23 resultados para Saracens
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Among the more striking episodes in the Middle English poem Of Arthour and of Merlin is an invasion of England by, amongst others, an army of gigantic Irish pagans. Adapted from the French Estoire de Merlin, the English poem’s depiction of the Irish represents one of the more intriguing points of divergence between the two versions. Of Arthour and of Merlin paints the Irish in a highly negative light and repeatedly refers to them as ‘Saracens’. The French text, by contrast, depicts the Irish as gigantic, but it does not suggest that they are ignoble or pagan. Although, the term ‘Saracen’ was sometimes applied to non-Islamic enemies of England, such as the Vikings, this appears to be its only application to a historically Christian people dwelling west of England. This paper argues that the depiction of the Irish in the poem reflects a complex of ideas about Ireland in circulation in England in the period. In particular, the influential writings of Gerald of Wales lay great emphasis on supposed Irish heterodoxy and repeatedly link the Irish Occident with the Orient as the furthest extremities of the world, abounding in marvels but rendered barbaric by their isolation
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"Comprising details of the numerous conflicts for its possession between the Moors and the Christians, until its final surrender in 1462; and of subsequent events: with an appendix containing interesting documents."
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"Sentences of Ali, son-in-law of Mahomet, and his fourth successor, translated from an authentick Arabick manuscript ... by Simon Ockley." (19 p., v. 2) has separate t.-p.
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Resumen: El fraile castellano Alonso de Espina redacta c. 1460 una voluminosa obra titulada Fortalitium Fidei, conocida por sus duras invectivas contra los “enemigos de la fe”: judíos, herejes judaizantes, sarracenos y demonios. Con todo, el presente trabajo no se ocupa de estudiar el modo en que el discurso de Espina discurre acerca de los distintos enemigos de la ecclesia Dei sino de analizar el lugar concedido por el fraile castellano al defensor de la fe por antonomasia: a saber, el predicador de la palabra divina. Haciendo uso de la teoría polifónica de la enunciación y de contribuciones recientes en torno a la noción de ethos, se examina, en particular, el modo en que Alonso de Espina asume discursivamente la investidura de predicador evangélico, soldado de Cristo, para legitimar su propio decir y, también, el modo en que dicha identificación permite delinear, por contraste, la figura del hereje, uno de los principales adversarios que combate el fraile castellano.
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Bodies, Saracen Giants, and the Medieval Romance: Transgression, Difference, and Assimilation explore le traitement des corps de trois géants Sarasins dans les romances de Roland and Vernagu (c. 1330), Sir Beues of Hamtoun (c. 1330), et The Taill of Rauf Coilyear (c. 1513-42).Grâce à une étude de la représentation de ces trois géants Sarasin, la signification du corps humain au Moyen Age, et des pratiques de la Chrétienté an accord avec les discours et idéologies envers le Proche-Orient qui existaient dans l’Occident médiéval, ce mémoire de maîtrise juxtapose le géant Sarasin et le héros de la romance pour indiquer une similarité apparente entre leur deux corps et leur religion respective. La romance démontre avec hésitation un désir d’assimiler le géants Sarasin dans le code héroïque ainsi que dans la religion chrétienne, mais souvent rejette avec suspicion le corps du géant par sa mort sur le champ de bataille. Malgré sa mort ou son assimilation dans le code héroïque et la Chrétienté, le corps du géant Sarasin demeure toujours important dans le contexte de la Romance, puisqu’il contribue à la construction de l’identité du héros, de sa foi, et de sa société.
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L’idée de la croisade reste présente toute au long du XIVe siècle comme bien le prouvent les projets écrits durant le siècle. Les théoriciens de la croisade décrivent minutieusement les mesures à suivre pour récupérer la Terre sainte. Deux éléments sont nécessaires pour pouvoir entreprendre une nouvelle expédition : la paix entre les princes chrétiens et l’union de l’Église. Au XIVe siècle, un transfert s’opère naturellement, et le mouvement de recuperatio de la Terre sainte se projette contre les ennemis les plus proches de la chrétienté, faisant de toute guerre contre le Turc une guerre sainte. À partir de la deuxième moitié du XIVe siècle, la diplomatie joue un rôle crucial dans la prédication de la croisade. Dans ce contexte idéologique, à l’appel du roi de Hongrie, Sigismond de Luxembourg, les puissances chrétiennes tentent de se coaliser pour arrêter l’avancée ottomane en Europe, mais elles sont défaites à Nicopolis, en 1396. Pour la chevalerie française, la campagne était une opportunité de montrer sa vaillance, mais pour elle la croisade prend une allure de chevauchée plutôt que de guerre sainte.