153 resultados para Tibet


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El Monestir Budista del Garraf presenta un Pla Executiu per a l’ampliació del monestir. Amb la finalitat de millorar l’eficiència energètica en el futur monestir, s’estima el consum en compliment amb alguns criteris del Decret d’Ecoeficiència. Posteriorment, es realitza una comparació del consum actual del sistema amb l’estimat, analitzant les dades de manera global i per subsistemes. Mitjançant la realització d’un inventari del consum actual, l’estimació del consum futur, l’eficiència energètica i els potencials de captació d’energies renovables, es realitza un estudi per la implantació d’energies renovables al monestir. Es realitzen i s’avaluen les propostes per tal d’augmentar l’estalvi energètic del monestir i disminuir l’impacte ambiental. Es realitza l’estudi de dos escenaris energètics: el cobriment del 20% de la demanda energètica amb energies renovables (Pacte d’Alcaldes) i l’abastiment complet del consum amb energies renovables. Valorant diferents criteris ambientals, socials i econòmics es recomanen propostes per la seva aplicació.

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While the syncretistic Tibetan tradition known as rDzogs chen ("Great Perfection") has attracted considerable attention over the past few decades, its philosophical foundations remain largely unknown to those unacquainted with its primary sources. This thesis looks at the essentials of rDzogs chen philosophy through the lens of two principal distinctions that the tradition has considered indispensable for understanding its distinctive views and practices: dualistic mind (sems) versus primordial knowing (ye shes) and dharmakâya versus the 'ground of all' (kun gzhi) conditioned experience. Arguing that the distinctions provided classical rDzogs chen scholars with a crucial framework for (a) articulating the necessary conditions of nondual primordial knowing, the conditio sine qua non of rNying ma soteriology, and (b) schematizing the relationship between the exoteric and esoteric vehicles of Indian Buddhism within a unifying conception of the Buddhist path as the progressive disclosure of primordial knowing, the thesis shows how the rDzogs chen philosophy of mind has been integral to the tradition's complex soteriology. The thesis consists of two parts: (1) a detailed philosophical investigation of the distinctions and (2) an anthology of previously untranslated Tibetan materials on the distinctions accompanied by critical editions and introductions. The first part systematically invesigates the nature and scope of the distinctions and traces their evolution and complex relationships with Indian Buddhist Cittamâtra, Madhyamaka, Pramàriavàda, and Vajrayâna views. It concludes with an exploration of some soteriological implications of the mind/primordial knowing distinction that became central to rDzogs chen path hermeneutics in the classical period as authors of rDzogs chen path summaries used this distinction to reconcile progressivist sutric and non-progressivist tantric models of the Buddhist path. The translations and texts included in part two of the thesis consist of (a) a short treatise from Klong chen pa's Miscellaneous Writings entitled Sems dang ye shes kyi dris lan (Reply to Questions Concerning Mind and Primordial Knowing), (b) selected passages on the distinctions from this author's monumental summary of the rDzogs chen snying thig system, the Theg mchog mdzod (Treasury of the Supreme Vehicle), and (c) an excerpt on rDzogs chen distinctions taken from 'Jigs med gling pa's (1729-1798) 18th century Klong chen sNying thig path summary entitled Treasury of Qualities (Yon tan mdzod) along with a word-by- word commentary by Yon tan rgya mtsho (b. 19th c.).

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Tractament de la malaltia i la mort a través del budisme tibetà i de l'experiència d'una practicant budista malalta de càncer. Anàlisis del relat de vida amb l'ajut del mètode biogràfic.

