885 resultados para Stanley Cavell
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Ce mémoire vise à explorer le lien étroit unissant le scepticisme philosophique, le dispositif cinématographique et la tétralogie de Gus Van Sant : Gerry, Elephant, Last days et Paranoid Park. À partir de la philosophie de Stanley Cavell, il sera d’abord question de développer le scepticisme comme condition d’existence et non plus comme doctrine philosophique. Stanley Cavell fait bifurquer le problème sceptique de la cognition vers l’éthique et nous verrons comment Gus Van Sant, en proposant un cinéma du désoeuvrement et de la mélancolie où l’individu est en rupture avec le monde, rejoint cette dimension éthique du scepticisme par le cinéma. Ensuite, il s’agira de voir comment le dispositif cinématographique est l’expression même du scepticisme cavellien et comment il permet de tendre vers le perfectionnisme moral en imposant la reconnaissance de son existence à travers la décision morale. Enfin, nous verrons comment Gus Van Sant, en réinventant le plan-séquence et le ralenti, répond singulièrement au problème posé par le scepticisme en réintégrant l’individu dans le monde à force de manipulations formelles qui sont autant de réponses au désoeuvrement contemporain comme condition existentielle. Ces réponses trouvées par Gus Van Sant ne sont pas des solutions, mais une exploration des dimensions d’un problème qu’il renouvèle : le scepticisme.
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Education is often understood as a process whereby children come to conform to the norms teachers believe should govern our practices. This picture problematically presumes that educators know in advance what it means for children to go on the way that is expected of them. In this essay Viktor Johansson suggests a revision of education, through the philosophy of Stanley Cavell, that can account for both the attunement in our practices and the possible dissonance that follows when the teacher and child do not go on together. There is an anxiety generated by the threat of disharmony in our educational undertakings that may drive teachers toward philosophy in educational contexts. Here Johansson offers a philosophical treatment of this intellectual anxiety that teachers may experience when they, upon meeting dissonant children, search for epistemic justifications of their practices—a treatment whereby dissonant children can support teachers in dissolving their intellectual frustrations.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.
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A presente dissertação toma como propósito compreender de que forma a ideia do peso do conhecimento é apresentada no Fausto de Fernando Pessoa. A expressão peso do conhecimento, cunhada pelo filósofo Stanley Cavell, surge como forma de apresentação da tragédia na modernidade. O Fausto de Fernando Pessoa, mediante a sua queda na mente, relata, no encontro com a Morte, a figuração máxima de todo e qualquer conhecimento; a afetação trágica que o consome. Esse trabalho, portanto, inaugura a perspectiva que visa explorar, como forma de compreensão da obra pessoana, a ideia de que a tragédia moderna é o peso do conhecimento. E, ao mesmo tempo, sustenta a hipótese de que o peso do conhecimento pressupõe o reconhecimento de que toda vida do conhecedor termina num tipo de tragédia shakespeariana. Assim, a obra de Fernando Pessoa se apropria de uma longa tradição que se inicia com Hamlet e, com ela, delineia, a partir do problema do peso do conhecimento, a teatralidade da escrita dos versos de Fausto, cuja apresentação do dilema entre a Vida e o Conhecimento pressupõe a cena imediata de uma figura, Fausto (ou Hamlet
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A presente tese investiga a forma pela qual a ideia de reconhecimento poderia nortear a leitura das interpretações fáusticas da primeira metade do século XX, a saber: Tragédia Subjectiva de Fernando Pessoa, Dr. Fausto de Thomas Mann e Meu Fausto de Paul Valéry. Ou seja, as apropriações do mito por Thomas Mann, Pessoa e Paul Valéry seriam apreensões distintas da tragédia do conhecimento cujo desenvolvimento residiria na ideia de uma falha de reconhecimento: falência ou impossibilidade de reconhecer. O conceito de reconhecimento será estudado a partir dos ensaios e livros do filósofo americano Stanley Cavell, entendendo-se reconhecimento enquanto denominador comum entre a ideia de tragédia e do ceticismo: ambos resultam de falhas no reconhecimento. Assim, o presente estudo busca compreender como as três interpretações fáusticas vivem a falência do reconhecimento reiterando, dessa maneira, o afastamento da tradição goetheana
