1000 resultados para Stress Psychosociale
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Objectif: Examiner l’association entre l'exposition aux évènements stressants de la vie et le cancer du poumon. Méthodes: Les données proviennent d’une étude cas-témoins, menée chez les hommes et les femmes vivant dans la région métropolitaine de Montréal entre 1996 et 2001. Le cancer du poumon d’un cas éligible devait être confirmé histologiquement à l’un des 18 hôpitaux de cette région. Les témoins ont été sélectionnés aléatoirement de la liste électorale du Québec et ont été appariés au cas par fréquence de groupes d'âge et par sexe. Un questionnaire a été administré en entrevue pour recueillir les données, dont l’évaluation de huit évènements stressants de la vie par le participant. Si le participant avait vécu un évènement stressant ciblé durant les six dernières années, il devait aussi coter cet évènement sur une échelle de trois points. La régression logistique non conditionnelle a été utilisée pour estimer les rapports de cotes ainsi que leurs intervalles de confiance à 95%. Des analyses par sexe, niveau de tabagisme et par type histologique ont été réalisées. Nous avons aussi analysé l’association entre le cancer du poumon et le nombre total d'évènements, les évènements de perte et les évènements socioéconomiques, ainsi que chaque évènement individuellement. Les analyses des scores d'impact autoévalués et avec un score externe de perception, ont également été menées. Résultats: La population de ce projet comprend 1061 cas et 1422 témoins, âgés de 35 à 70 ans. Les participants inclus avaient répondu aux sections du questionnaire portant sur les facteurs de style de vie et sur l'historique de tabagisme. Dans l'ensemble, nous n’avons pas observé d’association entre le cancer du poumon et l'exposition aux évènements stressants de la vie. Nous avons observé une diminution du risque pour les évènements socioéconomiques autoévalués comme peu stressants (RC=0,50; IC 95%= 0,31 - 0,81). Conclusion: Nos résultats suggèrent que les évènements socioéconomiques sont associées à un risque réduit si ces évènements sont considérés comme peu stressant.
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Objectif: Examiner l’association entre l'exposition aux évènements stressants de la vie et le cancer du poumon. Méthodes: Les données proviennent d’une étude cas-témoins, menée chez les hommes et les femmes vivant dans la région métropolitaine de Montréal entre 1996 et 2001. Le cancer du poumon d’un cas éligible devait être confirmé histologiquement à l’un des 18 hôpitaux de cette région. Les témoins ont été sélectionnés aléatoirement de la liste électorale du Québec et ont été appariés au cas par fréquence de groupes d'âge et par sexe. Un questionnaire a été administré en entrevue pour recueillir les données, dont l’évaluation de huit évènements stressants de la vie par le participant. Si le participant avait vécu un évènement stressant ciblé durant les six dernières années, il devait aussi coter cet évènement sur une échelle de trois points. La régression logistique non conditionnelle a été utilisée pour estimer les rapports de cotes ainsi que leurs intervalles de confiance à 95%. Des analyses par sexe, niveau de tabagisme et par type histologique ont été réalisées. Nous avons aussi analysé l’association entre le cancer du poumon et le nombre total d'évènements, les évènements de perte et les évènements socioéconomiques, ainsi que chaque évènement individuellement. Les analyses des scores d'impact autoévalués et avec un score externe de perception, ont également été menées. Résultats: La population de ce projet comprend 1061 cas et 1422 témoins, âgés de 35 à 70 ans. Les participants inclus avaient répondu aux sections du questionnaire portant sur les facteurs de style de vie et sur l'historique de tabagisme. Dans l'ensemble, nous n’avons pas observé d’association entre le cancer du poumon et l'exposition aux évènements stressants de la vie. Nous avons observé une diminution du risque pour les évènements socioéconomiques autoévalués comme peu stressants (RC=0,50; IC 95%= 0,31 - 0,81). Conclusion: Nos résultats suggèrent que les évènements socioéconomiques sont associées à un risque réduit si ces évènements sont considérés comme peu stressant.
