1000 resultados para Traitement conservateur


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BACKGROUND: Ultrasound Biomicroscopy (UBM) is a new ophthalmological imaging technique essentially designed for the study of the anterior eye segment. Over the last 10 months, we've evaluated its contribution to the conservative treatment of anterior uveal melanoma's by means of accelerated proton beam irradiation. MATERIAL: Using UBM, we have examined 55 cases of uveal melanoma's, whose anterior border was situated at 6 mm or less from the limbus and that were consequently treated by proton beam irradiation. RESULTS: The presumed tumoral origin was the ciliary body's pars plicata in 13 cases and the pars plana or the choroid in 42 cases, 17 of which presented a tumoral invasion of the pars plicata. A pars plana detachment anterior to or surrounding the anterior tumoral border, was present in 22 cases. The height of the tumor could only be measured by UBM if it was less than 2.5 mm. Information gathered using UBM have contributed to an improvement of the therapy plan in 32 cases. CONCLUSION: Because of the strong attenuation of the high frequency ultrasound signal, UBM can only be used for the examination of intra-ocular structures situated in direct neighbourhood to the global wall. Despite this technical limitation, ist contribution to the planning of the conservative treatment of anterior uveal melanoma's by proton beam irradiation has appeared to be considerable.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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RÉSUMÉ La prise en charge des fractures de l'enfant a beaucoup évolué au cours des quinze dernières années. Les spécificités pédiatriques des mécanismes de réparation osseuse rendaient nécessaires des modalités de traitement se différenciant de l'ostéosynthèse adulte classique qui suivait les principes de réduction anatomique et de stabilité. Chez l'enfant le traitement conservateur des fractures reste le moyen le plus fréquemment employé. Cependant, ce traitement s'avérait imparfait dans le cas de la fracture fémorale car il impliquait une hospitalisation prolongée. Ceci a mené à réaliser des ostéosynthèses classiques et trop invasives chez des patients pédiatriques, entraînant des hyperallongements parfois importants. C'est ainsi que de nouvelles techniques adaptées à l'enfant sont apparues, tels que l'enclouage centro-médullaire élastique stable (ECMES) et le fixateur externe dynamisable (FED). Nous rapportons ici l'expérience du Service de Chirurgie Pédiatrique du CHUV à Lausanne. Entre 1988 et 1996, nous avons recensé 265 cas de fractures fémorales chez des enfants âgés entre 0 et 15 ans : 227 sont diaphysaires, 23 épiphysaires, 8 cervicales, 7 per- ou sous-trochantériennes. Parmi celles-ci, 94 fractures diaphysaires, 11 épiphysaires, 4 trochantériennes et toutes les cervicales ont bénéficié d'un traitement chirurgical. Nous avons étudié rétrospectivement 96 fractures traitées par ECMES, ce qui représente le traitement chirurgical standard de la fracture diaphysaire fémorale dans notre service. La majorité de ces fractures est liée aux accidents de la route (41%) ou au ski (27%). Le collectif comprend 7 enfants polytraumatisés, 3 fractures du membre inférieur controlatéral, 1 fracture du tibia homolatéral et une fracture instable du bassin. Après ECMES, la mobilisation débute généralement entre le troisième et le douzième jour postopératoire selon l'âge de l'enfant, le type de fracture et surtout les lésions associées. La durée moyenne d'hospitalisation est de 12 jours. Le suivi moyen est de 16 à 21 mois selon la catégorie d'âge, le type de fracture et la compliance du patient et des parents. Dans les suites, nous avons pu observer que l'hyperallongement du membre concerné affecte plus souvent les patients les plus jeunes (3-5 ans) tandis que les raccourcissements du membre fracturé concernent les enfants plus âgés (12-15 ans). La complication la plus fréquemment rencontrée est la migration des broches dont la fréquence varie entre 8% et 25% selon l'âge. Un total de 11% tout âge confondu nécessite un traitement ou une reprise. Chez les enfants de moins de 8 ans, avec migration de broches, la moitié des cas nécessite d'une reprise, tandis que le montage est repris dans tous les cas de plus de 8 ans. L'ECMES offre l'avantage d'une technique simple, peu invasive, peu coûteuse, qui utilise les capacités de guérison spécifique de l'enfant. Il permet des séjours hospitaliers courts et favorise une bonne consolidation respectant la biologie de guérison et autorisant une reprise précoce de l'activité physique. Les complications sont peu nombreuses et les résultats orthopédiques, comparables à ceux du traitement conservateur.

