160 resultados para ReqSys-MDD
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The approach Software Product Line (SPL) has become very promising these days, since it allows the production of customized systems on large scale through product families. For the modeling of these families the Features Model is being widely used, however, it is a model that has low level of detail and not may be sufficient to guide the development team of LPS. Thus, it is recommended add the Features Model to other models representing the system from other perspectives. The goals model PL-AOVgraph can assume this role complementary to the Features Model, since it has a to context oriented language of LPS's, which allows the requirements modeling in detail and identification of crosscutting concerns that may arise as result of variability. In order to insert PL-AOVgraph in development of LPS's, this paper proposes a bi-directional mapping between PL-AOVgraph and Features Model, which will be automated by tool ReqSys-MDD. This tool uses the approach of Model-Driven Development (MDD), which allows the construction of systems from high level models through successive transformations. This enables the integration of ReqSys-MDD with other tools MDD that use their output models as input to other transformations. So it is possible keep consistency among the models involved, avoiding loss of informations on transitions between stages of development
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The occurrence of problems related to the scattering and tangling phenomenon, such as the difficulty to do system maintenance, increasingly frequent. One way to solve this problem is related to the crosscutting concerns identification. To maximize its benefits, the identification must be performed from early stages of development process, but some works have reported that this has not been done in most of cases, making the system development susceptible to the errors incidence and prone to the refactoring later. This situation affects directly to the quality and cost of the system. PL-AOVgraph is a goal-oriented requirements modeling language which offers support to the relationships representation among requirements and provides separation of crosscutting concerns by crosscutting relationships representation. Therefore, this work presents a semi-automatic method to crosscutting concern identification in requirements specifications written in PL-AOVgraph. An adjacency matrix is used to identify the contributions relationships among the elements. The crosscutting concern identification is based in fan-out analysis of contribution relationships from the informations of adjacency matrix. When identified, the crosscutting relationships are created. And also, this method is implemented as a new module of ReqSys-MDD tool
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Résumé I. Introduction La présente étude analyse les conflits entre les autorités nationales de concurrence dans le cas de figure où plusieurs autorités examinent en même temps la convergence d'une opération de concentration avec leur droit de concentration respectif. Tandis que le débat concernant le contrôle parallèle des opérations de concentration internationales est aujourd'hui extrêmement vif, la recherche fondamentale sur ce sujet n'a pas encore beaucoup avancé. Cependant il y a un besoin de réforme évident, un besoin au centre duquel se situe une réflexion sur l'organisation du droit de concurrence international. Le but de cette étude est donc de fournir une vue d'ensemble des conflits possibles entre les autorités nationales de concurrence en matière politique, économique et juridique (matérielle et procédurale) causés par une opération de concentration internationale. L'objectif n'est pas de fournir une évaluation des différents systèmes de contrôle de concentration, mais plutôt de chercher la source des conflits. Par ailleurs, l'analyse qui suit insistera sur la nécessité d'une solution internationale de ces conflits. II. Arrière-plan Depuis plusieurs décennies, les relations économiques internationales entre les Etats et les entreprises ont été profondément marquées par un processus dynamique de globalisation et de libéralisation. La libéralisation a engendré une croissance énorme du commerce mondial. En conséquence, les entreprises ont développé des stratégies globales pour arriver à une croissance durable. Ainsi, le nombre et la taille des entreprises internationales a constamment augmenté. À cause de cette présence globale des entreprises, les anciens marchés nationaux ou régionaux sont devenus des marchés globaux. Dans le cadre de la libéralisation économique, beaucoup d'Etats ainsi que l'Union Européenne ont reconnu que la concurrence est le moyen approprié pour faire progresser l'innovation et la croissance économique. Il faut