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Cette thèse avait pour objectif d’examiner les liens longitudinaux entre le timing pubertaire et les problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence, soit les problèmes de conduite et les symptômes dépressifs. Guidé par la perspective théorique biosociale et le modèle de vulnérabilité-stress, le rôle modérateur de l’environnement social et des vulnérabilités personnelles préexistantes était également évalué. Les hypothèses initiales étaient qu’un timing pubertaire précoce ou déviant de la norme (précoce et tardif) serait associé à des niveaux plus élevés de problèmes de conduite et de symptômes dépressifs, mais que ce lien serait accentué dans des contextes sociaux et interpersonnels plus à risque et en présence de vulnérabilités individuelles chez les adolescents. Pour vérifier ces hypothèses, des données provenant de l’Enquête Longitudinale Nationale sur les Enfants et les Jeunes (ELNEJ) ont été analysées. Gérée par Statistique Canada, l’ELNEJ est une enquête prospective biennale comportant différents échantillons représentatifs d’enfants et d’adolescents canadiens. Les mesures utilisées dans cette thèse ont été collectées à différents cycles de l’enquête, soit à 10–11 ans, 12–13 ans, 14–15 ans et 16–17 ans, directement auprès des adolescents et de leurs parents par le biais de questionnaires et d’entrevues. Le premier article de la thèse a vérifié si l’interaction entre le timing pubertaire et des caractéristiques du contexte social des pairs (c.-à-d. l’affiliation avec des pairs déviants et l’implication amoureuse en début d’adolescence) prédisait la présentation de problèmes de conduite avec et sans agressivité physique à l’adolescence. Les résultats ont montré que le contexte social des pairs modérait l’association entre le timing pubertaire et les problèmes de conduite. Une interaction significative entre le timing pubertaire et l’affiliation à des pairs déviants a indiqué qu’une puberté plus précoce était associée à des fréquences plus élevées de problèmes de conduite agressive seulement chez les filles et les garçons qui fréquentaient des pairs déviants. Autrement dit, parmi les adolescents s’affiliant à des pairs déviants en début d’adolescence, les adolescents pubères précoces tendaient à présenter plus de problèmes de conduite agressive deux ans plus tard, en comparaison à leurs pairs pubères dans les temps moyens ou tardifs. Une seconde interaction significative obtenue chez les filles a montré que la puberté plus précoce était prédictrice des problèmes de conduite non-agressive seulement en présence d’un engagement amoureux en début d’adolescence. En effet, dans un contexte d’implication amoureuse, les filles pubères précoces présentaient plus de problèmes de conduite non-agressive que leurs pairs. Le deuxième article de la thèse avait pour objectif d’évaluer le rôle modérateur des vulnérabilités individuelles à la dépression (présence de symptômes intériorisés à la fin de l’enfance), du contexte social des pairs (affiliation à des pairs déviants, expérience amoureuse précoce et perception de popularité auprès des pairs) et des relations parent-adolescent (perception de rejet de la part des parents) dans l’association longitudinale entre le timing pubertaire et les symptômes dépressifs en fin d’adolescence. Chez les filles, une interaction triple a révélé que la puberté plus précoce était liée à davantage de symptômes dépressifs, mais seulement chez celles qui présentaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance et une implication amoureuse précoce. Chez les garçons, un effet curvilinéaire du timing pubertaire a été observé alors que la puberté précoce et tardive était associée à plus de symptômes dépressifs, mais seulement chez les garçons qui manifestaient des symptômes intériorisés à la fin de l’enfance. La puberté plus précoce était aussi liée à des niveaux plus élevés de symptômes dépressifs en présence d’affiliation à des pairs déviants (garçons) et de perceptions plus importantes de rejet parental (filles et garçons). En somme, la mise en évidence d’interactions significatives entre le timing pubertaire, les caractéristiques de l’environnement social et les vulnérabilités individuelles suscite différentes réflexions au plan théorique et pratique. Tout d’abord, les résultats suggèrent que le timing pubertaire en lui-même ne paraît pas représenter un facteur de risque généralisé des problèmes de comportement intériorisés et extériorisés à l’adolescence. Plus particulièrement, ces résultats soulignent l’importance de considérer l’environnement social et les facteurs de risque individuels préexistants afin de mieux comprendre l’effet de la transition pubertaire sur l’adaptation psychosociale des adolescents.
