, étant donnée la très grande diversité des échelles qu’ils contiennent, ainsi que les devis fort différents des études qui les ont mis à l’épreuve. Par contre, deux instruments se distinguent par la robustesse méthodologique des études à leur sujet, ainsi que leur excellente performance globale. Il s’agit du ChIPS et du K-SADS.
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This chapter investigates one instance of ‘morality-in-action’, which transpires when children describe their troubles to the adult counsellors at Kids Help Line, an Australian national helpline that deals specifically with callers aged approximately 5-18 years. We focus, in particular, on how a young female caller who has forged a medical certificate in relation to a problem with school attendance, determines both what to report, and how this should be disclosed. Throughout the call, the moral implications of the troubles talk are delicately managed by both caller and counsellor. The call takes the form of an extended story (Labov & Waletzky, 1997) that includes a preface (‘I have some problems at school’), an orientation (“I was sick, went to the doctor, stayed home”), a complicating action (“I went back to school and photocopied my certificate from last time”), result (“I got caught”) and evaluation (“I don’t know why it happened”). As the account unfolds, we observe how both the student and counsellor seek to make sense of these actions. While this account is partly about deception, both the caller and counsellor delicately sidestep naming this action, precluding this implication. For example, the counsellor lets stand the caller’s main assessment of the trouble. He simply asks, “so what happened then,” when the caller reports that her forgery was discovered. The caller, from the very beginning of the call, seeks to find out why she could have done this, “you see I don’t know why it happened”. As the call unfolds, the counsellor follows the opening provided by the caller and they put forward motives for consideration. By agreeing that the motives are to be explored, the act takes on a character other than deception.
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This article begins with the premise that morality is an intrinsic, although often invisible, aspect of everyday social action. Drawn from a corpus of fifty audiorecorded telephone calls to Kids Helpline, an Australian helpline for children and young people, we examine one call to show how the young caller and counsellor co-construct ‘morality-in-action’. Ethnomethodological understandings and, in particular, Sacks’ (1992) description of ‘Class 2’ rules and infractions show how an adolescent caller and counsellor collaboratively assemble moral versions of the caller. In puzzling out possible motives, the caller and counsellor can be seen to be attending to the implications of different moral versions of the caller. This attribution of motives is moral work in action, with motives contingently assembled, displayed and evaluated, with such work understood as displays of moral reasoning. The counselling call makes visible the counsellor’s interactional work to support and empower the client. Analysis such as this offers counsellors ways of understanding and making visible their interactional and moral work within helpline call interactions.
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• Summary: During the last decade increasing attention has been paid to the impact of the Troubles1 on social work in Northern Ireland. In this paper, the authors describe the first survey used to test some of the assumptions which exist in the literature. An 87-item questionnaire was applied to a range of social work staff currently working in, or associated with, mental health settings. One hundred and one questionnaires were returned: it is estimated that this represented over 70 per cent of mental health social workers in Northern Ireland. • Findings: The design of the questionnaire elicited both qualitative and quantitative data. The findings reveal a workforce with complex religious and national identities and many of the respondents have experienced relatively high levels of Troubles-related incidents whilst carrying out their duties in a variety of organizational and geographical settings. High proportions of respondents received minimal agency support and training to equip them to deal with Troubles-related problems faced by them during this period. • Applications: The authors conclude that the profession and employing agencies should pay greater attention to past and present effects of the Troubles on social work practice and develop appropriate strategies for supporting, training and resourcing staff in this neglected area.
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Two studies used random sample surveys to test the contact hypothesis on intergroup attitudes of Catholics and Protestants in Northern Ireland. In Study 1, archival data from two different surveys in 1989 (N= 310 Catholics, 422 Protestants) and 1991 (N= 319 Catholics, 478 Protestants) showed that contact was positively related to attitudes towards denominational mixing. Study 2 (N= 391 Catholics, 647 Protestants) explored predictors of intergroup forgiveness, and also showed that intergroup contact was positively related to out-group attitudes, perspective taking and trust (even among those who had worse experience of sectarian conflict). These studies indicate that research in peace psychology can provide a deeper understanding of the conflict in Northern Ireland and, in due course, contribute to its resolution.