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Este trabalho visa examinar as obras: o ovo, divisor, roda dos prazeres, tecelares, tteia n 1, caixa de baratas, caixa de formigas, caixa brasil, ballets neoconcretos, new houses e os filmes e vídeos experimentais de Lygia Pape, em conexões poéticas com os parangolés, penetráveis, bilaterais, relevos espaciais, metaesquemas, núcleos, bólides, cosmococas e a tropicália de Hélio Oiticica. A análise é feita a partir do interesse antropológico dos citados artistas, do seu comprometimento com a formação de uma linguagem-Brasil e do forte experimentalismo de suas proposições; enfoca o movimento, a questão cromática, a construção de mundos, o papel do espectador em seus trabalhos, além da presença da adversidade brasileira como estímulo para as suas produções. Sendo assim, obras como o divisor, as tecelares, a tteia n 1, os parangolés e penetráveis são referidas em diferentes momentos do texto, uma vez que lidam com várias das questões propostas, enquanto trabalhos como os metaesquemas, as bilaterais e os relevos espaciais, aparecem somente em um capítulo, sendo analisadas por apenas um viés, embora existam outras possibilidades. Para embasar as leituras visuais, são utilizadas como fontes bibliográficas os textos e entrevistas dos artistas, além de escritos dos teóricos Aby Warburg, Georges Didi-Huberman, Stanley Cavell, Vilém Flusser, Ronaldo Brito, Guy Brett, Rodrigo Naves, Paola Berenstein Jacques, Michel Collot, entre outros.
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Dissonant Voices has a twofold aspiration. First, it is a philosophical treatment of everyday pedagogical interactions between children and their elders, between teachers and pupils. More specifically it is an exploration of the possibilities to go on with dissonant voices that interrupt established practices – our attunement – in behaviour, practice and thinking. Voices that are incomprehensible or expressions that are unacceptable, morally or otherwise. The text works on a tension between two inclinations: an inclination to wave off, discourage, or change an expression that is unacceptable or unintelligible; and an inclination to be tolerant and accept the dissonant expression as doing something worthwhile, but different. The second aspiration is a philosophical engagement with children’s literature. Reading children’s literature becomes a form of philosophising, a way to explore the complexity of a range of philosophical issues. This turn to literature marks a dissatisfaction with what philosophy can accomplish through argumentation and what philosophy can do with a particular and limited set of concepts for a subject, such as ethics. It is a way to go beyond philosophising as the founding of theories that justify particular responses. The philosophy of dissonance and children’s literature becomes a way to destabilise justifications of our established practices and ways of interacting. The philosophical investigations of dissonance are meant to make manifest the possibilities and risks of engaging in interactions beyond established agreement or attunements. Thinking of the dissonant voice as an expression beyond established practices calls for improvisation. Such improvisations become a perfectionist education where both the child and the elder, the teacher and the student, search for as yet unattained forms of interaction and take responsibility for every word and action of the interaction. The investigation goes through a number of picture books and novels for children such as Harry Potter, Garmann’s Summer, and books by Shaun Tan, Astrid Lindgren and Dr. Seuss as well narratives by J.R.R. Tolkien, Henrik Ibsen, Jane Austen and Henry David Thoreau. These works of fiction are read in conversation with philosophical works of, and inspired by, Ludwig Wittgenstein and Stanley Cavell, their moral perfectionism and ordinary language philosophy.
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In this paper I investigate how philosophy can speak for children and how children can have a voice in philosophy and speak for philosophy. I argue that we should understand children as responsible rational individuals who are involved in their own philosophical inquiries and who can be involved in our own philosophical investigations-not because of their rational abilities, but because we acknowledge them as conversational partners, acknowledge their reasons as reasons, and speak for them as well as let them speak for us and our rational community. In order to argue this I turn, first, to Gareth Matthews' philosophy of childhood and suggest a reconstruction of some of his concepts in line with the philosophy of Stanley Cavell. Second, in order to examine more closely our conceptions of rationality and our pictures of children, I consider the children's books, The Lorax and Where is My Sister? and Henrik Ibsen's play, The Wild Duck.
