Psychotherapy in Australia : clinical psychology and its approach to depression

In Australia, clinical psychology training is dominated by cognitive and behavioral treatments (CBTs), although there is exposure to other theoretical orientations. Since 2001, over 20% of general medical practitioners (GPs) have received training in CBT, and psychiatry training increasingly incorporates CBT elements. Psychotherapy by medical practitioners is financially supported by universal health care funding with supplementation by patients and their private health insurance. Federally funded health benefits for up to 12 psychology consultations per year are provided on referral from GPs and psychiatrists, and initial take up has been very strong. Mrs. A would be a typical patient for such a referral. However, she would not fulfil criteria for priority access from state-funded mental health services. Mrs. A would probably consult a GP and receive antidepressants, although she may also access a range of other community support programs. Access to and acceptance of psychotherapy would be greater in urban areas, and if she were of Anglo-Saxon and non- indigenous origin.

Cognitive remediation : the foundation of psychosocial treatment of schizophrenia

Despite advances in psychopharmacology, schizophrenia remains a severely disabling illness. It is now appreciated that cognitive impairment mediates the functional disability associated with the disorder. Cognitive remediation which is defined as “a behavioural training based intervention that aims to improve cognitive processes (attention, memory, executive functioning, social cognition or meta cognition) with the goal of durability and generalization” is a therapeutic approach that improves cognition and when combined with other rehabilitation strategies improves real world functioning (Wykes et al., 2011).

Cognitive inhibition and interference in dissociative indentity disorder: the effects of anxiety on specific executive functions:The effects of anxiety on specific executive functions

Using an experimentally based, computer-presented task, this study assessed cognitive inhibition and interference in individuals from the dissociative identity disorder (DID; n=12), generalized anxiety disorder (GAD; n=12) and non-clinical (n=12) populations. Participants were assessed in a neutral and emotionally negative (anxiety provoking) context, manipulated by experimental instructions and word stimuli. The DID sample displayed effective cognitive inhibition in the neutral but not the anxious context. The GAD sample displayed the opposite findings. However, the interaction between group and context failed to reach significance. There was no indication of an attentional bias to non-schema specific negative words in any sample. Results are discussed in terms of the potential benefit of weakened cognitive inhibition during anxious arousal in dissociative individuals.

Cognitive maturation in preterm and term born adolescents

Background: Adolescence is a critical period of brain structural reorganisation and maturation of cognitive abilities. This relatively late developmental reorganisation may be altered in individuals who were born preterm.

Methods: We carried out longitudinal neuropsychological testing in 94 very preterm individuals (VPT; before 33 weeks' gestation) and 44 term born individuals at mean ages of 15.3 years ( adolescence) and 19.5 years (young adulthood).

Results: Full scale, verbal and performance IQ and phonological verbal fluency were significantly lower in the VPT group than the term group at both ages. Repeated measures ANOVA showed only one group by time point interaction for semantic verbal fluency (F= 10.25; df = 107; p = 0.002). Paired- sample t tests showed that semantic verbal fluency increased significantly in the term group over adolescence (t = -5.10; df = 42; p < 0.001), but did not increase in the VPT group (t = 0.141; df = 69; p = 0.889). For verbal IQ, there was a significant interaction between time point and sex (F = 4.48; df = 1; p = 0.036) with paired- sample t tests showing that verbal IQ decreased in males between adolescence and adulthood (t = 3.35; df = 71; p = 0.001), but did not change significantly in females (t = 0.20; df = 52; p = 0.845).

Conclusion: Decrements of intellectual functioning in VPT individuals persist into adulthood. Additionally, there is a deficit in the adolescent maturation of semantic verbal fluency in individuals born VPT.

Working memory in Alzheimer’s disease and mild cognitive impairment (MCI) : assessment and intervention