donc maintenir et développer les structures de concurrence. Pour cela, il faut surveiller dans le cadre du droit de contrôle international toutes les pratiques concertées dont l'objet ou l'effet serait de restreindre la concurrence, ainsi que les abus d'une position dominante ou les opérations de concentration d'entreprises. Jusqu'à présent, sur environ 200 Etats souverains existants au monde, une bonne centaine ainsi que l'Union Européenne (l'UE) ont développé un droit de concurrence. Et parmi ces Etats, 75 environ ont créé un droit de contrôle de concentration. Mais ces règles nationales ne sont pas toujours appropriées au regard de l'économie mondiale. On constate plutôt que ,,l'internationalisation croissante des marchés [...] n'a pas été suivie d'une internationalisation parallèle de la politique de concurrence". Par ailleurs, un grand nombre d'Etats appliquent leur droit de concurrence également en dehors de leur propre territoire afin de contrôler les abus à l'étranger. Même si on peut comprendre ce besoin de contrôle, cette évolution risque de provoquer des conflits avec les législations des autres Etats concernés. D'autres difficultés naissent des différences théoriques ou pratiques des systèmes du droit de la concurrence ou de régulations divergentes du point de vue matériel et procédural. Même sur la base de règles comparables, des divergences apparaissent à cause de différentes méthodes d'interprétation ou d'application. La communauté internationale s'emploie à combattre toutes les barrières au commerce transnational -notamment dans le cadre de l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC). Mais si elle néglige de lutter en même temps contre les barrières commerciales établies par les entreprises elles-mêmes, elle risque de perdre les gains d'efficacité et de bien public déjà acquis par la suppression des barrières commerciales publiques. Car certaines actions des entreprises privées, comme l'exclusion ou la répartition mutuelle du marché, peuvent aussi bien conduire à des restrictions de la concurrence que les barrières commerciales publiques, tarifaires ou non-tarifaires, et peuvent même s'y substituer. III. Plan de l'étude Après l'Introduction, la partie B traite de la coopération de l'Union Européenne avec les Etats-Unis en matière du droit de la concurrence. En effet, les accords bilatéraux entre l'UE et les Etats-Unis montrent les possibilités et les limites d'une telle coopération. Les conflits entre les autorités de concurrence résultent de la mondialisation croissante et de l'intensification de la concurrence qui en découle. Aussi, ces conflits ne sont pas seulement d'ordre théorique mais également d'une grande importance pratique comme le montre l'analyse des deux cas dans la partie C. Les autorités de concurrence des Etats-Unis et de l'Union Européenne ont chacun de leur côté examiné la fusion des entreprises Boeing Corporation et McDonnell Douglas Corporation (MDD), ainsi que le projet de fusion entre Honeywell International Inc. (Honeywell) et General Electric Co. (GE). Or, ces deux procédures sont paradigmatiques en ce qui concerne la sensibilité politique des autorités de concurrence et les limites de la coopération bilatérale. Après ces analyse de cas, la partie D qui compare le droit de contrôle de concentration aux Etats-Unis et en Europe et examine les conflits éventuels entre les deux systèmes constitue la partie principale de l'étude. Les sources de ces conflits peuvent être aussi bien trouvées dans le droit matériel que dans le droit procédural, tout comme dans les différences d'orientation politique générale des deux systèmes. La partie E montre les différentes solutions qui ont été proposées dans ce cadre. Ensuite, ces propositions sont comparées avec celles concernant l'harmonisation des politiques de concurrence et de contrôle de concentrations. Sur la base de ces résultats, une proposition de solution montrant les premiers pas nécessaires pour résoudre les conflits existants entre les autorités de concurrence est présentée. IV. Résumé des conflits L'étude aboutit à la constatation que presque tous les aspects du contrôle des concentrations constituent un important potentiel de conflits. Celui-ci est d'ailleurs bien plus important que l'on ne pourrait penser au w des lois applicables. La complexité du droit de la concurrence provoque nécessairement des conflits. Mais il faut également tenir compte des différences fondamentales concernant les objectifs politiques des Etats, les formes d'institutionnalisation des autorités de concurrence et la prise en considération des pays en développement ou des pays émergents. Les différences purement juridiques accroissent le potentiel de conflits entre les Etats et empêchent une intensification de la coopération. Cela est notamment vrai pour la définition de la concentration, l'application