977 resultados para Relaciones de fuerzas
Resumo:
Esta monografía busca analizar las razones que permitieron un cambio en la percepción de Estados Unidos de las Fuerzas Militares colombianas, durante el periodo 1996-2005. Para ello, se planea revisar el comportamiento de las Fuerzas Militares colombianas, con relación a los Derechos Humanos y al Derecho Internacional Humanitario, antes del año 1996; analizar su comportamiento tras la capacitación en temas relacionados con los Derechos Humanos y el Derecho Internacional Humanitario durante el período 1996-2005; revisar las medidas tomadas por las Fuerzas Militares para eliminar nexos con grupos de autodefensas ilegales durante el periodo 1996-2005; y establecer de qué manera, los Derechos Humanos, el Derecho Internacional Humanitario y los vínculos con grupos de autodefensas ilegales, son criterios determinantes en la percepción de dichas fuerzas, en Estados Unidos.
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Cabe reseñar el camino llevado por la formación del denominado principio de autodeterminación de los pueblos, y analizar sus alcances en su tensa relación con otros principios, como los de integridad territorial de los Estados y la prohibición del uso de la fuerza en las relaciones internacionales.
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Cette thèse porte sur l’émergence sur la scène chilienne d’un nouvel acteur dans la production du livre, acteur qui s’organise à la fin des années 1990 en se définissant lui-même en tant qu’éditeur indépendant et qui, au cours des premières années du XXIe siècle, élargit cette définition pour inclure le phénomène de l’édition autonome et le domaine de l’édition universitaire. Le point de ralliement de ces acteurs, organisés autour de l’association Editores de Chile, est la reprise et l’affirmation d’un rôle moderne des éditeurs de livres, au sens des Lumières. On peut constater l’articulation entre les revendications spécifiques du secteur et ses positions politiques sur la valeur symbolique de la production culturelle, sur son rôle en tant que facteur de construction identitaire et démocratique car l’accès aux livres ne peut pas être restreint par l’action sans contrepoids du marché. L’angle théorique que nous proposons est celui des théories des industries culturelles tout en intégrant aussi les contributions des études culturelles. En nous situant dans une perspective de l’économie politique des industries culturelles, nous chercherons à redéfinir le concept d’indépendance par le biais d’une analyse des stratégies d’unités économiques (les maisons d’édition) et des rapports entre ces unités et leurs contextes géographiques, politiques et culturels spécifiques. Nous tenons aussi en considération des éléments macrostructurels, mais en considérant que leur capacité d’influence est toujours relative et, en conséquence, doit faire l’objet d’une réévaluation en fonction des rapports de forces et des conjonctures politiques, économiques et sociales spécifiques. Nous pensons que l’indépendance n’est pas un phénomène qui n’est pas exclusif au monde de l’édition. Nous avons fait le constat qu’il existe aussi au sein des industries de l’enregistrement sonore, de l’audiovisuel et des médias comme la presse, la radio et, en moindre proportion, la télévision. En termes méthodologiques, nous proposons une approche qui combine des méthodes et des instruments quantitatifs et qualitatifs, c’est-à-dire, l’analyse des statistiques de l’édition au Chili (fréquences des titres, genres et auteurs), des entrevues semi-structurées et une analyse documentaire. Avant d’aborder la description et l’analyse de la production de livres au Chili et du sens que les éditeurs donnent à l’indépendance et à leurs prises de position dans le champ culturel, nous proposons une description historique et industrielle de l’édition du livre chilien. Cette description permet de comprendre la naissance et le développement du secteur en regard des processus politiques, économiques et sociaux du Chili et de l’Amérique latine, ainsi que sa situation actuelle en regard des nouvelles conditions politiques et économiques qui résultent du processus de globalisation et des transformations néolibérales locales et internationales. La recherche examine ensuite le caractère de la production de livres publiés au Chili entre les années 2000 et 2005 en considérant les titres produits, les auteurs et les genres. Cette analyse permet aussi d’établir des différences entre ces maisons d’édition et celles qui relèvent des grands conglomérats transnationaux de l’édition de livres. Cette analyse comparative nous permet d’établir de manière concluante des différences quant au nombre et á la diversité et l’intérêt culturel des livres publiés entre les éditeurs transnationaux et les éditeurs indépendants regroupés sous le nom de Editores de Chile. Cette analyse permet aussi d’établir des liens précis entre la production des éditeurs indépendants et leurs objectifs culturels et politiques explicites. Nous faisons ensuite état, par le biais de l’exposition et de l’analyse des entrevues réalisées avec les éditeurs, des trajectoires de ces organisations en tenant compte des périodes historiques spécifiques qui ont servi de contexte à leur création et à leur développement. Nous mettons ici en rapport ces trajectoires des éditeurs, les définitions de leurs missions et les stratégies mobilisées. Nous tenons aussi compte des dimensions internationales de ces définitions qui s’expriment dans leur participation au sein d’organisations internationales telle que l’Alliance internationale d’éditeurs indépendants (Gijón 2000 et Dakar 2003) et, spécifiquement, leur expression dans la coopération avec des maisons d’édition latino-américaines. Les entrevues et l’analyse documentaire nous permettent d‘entrevoir les tensions entre la politique culturelle de l’État chilien, en contraste avec des définitions, des objectifs et des actions politiques de Editores de Chile. Nous relions donc dans l’analyse, l’émergence de l’édition indépendante et les résistances qu’engendrent la globalisation des marchés culturels et les mouvements de concentration de la propriété, ainsi que les effets et réponses aux transformations néolibérales au plan des politiques culturelles publiques. Nous concluons alors à la nécessité d’une économie politique critique des industries culturelles qui puisse se pencher sur ces phénomènes et rendre compte non seulement de rapports entre conglomérats et indépendants et du développement des filières de la production culturelle, mais aussi du déploiement des logiques culturelles et politiques sous-jacentes, voire des projets historiques, qui se confrontent dans le champ des industries culturelles.