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Rapport de Synthése : Introducfíon : la maladie diverticulaire est devenue un problème majeur de santé communautaire et occupe la cinquième place en termes de coûts des maladies digestives. La diverticulite représente sa complication la plus fréquente chez environ 20-25% des patients avec une maladie diverticulaire. Son taux de récidive après un premier épisode de diverticulite est estimé à 20%. Historiquement, il était accepté que le taux de complications et d'échec du traitement conservateur de la diverticulite soient plus élevés lors de récidive qu'après un épisode initial. Ceci a amené la communauté médicale ä un consensus qui est de proposer une sigmoidectomie élective suite à un 2ème épisode de diverticulite. De nouvelles données et réinterprétations de travaux antérieurs ont remis en question ce consensus. Par ces faits, les dernières recommandations de la société américaine de chirurgie colorectale restent encore évasives dues au manque d'évidence. Le but de cette thèse est de déterminer si la récidive de diverticulite a une présentation clinique et radiologique différente d'un épisode initiale et si le risque d'échec du traitement est réellement plus élevé. Méthode : étude rétrospective .de 271 patients consécutifs admis dans le service. de chirurgie viscérale CHUV pour diverticulite, confirmée par CT-scan, de 2001 à 2004. 202 patients présentaient un épisode initial (groupe I), et 69 une récidive (groupe R). Au total 20 paramètres cliniques et 15 radiologiques ont été analysés et comparés entre les 2 groupes, dont le taux de prise en charge chirurgicale, la présentation clinique initiale, la réponse au traitement, les complications, les paramètres de laboratoires, la présence de liquide libre, d'abcès ou de pneumopéritoine au scanner. Une analyse statistique univariée a été effectuée. Résultats : aucun des paramètres cliniques ou radiologiques n'étaient différents entre les deux groupes. Concernant la chirurgie, 15.8% des patients dans le groupe I ont nécessité une prise en charge chirurgicale à l'admission comparé à 5.8% dans le groupe R (p=0.04). Le taux d'échec du traitement conservateur dans les deux groupes était similaire (10.7% vs 10.0% ; p=0.84). Le taux de mortalité à 30 jours était de 3% dans le groupe I et 0% dans le groupe R (p= 0.34). Conclusion : selon les résultats de cette étude, la récidive de diverticulite n'entraîne pas plus de complications ni d'échec du traitement conservateur. De plus, le taux de prise en charge chirurgicale à l'admission du patient est moins fréquent en cas de récidive. Ces résultats remettent en questions le consensus actuel de prise en charge chirurgicale élective.