extraterritoriale du droit national, la notification obligatoire et ses seuils fixés. Concernant le droit matériel, les conflits se situent dans les domaines de la délimitation du marché, le critère d'incompabilité, l'analyse économique, la prise en compte des gains d'efficacité, l'importance de la concentration de sauvetage ainsi que de l'application du principe de ,,comity of nations". Du point de we du droit procédural, les différences d'inscription obligatoire et d'interdiction partielle de l'accomplissement consécutif donnent autant également lieu à des conflits potentiels que les différences de méthode d'investigation et d'exécution des décisions publiques. Il en va de même pour les différents remèdes ou les sanctions prévues pour le mépris des décisions des autorités ou des tribunaux et la position des parties tierces dans la procédure est également un facteur de conflit. Enfin, il faut mentionner le manque de transparence qui nuit à la sécurité juridique. L'application arbitraire du droit, le protectionnisme, le mercantilisme ainsi que le manque de sécurité juridique augmentent le danger de conflits interétatiques. La coopération entre les Etats-Unis et l'Union Européenne sur la base de l'accord de 1991 n'a pas vraiment réduit ce potentiel de conflits. Cela s'est notamment avéré au moment des projets de fusion entre GE et Honeywell et de la reprise de MDD par Boeing. V. Les possibilités d'harmonisation Aussi bien la nécessité que la faisabilité d'une harmonisation globale du droit de la concurrence et d'une politique de la concurrence sont encore très discutés. La plupart des débats tournent plutôt autour de l'arrangement concret d'un tel droit harmonisé que de l'objectif général d'une harmonisation. Quelques Etats comme les Etats-Unis redoutent une trop grande perte de souveraineté et veulent par conséquent maintenir leur méthode unilatérale et extraterritoriale. Cependant, la plupart des experts des organisations internationales comme ceux des autorités de concurrence et du public intéressé approuvent l'idée d'un droit de concurrence international. Etant donné la gravité de certains conflits, de nombreux Etats et un grand nombre de juristes perçoivent la nécessité de développer la conscience d'une indispensable harmonisation, et un accord sur ce plan semble parfaitement possible. Parmi ceux qui soutiennent cet accord l'on trouve presque tous les Etats membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (l'OCDE), de nombreux Etats membres de l'OMC, de l'Organisations des nations unies (l'ONU) et de l'Accord de libre-échange nord-américain (l'ALENA), particulièrement les Etats de l'UE, l'Australie, le Japon, le Canada, le Mexique, la Nouvelle Zélande et quelques représentants des autorités de concurrence des Etats-Unis. La méthode la plus efficace et raisonnable pour lutter contre les obstacles privés à la concurrence est la coopération et la coordination globale des mécanismes de contrôle. Les forums et les structures nécessaires pour la préparation d'une telle tâche existent déjà. Ainsi, le cadre institutionnel éprouvé de l'OMC pourra faire progresser le processus d`harmonisation. Il faudrait simplement élargir les compétences de l'OMC pour garantir un contrôle international efficace. L'harmonisation sur le plan international serait plus efficace qu'une harmonisation unilatérale ou bilatérale. La flexibilité d'un accord international pourrait être garanti par 1"insertion de cet accord dans le Mémorandum d'accords commerciaux plurilatéraux (Annexe 4) de l'OMC. Ainsi, cet accord ne serait obligatoire que pour les Etats membres qui l'auraient déjà approuvé séparément. Les autres Etats auraient la possibilité de le signer plus tard. En cas de conflits dans le cadre de l'application de cet accord, on pourrait se servir du mécanisme d'arbitrage de l'OMC. Il faudrait également créer une autorité internationale de concurrence et un comité spécial international de concurrence. Un tel accord de l'OMC ne constitue qu'un premier pas. Les exigences minimales de l'accord doivent être renforcées et régulièrement ajustées à l'évolution et aux nouvelles données de l'économie mondiale. Ainsi, le processus d'harmonisation internationale sera l'objet d'une dynamique permanente. VI. Résultats et conclusions L'étude a montré que l'application parallèle des droits nationaux de concurrence est une importante source de conflits. Elle a surtout mis l'accent sur les relations entre les Etats-Unis et l'Union Européenne. Il est d'ailleurs très probable que ce genre de conflits augmente encore dans le futur. En 2000, l'activité mondiale des fusions et acquisitions a eu un volume de 3 billions de dollars Anglo-américains. Cela équivaut à une multiplication par onze du volume de 1991. En 2001, par contre, le volume a de nouveau baissé à 1,6 billions de dollars Anglo-américains. Mais selon les