L’objectif principal de cette thèse est d’examiner et d’intervenir auprès des déficits de la mémoire de travail (MdeT) à l’intérieur de deux populations cliniques : la maladie d’Alzheimer (MA) et le trouble cognitif léger (TCL). La thèse se compose de trois articles empiriques. Le but de la première expérimentation était d’examiner les déficits de MdeT dans le vieillissement normal, le TCL et la MA à l’aide de deux versions de l’empan complexe : l’empan de phrases et l’empan arithmétique. De plus, l’effet de «l’oubli» (forgetting) a été mesuré en manipulant la longueur de l’intervalle de rétention. Les résultats aux tâches d’empan complexe indiquent que la MdeT est déficitaire chez les individus atteints de TCL et encore plus chez les gens ayant la MA. Les données recueillies supportent également le rôle de l’oubli à l’intérieur de la MdeT. L’augmentation de l’intervalle de rétention exacerbait le déficit dans la MA et permettait de prédire un pronostic négatif dans le TCL. L’objectif de la deuxième étude était d’examiner la faisabilité d’un programme d’entraînement cognitif à l’ordinateur pour la composante de contrôle attentionnel à l’intérieur de la MdeT. Cette étude a été réalisée auprès de personnes âgées saines et de personnes âgées avec TCL. Les données de cette expérimentation ont révélé des effets positifs de l’entraînement pour les deux groupes de personnes. Toutefois, l’absence d’un groupe contrôle a limité l’interprétation des résultats. Sur la base de ces données, la troisième expérimentation visait à implémenter une étude randomisée à double-insu avec groupe contrôle d’un entraînement du contrôle attentionnel chez des personnes TCL avec atteinte exécutive. Ce protocole impliquait un paradigme de double-tâche composé d’une tâche de détection visuelle et d’une tâche de jugement alpha-arithmétique. Alors que le groupe contrôle pratiquait simplement la double-tâche sur six périodes d’une heure chacune, le groupe expérimental recevait un entraînement de type priorité variable dans lequel les participants devaient gérer leur contrôle attentionnel en variant la proportion de ressources attentionnelles allouée à chaque tâche. Les résultats montrent un effet significatif de l’intervention sur une des deux tâches impliquées (précision à la tâche de détection visuelle) ainsi qu’une tendance au transfert à une autre tâche d’attention divisée, mais peu d’effets de généralisation à d’autres tâches d’attention. En résumé, les données originales rapportées dans la présente thèse démontrent un déficit de la MdeT dans les maladies neurodégénératives liées à l’âge, avec un gradient entre le TCL et la MA. Elles suggèrent également une préservation de la plasticité des capacités attentionnelles chez les personnes à risque de développer une démence.

Dynamique cérébrale et réserve cognitive en situation d’attention sélective dans le vieillissement normal et les troubles de la cognition : approche neurofonctionnelle

Réalisée en cotutelle avec l'Unité de Formation à la Recherche Lettres Arts et Sciences Humaines - Université Nice-Sophia Antipolis.

Cognitive deficits in alcoholism

Contexte : Les répercussions de l’alcool au niveau des fonctions cognitives sont bien documentées. Certaines hypothèses suggèrent que l’alcool affecte des fonctions cognitives spécifiques alors que d’autres avancent l’hypothèse de déficits diffus. Cependant, une ambigüité persiste concernant quelles fonctions cognitives sont le plus touchées par l’alcool, et à quel point la durée d’abstinence affecte la récupération cognitive. Nous avons procédé à une des premières méta-analyses qui s’intéresse aux différentes fonctions cognitives touchées par la consommation problématique d’alcool et à la durée d’abstinence requise pour une récupération au niveau des cognitions. Méthodes : Une recherche de la littérature a permis d’identifier 62 études évaluant les cognitions chez les personnes présentant des troubles liés à l’utilisation d’alcool. Les estimations de la taille d’effet ont été calculées avec la Comprehensive Meta Analysis –V2 pour les 12 domaines cognitifs suivants : quotient intellectuel, fluidité verbale/langage, vitesse de traitement de l’information, mémoire de travail, attention, résolution de problème/fonctions exécutives, inhibition/impulsivité, apprentissage verbal, mémoire verbale, apprentissage visuel, mémoire visuelle, habiletés visuo-spatiales. Parmi ces 12 domaines cognitifs, 3 estimations de la taille d’effet ont été calculées selon les durées d’abstinences suivantes : court- (<1 mois), moyen- (2 à 12 mois) et long- (>1 an) termes. Résultats : Les résultats ont révélé la présence de dysfonctions modérées dans 11 domaines cognitifs durant l’abstinence à court terme, et dans 10 domaines cognitifs pour le moyen-terme. Des dysfonctions cognitives minimales furent notées durant l’abstinence à long-terme. Conclusions : Ces résultats révèlent des déficits cognitifs significatifs et diffus durant la première année d’abstinence. Déficits qui se normalisent après un an. Ces résultats soutiennent l’hypothèse de déficits cognitifs diffus reliés à l’alcoolisme et suggèrent que la cognition devrait faire partie intégrante du traitement d’alcoolisme.

