327 resultados para Signes diacritiques.


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Ce travaille de dissertation (Master) est le résultat de trois ans de travaille auprès de Mirandas, endroit situé à 22 kilomètres de la ville de Caraúbas, région ouest de l Etat du Rio Grande do Norte. Pendant cette période, on a compris que les habitants de Mirandas se identifient et sont identifiés pour les autres comme des caboclos , catégorie de classification que dans le discours courant, soit à Mirandas ou dans la siège de la municipalité, a des rapports avec la vision que les tous premiers habitants de Mirandas sont venus de la ville du Cabo , dans l Etat de Pernambuco. Et pourtant ; l usage qu a été fait de cette version a fini pour cacher des éléments qui ont défini l identité de Mirandas, tel comme la probable descendance indigène que parfois est actionnée dans les narratives qui montrent des rapports entre les portugais et des femmes indiens qu ont été pris à casco de cavalo (cheval) . (MACÊDO, 2010; CAVIGNAC, 2003). Donc, cette ethnographie porte à la lumière des éléments que sont utilisés pour les mirandenses pour définir leur identité. Cette identité peut être bien visualisé a partir des éléments que les caboclos font des signes diacritiques (BARTH, 1998; OLIVEIRA, 1976), bien comme des rapports établis entre les habitants de Mirandas et ces de Caraúbas. Des rapports qui ont rendu possible les manifestations d affinité et de conflits et que, donc, nous aide à entendre comme cette identité se réactualise dans ces rapports d union et opposition que les mirandenses construisent avec les caraubenses. Cela arrive dans les rapports territoriaux, économiques et de façon plus marquante, dans les rapports religieux.

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Ce travaille de dissertation (Master) est le résultat de trois ans de travaille auprès de Mirandas, endroit situé à 22 kilomètres de la ville de Caraúbas, région ouest de l Etat du Rio Grande do Norte. Pendant cette période, on a compris que les habitants de Mirandas se identifient et sont identifiés pour les autres comme des caboclos , catégorie de classification que dans le discours courant, soit à Mirandas ou dans la siège de la municipalité, a des rapports avec la vision que les tous premiers habitants de Mirandas sont venus de la ville du Cabo , dans l Etat de Pernambuco. Et pourtant ; l usage qu a été fait de cette version a fini pour cacher des éléments qui ont défini l identité de Mirandas, tel comme la probable descendance indigène que parfois est actionnée dans les narratives qui montrent des rapports entre les portugais et des femmes indiens qu ont été pris à casco de cavalo (cheval) . (MACÊDO, 2010; CAVIGNAC, 2003). Donc, cette ethnographie porte à la lumière des éléments que sont utilisés pour les mirandenses pour définir leur identité. Cette identité peut être bien visualisé a partir des éléments que les caboclos font des signes diacritiques (BARTH, 1998; OLIVEIRA, 1976), bien comme des rapports établis entre les habitants de Mirandas et ces de Caraúbas. Des rapports qui ont rendu possible les manifestations d affinité et de conflits et que, donc, nous aide à entendre comme cette identité se réactualise dans ces rapports d union et opposition que les mirandenses construisent avec les caraubenses. Cela arrive dans les rapports territoriaux, économiques et de façon plus marquante, dans les rapports religieux.

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1er juillet [1861] : Promet un article sur la distribution des récompenses des Salons et des Concours où il rappellera le nom et les oeuvres de Gustave Doré dont il a "le talent en grande estime" : "Le concours de sculpture a été très fort ; le nombre de médailles est trop restreint, et les Grands Prix de Rome toujours favorisés". Evoque aussi le nom de Charles Garnier : "Le "Sujet d'Opéra" de Garnier a obtenu la première médaille d'architecture. Décision tout exceptionnelle et très flatteuse car l'oeuvre ne faisait point partie, à proprement parler, de l'Exposition d'Architecture" (NLAS-212-1). - Février 1865 : Réclame un droit de réponse à un article de Blaze de Bury paru dans le "Ménestrel". La lettre contient également la réponse de Heugel datée du 3 février 1865 dans laquelle l'éditeur lui demande d'adoucir ses propos (NLAS-212-9). - 30 juillet 1866 : Echanges et négociations au sujet de la publication de "Tobie" de Fromental Halévy. Est vexé que l'éditeur ne voie pas dans cette parution une bonne affaire et rappelle qu'il a donné au "Ménestrel" "à titre purement gratuit" un travail important sur l'oeuvre de son frère, alors que tant d'autres collègues sont très bien payés pour fournir des notices sur des compositeurs auxquelles il reproche "un esprit de dénigrement à l'égard de [s]on cher frère". Tente de rendre justice à son frère : "Je ne puis cependant m'empêcher de remarquer, quand j'entre chez vous, qu'à côté des bustes ou portraits de Meyerbeer, de Rossini, d'Auber, qui décorent vos magasins, je ne vois pas une seule image du grand maître qui fut leur égal" (NLAS-212-11). - 2 août 1866 : Le remercie pour le témoignage personnel de ses sentiments à l'égard de son "cher et regretté frère" : "cette justice que vous lui avez toujours rendue me dédommage amplement des torts que peuvent avoir envers sa mémoire plusieurs écrivains qui ont coopéré avec moi au monument que vous élevez à la gloire de nos grands maîtres français et étrangers" (NLAS-212-12). - 25 avril 1867 : au sujet des droits d'auteur de "Tobie" (NLAS-212-16). - 7 mai 1873 : Se dit heureux que son article convienne au directeur du "Ménestrel". Évoque "Carmen" de Bizet : "Ludovic [Halévy] et Meilhac sont à l'oeuvre et achèvent un poème où l'ami Bizet aura toute occasion de déployer son talent" (NLAS-212-17). - 16 juin 1875 : Le remercie pour son article consacré à "[leur] cher et infortuné Bizet" : "Impossible de rendre un hommage plus complet et en meilleurs termes à une existence si courte et si bien remplie" (NLAS-212-19). - 22 juin 1875 : Au sujet d'un opéra inachevé de Bizet, "Le Cid" : "La seule personne qui pourrait vous donner des renseignements que vous désirez sur l'opéra laissé inachevé par Bizet [...] serait sa jeune et malheureuse veuve, ma pauvre nièce Geneviève, mais elle est dans un tel état de prostration, d'accablement et d'inconsolable affliction qu'il est encore impossible de l'interroger sur un sujet si douloureux pour elle et qui raviverait de si poignants souvenirs" (NLAS-212-20). - Contient aussi 2 LAS de sa belle-soeur Léonie Halévy au sujet de sa fondation "Le Pain à bon marché" (NLAS-212-22/23)