pronostics, le nombre des concentrations va à nouveau augmenter considérablement dans les prochaines années. Cette vague de concentrations internationales est la conséquence de l'intensification mondiale des relations économiques transnationales. Cette évolution va se poursuivre pour autant que les barrières commerciales publiques continuent à être démantelées, que le renforcement de la dérégularisation ouvre de nouveaux marchés à la compétition, que de plus en plus de standards techniques soient harmonisés et que les transports et la communication internationale soient améliorés et moins couteux. Enfin, la consolidation de certains secteurs économiques à la suite de fusions déjà réalisées encourage de plus en plus les entreprises à fusionner sur le plan international et dans des dimensions de plus en plus grandes. Outre les conflits engendrés par les différentes législations nationales, il faut également mentionner les oppositions qui résultent d'une façon indirecte de la compétition entre les différentes autorités de contrôle. Ainsi, par exemple, les conséquences économiques et financières d'un retard dans la procédure de contrôle ou les sanctions importantes imposées aux entreprises concernées sont souvent le sujet de discussions et de conflits politiques. Dans ce cadre, il faut souligner qu'en réalité le droit de concurrence ainsi que le droit de contrôle de concentrations ne vise pas seulement une politique de concurrence mais également la politique industrielle et générale. La diversité de ces différentes visées politiques provoque nécessairement des conflits politiques. La solution présentée à la fin de ce travail voudrait proposer une application efficace du droit de contrôle de concentration sur le plan international. A la base de cette efficacité il y a aurait notamment: L'encouragement d'une politique de concurrence au sein des Etats qui n'ont pas encore développé un droit de concurrence ou qui ne l'exécutent pas d'une manière suffisante. L'encouragement de la concurrence et des concentrations positives améliorant la situation compétitive. La simplification de la coopération des autorités de concurrence. L'accélération des procédures et des décisions. La garantie de la sécurité juridique. La diminution des conflits politiques. L'encouragement d'une amélioration globale du bien public qui est à la base de toute politique commerciale. Ces objectifs ne peuvent être atteints que si le protectionnisme national est battu en brêche et si des systèmes de contrôle international sont installés. Les intérêts des Etats doivent refléter les nouvelles dimensions de l'économie globale qui ne s'arrête pas aux frontières nationales. Pour cela il leur faut accepter certaines pertes de souveraineté et tolérer certaines infractions aux règles internationales de la non-ingérence. Les intérêts nationaux doivent s'ajuster à l'économie mondiale et aux intérêts des autres Etats. Bien entendu, tant que la divergence actuelle entre les marchés internationaux et les systèmes de contrôle nationaux persiste, une amélioration de la situation est peu probable. Pour que cela soit possible, il faudrait une législation qui reflète les nouvelles dimensions de l'économie et ses effets transnationaux et qui, en même temps, augmente et assure une concurrence efficace. Une telle stratégie aiderait non seulement les autorités de concurrence et les Etats mais également tout particulièrement les consommateurs et les entreprises. Car une telle concurrence efficace engendre des entreprises plus efficaces, des produits améliorés, un choix plus grand et des prix plus bas. En fin de compte, un tel effet de bien public diminuerait aussi le risque de conflits interétatiques. Dans le cadre de la consolidation et de l'amélioration des structures juridiques du système de l'OMC, il serait essentiel que les institutions et la méthode d'arbitrage de l'OMC inspirent suffisamment confiance à la communauté internationale des Etats. Car c'est seulement sur la base d'une telle confiance et avec la volonté des Etats de faire un pas décisif en faveur d'un commerce mondial plus libre et plus loyal qu'un projet aussi ambitieux est réalisable. Il est donc essentiel que les responsables réalisent enfin les projets d'harmonisation et de coopération renforcées qu'ils ont si souvent annoncés. En tous cas, une forte ,,dynamique du processus d'harmonisation" sera nécessaire pour progresser sur le terrain de l'harmonisation internationale de la politique de la concurrence. Berlin, 17/08/2006 Florens Girardet
