285 resultados para Spinoza


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Em sua teoria do conhecimento, cuja formulação definitiva se encontra na segunda parte da Ethica, Spinoza afirma que o conhecimento que se dá por meio de signos pertence à Imaginação, isto é, ao primeiro gênero de conhecimento, o qual é essencialmente inadequado uma vez que não consegue compreender a natureza das coisas, mas simplesmente as conhece de forma mutilada e confusa. Contudo, atribuir o conhecimento ex signis ao âmbito imaginativo não pode implicar a recusa, por parte de Spinoza, de toda e qualquer utilização de signos a fim de comunicar o conhecimento verdadeiro, sob pena de o próprio texto da Ethica deslegitimar suas pretensões de verdade já no momento mesmo em que se anuncia. Partindo do princípio de que deve haver certo modo de utilização de signos que consiga contornar, em alguma medida, sua constituição essencialmente inadequada a fim de comunicar idéias adequadas, a presente investigação reconstrói uma teoria da linguagem subjacente à doutrina da Ethica na tentativa de estabelecer por que meios se pode efetuar uma utilização filosófica dos signos.

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The thesis as a whole argues that Spinoza’s Ethics in both method and content is aimed at the normal, partly rational person. Chapter 1 is on Spinoza’s writing style, finding that rather than being arid and technical, it aims to convince the reader by means of various rhetorical techniques, so does not assume an already rational reader. The following chapters of Part 1 examine whether the Ethics’ use of the synthetic geometric method exposes it to Descartes’ critique of that method in the “Second Replies” to his Meditations, that it is not suitable for pedagogy. This involves a consideration of the role of the TIE, finding in that early text not the analytic wing of a two-part analytic-synthetic method, but rather a defence and necessitation of a stand-alone synthetic method. Part 2 of the thesis develops this study of Spinoza’s writing for the common man to consider whether he is writing about the common man. This is done by examining one of the seemingly most abstract propositions in the Ethics, 4P72, which claims that a free man will not deceive even to save his own life. The study examines who exactly is this “free man” and what is his role in the Ethics. The study looks at the examples of free men in the TTP and at the concept of the model in the Ethics, and finds that rather than the free man being an impossible ideal which we can aim at but never achieve, everyone is free to some extent, and that even normal people are at times “the free man”.

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Comprend : Mémoire sur la réfutation inédite de Spinoza par Leibniz

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Despite having been published over three hundred years ago, Spinoza's Ethics is a text that is still, even today, widely misunderstood. Two of the more common and persistent misunderstandings revolve around the accusations of some who have labeled his philosophy both atheistic and materialistic. These two misunderstandings date back to the first time the Ethics was published, immediately following Spinoza's death. In an attempt to not only address these accusations, but as well to clear up any misunderstandings surrounding them, this thesis will be split into four chapters that are divided into two main parts. The first half will deal with the question of whether or not Spinoza is an atheist. The second half will deal with the question of whether or not Spinoza is a materialist. In so doing this thesis will establish and defend the position that it is a misreading to characterize Spinoza's philosophy as atheistic and materialistic.

