Border Barriers in Agricultural Trade and the Impact of their Elimination: Evidence from East Asia

Abstract: By means of a GTAP based-CGE model, we investigate the impact of the elimination of import tariffs and non-tariff policy barriers (NTPBs) on agricultural trade towards East Asian FTAs. To do that, we first measure the NTPBs by employing a widely-used method derived from the literature on border effects. Next, by adding into the GTAP database our estimates on the NTPBs, which the original GTAP database by its nature does not succeed in incorporating, we compute the impact of the entire elimination of policy barriers (the complete reduction of import tariffs and of NTPBs) on GDP.

The changing politics of preference formation in international trade negotiations: the European Union in the Doha Round

This research seeks to provide an explanation for variations of “politics” of preference formation in international trade negotiations. Building on the ‘policy determines politics’ argument, I hypothesize the existence of a causal relationship between issue-characteristics and their variations with politics dynamics and their variations. More specifically, this study seeks to integrate into a single analytical framework two dimensions along which variations in the “politics of preference formation” can be organized: configurations of power relationships among the relevant actors in the structures within which they interact as well as the logic and the motivations of the actors involved in the policy making process. To do so, I first construct a four-cell typology of ‘politics of preference formation’ and, then, I proceed by specifying that the type of state-society configurations as well as the type of actors’ motivations in the “politics of preference formation” depend, respectively, on the degree to which a policy issue is perceived as politically salient and on the extent to which the distributional implications of such an issue can be calculated by the relevant stakeholders in the policy making process. The empirical yardstick against which the validity of the theoretical argument proposed is tested is drawn from evidence concerning the European Union’s negotiating strategy in four negotiating areas in the context of the so-called WTO’s Doha Development Round of multilateral trade negotiations: agriculture, competition, environment and technical assistance and capacity building.

Motivations to participate in international trade fairs: the Portuguese experience

Motivations/barriers to participate in ITF

Essays in International Trade

Dans ma thèse doctorale, j'étudie trois facteurs importants qui caractérisent le commerce international : les différences technologiques entre les pays, les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes et la migration internationale. Le premier chapitre analyse si les différences technologiques entre les pays peuvent expliquer la spécialisation dans le commerce international entre les pays. Pour mesurer le niveau de la spécialisation, je calcule les index de concentration pour la valeur des importations et des exportations et décompose la concentration totale dans la marge de produits extensive (nombre de produits commercialisés) et la marge de produits intensive (volume de produits commercialisés). En utilisant des données commerciales détaillées au niveau du produit dans 160 pays, mes résultats montrent que les exportations sont plus concentrées que les importations, que la spécialisation se produit principalement au niveau de la marge intensive du produit, et que les économies plus grandes disposent d'importations et d'exportations plus diversifiées, car elles commercialisent plus de produits. Compte tenu de ces faits, j'évalue la capacité du modèle Eaton-Kortum, le principal modèle de la théorie ricardienne du commerce, pour représenter les preuves empiriques. Les résultats montrent que la spécialisation à travers l'avantage comparatif induit par les différences de technologie peut expliquer les faits qualitatifs et quantitatifs. De plus, j'évalue le rôle des déterminants clés de la spécialisation : le degré de l'avantage comparatif, l'élasticité de la substitution et la géographie. Une implication de ces résultats est qu'il est important d’évaluer jusqu'à quel point la volatilité de production mesurée par la volatilité du PIB est motivée par la spécialisation des exportations et des importations. Étant donné le compromis entre l'ouverture du commerce et la volatilité de production, les bénéfices tirés du commerce peuvent s'avérer plus faibles que ceux estimés précédemment. Par conséquent, les politiques commerciales alternatives telles que l'ouverture graduelle au commerce combinée à la diversification de la production pour réduire la concentration de l'exportation peuvent se révéler être une meilleure stratégie que l'approche du laissez-faire. En utilisant la relation entre la taille du marché et l’entrée de firmes et produits, le deuxième chapitre évalue si les barrières à l'entrée sous la forme de coûts fixes à exporter sont au niveau de la firme ou au niveau du produit. Si les coûts fixes se trouvent au niveau de la firme, la firme multiproduits a un avantage de coût de production par rapport aux autres firmes parce qu’elles peuvent diviser les coûts fixes sur plusieurs produits. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par peu de firmes qui exportent beaucoup des produits. Si les coûts fixes sont au niveau du produit, l’entrée d’un produit est associée avec l’entrée de plusieurs firmes. La raison est qu’une fois que la première firme entre et paye les coûts fixes du produit, elle crée un effet d’entrainement qui réduit les coûts fixes pour des firmes rivales. Dans ce cas, le commerce international sera caractérisé par plusieurs firmes qui vendent des variétés différentes du même produit. En utilisant des données détaillées provenant de 40 pays exportateurs à travers 180 marchés de destination, mes résultats montrent que les barrières à l'entrée se trouvent principalement au niveau du produit. Un marché plus large favorise l'expansion d'un plus grand nombre d’entreprises au sein d'une catégorie de produit plutôt que de permettre aux entreprises produisant plusieurs produits de croître dans une gamme de produits. En regardant la différence entre le nombre d'exportateurs au sein d'une catégorie de produit dans des destinations données, je trouve que le taux d'entrée de firmes augmente significativement après qu'un produit entre la première fois dans le marché. J'en déduis donc que le premier entrant réduit les coûts fixes pour les firmes suivantes. Mes recherches démontrent également que malgré une plus grande compétition sur le marché du produit, les entreprises disposent de revenus d'exportation supérieurs et sont plus susceptibles de rester sur les marchés internationaux. Ces résultats sont cohérents avec l’hypothèse que l’effet d’entrainement incite l'entrée de firmes rivales et permettent aux entreprises de produire à plus grande échelle. Cette recherche dévoile un nombre de conclusions importantes. D'abord, les politiques commerciales encouragent l'entrée de nouveaux produits, par exemple, en promouvant des produits dans les marchés de destination entraînant ainsi des retombées qui se traduiront par un taux de participation plus élevé de l'entreprise et une croissance de l'exportation. Deuxièmement, les consommateurs du pays importateur peuvent bénéficier de prix plus bas pour le produit en réduisant les barrières techniques du commerce. Troisièmement, lorsque l'on effectue des expérimentations politiques sous la forme de réduction des coûts commerciaux, il est de coutume de considérer uniquement une baisse des coûts marginaux et d'évaluer les répercussions sur le bien-être du consommateur. Cependant, un élément important des accords commerciaux est la réduction des barrières techniques au commerce grâce à la négociation de normes communes pour un produit. Négliger l'existence des barrières à l'entrée et les conséquences des réaffectations de l'industrie affaiblit l'impact des réformes commerciales. Le troisième chapitre prend en compte le rôle de l'information dans la facilitation du commerce international. Les immigrants réduisent les coûts de transaction dans le commerce international en fournissant des informations sur les possibilités d'échange avec leur pays d'origine. En utilisant des données géographiques détaillées sur l'immigration et les importations aux États-Unis entre 1970 et 2005, je quantifie l'incidence qu'ont les nouveaux immigrants sur la demande pour les importations de biens intermédiaires aux États-Unis. Pour établir le lien cause à effet entre le commerce et la migration, j’exploite l'important afflux d'immigrants d'Amérique centrale après l'ouragan Mitch. Les résultats montrent que l'augmentation de dix pour cent d'immigrants a fait croître la demande pour les importations de biens intermédiaires de 1,5 pour cent. Mes résultats sont robustes aux problèmes de la causalité inverse ou la décision d’émigrer est causée par des opportunités de faire du commerce.