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Background The objective was to examine the course and longitudinal associations of generalized anxiety disorder (GAD) and major depressive disorder (MDD) in mothers over the postpartum 2 years. Method Using a prospective naturalistic design, 296 mothers recruited from a large community pool were assessed for GAD and MDD at 3, 6, 10, 14, and 24 months postpartum. Structured clinical interviews were used for diagnoses, and symptoms were assessed using self-report questionnaires. Logistic regression analyses were used to examine diagnostic stability and longitudinal relations, and latent variable modeling was employed to examine change in symptoms. Results MDD without co-occurring GAD, GAD without co-occurring MDD, and co-occurring GAD and MDD, displayed significant stability during the postpartum period. Whereas MDD did not predict subsequent GAD, GAD predicted subsequent MDD (in the form of GAD + MDD). Those with GAD + MDD at 3 months postpartum were significantly less likely to be diagnosis free during the follow-up period than those in other diagnostic categories. At the symptom level, symptoms of GAD were more trait-like than those of depression. Conclusions Postpartum GAD and MDD are relatively stable conditions, and GAD is a risk factor for MDD but not vice versa. Given the tendency of MDD and GAD to be persistent, especially when comorbid, and the increased risk for MDD in mothers with GAD, as well as the potential negative effects of cumulative exposure to maternal depression and anxiety on child development, the present findings clearly highlight the need for screening and treatment of GAD in addition to MDD during the postpartum period.
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Aspect Oriented approaches associated to different activities of the software development process are, in general, independent and their models and artifacts are not aligned and inserted in a coherent process. In the model driven development, the various models and the correspondence between them are rigorously specified. With the integration of aspect oriented software development (DSOA) and model driven development (MDD) it is possible to automatically propagate models from one activity to another, avoiding the loss of information and important decisions established in each activity. This work presents MARISA-MDD, a strategy based on models that integrate aspect-oriented requirements, architecture and detailed design, using the languages AOV-graph, AspectualACME and aSideML, respectively. MARISA-MDD defines, for each activity, representative models (and corresponding metamodels) and a number of transformations between the models of each language. These transformations have been specified and implemented in ATL (Atlas Definition Language), in the Eclipse environment. MARISA-MDD allows the automatic propagation between AOV-graph, AspectualACME, and aSideML models. To validate the proposed approach two case studies, the Health Watcher and the Mobile Media have been used in the MARISA-MDD environment for the automatic generation of AspectualACME and aSideML models, from the AOV-graph model
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Aspect-Oriented Software Development (AOSD) is a technique that complements the Object- Oriented Software Development (OOSD) modularizing several concepts that OOSD approaches do not modularize appropriately. However, the current state-of-the art on AOSD suffers with software evolution, mainly because aspect definition can stop to work correctly when base elements evolve. A promising approach to deal with that problem is the definition of model-based pointcuts, where pointcuts are defined based on a conceptual model. That strategy makes pointcut less prone to software evolution than model-base elements. Based on that strategy, this work defines a conceptual model at high abstraction level where we can specify software patterns and architectures that through Model Driven Development techniques they can be instantiated and composed in architecture description language that allows aspect modeling at architecture level. Our MDD approach allows propagate concepts in architecture level to another abstraction levels (design level, for example) through MDA transformation rules. Also, this work shows a plug-in implemented to Eclipse platform called AOADLwithCM. That plug-in was created to support our development process. The AOADLwithCM plug-in was used to describe a case study based on MobileMedia System. MobileMedia case study shows step-by-step how the Conceptual Model approach could minimize Pointcut Fragile Problems, due to software evolution. MobileMedia case study was used as input to analyses evolutions on software according to software metrics proposed by KHATCHADOURIAN, GREENWOOD and RASHID. Also, we analyze how evolution in base model could affect maintenance on aspectual model with and without Conceptual Model approaches
