938 resultados para Textural signature


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The garnet-kyanite-staurolite and garnet-biotite-staurolite gneisses were collected from a locality within Lukung area that belongs to the Pangong metamorphic complex in Shyok valley, Ladakh Himalaya. The kyanite-free samples have garnet and staurolite in equilibrium, where garnets show euhedral texture and have flat compositional profile. On the other hand, the kyanite-bearing sample shows equilibrium assemblage of garnet-kyanite-staurolite along with muscovite and biotite. In this case, garnet has an inclusion rich core with a distinct grain boundary, which was later overgrown by inclusion free euhedral garnet. Garnet cores are rich in Mn and Ca, while the rims are poor in Mn and rich in Fe and Mg, suggesting two distinct generations of growth. However, the compositional profiles and textural signature of garnets suggests the same stage of P -T evolution for the formation of the inclusion free euhedral garnets in the kyanite-free gneisses and the inclusion free euhedral garnet rims in the kyanite-bearing gneiss. Muscovites from the four samples have consistent K-Ar ages, suggesting the cooling age (∼ 10 Ma) of the gneisses. These ages make a constraint on the timing of the youngest post-collision metamorphic event that may be closely related to an activation of the Karakoram fault in Pangong metamorphic complex.

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La texture est un élément clé pour l’interprétation des images de télédétection à fine résolution spatiale. L’intégration de l’information texturale dans un processus de classification automatisée des images se fait habituellement via des images de texture, souvent créées par le calcul de matrices de co-occurrences (MCO) des niveaux de gris. Une MCO est un histogramme des fréquences d’occurrence des paires de valeurs de pixels présentes dans les fenêtres locales, associées à tous les pixels de l’image utilisée; une paire de pixels étant définie selon un pas et une orientation donnés. Les MCO permettent le calcul de plus d’une dizaine de paramètres décrivant, de diverses manières, la distribution des fréquences, créant ainsi autant d’images texturales distinctes. L’approche de mesure des textures par MCO a été appliquée principalement sur des images de télédétection monochromes (ex. images panchromatiques, images radar monofréquence et monopolarisation). En imagerie multispectrale, une unique bande spectrale, parmi celles disponibles, est habituellement choisie pour générer des images de texture. La question que nous avons posée dans cette recherche concerne justement cette utilisation restreinte de l’information texturale dans le cas des images multispectrales. En fait, l’effet visuel d’une texture est créé, non seulement par l’agencement particulier d’objets/pixels de brillance différente, mais aussi de couleur différente. Plusieurs façons sont proposées dans la littérature pour introduire cette idée de la texture à plusieurs dimensions. Parmi celles-ci, deux en particulier nous ont intéressés dans cette recherche. La première façon fait appel aux MCO calculées bande par bande spectrale et la seconde utilise les MCO généralisées impliquant deux bandes spectrales à la fois. Dans ce dernier cas, le procédé consiste en le calcul des fréquences d’occurrence des paires de valeurs dans deux bandes spectrales différentes. Cela permet, en un seul traitement, la prise en compte dans une large mesure de la « couleur » des éléments de texture. Ces deux approches font partie des techniques dites intégratives. Pour les distinguer, nous les avons appelées dans cet ouvrage respectivement « textures grises » et « textures couleurs ». Notre recherche se présente donc comme une analyse comparative des possibilités offertes par l’application de ces deux types de signatures texturales dans le cas spécifique d’une cartographie automatisée des occupations de sol à partir d’une image multispectrale. Une signature texturale d’un objet ou d’une classe d’objets, par analogie aux signatures spectrales, est constituée d’une série de paramètres de texture mesurés sur une bande spectrale à la fois (textures grises) ou une paire de bandes spectrales à la fois (textures couleurs). Cette recherche visait non seulement à comparer les