3 resultados para Rimbauds
Resumo:
Rimbaud, de 16 à 20 ans, a promu le nouveau des idées et formes de la poésie, en abandonnant la tradition par la recherche de l'inconnu, du nouveau verbe poétique où «je est un autre» et contient Rimbauds, multiple. Selon cette perspective, nous limitons la première partie de ce travail, un profil de ce Rimbauds qui concerne: son «Adieu» à la poésie sous la forme de silence: «Je est un autre» - dans laquelle nous avons également parlé du style, l'innovation et caractéristiques, la question - projet poétique?, et, enfin, le mimétisme littéraire de ses premiers poèmes. Dans la seconde partie, on aborde sa poésie, en particulier ses deux proses majeures «Une saison en enfer» et «Illuminations». De la Saison, ont fait des considérations sur ses proses, les proses narratives précédants et les sept proses centrales, dont détaillée de la «Nuit de l'enfer» et illustrent deux caractéristiques de Rimbaud: indécidabilité et incompossibilité. Des «Illuminations» on a saisi les poèmes Ville et Villes «I et II» pour les étudier sous l optique du non-lieu. On travaille encore un autre concept, de la façon dont il est présenté, sept fois dans les Proses, la notion de l Orient :commme il apparaît dans chaque livre, ce qu il signifie et où Rimbaud a cherché ces représentations
Resumo:
La présente thèse se veut une relecture du fumisme en tant que concept et mouvement historique daté (années 1860-1880) et situé (la France), ou moment qui représente une économie de sens qui a bouleversé les habitudes perceptuelles et intellectuelles de la réception depuis la seconde moitié du dix-neuvième siècle. Selon la lecture habituelle du fumisme, les productions des poètes et artistes fumistes, qualifiées de « fumisteries », ne forment qu’un chapitre, ou une catégorie négligeable, de l’histoire littéraire. Cette histoire confond le fumisme en tant que mouvement littéraire éphémère avec les épisodes décadent et symboliste pour le réduire à un concours de mystifications de bourgeois par des bohèmes en marge par rapport à l’institution littéraire organisées par le comédien Sapeck et l’écrivain Alphonse Allais, tous deux nommés ironiquement chefs de « l’École fumiste » vers 1880. Or, en offusquant la conception positiviste du langage qu’elle lui applique afin de le réduire à une simple provocation sans but, et en assimilant Rimbaud aux « fumisteries » des « décadents », la critique littéraire nous donne l’outil principal de démystification du fumisme en tant que pratique ou mode de production d’une économie de sens. C’est cette économie qui constitue notre principal point d’intérêt. Contemporain des épisodes décadent et symboliste, le moment fumiste oblige la réception à reconfigurer la façon de produire du sens. Les productions fumistes (essentiellement des poèmes et des caricatures, comme dans l’Album zutique, notre corpus principal) sont fondées sur une économie du rébus. Exemplifiée par le sonnet de Rimbaud intitulé « Voyelles », cette économie, qui crée des « documents », des textes inséparables de leur matière, introduit l’économie artistique du vingtième siècle – en particulier, au mode de perception cinématographique tel que fabriqué par le fumiste Émile Cohl.
Resumo:
Julien Gracq é um dos mais importantes romancistas franceses do século XX. Em 1945, publica sua única antologia de poemas em prosa, Liberté Grande. A alta voltagem poética dos textos da coletânea distancia-se do lirismo contido da prosa romanesca do autor. Infl uenciado pela poesia de Rimbaud e pelo surrealismo, os poemas em prosa de Gracq afirmam o primado da imaginação criadora sobre as imposições e limitações do real, como se pode constatar pela leitura do primeiro poema da coletânea “Pour galvaniser l’urbanisme”, objeto de estudo deste artigo.