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Context: Today’s project managers have a myriad of methods to choose from for the development of software applications. However, they lack empirical data about the character of these methods in terms of usefulness, ease of use or compatibility, all of these being relevant variables to assess the developer’s intention to use them. Objective: To compare three methods, each following a different paradigm (Model-Driven, Model-Based and Code-Centric) with respect to their adoption potential by junior software developers engaged in the development of the business layer of a Web 2.0 application. Method: We have conducted a quasi-experiment with 26 graduate students of the University of Alicante. The application developed was a Social Network, which was organized around a fixed set of modules. Three of them, similar in complexity, were used for the experiment. Subjects were asked to use a different method for each module, and then to answer a questionnaire that gathered their perceptions during such use. Results: The results show that the Model-Driven method is regarded as the most useful, although it is also considered the least compatible with previous developers’ experiences. They also show that junior software developers feel comfortable with the use of models, and that they are likely to use them if the models are accompanied by a Model-Driven development environment. Conclusions: Despite their relatively low level of compatibility, Model-Driven development methods seem to show a great potential for adoption. That said, however, further experimentation is needed to make it possible to generalize the results to a different population, different methods, other languages and tools, different domains or different application sizes.
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OBJECTIVE: The aim of this study was to translate the Structured Clinical Interview for Mood Spectrum into Brazilian Portuguese, measuring its reliability, validity, and defining scores for bipolar disorders. METHOD: Questionnaire was translated (into Brazilian Portuguese) and back-translated into English. Sample consisted of 47 subjects with bipolar disorder, 47 with major depressive disorder, 18 with schizophrenia and 22 controls. Inter-rater reliability was tested in 20 subjects with bipolar disorder and MDD. Internal consistency was measured using the Kuder Richardson formula. Forward stepwise discriminant analysis was performed. Scores were compared between groups; manic (M), depressive (D) and total (T) threshold scores were calculated through receiver operating characteristic (ROC) curves. RESULTS: Kuder Richardson coefficients were between 0.86 and 0.94. Intraclass correlation coefficient was 0.96 (CI 95 % 0.93-0.97). Subjects with bipolar disorder had higher M and T, and similar D scores, when compared to major depressive disorder (ANOVA, p < 0.001). The sub-domains that best discriminated unipolar and bipolar subjects were manic energy and manic mood. M had the best area under the curve (0.909), and values of M equal to or greater than 30 yielded 91.5% sensitivity and 74.5% specificity. CONCLUSION: Structured Clinical Interview for Mood Spectrum has good reliability and validity. Cut-off of 30 best differentiates subjects with bipolar disorder vs. unipolar depression. A cutoff score of 30 or higher in the mania sub-domain is appropriate to help make a distinction between subjects with bipolar disorder and those with unipolar depression.
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The use of neuromodulation as a treatment for major depressive disorder (MDD) has recently attracted renewed interest due to development of other non-pharmacological therapies besides electroconvulsive therapy (ECT) such as transcranial magnetic stimulation (TMS), transcranial direct current stimulation (tDCS), deep brain stimulation (DBS), and vagus nerve stimulation (VNS). METHOD: We convened a working group of researchers to discuss the updates and key challenges of neuromodulation use for the treatment of MDD. RESULTS: The state-of-art of neuromodulation techniques was reviewed and discussed in four sections: [1] epidemiology and pathophysiology of MDD; [2] a comprehensive overview of the neuromodulation techniques; [3] using neuromodulation techniques in MDD associated with non-psychiatric conditions; [4] the main challenges of neuromodulation research and alternatives to overcome them. DISCUSSION: ECT is the first-line treatment for severe depression. TMS and tDCS are strategies with a relative benign profile of side effects; however, while TMS effects are comparable to antidepressant drugs for treating MDD; further research is needed to establish the role of tDCS. DBS and VNS are invasive strategies with a possible role in treatment-resistant depression. In summary, MDD is a chronic and incapacitating condition with a high prevalence; therefore clinicians should consider all the treatment options including invasive and non-invasive neuromodulation approaches.