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La presente monografía tiene por interés estudiar el caso de violencia masiva vivida en Camboya bajo el mando de los Jemeres Rojos. De manera particular, pretende analizar las drásticas transformaciones promovidas por Pol Pot sobre las instituciones de la escuela y la familia; transformaciones que derivaron en una grave desintegración social cuyo significado histórico resulta inexpresable. Teniendo en cuenta el contexto político, social y económico que condujo al régimen de la Kampuchea Democrática, se hace uso del marxismo como enfoque teórico para analizar lo sucedido en Camboya. Partiendo del concepto de estructura social, se profundiza en la teoría a través de sus planteamientos básicos, para así llegar a la comprensión del papel y la importancia que juegan en ella las instituciones de la familia y la escuela en tanto que Aparatos Ideológicos de Estado. Este ejercicio permite identificar las principales distorsiones entre la teoría, apelada por Pol Pot, y las prácticas de los Jemeres Rojos en Camboya.
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La Política Exterior venezolana ha tenido un nuevo viraje desde la presencia de Hugo Chávez en el poder, él ha encaminado todo su accionar político con una ideología fundamentada en el proyecto de Revolución Bolivariana, que busca mayor autonomía y consolidar nuevas relaciones de poder. Pero al mismo tiempo, pretende adelantar nuevos planteamientos de carácter económico, político y social, y un mayor margen de maniobra en el escenario internacional, utilizando al petróleo como su instrumento esencial. Como miembro activo de la OPEP, el presidente venezolano ha logrado vigorizar y reactivar las relaciones con los demás países pertenecientes a esta institución y junto con ellos trabajar por el sostenimiento de los precios en el contexto internacional. Sus alcances le han permitido establecer nuevas relaciones económicas y de poder a través del petróleo, con países como China y Rusia y con regiones altamente determinantes en el desarrollo de su proyecto como lo son Latinoamérica y el Caribe. En estas últimas, ha dado pasos en materia petrolífera mediante la creación de proyectos como Petrosur, Petroandina y Petrocaribe. Del otro lado, se ha alejado de sus principales socios comerciales Colombia y Estados Unidos, desafiando y criticando constantemente el poder y la influencia que ejerce la potencia norteamericana en la región. Así, el petróleo se convierte en un instrumento estratégico de poder para Venezuela y, por tal razón, éste ha direccionado y determinado muchas de las políticas implementadas por el presidente Chávez para consolidar nuevas relaciones y fuerzas de poder.
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El presente proyecto de investigación describe y analiza el surgimiento de las Compañías Militares y de Seguridad Privadas (CMSP) como fenómeno transnacional y como actor del sistema internacional, además analiza la participación que han tenido en el escenario colombiano, muestra la relación y los puntos de contacto con diferentes actores inmersos en el conflicto armado (1988 - 2012). En primer lugar, expone el contacto con el paramilitarismo, posteriormente, detalla la relación de las CSMP con el Estado colombiano y revela la contratación por parte de empresas multinacionales con mercenarios. También, refleja las consecuencias y los efectos de la participación de las CMSP en la guerra, en la sociedad y en la capacidad institucional y coercitiva del Estado colombiano, para dejar a consideración si es necesario que firmas mercenarias incidan en el conflicto colombiano conociendo las ventajas y desventajas de su participación. Palabras Claves: Compañías Militares y de Seguridad Privadas, privatización de la seguridad, mercenarismo, conflicto armado colombiano, Nuevas Guerras.