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Résumé de la thèseCette étude repose sur un double constat initial : en premier lieu, les récits français d'explorationau Tibet de la période s'étendant de 1850 à 1912 relèvent d'une tradition particulière du voyagescientifique en partie irréductible aux traditions des autres nations impérialistes de la mêmeépoque, notamment la tradition britannique à laquelle on les a souvent assimilés. En second lieu,ces récits révèlent à la fois la place centrale dégagée à la description du paysage tibétain et uneévolution unique et originale des savoirs et des représentations qui lui sont liés.Ce travail montre la rapide évolution des images du Tibet que s'est façonnées l'Europe,l'interrelation de cette histoire des représentations avec une révision des connaissances sur laterre et l'homme dans les sciences du XIXe siècle, ainsi qu'une dimension différentielle entre lesobjectifs de connaissance émanant des explorateurs français et anglais, différence due à uncontexte géopolitique hétérogène. Sur le fond de cette démarche contextualisante, le recours àl'analyse textuelle met en évidence le rôle qu'ont joué les explorateurs français dans l'histoire dessavoirs sur le Tibet.Pour des raisons inhérentes à la qualité d'écriture de ses récits et à l'acuité remarquable de sonapproche du monde tibétain, une place centrale de ce travail a été ménagée à Jacques Bacot(voyages de 1906 à 1907 - Dans les Marches tibétaines - et de 1909 à 1910 - Le Tibet révolté). Il a dèslors été fructueux de replacer ses récits dans l'histoire des savoirs et des représentations du Tibetet de les comparer aux récits majeurs d'autres explorateurs français au Tibet comme GabrielBonvalot, Fernand Grenard et Henri d'Ollone.Le paysage est une notion-clé pour comprendre le regard que portent les explorateurs sur leTibet. Or le paysage revêt des acceptions variables selon les auteurs et affiche des facettesdifférentes. Il a ainsi été possible de distinguer plusieurs dimensions : une dimension cognitive, unedimension épistémique, une dimension intersubjective et, enfin, une dimension imaginaire et sacrée. Cettedimension sacrée du paysage peut également être actualisée en tant que dimension écosymbolique.C'est là l'aboutissement des voyages de Bacot. L'explorateur, attentif à la culture tibétaine, envient à réaliser la valeur sacrée qui traverse la relation des Tibétains eux-mêmes à leurenvironnement. Le paysage ainsi compris se place au fondement d'une expérience partagée avecdes acteurs issus d'une autre culture et apparaît ainsi comme un opérateur privilégié pour« comprendre les compréhensions » (Clifford Geertz) des explorateurs, mais aussi, de proche enproche, des Tibétains.D'un point de vue épistémologique, la mise au jour de ces dimensions du paysage permetd'éviter certains écueils de la critique historienne et littéraire sur les récits de voyage au Tibet, quin'y a vu tantôt que de simples documents inertes, tantôt que le reflet d'un imaginaire purementet indéfectiblement occidental. La présente étude montre au contraire la part irréductiblequ'occupe la rencontre in situ avec l'autre et l'ailleurs dans l'élaboration conjointe desreprésentations et des savoirs.

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Peu reconnus par la critique postcoloniale, souvent assimilés sans nuances aux enjeux géopolitiques du Grand Jeu en Asie centrale à la même période, les récits des explorateurs français du Tibet manifestent pourtant des traits culturels spécifiques dont on se propose ici de mener l'archéologie. Missionnaires, aventuriers, nobles bannis, scientifiques républicains, diplomates, officiers coloniaux, intellectuels et orientalistes éclairés indiquent tous que la culture de l'exploration dont, de 1846 à 1912, ils sont les représentants se conçoit intrinsèquement comme une culture paysagère. Aussi révèlent-ils une évolution originale des savoirs sur le Tibet et des représentations du paysage tibétain qui se découvre progressivement à eux. La description du paysage participe ainsi globalement d'une histoire des sensibilités et d'une histoire des sciences, ce que l'on peut appeler une géosensibilité. Mais la description scientifique du paysage, liée à la pratique du voyage et à une confrontation à l'ailleurs, ne doit pas masquer le primat expérientiel qui lui donne sens. C'est ainsi que le paysage, en tant qu'expérience vécue, en vient à jouer le rôle d'une médiation interculturelle invitant à un renouvellement des questionnaires des explorateurs. Par ailleurs, la description scientifique participe tout autant de différents orientalismes, de différentes perceptions d'un Tibet associé par les voyageurs à un « paysage sacré ». La diversité dont ceux-ci témoignent, mais aussi les croisements de représentations issues d'autres cultures de l'exploration du Tibet - la tradition anglo-saxonne en premier lieu -, nous plongent aux origines de l'« image du Tibet » qui, au loin de la rencontre vivante des explorateurs - la Première Guerre, la Convention de Simla et l'avènement du Guomindang marquent le terme de la culture française de l'exploration du Tibet -, se cristallisera et s'unifiera dans l'imaginaire occidental du XXe siècle.