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Objectives: Adults with major depressive disorder (MDD) are reported to have reduced orbitofrontal cortex (OFC) volumes, which could be related to decreased neuronal density. We conducted a study on medication naive children with MDD to determine whether abnormalities of OFC are present early in the illness course. Methods: Twenty seven medication naive pediatric Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 4(th) edition (DSM-IV) MDD patients (mean age +/- SD = 14.4 +/- 2.2 years; 10 males) and 26 healthy controls (mean age +/- SD = 14.4 +/- 2.4 years; 12 males) underwent a 1.5T magnetic resonance imaging (MRI) with 3D spoiled gradient recalled acquisition. The OFC volumes were compared using analysis of covariance with age, gender, and total brain volume as covariates. Results: There was no significant difference in either total OFC volume or total gray matter OFC volume between MDD patients and healthy controls. Exploratory analysis revealed that patients had unexpectedly larger total right lateral (F = 4.2, df = 1, 48, p = 0.05) and right lateral gray matter (F = 4.6, df = 1, 48, p = 0.04) OFC volumes compared to healthy controls, but this finding was not significant following statistical correction for multiple comparisons. No other OFC subregions showed a significant difference. Conclusions: The lack of OFC volume abnormalities in pediatric MDD patients suggests the abnormalities previously reported for adults may develop later in life as a result of neural cell loss.
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Objective: The striatum, including the putamen and caudate, plays an important role in executive and emotional processing and may be involved in the pathophysiology of mood disorders. Few studies have examined structural abnormalities of the striatum in pediatric major depressive disorder (MDD) patients. We report striatal volume abnormalities in medication-naive pediatric MDD compared to healthy comparison subjects. Method: Twenty seven medication-naive pediatric Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, 4(th) edition (DSM-IV) MDD and 26 healthy comparison subjects underwent volumetric magnetic resonance imaging (MRI). The putamen and caudate volumes were traced manually by a blinded rater, and the patient and control groups were compared using analysis of covariance adjusting for age, sex, intelligence quotient, and total brain volumes. Results: MDD patients had significantly smaller right striatum (6.0% smaller) and right caudate volumes (7.4% smaller) compared to the healthy subjects. Left caudate volumes were inversely correlated with severity of depression in MDD subjects. Age was inversely correlated with left and right putamen volumes in MDD patients but not in the healthy subjects. Conclusions: These findings provide fresh evidence for abnormalities in the striatum of medication-naive pediatric MDD patients and suggest the possible involvement of the striatum in the pathophysiology of MDD.
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Background: Although meta-analyses have shown that placebo responses are large in Major Depressive Disorder (MDD) trials; the placebo response of devices such as repetitive transcranial magnetic stimulation (rTMS) has not been systematically assessed. We proposed to assess placebo responses in two categories of MDD trials: pharmacological (antidepressant drugs) and non-pharmacological (device-rTMS) trials. Methodology/Principal Findings: We performed a systematic review and meta-analysis of the literature from April 2002 to April 2008, searching MEDLINE, Cochrane, Scielo and CRISP electronic databases and reference lists from retrieved studies and conference abstracts. We used the keywords placebo and depression and escitalopram for pharmacological studies; and transcranial magnetic stimulation and depression and sham for non-pharmacological studies. All randomized, double-blinded, placebo-controlled, parallel articles on major depressive disorder were included. Forty-one studies met our inclusion criteria-29 in the rTMS arm and 12 in the escitalopram arm. We extracted the mean and standard values of depression scores in the placebo group of each study. Then, we calculated the pooled effect size for escitalopram and rTMS arm separately, using Cohen's d as the measure of effect size. We found that placebo response are large for both escitalopram (Cohen's d-random-effects model-1.48; 95% C.I. 1.26 to 1.6) and rTMS studies (0.82; 95% C.I. 0.63 to 1). Exploratory analyses show that sham response is associated with refractoriness and with the use of rTMS as an add-on therapy, but not with age, gender and sham method utilized. Conclusions/Significance: We confirmed that placebo response in MDD is large regardless of the intervention and is associated with depression refractoriness and treatment combination (add-on rTMS studies). The magnitude of the placebo response seems to be related with study population and study design rather than the intervention itself.