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Die Dissertation Gender und Genre in melodramatischen Literaturverfilmungen der Gegenwart untersucht das Medium Film anhand von Todd Haynes’ Far from Heaven (2002), Stephen Daldrys The Hours (2002) und Tom Fords A Single Man (2009) als Quelle des Wissens über gesellschaftlich-normierte Geschlechterrollen und sozialkonstruierte Genderkonzepte. Die Arbeit versteht sich als eine nachhaltige Schnittstellenforschung zwischen Gender-, Literatur-, Film- und Medienwissenschaften und zeigt die Öffnung der Germanistik für den medial geprägten Kulturwandel, welcher den deutschen bzw. den deutschsprachigen Kulturraum betrifft. Gender und Geschlecht destabilisieren die Gesellschaft und die „heterosexuelle Matrix“ durch das individuelle Suchen, Finden, Konstruieren und Anerkennen einer eigenen, individuellen Genderidentität. Dieser Prozess kann unter Zuhilfenahme des Erzählens von Geschlecht im Film verdeutlicht werden, denn die audiovisuelle Fiktion modelliert Wirklichkeitsvorstellungen und das Wirklichkeitsverständnis der Rezipienten. Wobei offen bleibt, ob die Fiktion die Realität oder die Realität die Fiktion imitiert. Denn es gibt nicht nur eine Wahrheit, sondern mehrere, vielleicht unzählige Bedeutungszuschreibungen. Die drei paradigmatischen Literaturverfilmungen wurden jeweils in Bezug zu ihren Literaturvorlagen von Virginia Woolf, Michael Cunningham und Christopher Isherwood gesetzt. Sie können als Beispiele für ein wissendes, postmodernes Pastiche des Themen-Clusters Diskriminierung/Homophobie/Homosexualität/„Rasse“ gelten. Alle drei Filme verhandeln durch gemeinsame, melodramatische Motive (Spiegel, Telefon, Krieg, Familie) die Darstellbarkeit von Emotionen, Begehren, Sehnsüchten, Einsamkeit und dem Verlust der Liebe. Durch Verbindungslinien zu den Melodramen von Douglas Sirk und mittels den Theorien von u.a. Judith Butler, Stanley Cavell, Carolin Emcke, Thomas Elsaesser, Sigmund Freud, Hermann Kappelhoff und Laura Mulvey wurde das Begriffspaar Genre und Gender her-ausgestellt und im zeitgenössischen Geschlechter-Diskurs verortet. Das im Verlauf der Arbeit erarbeitete Wissen zu Gender, Sexualität, Körper und Geschlecht wurde als ein Gender-Genre-Hybrid verstanden und im Genre des queeren bzw. homosexuellen Melodrams (gay melodrama) neu verortet. Die drei Filme sind als ein Wiederbelebungsversuch bzw. ein Erweiterungsversuch des melodramatischen Genres unter dem Genderaspekt anzusehen. Die Analyse und Dekonstruktion feststehender Begriffe im Kontext der Gender- und Gay Studies und dem Queer Cinema lösen produktive Krisen und damit emanzipierte Verfahren aus. Diese müssen immer wieder neu beschrieben werden, damit sie wahrgenommen und verstanden werden. Daher sind die drei melodramatischen Literaturverfilmungen ein fiktionales Dokumentationsmodell gesellschaftlicher Konflikte, welches anhand individueller Schicksale verdeutlicht wird.
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What was given up in giving up the silence of film, in particular the silence of the city? Echoing Stanley Cavell, this essay contemplates Raymond Depardon’s experimental documentary New York, N.Y. (1985), a film that travels between sound and silence, quietly addressing questions concerning the nature of the photographic medium itself.
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'Homegrown is an initiative of the Design Institute of Australia–Queensland Branch to promote the collaboration and cultivation of local design talent in Queensland and strengthen the connection between design, plate, planet, people and culture.' Homegrown 2011 Exhibition Catalogue Excerpt
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Review of: Philip E. Agre and Stanley J. Rosenschein (eds), Computational Theories of Interaction and Agency, MIT Press (1996), ISBN: 978-0262510905