deux approches intégratives, mais aussi à identifier la composition des signatures texturales des classes d’occupation du sol favorisant leur différentiation : type de paramètres de texture / taille de la fenêtre de calcul / bandes spectrales ou combinaisons de bandes spectrales. Pour ce faire, nous avons choisi un site à l’intérieur du territoire de la Communauté Métropolitaine de Montréal (Longueuil) composé d’une mosaïque d’occupations du sol, caractéristique d’une zone semi urbaine (résidentiel, industriel/commercial, boisés, agriculture, plans d’eau…). Une image du satellite SPOT-5 (4 bandes spectrales) de 10 m de résolution spatiale a été utilisée dans cette recherche. Puisqu’une infinité d’images de texture peuvent être créées en faisant varier les paramètres de calcul des MCO et afin de mieux circonscrire notre problème nous avons décidé, en tenant compte des études publiées dans ce domaine : a) de faire varier la fenêtre de calcul de 3*3 pixels à 21*21 pixels tout en fixant le pas et l’orientation pour former les paires de pixels à (1,1), c'est-à-dire à un pas d’un pixel et une orientation de 135°; b) de limiter les analyses des MCO à huit paramètres de texture (contraste, corrélation, écart-type, énergie, entropie, homogénéité, moyenne, probabilité maximale), qui sont tous calculables par la méthode rapide de Unser, une approximation des matrices de co-occurrences, c) de former les deux signatures texturales par le même nombre d’éléments choisis d’après une analyse de la séparabilité (distance de Bhattacharya) des classes d’occupation du sol; et d) d’analyser les résultats de classification (matrices de confusion, exactitudes, coefficients Kappa) par maximum de vraisemblance pour conclure sur le potentiel des deux approches intégratives; les classes d’occupation du sol à reconnaître étaient : résidentielle basse et haute densité, commerciale/industrielle, agricole, boisés, surfaces gazonnées (incluant les golfs) et plans d’eau. Nos principales conclusions sont les suivantes a) à l’exception de la probabilité maximale, tous les autres paramètres de texture sont utiles dans la formation des signatures texturales; moyenne et écart type sont les plus utiles dans la formation des textures grises tandis que contraste et corrélation, dans le cas des textures couleurs, b) l’exactitude globale de la classification atteint un score acceptable (85%) seulement dans le cas des signatures texturales couleurs; c’est une amélioration importante par rapport aux classifications basées uniquement sur les signatures spectrales des classes d’occupation du sol dont le score est souvent situé aux alentours de 75%; ce score est atteint avec des fenêtres de calcul aux alentours de11*11 à 15*15 pixels; c) Les signatures texturales couleurs offrant des scores supérieurs à ceux obtenus avec les signatures grises de 5% à 10%; et ce avec des petites fenêtres de calcul (5*5, 7*7 et occasionnellement 9*9) d) Pour plusieurs classes d’occupation du sol prises individuellement, l’exactitude dépasse les 90% pour les deux types de signatures texturales; e) une seule classe est mieux séparable du reste par les textures grises, celle de l’agricole; f) les classes créant beaucoup de confusions, ce qui explique en grande partie le score global de la classification de 85%, sont les deux classes du résidentiel (haute et basse densité). En conclusion, nous pouvons dire que l’approche intégrative par textures couleurs d’une image multispectrale de 10 m de résolution spatiale offre un plus grand potentiel pour la cartographie des occupations du sol que l’approche intégrative par textures grises. Pour plusieurs classes d’occupations du sol un gain appréciable en temps de calcul des paramètres de texture peut être obtenu par l’utilisation des petites fenêtres de traitement. Des améliorations importantes sont escomptées pour atteindre des exactitudes de classification de 90% et plus par l’utilisation des fenêtres de calcul de taille variable adaptées à chaque type d’occupation du sol. Une méthode de classification hiérarchique pourrait être alors utilisée afin de séparer les classes recherchées une à la fois par rapport au reste au lieu d’une classification globale où l’intégration des paramètres calculés avec des fenêtres de taille variable conduirait inévitablement à des confusions entre classes.

