997 resultados para Street youth


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This dissertation documents the everyday lives and spaces of a population of youth typically constructed as out of place, and the broader urban context in which they are rendered as such. Thirty-three female and transgender street youth participated in the development of this youth-based participatory action research (YPAR) project utilizing geo-ethnographic methods, auto-photography, and archival research throughout a six-phase, eighteen-month research process in Bogotá, Colombia. ^ This dissertation details the participatory writing process that enabled the YPAR research team to destabilize dominant representations of both street girls and urban space and the participatory mapping process that enabled the development of a youth vision of the city through cartographic images. The maps display individual and aggregate spatial data indicating trends within and making comparisons between three subgroups of the research population according to nine spatial variables. These spatial data, coupled with photographic and ethnographic data, substantiate that street girls’ mobilities and activity spaces intersect with and are altered by state-sponsored urban renewal projects and paramilitary-led social cleansing killings, both efforts to clean up Bogotá by purging the city center of deviant populations and places. ^ Advancing an ethical approach to conducting research with excluded populations, this dissertation argues for the enactment of critical field praxis and care ethics within a YPAR framework to incorporate young people as principal research actors rather than merely voices represented in adultist academic discourse. Interjection of considerations of space, gender, and participation into the study of street youth produce new ways of envisioning the city and the role of young people in research. Instead of seeing the city from a panoptic view, Bogotá is revealed through the eyes of street youth who participated in the construction and feminist visualization of a new cartography and counter-map of the city grounded in embodied, situated praxis. This dissertation presents a socially responsible approach to conducting action-research with high-risk youth by documenting how street girls reclaim their right to the city on paper and in practice; through maps of their everyday exclusion in Bogotá followed by activism to fight against it.^

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Résumé Le but de cette thèse est de comprendre les représentations du risque chez les jeunes de la rue. Plus précisément, elle s’intéresse à appréhender les constructions du risque que font les jeunes de la rue eux-mêmes, d’autant plus que ces jeunes sont définis comme un groupe à risque. Si le risque est plus souvent défini de manière stricte comme le mal éventuel, dans cette étude, il est défini plus largement intégrant l’idée des opportunités et prises de risque. Ancrée dans une perspective double du constructionnisme social et de l’interactionnisme symbolique, cette recherche a exploré les savoirs des jeunes sur les risques qu’ils vivaient dans les contextes observés et la manière dont ils les appréhendaient. Pour y parvenir, cette recherche s’inscrit dans une approche ethnographique pour mieux comprendre le monde des jeunes de la rue, utilisant des méthodes d'observation participante et dévoilée et des entrevues informelles variées. Cette approche globale permet de saisir comment les jeunes définissent leur capacité à estimer, gérer, éviter ou prendre des risques. L’utilisation d’une perspective longitudinale (de un à deux ans) et les relations de confiance bâties avec ces jeunes, ont permis de suivre comment la construction identitaire des jeunes observés a influencé leurs perception du risque et leurs pratiques de débrouillardise. En outre, les liens établis ont permis de révéler les points de vue singuliers des jeunes mais aussi leurs savoirs expérientiels relatifs aux risques. Il s’agit dans cette étude de montrer à partir des théories générales qui définissent nos sociétés comme des sociétés du risque, comment des individus, identifiés comme appartenant à un groupe à risque, définissent et gèrent leurs risques à partir de leur propre expérience et point de vue afin de révéler la diversité et la complexité des expériences et savoirs des jeunes de la rue à l’endroit du risque. En effet, cette thèse montre qu’un ancrage dans une sociologie du risque permet de sortir de l’image de victime ou de déviance associée généralement aux jeunes de la rue mais qu’elle demeure marquée par la promotion de la sécurité légitimant intervention et régulation de la situation des jeunes de la rue tout en ignorant l’expérience même des jeunes. Les discours sur les risques associés à la rue sont alors inscrits dans une logique d’expertise. Cette étude vise à sortir de ces préconceptions des risques pris par les jeunes de la rue pour au contraire s’attarder à comprendre comment se définit le risque à partir du sens que les jeunes accordent et les expériences qu’ils en ont. Mots clés: jeunes itinérants, jeunes de la rue, le risque, à risque, victimisation, déviance, identité.