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Si le Tibet figure en marge des voyages et de l'oeuvre de Théodore Pavie, il occupe pourtant une position-clé, quoique déconsidérée, dans le programme scientifique de l'auteur. L'orientaliste - indianiste et sinologue - s'est rendu en Inde et en Chine lors de son voyage de 1839, mais non au Tibet, alors encore largement inexploré. De surcroît, alors que Pavie succède à Eugène Burnouf, auteur éminent de l'Introduction au bouddhisme indien (1844), à la chaire d'études indiennes du Collège de France, ce n'est pas lui mais son condisciple Philippe-Edouard Foucaux qui prendra en charge l'enseignement du tibétain dans les milieux orientalistes parisiens. Dès lors, en quoi le nom de Pavie se rapporte-t-il à l'histoire des savoirs et des représentations du Tibet ?A Calcutta, notre voyageur fait la rencontre d'Alexandre Csoma de Kőrös, savant hongrois fondateur des études tibétaines. A son retour en France, alors même que l'on apprend en Europe l'exploit du père Huc, lequel missionnaire vient de pénétrer à Lhassa, Pavie rédige un article dans la Revue des Deux Mondes sur « Le Thibet et les études thibétaines » (1847). Cet article, pétri par un souffle romantique grandiose, articule savoirs et imaginaire sur le Tibet. Les Tibétains, sauvages et primitifs, à l'image de leur territoire, sont présentés comme les héritiers historiques des civilisations indienne et chinoise. Le Tibet apparaît dès lors comme le musée pétrifié du bouddhisme originel, que le savant peut reconstituer sous les traits - à ses yeux dégénérés - du « lamaïsme », et, en premier lieu, à travers les livres innombrables des bibliothèques des monastères tibétains - attirant sans le savoir l'attention du public français sur l'une des plus grandes littératures du monde. Tout en balisant un nouveau domaine d'études « interdisciplinaire » s'ouvrant à l'orientalisme, Pavie n'en vient-il pas à formuler ce que l'on pourrait appeler un paradoxe tibétain ? Comment le Tibet, isolé par-delà les plus imposantes chaînes de montagne du globe, peut-il être le dépositaire d'une des plus grandes civilisations de l'histoire humaine ? A l'orée de la grande période d'exploration du Tibet, l'orientaliste ne consacre-t-il pas une vision du Tibet qui fera fortune chez les voyageurs français de la seconde moitié du XIXe siècle ? Examiner ce pan de la tibétologie française naissante amène à croiser différentes figures de savants et d'explorateurs, en vue de dégager les processus par lesquels savoirs et représentations liés au Tibet se sont constitués à la fin du XIXe siècle.

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BACKGROUND: The historical orogenesis and associated climatic changes of mountain areas have been suggested to partly account for the occurrence of high levels of biodiversity and endemism. However, their effects on dispersal, differentiation and evolution of many groups of plants are still unknown. In this study, we examined the detailed diversification history of Primula sect. Armerina, and used biogeographic analysis and macro-evolutionary modeling to investigate a series of different questions concerning the evolution of the geographical and ecological distribution of the species in this section. RESULTS: We sequenced five chloroplast and one nuclear genes for species of Primula sect. Armerina. Neither chloroplast nor nuclear trees support the monophyly of the section. The major incongruences between the two trees occur among closely related species and may be explained by hybridization. Our dating analyses based on the chloroplast dataset suggest that this section began to diverge from its relatives around 3.55 million years ago, largely coinciding with the last major uplift of the Qinghai-Tibet Plateau (QTP). Biogeographic analysis supports the origin of the section in the Himalayan Mountains and dispersal from the Himalayas to Northeastern QTP, Western QTP and Hengduan Mountains. Furthermore, evolutionary models of ecological niches show that the two P. fasciculata clades have significantly different climatic niche optima and rates of niche evolution, indicating niche evolution under climatic changes and further providing evidence for explaining their biogeographic patterns. CONCLUSION: Our results support the hypothesis that geologic and climatic events play important roles in driving biological diversification of organisms in the QTP area. The Pliocene uplift of the QTP and following climatic changes most likely promoted both the inter- and intraspecific divergence of Primula sect. Armerina. This study also illustrates how niche evolution under climatic changes influences biogeographic patterns.

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