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La presente tesis aborda el proceso al que hemos denominado de usurpación simbólica, mediante el cual los sectores dominantes locales de la ciudad de Latacunga, han usurpado los símbolos de la fiesta de la Mama Negra que se celebra como un acto de religiosidad popular por parte de los sectores subalternos en el mes de septiembre, para transformar su sentido y convertirla en un acto ritual político a través del cual se hace posible la legitimación del poder y su ejercicio. Este trabajo analiza cómo se expresan la identidad, la alteridad y el poder en esta fiesta, cómo opera el intercambio y la interacción de los símbolos, dentro del proceso de usurpación simbólica para poder entender las dimensiones simbólicas de lo político y las dimensiones políticas de lo simbólico en esta celebración, para lo cual se analizan en forma comparativa cuáles son los discursos, prácticas, significaciones, significados, es decir las isotopías o ejes de sentido, que los actores de las dos celebraciones construyen. La tesis aborda cómo operan las dimensiones simbólicas del poder, como este para la legitimación del proceso de usurpación simbólica, necesita construir un discurso de verdad, por ello la fiesta de la Mama Negra de noviembre se la muestra como la expresión de la “verdadera unidad e identidad latacungueña”, a fin de ocultar los conflictos que se expresan a nivel de clase, étnico, social, los que al no poder ser resueltos se los traslada a la esfera ritual donde dichas conflictividades quedan invisibilizadas transitoriamente; pero por el contrario, analizamos que la celebración no puede ocultar una profunda fractura de la alteridad, pues se construye una relación asimétrica incluso en el propio ejercicio ritual. Reflexionamos sobre la construcción que se hace del otro en la ritualidad, cómo se expresa la lógica de la identidad y la alteridad asimétricas que en la celebración se construye, a fin de hacer evidente que la fiesta es un escenario de conflictos, que en ella se expresan claras intencionalidades políticas, relaciones de fuerzas, lucha de poderes materiales y simbólicos. Finalmente se aborda el proceso de degradación al que ha llegado la fiesta de noviembre como consecuencia del vaciamiento de sentido que genera el proceso de usurpación simbólica y se analizan las tácticas que los sectores subalternos están llevando adelante para la legitimación de su presencia y la reafirmación de su identidad para enfrentar el proceso de usurpación simbólica instrumentalizado por el poder.
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Buscamos avanzar en el conocimiento sobre cómo se desarrolla el movimiento de la sociedad argentina en su conjunto, analizado desde un caso particular que es el noreste del Chubut en el período que va desde la imposición de la hegemonía del capital financiero en 1989-1990 hasta el año 2005. Se pretende en esta tesis entender y conceptualizar en términos científicos cómo se mueve esa sociedad, de qué son expresión cada uno de sus conflictos, qué expresan los distintos sectores que se movilizan, qué expresan los cambios estructurales que se desarrollan, etc. Desde esta perspectiva nos interesa específicamente poder aportar al debate sobre cuáles son las opciones de plantear un proyecto alternativo de desarrollo para la provincia, la región y el país. Dentro del tema general de buscar comprender el movimiento de la sociedad, realizamos un abordaje de la realidad desde la utilización de un conocimiento acumulado y desde un recorte de esa realidad. Ese recorte lo realizamos a dos niveles. En primer lugar en términos espaciales: tomamos como base una región que denominamos el noreste de Chubut. Recortamos de la provincia del Chubut al área que tuvo el mayor crecimiento vinculado a los programas de polos de desarrollo durante las décadas del '60, '70 y parte del '80. La misma está delimitada por los actuales departamentos de Rawson y Biedma, de acuerdo a la división administrativa que toma la provincia desde 1957. En segundo lugar realizamos un recorte en términos temporales: abordamos como objeto de estudio al movimiento de la sociedad en esa región durante el período que va de 1989-1990 hasta el 2005. Consideramos que tomar este período nos permite observar el proceso de cambios que se generan con la realización de la hegemonía del capital financiero y el proceso de protestas, luchas y conflictos sociales que en el marco de estos cambios se desarrollan en la sociedad. La decisión de estudiar hasta el 2005 parte de considerar relevante comprender cómo continua el proceso después del 2001-2002. En esos años se produce la recuperación de la economía nacional, con un gran impulso para la región, lo cual genera el interés de poder precisar de qué se trata esta 'recuperación' y si estamos ante un movimiento orgánico o coyuntural de la economía. El período también nos permitió profundizar en el debate de las relaciones de fuerzas políticas, al hacer observable el período en que la burguesía logra recuperar la representación institucional como expresión legítima de la sociedad y consigue frenar la protesta social
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Fil: Varesi, Gastón Angel. Universidad Nacional de La Plata. Facultad de Humanidades y Ciencias de la Educación; Argentina.