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It is unclear which theoretical dimension of psychological stress affects health status. We hypothesized that both distress and coping mediate the relationship between socio-economic position and tooth loss. Cross-sectional data from 2915 middle-aged adults evaluated retention of < 20 teeth, behaviors, psychological stress, and sociodemographic characteristics. Principal components analysis of the Perceived Stress Scale (PSS) extracted 'distress' (a = 0.85) and 'coping' (a =0.83) factors, consistent with theory. Hierarchical entry of explanatory variables into age- and sex-adjusted logistic regression models estimated odds ratios (OR) and 95% confidence intervals [95% CI] for retention of < 20 teeth. Analysis of the separate contributions of distress and coping revealed a significant main effect of coping (OR = 0.7 [95% CI = 0.7-0.8]), but no effect for distress (OR = 1.0 [95% CI = 0.9-1.1]) or for the interaction of coping and distress. Behavior and psychological stress only modestly attenuated socio-economic inequality in retention of < 20 teeth, providing evidence to support a mediating role of coping.
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This study investigated the psychological impact of HIV infection through assessment of posttraumatic stress disorder in response to HIV infection. Sixty-one HIV-positive homosexual/bisexual men were assessed for posttraumatic stress disorder in response to HIV infection (PTSD-HIV) using a modified PTSD module of the DIS-III-R. Thirty percent met criteria for a syndrome of posttraumatic stress disorder in response to HIV diagnosis (PTSD-HIV). In over one-third of the PTSD cases, the disorder had an onset greater than 6 months after initial HIV infection diagnosis. PTSD-HIV was associated with other psychiatric diagnoses, particularly the development of first episodes of major depression after HIV infection diagnosis. PTSD-HIV was significantly associated with a pre-HIV history of PTSD from other causes, and other pre-HIV psychiatric disorders and neuroticism scores, indicating a similarity with findings in studies of PTSD from other causes. The findings from this preliminary study suggest that a PTSD response to HIV diagnosis has clinical validity and requires further investigation in this population and other medically ill groups. The results support the inclusion of the diagnosis of life-threatening illness as a traumatic incident that may lead to a posttraumatic stress disorder, which is consistent with the DSM-IV criteria.
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This study explored the prediction of psychological climate and stresses on job satisfaction in non U.S. setting. A total of 450 surveys were sent to 11 organisations in Thailand and employees were asked to fill out the survey. The first hypothesis that positive psychological climate dimensions predicted lower level of stresses among Thai employees was partially accepted. Further regression analysis tested second hypothesis that positive psychological climate dimensions and low level of stresses predict job satisfaction among Thai employees. Contrary to expectation, only stress variables predicted job satisfaction. Thai culture influence was discussed.
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Physiological responses to environmental stress are increasingly well studied in scleractinian corals. This work reports a new stress-related skeletal structure we term clypeotheca. Clypeotheca was observed in several livecollected common reef-building coral genera and a two to three kya subfossil specimen from Heron Reef, Great Barrier Reef and consists of an epitheca-like skeletal wall that seals over the surface of parts of the corallum in areas of stress or damage. It appears to form from a coordinated process wherein neighboring polyps and adjoining coenosarc seal themselves off from the surrounding environment as they contract and die. Clypeotheca forms from inward skeletal centripetal growth at the edges of corallites and by the merging of flange-like outgrowths that surround individual spines over the surface of the coenosteum. Microstructurally, the merged flanges are similar to upsidedown dissepiments and true epitheca. Clypeotheca is interpreted primarily as a response to stress that may help protect the colony from invasion of unhealthy tissues by parasites or disease by retracting tissues in areas that have become unhealthy for the polyps. Identification of skeletal responses of corals to environmental stress may enable the frequency of certain types of environmental stress to be documented in past environments. Such data may be important for understanding the nature of reef dynamics through intervals of climate change and for monitoring the effects of possible anthropogenic stress in modern coral reef habitats.
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It has been claimed that the symptoms of post-traumatic stress disorder (PTSD) can be ameliorated by eye-movement desensitization-reprocessing therapy (EMD-R), a procedure that involves the individual making saccadic eye-movements while imagining the traumatic event. We hypothesized that these eye-movements reduce the vividness of distressing images by disrupting the function of the visuospatial sketchpad (VSSP) of working memory, and that by doing so they reduce the intensity of the emotion associated with the image. This hypothesis was tested by asking non-PTSD participants to form images of neutral and negative pictures under dual task conditions. Their images were less vivid with concurrent eye-movements and with a concurrent spatial tapping task that did not involve eye-movements. In the first three experiments, these secondary tasks did not consistently affect participants' emotional responses to the images. However, Expt 4 used personal recollections as stimuli for the imagery task, and demonstrated a significant reduction in emotional response under the same dual task conditions. These results suggest that, if EMD-R works, it does so by reducing the vividness and emotiveness of traumatic images via the VSSP of working memory. Other visuospatial tasks may also be of therapeutic value.