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The traditional American dream of owning a home, obtaining a college education, and working at a good, paying job is only that, a dream, for scores of homeless youth in America today. There is a growing street population of young people who have been thrown out of their homes by their caretakers or their families, and who face life-threatening situations each day. For these youth, the furthest thing in their lives is reaching the so-called “American Dream;” and their most immediate need is survival, simply living out the day in front of them. They have few options that lead to a decent and safe living environment. Their age, lack of work experience, and absence of a high school diploma make it most difficult to find a job. As a result, they turn to other means for survival; runaways and throwaways are most vulnerable to falling prey to the sex trade, selling drugs, or being lured into human trafficking, and some steal or panhandle. Street youth end up spending their nights in bus stations or finding a room in an abandoned building or an empty stairwell to sleep. Attempting to identify a specific number of homeless youth is difficult at best, but what is even more perplexing is our continued inability to effectively protect our children. We are left with a basic question framed by the fundamental tenets of justice: what is a community’s responsibility to its youth who, for whatever reason, end up living on the streets or in unsafe, abusive environments? The purpose of this paper is to briefly outline the characteristics of homeless youth, in particular differentiating between throwaways and runaways; explore the current federal response to homeless youth; and finally, address the nagging question that swirls around all children: can we aggressively aspire to be a community where every child is healthy and safe, and able to realize his or her fullest potential?

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Malgré l’intérêt accru du public et de la recherche durant les deux dernières décennies pour le phénomène des jeunes de la rue, certains aspects de leurs réalités sont encore peu examinés et mal connus. L’un de ces aspects concerne la parentalité. Pour mieux comprendre les besoins des jeunes en situation de rue qui sont parents ou en voie de l’être et comprendre dans quelle mesure un service s’adressant spécifiquement à eux arrive à y répondre, cette étude a cherché à décrire et comprendre l’expérience d’utilisation du Service à la famille de l’organisme Dans la rue, telle que vécue par des jeunes qui s’y sont adressés. Plus précisément, les objectifs étaient de : situer le Service à la famille dans la démarche de recherche d’aide des jeunes; comprendre ce qui amène un jeune à utiliser le Service à la famille et les activités qui y sont offertes; décrire l’expérience d’utilisation du service; connaître la perception qu’en ont les jeunes; et estimer leur appréciation du service. Pour ce faire, des entrevues semi-dirigées par téléphone ont eu lieu avec neuf jeunes ayant eu un suivi au Service à la famille, au cours desquelles certains thèmes ont été explorés : la recherche d’aide en lien avec la situation parentale, l’expérience d’utilisation des services et des activités du Service à la famille, le portrait de celui-ci, et la satisfaction à son égard. Au moment de l’entrevue, tous les jeunes étaient parents d’au moins un enfant et la majorité d’entre eux avait fait appel au Service à la famille la première fois durant la grossesse pour de l’aide sous diverses formes en rapport à celle-ci. Des besoins de divers ordres ont amené les jeunes à faire appel au Service à la famille. Ceux-ci pouvaient être comblés, mais pas nécessairement toujours, par le biais des rencontres avec les intervenantes du Service à la famille et par la participation aux activités de groupe offertes par la ressource et, par ailleurs, pouvaient concorder avec les objectifs d’intervention explicites du service. Dans l’ensemble, les entrevues suggèrent que les jeunes perçoivent le Service à la famille et, plus précisément, les intervenantes qui y travaillent, d’un œil favorable. Les interviewés formulent en effet une appréciation positive sur un bon nombre d’éléments se rapportant à leur expérience d’utilisation de la ressource. Des jeunes perçoivent néanmoins des limites dans la capacité du Service à la famille à fournir l’aide attendue, notamment des restrictions budgétaires et une surcharge de travail des intervenantes liée à une forte demande de services. Même si les jeunes n’ont pas nécessairement demandé de l’aide de la ressource dans l’optique de prévenir la violence familiale et la négligence, mandat premier du Service à la famille, une bonne part d’entre eux reconnaissent avoir reçu de l’aide utile à cet égard de la part des intervenantes, notamment lorsqu’ils ont rapporté avoir vécu des relations amoureuses teintées de violence conjugale. Ils reconnaissent également différentes façons par le biais desquelles les intervenantes les auraient encouragés à être bien et à prendre soin d’eux-mêmes afin de pouvoir bien s’occuper de leur(s) enfant(s). Tous les jeunes interviewés ont exprimé une satisfaction à l’égard du suivi reçu au Service à la famille et ils ont affirmé qu’ils le recommanderaient à d’autres personnes. L’approche d’intervention préconisée par la ressource est considérée comme un point fort dans la réponse aux besoins des jeunes. Cette approche aurait permis aux jeunes devenus parents d’être aidés en fonction de ce dont ils avaient besoin à un moment précis. L’un des aspects de l’utilisation du service qui gagneraient à être améliorés, aux yeux des jeunes, est l’accessibilité; l’aide dont les interviewés considéraient avoir besoin n’ayant pas toujours été à leur disposition alors qu’ils l’avaient demandée. Devant la perception d’un manque de disponibilité des intervenantes, des jeunes proposent des pistes d’amélioration qui permettraient à l’aide dispensée par le Service à la famille d’être plus accessible aux jeunes quand ils considèrent en avoir besoin.