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La philosophie de Spinoza cherche à concilier et réunir trois horizons philosophiques fondamentaux : l’émanation néo-platonicienne (l’expression), le mécanisme cartésien (cause efficiente), et les catégories aristotéliciennes (Substance, attribut, mode). Ce premier point est pris pour acquis. Nous expliquerons que cette tentative sera rendue possible grâce à la conception nouvelle, au 17e siècle, de l’actualité de l’infini. Nous examinerons ensuite les conséquences de cette nouvelle interprétation, qui permet de rendre l’individu transparent à lui-même sur un plan d’immanence, expressif par rapport à une éminence qui le diffuse, mais déterminé dans une substantialité fictive entre objets finis. En proposant le pouvoir de l’imagination et des prophètes comme point de départ et principe actif du conatus, nous montrerons que la distinction, chez Spinoza, demeure toujours une fiction. Pour conclure, nous serons en mesure de signaler en quoi le Zarathoustra de Nietzsche relève d’une volonté de poursuivre le travail entrepris par Spinoza.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Chez Spinoza, la politique se construit essentiellement sur les bases de l'édifice de la liberté. En effet, la liberté se vit sous une forme institutionnelle, c'est-à-dire comme le dit Alain Billecoq, «à travers des lois qui garantissent sa stabilité et sa pérennité» (Billecoq, p. 132). Cela devrait donc exclure normalement toute éventualité de conflit entre les pouvoirs politiques et la liberté des individus. D’autant que l’État puise son fondement dans les droits et libertés qu’il se doit de garantir à ses citoyens. Autrement dit, on devrait supposer qu’il y a une certaine adéquation du pouvoir de l’État et de la liberté des individus. Or, ce n’est pas toujours le cas. Car de l’avis de certains, liberté et pouvoir de commandement ne sont pas tout à fait compatibles. Comment donc rendre possible une cohabitation de l’État comme organe de contrainte et de régulation, et de la liberté des individus, qui semble pourtant nécessaire? En passant par sa conception du droit naturel, de l’état de nature et de l’État, il sera démontré au terme de notre démarche que ce qui permet chez Spinoza la résolution de cette tension entre le pouvoir de l’État et la liberté des individus n’est rien d’autre que la démocratie.

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Ce mémoire consiste en une explication de la critique biblique de Spinoza contenue dans la Traité théologico-politique. Cette critique répond à un problème précis : la subversion de la religion en superstition. Cette critique, nous l’expliquons en quatre parties. La première partie consiste en une mise en situation problématique. Elle montre que le problème biblique, qui appelle une critique, est la subversion de la religion. On y montre aussi l’origine de la superstition et la manière dont elle subvertit la religion. La seconde partie consiste en une mise en contexte historique, où l’on montre la pertinence historique d’une telle critique. Nous voyons en effet que la critique biblique de Spinoza s’inscrit dans une période de controverses théologiques importante. La troisième partie expose la méthode d’interprétation des Écritures de Spinoza (méthode historico-critique) et cherche à éclaircir la notion de lumière naturelle, notion fondamentale de la dite méthode. Enfin, dans la quatrième partie, nous exposons la critique spinoziste des autres méthodes interprétatives, jugées erronées par ce dernier, soient les méthodes surnaturelle, sceptique et dogmatique. Nous le verrons, la critique biblique, qui se rapporte à une question très précise, a une finalité plus générale. En effet, la critique biblique est inséparable du but que se donne Spinoza dans le Traité théologico-politique, soit défendre la liberté de penser et de dire ce que l’on pense. En fait, la critique biblique est un moyen pour réaliser ce but.

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Lo que me propongo desarrollar a continuación es la manera como los afectos y las ideas determinan la formación del sujeto en Spinoza. Para esto, me valdré de las reflexiones que hace el autor respecto al conatus y la relación que establece entre alma y cuerpo. La tesis que defenderé a lo largo del presente trabajo es que hay una conexión entre las ideas, los imaginarios colectivos que se construyen a nivel social con la lógica de los afectos que Spinoza establece. Esta relación permite comprender el modo cómo se constituyen en la Ética las distintas formas de subjetividad.

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La pregunta que interroga sobre la posibilidad del conocimiento verdadero inaugura la filosofía en igual medida que el problema del conocimiento de Dios es la base de la ciencia teológica. Frente a ambas disciplinas y cuestiones, la obra de Baruch Spinoza constituye una contundente oferta de sentido y reduce ambas problemáticas a una sola al equiparar el conocimiento de la naturaleza con el de Dios y sus atributos. De modo que resulta adecuado decir que la filosofía de Spinoza es radicalmente positiva, y su teología afirmativa, porque defienden la posibilidad del conocimiento de Dios y de las cosas por medios racionales y naturales. Como veremos, es precisamente la concepción racionalista que el filósofo tiene de Dios como el conjunto que todo lo comprende, lo que le permitirá defender la posibilidad del conocimiento verdadero de Dios, al mismo tiempo que el de las cosas particulares que colman la existencia.

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Resumen basado en el de la publicaci??n