Caractérisation de la plainte cognitive dans le vieillissement normal et le trouble cognitif léger

Le vieillissement étant un enjeu démographique majeur, il est capital de mieux comprendre les changements qui surviennent durant cette période de la vie. Il est connu que certaines fonctions cognitives sont modifiées avec l’avancée en âge. D’ailleurs, 25 à 50 % des personnes âgées de 65 ans et plus rapportent avoir observé un déclin de leur cognition et de leur mémoire. Les travaux de cette thèse portent sur la caractérisation de la plainte cognitive chez des personnes âgées saines et chez des aînés ayant un trouble cognitif léger (TCL) ainsi que sur son évolution au fil de la progression vers la maladie d’Alzheimer. La première étude (Chapitre II) avait pour objectif d’identifier les différents domaines de plainte mnésique chez des personnes d’âge moyen et des individus plus âgés. Elle visait également à vérifier si les domaines de plainte étaient associés aux performances aux tests neuropsychologiques. L’effet sur la plainte de certaines caractéristiques personnelles (âge, sexe, niveau de scolarité et symptômes dépressifs) a aussi été examiné. Le Questionnaire d’auto-évaluation de la mémoire (QAM; Van der Linden, Wijns, Von Frenkell, Coyette, & Seron, 1989) et plusieurs tests neuropsychologiques ont été complétés par 115 adultes sains âgés de 45 à 87 ans. Une analyse en composantes principales réalisée sur l'ensemble des questions du QAM a permis d’identifier sept grands domaines de plainte. Des analyses subséquentes ont révélé que les plaintes les plus fréquemment rapportées par les participants sont associées à des situations où des facteurs internes et externes interfèrent avec la performance mnésique. Les analyses ont aussi montré que les plaintes relatives à des oublis dont les conséquences menacent l’autonomie et la sécurité témoigneraient de problèmes cognitifs et fonctionnels plus sévères. Enfin, nos résultats ont indiqué que les différents domaines de plainte reflètent globalement les problèmes cognitifs objectifs. Aucune association n’a été trouvée entre la plainte et la plupart des caractéristiques démographiques. La seconde étude (Chapitre III) avait pour but de caractériser la plainte cognitive dans le TCL ainsi que son évolution dans la progression de la démence. L’étude cherchait aussi à déterminer si les changements dans certains domaines de plainte étaient reliés au déclin de ii fonctions cognitives spécifiques chez les individus avec TCL qui ont progressé vers la démence (progresseurs). Des personnes avec TCL et des individus âgés sains ont été évalués annuellement pendant trois ans. Le QAM et le Multifactorial Memory Questionnaire (MMQ; Fort, Holl, Kaddour, & Gana, 2004) ont été utilisés pour mesurer leurs plaintes. Les résultats ont révélé que les progresseurs rapportaient davantage de difficultés associées à la mémorisation de contenus complexes (ex. : textes ou conversations), d’événements récents et d’informations sur leurs proches que les personnes âgées saines et ce, jusqu’à trois ans avec le diagnostic de démence. L’analyse des effets de groupe a indiqué que l’intensité des plaintes des progresseurs semble être demeurée stable durant le suivi. Il est donc possible qu’une proportion des progresseurs présentent une méconnaissance de leurs difficultés cognitives. Cependant, des analyses corrélationnelles ont montré que l’augmentation des plaintes reliées à trois domaines était associée à l’accroissement de certaines atteintes cognitives durant les trois ans. Ainsi, certaines plaintes pourraient permettre de mieux comprendre les difficultés cognitives qui sont vécues par la personne avec TCL. Les implications théoriques et cliniques de ces résultats seront discutées dans le dernier chapitre de la thèse (Chapitre IV).

Cognitive functioning in at-risk mental states for psychosis and 2-year clinical outcome

Cognitive impairment is prevalent in at-risk mental states (ARMS) for psychosis.