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La problématique des enfants de la rue touche toutes les grandes villes du monde, Port-au-Prince en particulier n’est pas épargné par ce phénomène. Durant ces vingt dernières années, Haïti a connu une crise généralisée. La situation socioéconomique des familles particulièrement les familles défavorisées devient de plus en plus précaire. C’est ainsi que l’on trouve bon nombre d’enfants qui laissent leur toit familial pour s’installer dans les rues. Ces enfants occupent les places publiques, les cimetières, les marchés publics. Ils vivent de la prostitution, de vol, de la drogue et de toute autre activité susceptible de leur rapporter un peu d’argent. Pour se protéger contre les actes de violences systématiques à leur égard, ils se regroupent en bande et forment leur propre monde. Ils sont aussi exposés aux maladies sexuellement transmissibles et à d’autres infections opportunistes. Ainsi, la rue devient un champ d’intervention où bon nombre d’institutions se donnent pour mission de nettoyer la rue. Autrement dit, beaucoup d’acteurs passent par tous les moyens pour forcer ces enfants à laisser la rue pour regagner les espaces de socialisation. L’objectif de cette étude est de dégager une compréhension globale des modèles d’intervention réalisés par les institutions de prise en charge auprès des enfants de la rue à Port-au-Prince. D’une manière spécifique, l’étude vise à comprendre les représentations sociales des intervenants de la problématique des enfants de la rue à Port-au-Prince, comprendre les stratégies d’interventions de ces institutions, saisir le sens et l’orientation de ces pratiques d’intervention. Pour ce faire, neuf entrevues semi-dirigées ont été réalisées à Port-au-Prince auprès des intervenants travaillant dans trois institutions ayant des structures différentes (fermées, ouvertes, semi-ouvertes ou semi-fermées). Les résultats nous ont permis de découvrir que les intervenants perçoivent les enfants de la rue de trois manières : délinquants, victimes et acteurs. Toutefois, les interventions réalisées par les institutions auprès de ces enfants ne les considèrent surtout que comme des délinquants, parfois des victimes, mais pas tellement des acteurs en maîtrise de leurs vies. Ce faisant, les institutions priorisent la réintégration familiale, l’insertion ou la réinsertion scolaire et l’apprentissage d’un métier. L’objectif principal de ces interventions est de porter les enfants à changer de comportement afin qu’ils regagnent leur place dans la société.