The role of food standards in international trade: evidence from Brazilian beef exports to the EU market

The study reviews the literature on global chain governance and food standards to allow for an assessment of Brazilian beef exports to the European Union. The empirical approach employed is based on company case studies. The results suggest that the Brazilian beef chain has little choice but to adapt to market changes as standards evolve. Costs of compliance for meeting international food standards reduce Brazil's comparative advantage. At the same time, changes in the nature of demand have created the need for a more integrated supply chain in order to enhance confidence in Brazil's beef production and processing abroad.

Firms in international trade: importers’ and exporters’ heterogeneity in Italian manufacturing industry

Combining data on structural characteristics and economic performance for a large sample of Italian firms with data on exporting and importing activity, we uncover evidence supporting recent theories on firm heterogeneity and international trade, together with some new facts. In particular, we find that importing is associated with substantial firm heterogeneity. First, we document that trade is more concentrated than employment and sales, and show that importing is even more concentrated than exporting both within sectors and along the sector- and country-extensive margins. Second, while supporting the fact that firms involved in both are the best performers, we also find that firms involved only in importing activities perform better than those involved only in exporting. Our evidence suggests there is a strong self-selection effect in the case of importers and the performance premia of internationalised firms correlate relatively more with the degree of geographical and sectoral diversification of imports.

Globalisation, the environment and recent trends in international trade

The process of globalization has had far-reaching social as well as economic effects. The term "globalization" is generally taken to mean an increase in international transactions in markets for goods, services and factors of production and a growth in institutions .that straddle international borders. This development has also meant that the corporate-governance mechanisms have to be reinforced to ensure fairness and transparency as well as social responsibility. Finally, international infrastructure and institutions have to evolve to facilitate and ameliorate the effects of the growth in this world trade on the environment, sustainable development and bio-diversity. This paper provides an overview of the current developments in all these areas.

Issues in international trade

This paper discuss the issues in international trade looking at the number of issues of international trade such as trade, growth and sustainable development, Financing requirements for emerging economies etc.

Product specialization in international trade : a further investigation

In an influential paper, Schott [Schott. Peter K. (2004). “Across-product versus within-product specialization in international trade.” Quarterly Journal of Economics, 119 (2): 647–678] makes two empirical observations about U.S. imports. (1) The United States is increasingly sourcing the same product (however narrowly defined) from both developed and developing countries. That is, ‘across-product specialization’ has been decreasing. (2) The unit values of these multiple-sourced products are positively and significantly correlated with the capital and skill abundance of exporters and with the capital–labor ratios used by exporters. That is, endowments-driven ‘within-product specialization’ has been increasing. We show that both these observations extend to the imports of Brazil, India and Japan. However, our main finding is that observation (1) is largely driven by two factors. First, China is the dominant low-wage exporter of multiple-sourced products. Second, the most developed countries remain the primary exporters of multiple-sourced products. The U.S. case is the most extreme of our four importers: When China is deleted from the U.S. import data there is no trend in across-product specialization and rich exporters are increasing their trade share of multiple-sourced products. Since deleting China has no theoretical justification, these results must be viewed not as a contradiction of Schott's work but as a way of deepening our understanding of his empirical results.

A test for strong hysteresis in international trade

The article suggests a new test for strong hysteresis in international trade. The variables that capture the effects of hysteresis are based on the model of Dixit (1989) with calibrations using a state-space model to determine the parameters for each point in time. These variables are then applied to a cointegration test with breaks, where it is possible to verify whether the hysteresis effect is essential in determining the long-term equilibrium.

Incorporation of special and differential treatment in international trade agreements and the implications for Caribbean economies

Includes bibliography