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Introduction: Les complications dues à la cocaïne inhalée se¦rencontrent de plus en plus fréquemment dans les services d'urgence¦et dans la pratique des médecins de premier recours. La survenue de¦complications pulmonaires aiguës de type pneumothorax est¦méconnue.¦Vignette clinique: Un patient de 25 ans consulte aux urgences en¦raison d'une gêne pharyngée, une odynodysphagie et une dysphonie¦en progression depuis 12 h. Il avoue une prise de cocaïne sniffée à 5¦reprises dans les 6 heures précédant l'apparition des symptômes. Des¦crépitations sous-cutanées sont mise en évidence à la palpation du¦creux sus-claviculaire droit, remontant jusqu'à la base du cou. La¦radiographie thoracique confirme un emphysème sous-cutané des¦creux sus-claviculaires (fig. 1). Le patient bénéficie d'une¦oxygénothérapie et d'une observation, avec une évolution¦spontanément favorable.¦Discussion: Après une prise de cocaïne par inhalation profonde, des¦manoeuvres de Valsalva intenses répétées contre glotte fermée sont¦pratiquées, afin d'augmenter la quantité de substance absorbée et donc¦ses effets. Ceci engendre un gradient de pression entre les alvéoles et¦l'interstitium pulmonaire, entraînant une augmentation de la pression¦intra-alvéolaire, puis une rupture des alvéoles avec libération d'air à¦travers les tissus péri-bronchiques dans le médiastin et les tissus¦sous cutanés. En cas de rupture dans la cavité pleurale, il en résulte¦un pneumothorax. Un tabagisme actif est souvent associé, laissant¦suspecter un effet favorisant du tabac sur la survenue des lésions¦pulmonaires. Un traitement conservateur associant antalgie et¦oxygénothérapie s'avère en général suffisant. En présence d'une¦augmentation de la taille du pneumothorax ou de signes de mise¦sous tension, la pose d'un drain thoracique est indiquée. L'arrêt de la¦consommation de cocaïne et du tabac doit être encouragé.¦Conclusion: Un emphysème sous-cutané ou un pneumothorax¦spontané chez un jeune patient doivent faire suspecter une éventuelle¦consommation de cocaïne. Les questions concernant la prise de¦cocaïne ou d'autres substances (alcool, amphétamines, etc.), ainsi¦que son mode d'utilisation et sa fréquence, doivent être formulées¦clairement et réitérées à plusieurs reprises. Le risque de pneumothorax¦existe également lors de consommation occasionnelle et peut entraîner¦des complications pulmonaires importantes.

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Introduction: L'ossification du ligament commun vertébral postérieur (LCVP) est une hyperostose prédominant au rachis cervical, associée à différentes pathologies constructrices comme l'arthrose, la maladie de Forestier (ou DISH : Diffuse Idiopathic Squeletal Hyperostosis) ou les spondylarthrites (1). Nous rapportons le cas d'une patiente avec ossification cervicale du LCVP, avec coexistence de DISH et de spondylarthrite.Observation: Patiente de 55 ans, d'origine Irakienne, qui présente depuis l'âge de 40 ans des lombalgies et des talalgies attribuées initialement à un métier physique. En 2008, apparait une cervicobrachialgie C6 gauche. L'IRM cervicale retrouve plusieurs hernies discales (C5-C6 et C6-C7 gauches) avec un canal cervical étroit constitutionnel et une ossification du LCVP cervical. Cette ossification est attribuée à un DISH (Figure1). L'échec du traitement conservateur de la névralgie et la menace neurologique de l'ossification du LCVP conduisent en 2010 à une laminectomie C3-C6 avec fixation postérieure (figure 2). En 2011, la patiente consulte en raison de la persistance de cette névralgie, ainsi que pour des lombalgies inflammatoires. La coexistence de ces symptômes inflammatoires et de l'ossification du LCVP nous incite à réaliser une IRM des sacroiliaques qui retrouve une sacroiliite bilatérale (figure 3). Le diagnostic de spondylarthrite HLA B27 négative est retenu devant l'association des signes cliniques et radiologiques. L'étiologie précise quant à l'origine de l'ossification du LCVP reste incertaine, néanmoins un traitement spécifique de la spondylarthopathie est proposé.Discussion: L'ossification du ligament vertébral commun postérieur est une hyperostose dont les principales causes sont le DISH et les spondylarthrites. On retrouve une ossification du ligament commun vertébral, qu'il soit lombaire, cervical ou dorsal, dans 10 à 50 % des DISH, et 3.5 à 30% des spondylarthrites. 4 types d'ossification du LCVP sont décrites : continue, segmentaire, mixte ou circonscrite. Selon Resnick, le DISH se différencie de la spondylarthrite par la présence d'ossifications antérolatérales d'au moins 4 vertèbres contigües sans érosion des sacroiliaques. Cependant on retrouve dans la littérature quelques cas décrivant la coexistence des 2 pathologies. Récemment, Kim et al. Ont rapporté un cas similaire à notre patiente, avec ossification du LCVP cervical et coexistence de DISH et de spondylarthrite (2).Conclusion: Devant la présence d'une ossification du ligament vertébral commun postérieur cervical, il convient de rechercher des signes de DISH et de spondylarthrite, car leur coexistence est possible. La prévalence exacte de cette association reste encore à déterminer.

