8 resultados para Sophiste
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A presente dissertação tem como corpus o romance erótico grego Pastoral ou Dáfnis e Cloé (III d.C.), do sofista Longo, e o romance erótico latino Satiricon(I d.C.), de Petrônio, arbitro da elegância do imperador Nero. O estudo objetiva descrever, em perspectiva comparada, como esses romancistas estão engajados com a técnica da cura sui, admitindo constituir essa prática uma espécie de paideia, ou seja, uma pedagogia erótica em prol de uma austeridade sexual, em nome da preservação da saúde do corpo e da elevação da alma. Busca, também, mostrar que o gênero romance surgiu muito antes do século XII da nossa era, ao contrário do que se afirma, bem como derrubar a falsa concepção, por parte do leitor moderno, de que a Antiguidade havia sido um verdadeiro paraíso da permissividade sexual. Tal percurso, também, permite-nos, ao fim, uma reflexão diferenciada acerca da situação social e política dos cidadãos livres e escravizados dos primeiros séculos da nossa era
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Le présent mémoire décrit le rôle et l’application de la méthode platonicienne des divisions telle que décrite dans le Sophiste, le Politique, le Phèdre et le Philèbe. Il met en relief les différences et les similitudes du rôle et de l’application de la méthode dans ces quatre dialogues, afin d’analyser la possibilité ou bien de postuler l’unité de la doctrine platonicienne, ou bien de retracer les lieux de son évolution. Certains auteurs du siècle dernier affirment qu’il n’est pas possible de retracer quelque évolution que ce soit dans la doctrine, et estiment même que la méthode des divisions est utilisée bien au-delà de ces quatre dialogues, et que son absence des dialogues de jeunesse ne doit en aucun cas être prise pour une absence de la doctrine de l’époque. D’autres sont au contraire convaincus que la méthode des divisions est propre à un stade de la pensée de Platon qui ne peut être que postérieur à l’introduction de la théorie des Formes intelligibles, et que cette méthode incarne même, à toutes fins pratiques, la dialectique platonicienne des dialogues tardifs.
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Thrasymaque de Chalcédoine, un sophiste de renom dans l'Athènes du Ve siècle av. J.C. est présenté comme l'interlocuteur principal de Socrate dans le livre I de la République. Il y est surtout question de la justice et des implications qui en découlent, Socrate et Thrasymaque ne s'entendant évidemment pas sur la nature de la justice. Thrasymaque, poussé par le questionnement constant de Socrate, en vient à formuler différentes thèses sur la justice, notamment : «Je soutiens, moi, que le juste n'est rien d'autre que l'intérêt du plus fort» (Rép. 338c) et «la justice et le juste constituent en réalité le bien d'un autre.» (Rép. 343c) Parallèlement, il oppose au philosophe une vision de la justice difficile à accepter, mais aussi difficile à réfuter : celui qui commet l'injustice est plus heureux que celui qui agit en fonction de la justice. Ainsi, pour Thrasymaque, l'injuste est meilleur que le juste et est plus heureux, car l'injustice est plus profitable pour soi-même. Selon cette vision, qu'est-ce donc que la justice, et en quoi n'est-elle pas profitable pour soi-même? L'objectif de ce mémoire sera de faire ressortir positivement la conception de la justice de Thrasymaque, car c'est avec elle qu'entre en conflit la recherche du bonheur. En effet, si la justice est la représentation des intérêts du dirigeant, comme l'avance le sophiste, alors être juste n'est rien d'autre qu'agir en fonction des intérêts d'autrui et non de soi-même. Cependant, dans une Cité où les individus sont sous la gouverne de la loi, il n'est pas si simple d'agir toujours selon ses propres intérêts lorsque ceux-ci sont contraires à la justice. C'est pourquoi il sera également pertinent de s'attarder aux caractéristiques et aux vertus qu'un individu doit posséder, selon Thrasymaque, pour être heureux. Nous essaierons donc de dégager de la pensée de Thrasymaque un modèle de vie à suivre : le κρείττων. En dernière analyse, nous mettrons en relief la position de Thrasymaque avec la critique platonicienne. Pour Socrate, la position voulant que l'injustice soit profitable est difficile, car il lui faudra montrer que c'est en fait la justice qui apporte le bonheur, en tant qu'elle est une vertu de l'âme.
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Contiene : Le sophiste- Parménide-Ménon-Philèbe.
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It is usually assumed that Heraclitus is, exclusively, the philosopher of flux, diversity and opposition while Parmenides puts the case for unity and changelessness. However, there is a significant common understanding of things (though in differing contexts), not simply an accidental similarity of understanding. Both philosophers, critically, distinguish two realms: on the one hand, there is the one, common realm, identical for all, which is grasped by the ‘logos that is common’(Heraclitus) or the steady nous (Parmenides) that follows a right method in order to interpret the real. On the other hand, the realm of multiplicity seen and heard by the senses, when interpreted by ‘barbarian souls’, is not understood in its common unity. Analogously, when grasped by the wandering weak nous it does not comprehend the real’s basic unity. In this paper I attempt to defend the thesis that both thinkers claim that the common logos (to put it in Heraclitean terms) or the steady intellect (to say it with Parmenides) grasp and affirm the unity of the real.
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The aim of this paper is to tackle the role of oblivion in the Plato’s dialogues. It takes as work texts the dialogues where the anamnesis doctrine is exposed, and from these writings, but also attending to several other ones, the connexions between oblivion and other Platonic issues, as, e. g., language, memory, experience or love are explored, in order to clarify their relations of mutual dependence. In this way, we attempt to find out in the Platonic oblivion a philosophical sense, which is not disdainful in comparison with the sense and the relevance that the readers of all times have granted to anamnesis; for anamnesis and oblivion are inseparable indeed.