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Bananas are susceptible to a diverse range of biotic and abiotic stresses, many of which cause serious production constraints worldwide. One of the most destructive banana diseases is Fusarium wilt caused by the soil-borne fungus, Fusarium oxysporum f. sp. cubense (Foc). No effective control strategy currently exists for this disease which threatens global banana production. Although disease resistance exists in some wild bananas, attempts to introduce resistance into commercially acceptable bananas by conventional breeding have been hampered by low fertility, long generation times and association of poor agronomical traits with resistance genes. With the advent of reliable banana transformation protocols, molecular breeding is now regarded as a viable alternative strategy to generate disease-resistant banana plants. Recently, a novel strategy involving the expression of anti-apoptosis genes in plants was shown to result in resistance against several necrotrophic fungi. Further, the transgenic plants showed increased resistance to a range of abiotic stresses. In this thesis, the use of anti-apoptosis genes to generate transgenic banana plants with resistance to Fusarium wilt was investigated. Since water stress is an important abiotic constraint to banana production, the resistance of the transgenic plants to water stress was also examined. Embryogenic cell suspensions (ECS) of two commercially important banana cultivars, Grand Naine (GN) and Lady Finger (LF), were transformed using Agrobacterium with the anti-apoptosis genes, Bcl-xL, Bcl-xL G138A, Ced-9 and Bcl- 2 3’ UTR. An interesting, and potentially important, outcome was that the use of anti-apoptosis genes resulted in up to a 50-fold increase in Agrobacterium-mediated transformation efficiency of both LF and GN cells over vector controls. Regenerated plants were subjected to a complete molecular characterisation in order to detect the presence of the transgene (PCR), transcript (RT-PCR) and gene product (Western blot) and to determine the gene copy number (Southern blot). A total of 36 independently-transformed GN lines (8 x Bcl-xL, 5 x Bcl-xL G138A, 15 x Ced-9 and 8 x Bcl-2 3’ UTR) and 41 independently-transformed LF lines (8 x Bcl-xL, 7 x BclxL G138A, 13 x Ced-9 and 13 x Bcl-2 3’ UTR) were identified. The 41 transgenic LF lines were multiplied and clones from each line were acclimatised and grown under glasshouse conditions for 8 weeks to allow monitoring for phenotypic abnormalities. Plants derived from 3 x Bcl-xL, 2 x Ced-9 and 5 x Bcl-2 3’ UTR lines displayed a variety of aberrant phenotypes. However, all but one of these abnormalities were off-types commonly observed in tissue-cultured, non-transgenic banana plants and were therefore unlikely to be transgene-related. Prior to determining the resistance of the transgenic plants to Foc race 1, the apoptotic effects of the fungus on both wild-type and Bcl-2 3’ UTR-transgenic LF banana cells were investigated using rapid in vitro root assays. The results from these assays showed that apoptotic-like cell death was elicited in wild-type banana root cells as early as 6 hours post-exposure to fungal spores. In contrast, these effects were attenuated in the root cells of Bcl-2 3’ UTR-transgenic lines that were exposed to fungal spores. Thirty eight of the 41 transgenic LF lines were subsequently assessed for resistance to Foc race 1 in small-plant glasshouse bioassays. To overcome inconsistencies in rating the internal (vascular discolouration) disease symptoms, a MatLab-based computer program was developed to accurately and reliably assess the level of vascular discolouration in banana corms. Of the transgenic LF banana lines challenged with Foc race 1, 2 x Bcl-xL, 3 x Ced-9, 2 x Bcl-2 3’ UTR and 1 x Bcl-xL G138A-transgenic line were found to show significantly less external and internal symptoms than wild-type LF banana plants used as susceptible controls at 12 weeks post-inoculation. Of these lines, Bcl-2 3’ UTR-transgenic line #6 appeared most resistant, displaying very mild symptoms similar to the wild-type Cavendish banana plants that were included as resistant controls. This line remained resistant for up to 23 weeks post-inoculation. Since anti-apoptosis genes have been shown to confer resistance to various abiotic stresses in other crops, the ability of these genes to confer resistance against water stress in banana was also investigated. Clonal plants derived from each of the 38 transgenic LF banana plants were subjected to water stress for a total of 32 days. Several different lines of transgenic plants transformed with either Bcl-xL, Bcl-xL G138A, Ced-9 or Bcl-2 3’ UTR showed a delay in visual water stress symptoms compared with the wild-type control plants. These plants all began producing new growth from the pseudostem following daily rewatering for one