986 resultados para Production organisation


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This paper aims to examine the relevance of a production management model, in the shop-floor operations environment, that integrates the dimensions of production organisation (lean and mass production), work organisation (enriched and semi-autonomous groups) and knowledge management. A theoretical model has been applied to automotive companies to verify model adherence. Each of those dimensions has been described by factors. Shop-floor personnel interviews were conducted to confirm the factors relevance to that company. Results have shown that the model represented the reality of those companies concerning the researched dimensions. The factors allow managers to promote a favourable context for knowledge sharing. © 2010 Inderscience Enterprises Ltd.

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Food is a vital foundation of all human life. It is essential to a myriad of political, socio-cultural, economic and environmental practices throughout history. However, those practices of food production, consumption, and distribution have the potential to now go through immensely transformative shifts as network technologies become increasingly embedded in every domain of contemporary life. Information and communication technologies (ICTs) are one of the key foundations of global functionality and sustenance today and undoubtedly will continue to present new challenges and opportunities for the future. As such, this Symposium will bring together leading scholars across disciplines to address challenges and opportunities at the intersection of food and ICTs in everyday urban environment. In particular, the discussion will revolve around the question: What are the key roles that network technologies play in re-shaping the food systems at micro- to macroscopic level? The symposium will contribute a unique perspective on urban food futures through the lens of network society paradigm where ICTs enable innovations in production, organisation, and communication within society. Some of the topics addressed will include encouraging transparency in food commodity chains; value of cultural understanding and communication in global food sustainability; and technologies to social inclusion; all of which evoke and examine the question surrounding networked individuals as changes catalysts for urban food futures. The event will provide an avenue for new discussions and speculations on key issues surrounding urban food futures in the network era, with a particular focus on bottom-up micro actions that challenge the existing food systems towards a broader sociocultural, political, technological, and environmental transformations. One central area of concern is that current systems of food production, distribution, and consumption do not ensure food security for the future, but rather seriously threaten it. With the recent unprecedented scale of urban growth and rise of middle-class, the problem continues to intensify. This situation requires extensive distribution networks to feed urban residents, and therefore poses significant infrastructural challenges to both the public and private sectors. The symposium will also address the transferability of citizen empowerment that network technologies enable as demonstrated in various significant global political transformations from the bottom-up, such as the recent Egyptian Youth Revolution. Another key theme of the discussion will be the role of ICTs (and the practices that they mediate) in fostering transparency in commodity chains. The symposium will ask what differences these technologies can make on the practices of food consumption and production. After discussions, we will initiate an international network of food-thinkers and actors that will function as a platform for knowledge sharing and collaborations. The participants will be invited to engage in planning for the on-going future development of the network.

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[français] L’objectif de cette recherche est d’analyser l’organisation interne d’une firme de sondage sous l’angle des sphères du milieu de travail telles qu’identifiées par Bélanger, Giles et Murray (2004), soient : la gestion de la production, l’organisation du travail et la relation à l’emploi. Plus spécifiquement, nous chercherons à savoir comment se comporte la firme enquêtée face à la gestion de la flexibilité organisationnelle et quel est l’impact de celle-ci sur les trois sphères du travail. L’analyse utilise la méthodologie de l’étude de cas et fait appel à divers types de matériaux : des observations ponctuelles, des entrevues informelles et les bases de données administratives ainsi que les rapports d’évaluation des entrevues téléphoniques effectuées par les intervieweurs. De même, l’analyse des résultats utilise à la fois des méthodes plus classiques telles que les corrélations ainsi que des représentations graphiques et des analyses qualitatives. L’analyse permet de repérer une logique de fonctionnement à l’œuvre dans les différentes sphères de l’emploi : l’importante standardisation des processus de travail (dans le champ de la gestion de la production), la réduction des marges de manœuvre (dans le champ de l’organisation du travail) et la non reconnaissance de l’expertise des intervieweurs (dans le champ de la relation à l’emploi). Les contradictions repérées dans l’analyse, entre les sphères de l’emploi et les objectifs de flexibilité, montrent que les structures mises en place bloquent, dans une certaine mesure, la capacité d’initiative et d’adaptation que la flexibilité exige. La recherche a montré que ce qu’on demande aux intervieweurs est à la fois le reflet des exigences de la flexibilité, tel que constaté dans ce mémoire, mais aussi, des exigences sociales face à la méthodologie de sondage. Tout porte à déduire que celles-ci peuvent engendrer un plafonnement de la performance des employés. Mots-clés : centres d’appels, intervieweurs, firmes de sondage, flexibilité organisationnelle, gestion de la production, organisation du travail, relation à l’emploi, travail émotionnel.