Cognitive and emotional effects of carotid stenosis

PRINCIPLES Patients with carotid artery stenosis (CAS) are at risk of ipsilateral stroke and chronic compromise of cerebral blood flow. It is under debate whether the hypo-perfusion or embolism in CAS is directly related to cognitive impairment. Alternatively, CAS may be a marker for underlying risk factors, which themselves influence cognition. We aimed to determine cognitive performance level and the emotional state of patients with CAS. We hypothesised that patients with high grade stenosis, bilateral stenosis, symptomatic patients and/or those with relevant risk factors would suffer impairment of their cognitive performance and emotional state. METHODS A total of 68 patients with CAS of ≥70% were included in a prospective exploratory study design. All patients underwent structured assessment of executive functions, language, verbal and visual memory, motor speed, anxiety and depression. RESULTS Significantly more patients with CAS showed cognitive impairments (executive functions, word production, verbal and visual memory, motor speed) and anxiety than expected in a normative sample. Bilateral and symptomatic stenosis was associated with slower processing speed. Cognitive performance and anxiety level were not influenced by the side and the degree of stenosis or the presence of collaterals. Factors associated with less cognitive impairment included higher education level, female gender, ambidexterity and treated hypercholesterolemia. CONCLUSIONS Cognitive impairment and increased level of anxiety are frequent in patients with carotid stenosis. The lack of a correlation between cognitive functioning and degree of stenosis or the presence of collaterals, challenges the view that CAS per se leads to cognitive impairment.

Cognitive dysfunction in children with brain tumors at diagnosis

Background: Survivors of brain tumors have a high risk for a wide range of cognitive problems. These dysfunctions are caused by the lesion itself and its surgical removal, as well as subsequent treatments (chemo- and/or radiation therapy). Multiple recent studies have indicated that children with brain tumors (BT) might already exhibit cognitive problems at diagnosis, i.e., before the start of any medical treatment. The aim of the present study was to investigate the baseline neuropsychological profile in children with BT compared to children with an oncological diagnosis not involving the central nervous system (CNS). Methods: Twenty children with BT and 27 children with an oncological disease without involvement of the CNS (age range: 6.1 to 16.9 years) were evaluated with an extensive battery of neuropsychological tests tailored to the patient’s age. Furthermore, the child and his/her parent(s) completed self-report questionnaires about emotional functioning and quality of life. In both groups, tests were administered before any therapeutic intervention such as surgery, chemotherapy or irradiation. Groups were comparable with regard to age, gender and socioeconomic status. Results: Compared to the control group, patients with BTs performed significantly worse in tests of working memory, verbal memory and attention (effect sizes between 0.28 and 0.47). In contrast, the areas of perceptual reasoning, processing speed and verbal comprehension were preserved at the time of measurement. Conclusion: Our results highlight the need for cognitive interventions early in the treatment process in order to minimize or prevent academic difficulties as patients return to school.

Cognitive remediation therapy: Does it generalize to significant outcome areas?

Objective: Cognitive remediation therapy (CRT) approaches have demonstrated to be effective in improving cognitive functions in schizophrenia. However, there is a lack of integrated CR approaches that target multiple neuro- and social-cognitive domains with a special focus on the generalization of therapy effects to functional outcome and negative symptoms. Method: This 8-site randomized controlled trial evaluated the efficacy of a novel cognitive-behavioral group therapy approach called integrated neurocognitive therapy (INT). INT includes manual-based exercises to improve all neuro- and social-cognitive domains as defined by the Measurement And Treatment Research to Improve Cognition in Schizophrenia (MATRICS) initiative by compensation and restitution. One hundred and fifty-six outpatients with a diagnosis of schizophrenia or schizoaffective disorder accord- ing to DSM-IV-TR were randomly assigned to receive 15 weeks of INT or treatment as usual (TAU). INT patients received 30 bi-weekly therapy sessions. Each session lasted 90min. Mixed models were applied to assess changes in neurocognition, social cognition, symptoms, and functional outcome at post-treatment and at 9-month follow-up. Results: Compared to TAU, INT patients showed significant improvements on multiple neuro- and social-cognitive domains, negative symptoms, and functional outcome after therapy and at 9-month follow-up. Number-needed-to-treat analyses indicate that only five INT patients are necessary to produce durable and meaningful improvements in functional outcome. Conclusions: Integrated interventions on neurocognition and social cognition have the potential to improve not only cognitive performance but also functional outcome and negative symptoms. These findings are important as treatment guidelines for schizophrenia have criticized CRT for their poor generalization effects.

Cognitive effects of masculine generics in German. An overview of empirical findings

This article presents a series of experiments which were conducted among native speakers of German to determine the influence of different types of German generics on the cognitive inclusion of women. Results indicate that the inclusion of women is higher with ‘non-sexist’ alternatives than with masculine generics, a tendency which was consistent across different studies. The different alternatives, however, showed different effects which also varied depending on the context. These results are discussed with regard to their practical consequences in situations such as nominating women and men for awards or political offices.