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Cette recherche-action participative s’inscrit dans un paradigme féministe intersectionnelle. Elle présente la façon dont sept jeunes femmes de la rue (18-23 ans) de Québec ont fait l’expérience de la violence structurelle et ont déployé des stratégies pour y faire face. Elle s’articule autour d’une définition de la violence structurelle inspirée de celle proposée par Farmer, Bourgois, Scheper-Hugues et al. (2004) qui la présentent comme étant le processus à la racine des inégalités sociales et de l’oppression vécue par différents groupes sociaux. Ce processus s’opère dans trois dimensions complémentaires soit : 1) la domination symbolique, 2) la violence institutionnelle et 3) la violence quotidienne. Une analyse de contenu thématique a permis de dégager l’expérience des participantes dans chacune de ces dimensions. L’analyse de la domination symbolique a montré que les participantes ont été perçues à travers le prisme de quatre visions ou préjugés : 1) l’image de la jeune délinquante (Bad girl), 2) le discours haineux envers les personnes assistées sociales, 3) la culture du viol et 4) l’hétéronormativité. Les différentes expériences de violence quotidienne et institutionnelle vécues par les participantes peuvent être mises en lien avec ces manifestations de la domination symbolique. Les participantes ont expérimenté la violence institutionnelle à travers leurs trajectoires au sein des services de protection de l’enfance, durant leurs démarches pour obtenir un emploi, un logement ou du soutien financier de la part des programmes offerts par l’État et pendant leurs demandes d’aide auprès d’organismes communautaires ou d’établissements du réseau de la santé et des services sociaux. L’analyse de l’expérience des participantes a permis de révéler deux processus imbriqués de façon cyclique de violence structurelle : l’exclusion et le contrôle social. La plupart des stratégies ii expérimentées par les participantes pour combler leurs besoins fondamentaux les ont exposées au contrôle social. Le contrôle social a exacerbé les difficultés financières des participantes et a accru leur crainte de subir de l’exclusion. Bien que la violence structurelle expérimentée par les participantes se situe à la croisée des rapports de pouvoir liée au genre, à la classe sociale, à l’âge et à l’orientation sexuelle, il se dégage que la domination masculine s’est traduite dans le quotidien des participantes, car l’exclusion et le contrôle social ont créé des contextes où elles ont été susceptibles de subir une agression sexuelle ou de vivre de la violence de la part d’un partenaire intime. L’analyse de la dimension intersubjective de la grille d’analyse de Yuval-Davis (2006) montre la présence de certains rapports de pouvoir liés à la classe sociale au sein même de la population des jeunes de la rue. Cette analyse souligne également la difficulté des participantes à définir les contours de la violence et d’adopter des rapports égalitaires avec les hommes. Enfin, le processus de recherche-action participative expérimenté dans le cadre de cette thèse a été analysé à partir des critères de scientificité présentés par Reason et Bradbury (2001). L’élaboration de deux projets photos, choisis par le groupe en guise de stratégie de lutte contre la violence structurelle, a contribué à ouvrir le dialogue avec différents acteurs concernés par la violence structurelle envers les jeunes femmes de la rue et s’est inscrit dans une perspective émancipatoire.

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The International Society for Mobile Youth Work (ISMO) and the National Council of Churches in Kenya (NCCK) organised from the 27th to 30th October 2003 at the Jumuia Conference and Country Home in Limuru/Kenya with 198 participants from 35 countries around the world the 8th International Symposium on Mobile Youth Work with special focus on children at risk (street children and youth) in Africa. For this purpose there were invited field workers, scientists and stakeholders engaged as advocates for the rights and well being of endangered children and youths. The participants came mainly from African countries and of course especially from Kenya, but also from Asia, Latin America and from Europe.

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Youth homelessness is defined within the literature as youth who have left their homes and are living independent of parental figures and/or caregivers, have no stable residence or source of income, and lack access to the supports needed to make the challenging transition into adulthood (Canadian Observatory on Homelessness, 2015). Previous research studying homeless (or street-involved) youth has primarily focused on risk factors hindering the development of this population, and has largely ignored resilience, coping, and help-seeking behaviours. The current study examined the attachment styles (both categorically and dimensionally), psychological functioning, resilience, and help-seeking behaviours in street-involved youth of St. John’s, Newfoundland. Face-to face interviews were completed over a four-month period with 63 youth (42 males, 21 females) aged 15-29 (Mage = 20.00), recruited from a local community organization providing outreach services to street-involved youth. Results revealed the disproportionate struggles of the street-involved youth population, and highlighted higher levels of attachment insecurity, psychological distress and lower resilience compared to normative peers. Findings also showed a significant difference in psychological functioning, overall resilience, and emotional reactivity based on individual attachment style. In an exploratory model of help-seeking, a positive relationship was found between overall resilience (defined as a sense of mastery and sense of relatedness) and frequency of community service access. However, contrary to predictions, no relationships were found between frequency of community service access and attachment, psychological functioning, or emotional reactivity. Implications of the present findings in development of interventions for street-involved youth are discussed, in addition to strengths and limitations of the present research, and suggested areas of future inquiry.