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Holocene tidal palaoechannels, Severn Estuary Levels, UK: a search for granulometric and foraminiferal criteria. Proceedings of the Geologists' Association, 117, 329-344. Grain-size characteristics (by laser granulometry) and foraminiferal assemblages have been established for silts accumulated in five, dissimilar tidal palaeochannels of mid or late Holocene age in the Severn Estuary Levels, representative of muddy tidal systems. For purposes of general comparison, similar data were obtained from a representative active tidal inlet in the area, but all of these channels have been subject to human interference and are not relied upon as a model for environmental interpretation. Although the palaeochannel deposits differ substantially in their bedding characteristics and stratigraphical relationships from the level-bedded salt-marsh platform and mudflat deposits with which they are associated, and although the channel environment is distinctive morphologically and hydraulically, no critical textural differences could be found between the channel deposits and the associated facies. Similarly, no foraminiferal assemblages distinctive of a tidal channel were encountered. Instead, the assemblages compare with those from mudflats and salt-marsh platforms. It is concluded that the sides of the subfossil channels carried some vegetation, as was observed to be the case in the modern inlet. An alternative approach is necessary if concealed palaeochannel deposits are to be recognized in muddy systems from limited numbers of subsurface samples. Although the palaeochannels afforded no characteristic textural signature, they yield transverse grain-size patterns pointing to coastal movements during their evolution. Concave-up trends suggest outward coastal building, whereas convex-up ones point to marsh-edge retreat.

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Soil properties that influence water movement through profiles are important for determining flow paths, reactions between soil and solute, and the ultimate destination of solutes. This is particularly important in high rainfall environments. For highly weathered deep profiles, we hypothesize that abrupt changes in the distribution of the quotient [QT = (silt + sand)/clay] reflect the boundaries between textural units or textural (TS) and hydrologic (HS) stratigraphies. As a result, QT can be used as a parameter to characterize TS and as a surrogate for HS. Secondly, we propose that if chloride distributions were correlated with QT, under non-limiting anion exchange, then chloride distributions can be used as a signature indicator of TS and HS. Soil cores to a depth of 12.5 in were taken from 16 locations in the wet tropical Johnstone River catchment of northeast Queensland, Australia. The cores belong to nine variable charge soil types and were under sugarcane (Saccharun officinarum-S) production, which included the use of potassium chloride, for several decades. The cores were segmented at I m depth increments and subsamples were analysed for chloride, pH, soil water content (theta), clay, silt and sand contents. Selected bores were capped to serve as piezometers to monitor groundwater dynamics. Depth incremented QT, theta and chloride correlated, each individually, significantly with the corresponding profile depth increments, indicating the presence of textural, hydrologic and chloride gradients in profiles. However, rapid increases in QT down the profile indicated abrupt changes in TS, suggesting that QT can be used as a parameter to characterize TS and as a surrogate for HS. Abrupt changes in chloride distributions were similar to QT, suggesting that chloride distributions can be used as a signature indicator of QT (TS) and HS. Groundwater data indicated that chloride distributions depended, at least partially, on groundwater dynamics, providing further support to our hypothesis that chloride distribution can be used as a signature indicator of HS. Copyright (c) 2005 John Wiley & Sons, Ltd.

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The security of strong designated verifier (SDV) signature schemes has thus far been analyzed only in a two-user setting. We observe that security in a two-user setting does not necessarily imply the same in a multi-user setting for SDV signatures. Moreover, we show that existing security notions do not adequately model the security of SDV signatures even in a two-user setting. We then propose revised notions of security in a multi-user setting and show that no existing scheme satisfies these notions. A new SDV signature scheme is then presented and proven secure under the revised notions in the standard model. For the purpose of constructing the SDV signature scheme, we propose a one-pass key establishment protocol in the standard model, which is of independent interest in itself.

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Tzeng et al. proposed a new threshold multi-proxy multi-signature scheme with threshold verification. In their scheme, a subset of original signers authenticates a designated proxy group to sign on behalf of the original group. A message m has to be signed by a subset of proxy signers who can represent the proxy group. Then, the proxy signature is sent to the verifier group. A subset of verifiers in the verifier group can also represent the group to authenticate the proxy signature. Subsequently, there are two improved schemes to eliminate the security leak of Tzeng et al.’s scheme. In this paper, we have pointed out the security leakage of the three schemes and further proposed a novel threshold multi-proxy multi-signature scheme with threshold verification.

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A strong designated verifier signature scheme makes it possible for a signer to convince a designated verifier that she has signed a message in such a way that the designated verifier cannot transfer the signature to a third party, and no third party can even verify the validity of a designated verifier signature. We show that anyone who intercepts one signature can verify subsequent signatures in Zhang-Mao ID-based designated verifier signature scheme and Lal-Verma ID-based designated verifier proxy signature scheme. We propose a new and efficient ID-based designated verifier signature scheme that is strong and unforgeable. As a direct corollary, we also get a new efficient ID-based designated verifier proxy signature scheme.