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El trabajo analiza cómo se distribuyen las cargas y beneficios del modelo de acumulación post-convertibilidad, 2002-2007, entre las fracciones de clase. En este sentido exploramos la constitución de un sistema de transferencias de ingresos en el que convergen en un proceso dinámico la inflación, las políticas económicas y las estrategias de acumulación de los agentes económicos. Desde una perspectiva que amplía el modo de abordaje del debate sobre la distribución del ingreso, postulamos la conformación de un sistema de transferencias en base al análisis de dos núcleos vinculados: uno ligado a transferencias operadas a partir de la articulación de políticas económicas y transformaciones estructurales, y otro que es en sí mismo un mecanismo de transferencia de importante relevancia y alcance explicativo: la inflación. La evolución diferencial de los precios afecta la capacidad de apropiación, por los agentes económicos, del ingreso socialmente producido, expresando así cambios en las relaciones de fuerzas
El análisis regional en la Argentina : Enfoque teórico-metodológico y aportes para su profundización
Resumo:
El artículo presenta los principales núcleos del enfoque de análisis regional en la Argentina, realizando distintos aportes a su desarrollo sobre las dinámicas de acumulación y hegemonía. En ese sentido, retomamos a autores como Rofman, de Jong y Levín, para comprender la relación entre territorio y sociedad. Partimos del planteo de construcción de conocimiento sintético y holístico, tratando de integrar las distintas escalas del análisis espacial con sus particularidades y sus interpenetraciones. La relación espacio/modo de producción nos lleva a la pregunta por las transformaciones orgánicas del capital como relación social y, así, al estudio del proceso de reproducción ampliada del capital a partir de conceptos como el de régimen y modelo de acumulación, a diferentes escalas, alcances y niveles de abstracción. Vemos las relaciones de fuerzas a nivel internacional a la luz de la disputa por distintos monopolios estratégicos, que señala Amín, y del lugar de las corporaciones transnacionales como agentes centrales de los regímenes de acumulación actual. En ese punto, continuamos desarrollando el plan de análisis de relaciones de fuerzas gramsciano, desde su nivel estructural hasta el momento de la hegemonía. De esta manera, la construcción del territorio dentro de una formación social nacional lleva a indagar la dinámica del proceso productivo, sus agentes, fracciones y clases, así como el rol del Estado y de la disputa entre distintos proyectos societarios. Estas dimensiones aparecen, asimismo, conjugadas, en una escala menor, en el análisis de los subsistemas espaciales de acumulación y de los circuitos productivos regionales que los constituyen. La explicitación de diversas claves teórico-metodológicas aparece atravesada por el debate en torno a repensar la planificación del espacio social, preguntándonos ¿qué territorio para qué sociedad?
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Buscamos avanzar en el conocimiento sobre cómo se desarrolla el movimiento de la sociedad argentina en su conjunto, analizado desde un caso particular que es el noreste del Chubut en el período que va desde la imposición de la hegemonía del capital financiero en 1989-1990 hasta el año 2005. Se pretende en esta tesis entender y conceptualizar en términos científicos cómo se mueve esa sociedad, de qué son expresión cada uno de sus conflictos, qué expresan los distintos sectores que se movilizan, qué expresan los cambios estructurales que se desarrollan, etc. Desde esta perspectiva nos interesa específicamente poder aportar al debate sobre cuáles son las opciones de plantear un proyecto alternativo de desarrollo para la provincia, la región y el país. Dentro del tema general de buscar comprender el movimiento de la sociedad, realizamos un abordaje de la realidad desde la utilización de un conocimiento acumulado y desde un recorte de esa realidad. Ese recorte lo realizamos a dos niveles. En primer lugar en términos espaciales: tomamos como base una región que denominamos el noreste de Chubut. Recortamos de la provincia del Chubut al área que tuvo el mayor crecimiento vinculado a los programas de polos de desarrollo durante las décadas del '60, '70 y parte del '80. La misma está delimitada por los actuales departamentos de Rawson y Biedma, de acuerdo a la división administrativa que toma la provincia desde 1957. En segundo lugar realizamos un recorte en términos temporales: abordamos como objeto de estudio al movimiento de la sociedad en esa región durante el período que va de 1989-1990 hasta el 2005. Consideramos que tomar este período nos permite observar el proceso de cambios que se generan con la realización de la hegemonía del capital financiero y el proceso de protestas, luchas y conflictos sociales que en el marco de estos cambios se desarrollan en la sociedad. La decisión de estudiar hasta el 2005 parte de considerar relevante comprender cómo continua el proceso después del 2001-2002. En esos años se produce la recuperación de la economía nacional, con un gran impulso para la región, lo cual genera el interés de poder precisar de qué se trata esta 'recuperación' y si estamos ante un movimiento orgánico o coyuntural de la economía. El período también nos permitió profundizar en el debate de las relaciones de fuerzas políticas, al hacer observable el período en que la burguesía logra recuperar la representación institucional como expresión legítima de la sociedad y consigue frenar la protesta social