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Les sinusites maxillaires sont des infections fréquentes de la sphère ORL. On retrouve une étiologie dentaire dans environ 10% des cas. L'extension des infections dentaires dans le sinus maxillaire est possible en raison de la proximité des racines des dents postérieures avec le bas fond sinusien. Une source odontogène doit être suspectée chez les patients ayant une anamnèse de douleur ou d'infection dentaires, de soins dentaires récents et qui présentent une sinusite unilatérale prolongée ou résistant à un traitement conservateur habituel. Les infections d'origine dentaire possèdent une flore bactérienne mixte. Le diagnostic et la prise en charge nécessitent un bilan radiologique précis. Le traitement doit prendre en charge conjointement la cause dentaire et la sinusite. Un geste chirurgical peut être indiqué dans un deuxième temps afin de restaurer la fonction sinusienne. Maxillary sinusitis are common infections. A dental origin is found in about 10% of the cases. The roots of the posterior maxillary teeth are adjacent to the sinus floor. Extensions of dental infections are therefore possible to the sinus. An odontogenic source should be considered in patients with a history of dental pain or recent oral surgery and those with extended unilateral sinusitis or unilateral sinusitis resistant to conventional treatment. Maxillary sinusitis of dental origin are polymicrobial infections. Conventional radiographs and CT-scans are required for the diagnosis and proper management. Dental treatments to remove the underlying cause combined with oral antibiotics to treat the infection are required. Endoscopic or open surgery may be necessary to complete the treatment and restore adequate sinusal function.

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Introduction : Un chylothorax est une pathologie comprenant des manifestations respiratoires, nutritionnelles et immunologiques. La récidive du chylothorax ou l'échec du traitement conservateur imposent un traitement chirurgical. Ce travail rapporte notre expérience de ligature supra-diaphragmatique, vidéo-assistée du canal thoracique, pour chylothorax récurrent non traumatique. Patients et méthodes : Entre 1999 et 2004, nous avons recensé six observations (quatre du côté droit, un du côté gauche et un bilateral) Le chylothorax s'est développé chez trois patients traités par radio et chimiothérapie pour tumeur (deux lymphomes et une tumeur du sein) un dans le contexte d'une lymphangioléiomatose et un après greffe cardiaque. Résultats : Les patients ont bénéficié sous anesthésie générale, d'une ligature du canal thoracique supra-diaphragmatique, vidéo-assistée. Le temps opératoire moyen a été de 102 minutes. Le chylothorax a régressé chez cinq des six patients en sept jours. Un patient a été repris par thoracotomie droite au huitième jour pour chylothorax persistant. Dans la phase post-opératoire, un patient a développé une détresse respiratoire nécessitant une ventilation mécanique. Un autre patient a présenté un chylopéritoine important traité par un stent de Le Veen®. Le séjour moyen a été de quatorze jours sans mortalité péri-opératoire. Conclusion : Le traitement du chylothorax non traumatique récurrent est, en première intention, un traitement médical. En cas de récidive ou d'échec du traitement conservateur, le traitement chirurgical par ligature du canal thoracique supra- diaphragmatique, vidéo-assistée, permet de traiter avec succès le chylothorax récurrent non traumatique. -- Background: Chylothorax is an uncommon disorder with respiratory, nutritional and immunological manifestations. Surgical management is indicated in case of recurrence or failure after conservative treatment. We report our experience with video-assisted right-sided supradiaphrag¬matic thoracic duct ligation for non-traumatic, non-postoperative persistent or recurrent chylothorax. Patients and methods: The medical records of six patients operated at our institution between 1999 and 2004 were retrospectively reviewed. A right-sided chylothorax was found in four patients, a left-sided in one, and a bilateral in one. Three patients developed chylothorax after chemotherapy and chest irradiation for malignant diseases (lymphoma in two patients and breast cancer in one), one in the context of lymphangioleiomyomatosis, one due to a non-diagnosed lymphoma, and one after heart transplantation. Results: The mean operative time was 102 min, with an average length of hospital stay of 14 days. Persistent cessation of chylous effusion within 7 days after surgery was observed in 5/6 patients without recurrence during a mean follow-up time of 41 months. One patient with undiagnosed mediastinal lymphoma required re-operation and thoracic duct ligation on day 8 by right-sided thoracotomy due to persistent chylothorax. No 30-day mortality was recorded. Two patients presented postoperative complications including respiratory insufficiency requiring mechanical ventilation in one, and chylous ascites development requiring peritoneo-venous LeVeen shunting in one patient. Conclusions: Recurrent or persistent non-traumatic chylothorax may be successfully treated by video-assisted right supradiaphragmatic thoracic duct ligation.