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"Deux monuments de plus, de sentimens français". - 2 pièces en vers sur la mort du duc de Berry

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Contient : « Premier voyage du Blanc, Marselhés, au portie (sic) d'Alisandrie d'Égipte. L'an 1569 partimes des îles de Marseilhes, prenant la derroute d'Alisandrie... pour vuider lur diferant » ; « Livre deuzieme de la discripsion de sete emisfere du monde. C'et chozes très serteine que la terre sur laquelle nous marchons... et la nient an public come sugeré et esclave de Satan » ; « Retour de l'aouteur de l'Orient, l'année 1576, en la ville natalle, et acueil inespéré de pere et mere », etc ; « Histoeire de notre tenps deplorable de tres aute herudission repugnant contre les procureurs de l'anfer, qu'il vont abuzant les povres veve sur la mizericorde de Dieu, come s'il n'avoet point de justisse e ne savent que s'et du peché du S. Esprit, dedié à ma seur Marguerite de Blanc » ; « De la maniere que les doctes Indiens limitent la rondeur de la terre et des catres angles d'isselles e de son estremité en une juste emisfere, sujet curius, où se put conprandre aucuns mistere ». Cette dissertation, également adressée par Vincent le Blanc à sa soeur, commence par : « Durant nos longues peregrinassions que nous s'acupions an Orient... ». Derniers mots : « ... Verras mes escrit et t'an dourrai plus enple connoisence »

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Cartel, en italien, de Cagnino di Gonzaga à Cesare Fregoso. Bozolo,31 juillet 1539 (fol. 112), orig. imprimé, avec le sceau de Gonzaga. — Extraits des Mémoires de Sully (fol. 14). — Duels de Jean de Harcourt et Guillaume III de Tancarville, 1286 (fol. 20), — Raymond du Marcadil de Penne en Agenois et Étienne Donnadieu, 1330 (fol. 24), — M. de Sauvebeuf et Peyrot de Rastinhac, 1587 (fol. 26), — baron de Conros et Carbonat (fol. 29), — Louis de Loudierche, de Grizol et de Cheyladet, 1612 (fol 31, 59), — MM. de Candale et de Schomberg (fol. 36), — combat de la Barrière, 1605 (fol. 37). — Édit de Henri IV défendant les duels (fol. 39). — Accords faits par le connétable, les maréchaux de France et les lieutenants généraux des provinces entre MM. de Clermont et de S. Gery d'Avignon (fol. 50), — de Reilhac et de Drageac (fol. 53), — le duc de Nevers et M. de Montpensier, 1580 (fol. 55), — de Brezolles et de Carluz de Calvimond, 1610 (fol. 57), — de Naves et de Montaignac, 1613 (fol. 61), — le comte de Sault et M. de Brissac, 1638 (fol. 62). — Extraits du « stylus antiquus Parlamenti Parisiensis Caroli Molinoei », éd. 1558 (fol. 66, 72, 74, 156), — du « Coustumier de Normendie », éd. 1539 (fol. 76). — Duels de Jacques Le Gris et Jean de Carouges, 1387 (fol. 84) et autres duels extraits de Froissart (fol. 99 et suiv.). — Lettre orig. de Gaucher de Dinteville à Mgr le Dauphin [Henri II], Venise, 20 décembre 1538 (fol. 142). — « Les Cartelz, reponces et procès-verbaux du different d'entre le sieur de Vassé et le comte Guillaume de Furstenberg, 1540 (fol. 144).