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La civilisation de l’Indus marque les esprits par une apparente uniformité de la culture matérielle sur la totalité de son territoire (environ 1 million de km carré) durant sa période d’apogée (2600-1900 av. J.-C.). Cette étude cherche à tester deux hypothèses qui pourraient expliquer cette homogénéité : 1) Un pouvoir centralisateur contrôlant la production artisanale; et 2) Un vaste réseau d’échanges et de distribution de la production. Dans ce but, la grande majorité des publications accessibles portant sur la production artisanale d’objets en céramique, en pierres semi-précieuses, en coquillage et en métal ont été inventoriées et analysées. Axée sur la spécialisation du travail artisanal, l’étude a identifié quelques objets dits de prestige (perles classiques harappéennes, bracelets en grès cérame) très probablement liés à une élite. La nature de cette élite est ensuite examinée et un nouveau modèle d’organisation sociopolitique de cette civilisation est proposé.

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Purpose – This Editorial Viewpoint explores the practical developments in manufacturing technology management (MTM) over the last 22 years and links these to some of the subject trends of previous articles in JMTM. Design/methodology/approach – Themes and relevant articles have been identified from the Emerald advanced search facility and linked with developments in hard technologies, information technology and production organisation. Findings – There are numerous examples of where trends in the real world of MTM are reflected in changes to the orientation of JMTM articles, but there are still many articles following more well-worn paths of previous academic research. Research limitations/implications – Evidence for the findings is only from a small sample of articles identified in one journal. Practical implications – Over time, practitioners can find useful connections between published research and their own emerging areas of concern. Originality/value – The paper is based on original bibliographic research, supplemented by extensive editorial and practical experience.

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Le paysage sonore est une forme de perception de notre environnement qui nous permet d’identifier les composantes sonores de notre quotidien. Ce projet de recherche porte sur une thématique particulière, les sons produits par les végétaux et leurs rôles dans les ambiances sonores paysagères. C’est la perspective que nous avons explorée in situ, en comparant les différentes espèces végétales; cette collection d’informations nous permet de proposer une typologie d’ambiances sonores des végétaux. Dans la première partie, des notions rattachées au « monde sonore » telles que l’objet sonore, le paysage sonore et les effets sonores justifient d’établir, dans la méthodologie, une grille d’analyse comportant différentes échelles d’écoute. Une lecture multidisciplinaire propose, d’une part, de réunir de l’information sur le son et les végétaux, la morphologie de ces derniers, l’aménagement au site, les conditions climatiques et, d’autre part, de retrouver ce qui a trait au son dans l’histoire des jardins, dont les jardins sensoriels, thérapeutiques, technologiques, et des sentiers d’interprétation sonore, sous l’angle du son comme projet. De plus, une liste de végétaux recevant les chants et cris de la faune vient introduire la notion de biodiversité sonore. Une enquête sociale de terrain, par la méthode des parcours commentés, et une enquête « experte » ont été réalisées au Jardin botanique de Montréal. Ces deux enquêtes nous ont permis de constituer une grille d’analyse croisée comprenant plusieurs échelles d’écoute : textures, actions sonores, effets sonores... De là, des générateurs d’ambiance (morphologie, organisation, climat) ont été relevés pour déterminer les aspects de récurrences et de différenciations d’un type d’ambiance sonore à l’autre. Des associations se sont formées en fonction de onze types de végétaux, chacun comprenant plusieurs sous-catégories. Celles-ci proposent des ambiances sonores spécifiques, des échelles d’écoute à considérer pour chaque type d’ambiance et l’énumération d’espèces à utiliser. Cette recherche ouvre la voie à un autre type de lecture sonore, par thématique d’ambiance (les sons du végétal dans notre cas), afin d’offrir de nouveaux outils de conception pour les professionnels, en profonde relation avec les perceptions sonores d’usagers sur le terrain et l’agencement spécifique d’un site.