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Illegal street racing has received increased attention in recent years from road safety professionals and the media as jurisdictions in Australia, Canada, and the United States have implemented laws to address the problem, which primarily involves young male drivers. Although some evidence suggests that the prevalence of illegal street racing is increasing, obtaining accurate estimates of the crash risk of this behavior is difficult because of limitations in official data sources. Although crash risk can be explored by examining the proportion of incidents of street racing that result in crashes, or the proportion of all crashes that involve street racing, this paper reports on the findings of a study that explored the riskiness of involved drivers. The driving histories of 183 male drivers with an illegal street racing conviction in Queensland, Australia, were compared with a random sample of 183 male Queensland drivers with the same age distribution. The offender group was found to have significantly more traffic infringements, license sanctions, and crashes than the comparison group. Drivers in the offender group were more likely than the comparison group to have committed infringements related to street racing, such as speeding, "hooning," and offenses related to vehicle defects or illegal modifications. Insufficient statistical capacity prevented full exploration of group differences in the type and nature of earlier crashes. It was concluded, however, that street racing offenders generally can be considered risky drivers who warrant attention and whose risky behavior cannot be explained by their youth alone.

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This paper presents the findings of a research project that was set up to establish haw well Gibber, a street magazine set up in Perth in 1994, effectively provides a 'voice' for its canstituency -'young people marginalised by society'.

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With internationalisation and globalisation, English has proliferated in urban spaces around the world. This creates new opportunities for EFL learning and teaching. An English literacy walk is one activity that can be used productively to capitalise on this potential. The activity has roots in: (i) long-established approaches to emergent literacy education for young children; and (ii) pedagogic projects inspired by recent research on linguistic landscapes. Drawing on these traditions, teachers can target reading outcomes involving code, semantic, pragmatic and critical knowledge and skills. We use the four resources model of literate practices to systematically map some of the potential of literacy walks in multilingual, multimodal linguistic landscapes. We suggest tasks and teacher questions that might be used for purposes of explicit teaching of reading during and after literacy walks. Although grounded in Taipei, our ideas might be of interest to EFL teachers in other globalised cities around the world.

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It could be argued that architecture has an inherent social responsibility to enrich the urban and spatial environments for the city’s occupants. However how we define quality, and how ‘places’ can be designed to be fair and equitable, catering for individuals on a humanistic and psychological level, is often not clearly addressed. Lefebvre discusses the idea of the ‘right to the city’; the belief that public space design should facilitate freedom of expression and incite a sense of spatial ownership for its occupants in public/commercial precincts. Lefebvre also points out the importance of sensory experience in the urban environment. “Street-scape theatrics” are performative activities that summarise these two concepts, advocating the ‘right to the city’ by way of art as well as providing sensual engagement for city users. Literature discusses the importance of Street-scape Theatrics however few sources attempt to discuss this topic in terms of how to design these spaces/places to enhance the city on both a sensory and political level. This research, grounded in political theory, investigates the case of street music, in particular busking, in the city of Brisbane, Australia. Street culture is a notion that already exists in Brisbane, but it is heavily controlled especially in central locations. The study discusses how sensory experience of the urban environment in Brisbane can be enriched through the design for busking; multiple case studies, interviews, observations and thematic mappings provide data to gather an understanding of how street performers see and understand the built form. Results are sometime surprisingly incongruous with general assumptions in regards to street artist as well as the established political and ideological framework, supporting the idea that the best and most effective way of urban hacking is working within the system. Ultimately, it was found that the Central Business District in Brisbane, Australia, could adopt certain political and design tactics which attempt to reconcile systematic quality control with freedom of expression into the public/commercial sphere, realism upheld. This can bridge the gap between the micro scale of the body and the macro of the political economy through freedom of expression, thus celebrating the idiosyncratic nature of the city.

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Two types of welfare states are compared in this article. Differences in procedural rights for young unemployed at the level of service delivery are analyzed. In Australia, rights are regulated through a rigid procedural justice system. The young unemployed within the social assistance system in Sweden encounter staff with high discretionary powers, which makes the legal status weak for the unemployed but, on the other hand, the system is more flexible. Despite the differences, there is striking convergence in how the young unemployed describe how discretionary power among street-level staff affects their procedural rights. This result can be understood as a result of similar professional norms, work customs and occupational cultures of street-level staff, and that there is a basic logic of conditionality in all developed welfare states where procedural rights are tightly coupled with responsibilities.