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Objective: To assess from a health sector perspective the incremental cost-effectiveness of cognitive behavioural therapy (CBT) and selective serotonin reuptake inhibitors (SSRIs) for the treatment of major depressive disorder (MDD) in children and adolescents, compared to 'current practice'. Method: The health benefit is measured as a reduction in disability-adjusted life years (DALYs), based on effect size calculations from meta-analysis of randomised controlled trials. An assessment on second stage filter criteria ('equity'; 'strength of evidence', 'feasibility' and 'acceptability to stakeholders') is also undertaken to incorporate additional factors that impact on resource allocation decisions. Costs and benefits are tracked for the duration of a new episode of MDD arising in eligible children (age 6-17 years) in the Australian population in the year 2000. Simulation-modelling techniques are used to present a 95% uncertainty interval (UI) around the cost-effectiveness ratios. Results: Compared to current practice, CBT by public psychologists is the most cost-effective intervention for MDD in children and adolescents at A$9000 per DALY saved (95% UI A$3900 to A$24 000). SSRIs and CBT by other providers are less cost-effective but likely to be less than A$50 000 per DALY saved (> 80% chance). CBT is more effective than SSRIs in children and adolescents, resulting in a greater total health benefit (DALYs saved) than could be achieved with SSRIs. Issues that require attention for the CBT intervention include equity concerns, ensuring an adequate workforce, funding arrangements and acceptability to various stakeholders. Conclusions: Cognitive behavioural therapy provided by a public psychologist is the most effective and cost-effective option for the first-line treatment of MDD in children and adolescents. However, this option is not currently accessible by all patients and will require change in policy to allow more widespread uptake. It will also require 'start-up' costs and attention to ensuring an adequate workforce.
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Background: Despite significant advancements in psychopharmacology, treating major depressive disorder (MDD) is still a challenge considering the efficacy, tolerability, safety, and economical costs of most antidepressant drugs. One approach that has been increasingly investigated is modulation of cortical activity with tools of non-invasive brain stimulation - such as transcranial magnetic stimulation and transcranial direct current stimulation (tDCS). Due to its profile, tDCS seems to be a safe and affordable approach. Methods and design: The SELECT TDCS trial aims to compare sertraline vs. tDCS in a double-blinded, randomized, factorial trial enrolling 120 participants to be allocated to four groups to receive sertraline + tDCS, sertraline, tDCS or placebo. Eligibility criteria are moderate-to-severe unipolar depression (Hamilton Depression Rating Scale >17) not currently on sertraline treatment. Treatment will last 6 weeks and the primary outcome is depression change in the Montgomery-Asberg Depression Rating Score (MADRS). Potential biological markers that mediate response, such as BDNF serum levels, Val66Met BDNF polymorphism, and heart rate variability will also be examined. A neuropsychological battery with a focus on executive functioning will be administered. Discussion: With this design we will be able to investigate whether tDCS is more effective than placebo in a sample of patients free of antidepressants and in addition, we will be able to secondarily compare the effect sizes of sertraline vs. tDCS and also the comparison between tDCS and combination of tDCS and sertraline. (C) 2010 Elsevier Inc. All rights reserved.