1000 resultados para Residential trap


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Thèse réalisée en cotutelle entre l'Université de Montréal et l'Université Pierre et Marie Curie, Paris 06, Sorbonne Universités.

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Thèse réalisée en cotutelle entre l'Université de Montréal et l'Université Pierre et Marie Curie, Paris 06, Sorbonne Universités.

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Les études sur les milieux de vie et la santé ont traditionnellement porté sur le seul quartier de résidence. Des critiques ont été émises à cet égard, soulignant le fait que la mobilité quotidienne des individus n’était pas prise en compte et que l’accent mis sur le quartier de résidence se faisait au détriment d’autres milieux de vie où les individus passent du temps, c’est-à-dire leur espace d’activité. Bien que la mobilité quotidienne fasse l’objet d’un intérêt croissant en santé publique, peu d’études se sont intéressé aux inégalités sociales de santé. Ceci, même en dépit du fait que différents groupes sociaux n’ont pas nécessairement la même capacité à accéder à des milieux favorables pour la santé. Le lien entre les inégalités en matière de mobilité et les inégalités sociales de santé mérite d’être exploré. Dans cette thèse, je développe d'abord une proposition conceptuelle qui ancre la mobilité quotidienne dans le concept de potentiel de mobilité. Le potentiel de mobilité englobe les opportunités et les lieux que les individus peuvent choisir d’accéder en convertissant leur potentiel en mobilité réalisée. Le potentiel de mobilité est façonné par des caractéristiques individuelles (ex. le revenu) et géographiques (ex. la proximité des transports en commun), ainsi que par des règles régissant l’accès à certaines ressources et à certains lieux (ex. le droit). Ces caractéristiques et règles sont inégalement distribuées entre les groupes sociaux. Des inégalités sociales en matière de mobilité réalisée peuvent donc en découler, autant en termes de l'ampleur de la mobilité spatiale que des expositions contextuelles rencontrées dans l'espace d'activité. Je discute de différents processus par lesquels les inégalités en matière de mobilité réalisée peuvent mener à des inégalités sociales de santé. Par exemple, les groupes défavorisés sont plus susceptibles de vivre et de mener des activités dans des milieux défavorisés, comparativement à leurs homologues plus riches, ce qui pourrait contribuer aux différences de santé entre ces groupes. Cette proposition conceptuelle est mise à l’épreuve dans deux études empiriques. Les données de la première vague de collecte de l’étude Interdisciplinaire sur les inégalités sociales de santé (ISIS) menée à Montréal, Canada (2011-2012) ont été analysées. Dans cette étude, 2 093 jeunes adultes (18-25 ans) ont rempli un questionnaire et fourni des informations socio-démographiques, sur leur consommation de tabac et sur leurs lieux d’activités. Leur statut socio-économique a été opérationnalisé à l’aide de leur plus haut niveau d'éducation atteint. Les lieux de résidence et d'activité ont servi à créer des zones tampons de 500 mètres à partir du réseau routier. Des mesures de défavorisation et de disponibilité des détaillants de produits du tabac ont été agrégées au sein des ces zones tampons. Dans une première étude empirique je compare l'exposition à la défavorisation dans le quartier résidentiel et celle dans l'espace d’activité non-résidentiel entre les plus et les moins éduqués. J’identifie également des variables individuelles et du quartier de résidence associées au niveau de défavorisation mesuré dans l’espace d’activité. Les résultats démontrent qu’il y a un gradient social dans l’exposition à la défavorisation résidentielle et dans l’espace d’activité : elle augmente à mesure que le niveau d’éducation diminue. Chez les moins éduqués les écarts dans l’exposition à la défavorisation sont plus marquées dans l’espace d’activité que dans le quartier de résidence, alors que chez les moyennement éduqués, elle diminuent. Un niveau inférieur d'éducation, l'âge croissant, le fait d’être ni aux études, ni à l’emploi, ainsi que la défavorisation résidentielle sont positivement corrélés à la défavorisation dans l’espace d’activité. Dans la seconde étude empirique j'étudie l'association entre le tabagisme et deux expositions contextuelles (la défavorisation et la disponibilité de détaillants de tabac) mesurées dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité non-résidentiel. J'évalue si les inégalités sociales dans ces expositions contribuent à expliquer les inégalités sociales dans le tabagisme. J’observe que les jeunes dont les activités quotidiennes ont lieu dans des milieux défavorisés sont plus susceptibles de fumer. La présence de détaillants de tabac dans le quartier de résidence et dans l’espace d’activité est aussi associée à la probabilité de fumer, alors que le fait de vivre dans un quartier caractérisé par une forte défavorisation protège du tabagisme. En revanche, aucune des variables contextuelles n’affectent de manière significative l’association entre le niveau d’éducation et le tabagisme. Les résultats de cette thèse soulignent l’importance de considérer non seulement le quartier de résidence, mais aussi les lieux où les gens mènent leurs activités quotidiennes, pour comprendre le lien entre le contexte et les inégalités sociales de santé. En discussion, j’élabore sur l’idée de reconnaître la mobilité quotidienne comme facteur de différenciation sociale chez les jeunes adultes. En outre, je conclus que l’identification de facteurs favorisant ou contraignant la mobilité quotidienne des individus est nécessaire afin: 1 ) d’acquérir une meilleure compréhension de la façon dont les inégalités sociales en matière de mobilité (potentielle et réalisée) surviennent et influencent la santé et 2) d’identifier des cibles d’intervention en santé publique visant à créer des environnements sains et équitables.