month. In an attempt to determine whether the protective effect of anti-apoptosis genes in transgenic banana plants was linked with reactive oxygen species (ROS)-associated programmed cell death (PCD), the effect of the chloroplast-targeting, ROS-inducing herbicide, Paraquat, on wild-type and transgenic LF was investigated. When leaf discs from wild-type LF banana plants were exposed to 10 ìM Paraquat, complete decolourisation occurred after 48 hours which was confirmed to be associated with cell death and ROS production by trypan blue and 3,3-diaminobenzidine (DAB) staining, respectively. When leaf discs from the transgenic lines were exposed to Paraquat, those derived from some lines showed a delay in decolourisation, suggesting only a weak protective effect from the transgenes. Finally, the protective effect of anti-apoptosis genes against juglone, a ROS-inducing phytotoxin produced by the causal agent of black Sigatoka, Mycosphaerella fijiensis, was investigated. When leaf discs from wild-type LF banana plants were exposed to 25 ppm juglone, complete decolourisation occurred after 48 hours which was again confirmed to be associated with cell death and ROS production by trypan blue and DAB staining, respectively. Further, TdT-mediated dUTP nick-end labelling (TUNEL) assays on these discs suggested that the cell death was apoptotic. When leaf discs from the transgenic lines were exposed to juglone, discs from some lines showed a clear delay in decolourisation, suggesting a protective effect. Whether these plants are resistant to black Sigatoka is unknown and will require future glasshouse and field trials. The work presented in this thesis provides the first report of the use of anti-apoptosis genes as a strategy to confer resistance to Fusarium wilt and water stress in a nongraminaceous monocot, banana. Such a strategy may be exploited to generate resistance to necrotrophic pathogens and abiotic stresses in other economically important crop plants.
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Cross-cultural research in occupational stress and coping has produced a wealth of knowledge. Although advancement has been made, there are still problems to be solved. One of these problems is the confusion generated in the literature by researchers claiming nation or country as representing cultural values, and the use of the two terms interchangeably. It remains unclear whether this practice is correct. The present paper reported on this by using 511 full time employees from Australia, Singapore and Sri Lanka to study occupational stress and coping. Results revealed that cultural value paradigm (i.e., Individualism-Collectivism) was distributed across the three nations, such that over 60% of participants across the three nations were either high or low in both I-C paradigms. The findings also indicated that the relationship between cultural value paradigm and country impacted on stress and coping differently. The study shows that significant differences exist within country, as well as between countries, such that any attempt to equate ‘culture’ with ‘country’ becomes problematic. Therefore, these findings establish that country or nation was not the same as culture values and could not be used interchangeably.
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A significant number of children suffer long term psychological disturbance following exposure to a natural disaster. Evidence suggests that a dose-response relationship exists, so that children and adolescents who experience the most intense or extensive exposure to the risk factors for PTSD are likely to develop the most serious and persistent symptoms. Risk factors include gender, age, personality, extent of exposure to the natural disaster, amount of damage to property and infrastructure, witnessing injury or death of others or perceiving a threat to their own life. Knowing these factors enables various strategies to be put in place to decrease the risk of psychological disturbance following the aftermath of traumatic events. Re-establishing a sense of safety, security and normality is important in the aftermath of a natural disaster, and promoting social connectedness, positive family functioning, and effective coping mechanisms can make children more resilient in the face of catastrophic events. This paper examines the risk and protective factors associated with the development of post traumatic stress disorder (PTSD), and considers how schools can use this knowledge to contribute to the recovery effort, and reduce the prevalence of PTSD amongst pupils in the wake of a natural disaster.
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Has the GFC really changed the thinking of the property industry? Or are investment managers suffering from post-GFC stress disorder fated to repeat the mistakes of the past? Christine Retschlag reports on the mindset of the market.