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Introduction Le canal lombaire étroit symptomatique est de plus en plus fréquent. Le traitement dépend des signes cliniques et des résultats radiologiques. Mais actuellement il n'y a pas de consensus concernant la classification radiologique. Le but de notre article est d'étudier la relation entre deux paramètres morphologiques radiologiques récemment décrits sur des examens par IRM. Le premier est le « signe de sédimentation » (Sedimentation Sign) et le second est le grade morphologique de la sténose lombaire (Morphological Grade), tous deux décrit en 2010. Matériel et méthode Nous avons étudié des examens IRM de 137 patients suivit dans notre établissement. De ces 137, 110 étaient issus d'une base de donnée de patients avec une sténose lombaire dont la Symptomatologie était typique. Dans ce groupe, 73 patients avaient été traité chirurgicalement et 37 conservativement, dépendant de la sévérité des symptômes. Un troisième groupe, le groupe contrôle, était formé de 27 patients ne présentant que des douleurs lombaires basses sans sciatalgie. La sévérité de la sténose a été évaluée sur les examens IRM au niveau du disque en utilisant les 4 grades de la classification morphologique, de A à D. La présence d'un signe de sédimentation a été, quand à lui, notée au niveau du pédicule, au-dessus et au-dessous du niveau présentant la sténose maximale, comme décrit dans l'article original. Résultat La présence d'un signe de sédimentation positif a été observée chez 58% des patients présentant un grade morphologique B, 69% chez les patients avec un grade C et 76% des patients avec un grade D. Dans le groupe de patient traité chirurgicalement pour une sténose canalaire, 67% des patients présentaient un signe de sédimentation positif, 35% dans le groupe du traitement conservateur, et 8 % dans le groupe contrôle. En ce qui concerne la classification du grade morphologique, nous avons regroupé les grade C et D. Il y avait 97% de patients avec un grade C et D dans le groupe du traitement chirurgical, 35 % dans le groupe du traitement conservateur et 18% dans le groupe contrôle. Nous avons donc calculé que la présence d'un signe de sédimentation positif chez les patients avec une sténose lombaire symptomatique augmente le risque d'avoir besoin d'une intervention de l'ordre de 3.5 fois (OR=3.5). En utilisant la classification du grade morphologique, nous avons calculé un risque encore plus élevé. Un patient avec une sténose canalaire de grade C ou D a 65 fois plus de risque d'avoir besoin d'une intervention (OR=65). Conclusion : Les résultats montrent une corrélation entre ces deux paramètres morphologiques. Mais la prédiction du besoin d'une intervention n'est pas équivalente. Un tiers des patients dans le groupe du traitement chirurgical n'avaient pas de signe de sédimentation positif. Ce signe apparaît donc comme un moins bon prédicteur pour le choix du traitement comparé à la sévérité de la sténose jugée avec le grade morphologique (OR 3.5 vs 65).