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The primary purpose of the BASE Project was to establish how to help individuals with Autism Spectrum Disorder out of poverty by promoting social inclusion. In order to achieve this, a range of methodologies were utilised that aimed to provide a baseline against which the effect of the Autism Act (NI) 2011 and the associated Autism Strategy (2013-2020) and Action Plans can be measured. The BASE Project is reported in 5 volumes. Volume 2 reports on the analysis of the autism module of the Northern Ireland Life and Times (NILT) Survey that assessed public awareness, attitudes, knowledge, and projected behaviours with regard to individuals with ASD (all primary data and technical reports are available at www.ark.ac.uk/nilt/).

The NILT (2012) survey first ever autism module (n=1204) offered a baseline against which the impact of new autism legislation, policies, and strategies can be measured. Key findings:

• 82% awareness: Most people in Northern Ireland are aware of autism (n=989).
• 50% of all participants knew someone with autism personally (n=606).

Of those who were aware of autism:
• 19% had a close family member with autism (n=186), and/or a friends/acquaintance (n=296), and/or a work colleague (n=79) with autism.
• Autism awareness was particularly low for those from ethnic minorities and those with no internet access.
• Awareness of autism specific legislation was low (20%).
• Good levels of knowledge about autism strengths and challenges, slight tendency to overestimate the occurrence of special talents.
• Prevalence of autism was underestimated (62% thought autism was much less prevalent than official figures or did not know).
• Fairly accurate perception about causes of autism, i.e., not caused by poor parenting (84%).
• Strong support for evidence-based behavioural interventions (77%), but confusion about interventions that are not evidence-based (64%).
• Strong positive attitudes towards children and adults in social, educational and employment settings.
• Autism not viewed as necessarily ‘lifelong’ (58%); support for independent living (78%), e.g., driving a car (83%).
• More business for employers who employ people with autism (12%).
• Strong support for families caring rather than residential care (64%).
• Confusion about service responsibility: education (26%) health (33%) or both (28%).

Given increasing prevalence rates of ASD it is important that the general population is aware of autism and able to respond responsibly to the associated strengths and challenges. The results of the NILT (2012) first ever autism module show that the general public was well aware of autism, had positive attitudes, and was relatively knowledgeable about the issues faced by individuals and families affected directly. However, there was a lack of clarity about responsibility for effective service delivery. The NILT results show that a shift in focus is necessary from ‘awareness raising campaigns’ to an approach that delivers clarity with regard to intervention and accountability.

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Many species of insects display a disposition to move towards light. As a consequence, nocturnal artificial lighting often contributes to an increase in insect population among humans. We tested the hypothesis that residential white lamps can evoke significantly different attraction to insects even when their light outputs are nearly indistinguishable to humans. In a two-choice experiment using insect traps equipped with either a compact fluorescent or a LED light source with similar photometric specifications, about three times more insects were captured in the trap with a compact fluorescent lamp than in the LED trap. The results suggest that LED lamps are preferable to compact fluorescent lamps when the objective is to avoid attracting nocturnal insects to households.

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Characterization of indoor particle sources from 14 residential houses in Brisbane, Australia, was performed. The approximation of PM2.5 and the submicrometre particle number concentrations were measured simultaneously for more than 48 h in the kitchen of all the houses by using a photometer (DustTrak) and a condensation particle counter (CPC), respectively. From the real time indoor particle concentration data and a diary of indoor activities, the indoor particle sources were identified. The study found that among the indoor activities recorded in this study, frying, grilling, stove use, toasting, cooking pizza, smoking, candle vaporizing eucalyptus oil and fan heater use, could elevate the indoor particle number concentration levels by more than five times. The indoor approximation of PM2.5 concentrations could be close to 90 times, 30 times and three times higher than the background levels during grilling, frying and smoking, respectively.

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As part of a large study investigating indoor air in residential houses in Brisbane, Australia, the purpose of this work was to quantify indoor exposure to submicrometer particles and PM2.5 for the inhabitants of 14 houses. Particle concentrations were measured simultaneously for more than 48 hours in the kitchens of all the houses by using a condensation particle counter (CPC) and a photometer (DustTrak). The occupants of the houses were asked to fill in a diary, noting the time and duration of any activity occurring throughout the house during measurement, as well as their presence or absence from home. From the time series concentration data and the information about indoor activities, exposure to the inhabitants of the houses was calculated for the entire time they spent at home as well as during indoor activities resulting in particle generation. The results show that the highest median concentration level occurred during cooking periods for both particle number concentration (47.5´103 particles cm-3) and PM2.5 concentration (13.4 mg m-3). The highest residential exposure period was the sleeping period for both particle number exposure (31%) and PM2.5 exposure (45.6%). The percentage of the average residential particle exposure level in total 24h particle exposure level was approximating 70% for both particle number and PM2.5 exposure.

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Worldwide, the current pattern of urban development is unsustainable and metropolitan planning and development strategies deliver poor environmental outcomes in relation to energy production. As a result, an increasing number of governments and private sector development companies are initiating projects that aim to deliver enhanced environmental outcomes rather than a ‘business as usual’ approach. This paper will summarise the findings from a study that explored the link between building orientation and energy efficiencies in sub-tropical and tropical climates. The study used a new thermal modelling software tool developed by CSIRO that responds more accurately to residential heating and cooling energy performance in those climate zones. This software tool responds to industry criticisms regarding cold climate modelling systems that do not make sufficient allowance for natural ventilation. The study examined a range of low, medium and high-density dwelling types and investigated the impact of orientation, insulation, ventilation and shading devices on energy efficiencies. This paper will examine the findings from the medium and high-density case study developments as these are relevant to residential developments in many South East Asian countries, such as Singapore, Hong Kong and Malaysia. Finally, the paper will explore the potential benefits that medium and high-density residential developments have in the development of ‘solar cities’ and ‘solar suburbs’.