3 resultados para Soundwalk


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Le paysage sonore est une forme de perception de notre environnement qui nous permet d’identifier les composantes sonores de notre quotidien. Ce projet de recherche porte sur une thématique particulière, les sons produits par les végétaux et leurs rôles dans les ambiances sonores paysagères. C’est la perspective que nous avons explorée in situ, en comparant les différentes espèces végétales; cette collection d’informations nous permet de proposer une typologie d’ambiances sonores des végétaux. Dans la première partie, des notions rattachées au « monde sonore » telles que l’objet sonore, le paysage sonore et les effets sonores justifient d’établir, dans la méthodologie, une grille d’analyse comportant différentes échelles d’écoute. Une lecture multidisciplinaire propose, d’une part, de réunir de l’information sur le son et les végétaux, la morphologie de ces derniers, l’aménagement au site, les conditions climatiques et, d’autre part, de retrouver ce qui a trait au son dans l’histoire des jardins, dont les jardins sensoriels, thérapeutiques, technologiques, et des sentiers d’interprétation sonore, sous l’angle du son comme projet. De plus, une liste de végétaux recevant les chants et cris de la faune vient introduire la notion de biodiversité sonore. Une enquête sociale de terrain, par la méthode des parcours commentés, et une enquête « experte » ont été réalisées au Jardin botanique de Montréal. Ces deux enquêtes nous ont permis de constituer une grille d’analyse croisée comprenant plusieurs échelles d’écoute : textures, actions sonores, effets sonores... De là, des générateurs d’ambiance (morphologie, organisation, climat) ont été relevés pour déterminer les aspects de récurrences et de différenciations d’un type d’ambiance sonore à l’autre. Des associations se sont formées en fonction de onze types de végétaux, chacun comprenant plusieurs sous-catégories. Celles-ci proposent des ambiances sonores spécifiques, des échelles d’écoute à considérer pour chaque type d’ambiance et l’énumération d’espèces à utiliser. Cette recherche ouvre la voie à un autre type de lecture sonore, par thématique d’ambiance (les sons du végétal dans notre cas), afin d’offrir de nouveaux outils de conception pour les professionnels, en profonde relation avec les perceptions sonores d’usagers sur le terrain et l’agencement spécifique d’un site.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

A distinguishing feature of the discipline of archaeology is its reliance upon sensory dependant investigation. As perceived by all of the senses, the felt environment is a unique area of archaeological knowledge. It is generally accepted that the emergence of industrial processes in the recent past has been accompanied by unprecedented sonic extremes. The work of environmental historians has provided ample evidence that the introduction of much of this unwanted sound, or "noise" was an area of contestation. More recent research in the history of sound has called for more nuanced distinctions than the noisy/quiet dichotomy. Acoustic archaeology tends to focus upon a reconstruction of sound producing instruments and spaces with a primary goal of ascertaining intentionality. Most archaeoacoustic research is focused on learning more about the sonic world of people within prehistoric timeframes while some research has been done on historic sites. In this thesis, by way of a meditation on industrial sound and the physical remains of the Quincy Mining Company blacksmith shop (Hancock, MI) in particular, I argue for an acceptance and inclusion of sound as artifact in and of itself. I am introducing the concept of an individual sound-form, or sonifact, as a reproducible, repeatable, representable physical entity, created by tangible, perhaps even visible, host-artifacts. A sonifact is a sound that endures through time, with negligible variability. Through the piecing together of historical and archaeological evidence, in this thesis I present a plausible sonifactual assemblage at the blacksmith shop in April 1916 as it may have been experienced by an individual traversing the vicinity on foot: an 'historic soundwalk.' The sensory apprehension of abandoned industrial sites is multi-faceted. In this thesis I hope to make the case for an acceptance of sound as a primary heritage value when thinking about the industrial past, and also for an increased awareness and acceptance of sound and listening as a primary mode of perception.