797 resultados para Prenatal nutrition
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Malgré le rôle important joué par les comportements alimentaires durant la grossesse, et de leurs implications pour la santé de la mère et de l’enfant à naître, plusieurs études soulignent que les besoins d’informations des femmes enceintes à faible revenu ou issues de minorités ethniques n’ont pas été comblés. Le comportement de recherche d’informations de femmes enceintes immigrantes maghrébines à faible revenu sera donc abordé via le modèle d’Engel, Kollat et Blackwell. L’objectif général est l’exploration de ce comportement de recherche d’informations en lien avec des thématiques associées à leur alimentation au cours de la grossesse. La thèse propose quatre questions spécifiques de recherche visant l’exploration des facteurs d’ordre individuel et d’environnement susceptibles d’influencer une recherche active d’informations, des sources auprès desquelles des informations sont recherchées, et de la nature de l’information recueillie. Un total de 28 femmes enceintes volontaires (14 primigestes et 14 secondigestes) ont été recrutées via le Dispensaire diététique de Montréal entre les mois d’août 2010 et 2011. Des entrevues semi-structurées de 60 à 90 minutes ont été réalisées par l’étudiante au doctorat. Les données ont été soumises à une analyse de contenu via le logiciel NVivo. Des facteurs d’ordre individuel susceptibles d’influencer le comportement de recherche active d’informations furent identifiés: perspective idéologique à l’égard de la grossesse, présence de malaises de grossesse, perception du caractère contradictoire des informations reçues, perceptions liées au caractère adéquat de l’information reçue, perceptions liées au caractère suffisant de l’information détenue, variation du poids corporel, valorisation du bien-être du bébé, attitudes à l’égard de la supplémentation prénatale, valorisation d’une saine alimentation et motivation à apprendre. Des facteurs d’environnement susceptibles d’influencer le comportement de recherche active d’informations ont été identifiés: culture (habitudes alimentaires, croyances alimentaires, croyances religieuses, perte de repères culturels traditionnels quant aux soins de santé et conseils offerts durant la grossesse) et interactions avec les membres de l’environnement social. Des sources d’informations significatives en lien avec la nutrition prénatale se sont avérées être pour les primigestes: diététiste, mère, amies, mari et Internet. Pour les secondigestes, ces sources d’informations étaient: diététiste, médecin, amies et mari. Une source d’informations professionnelle significative concernant la supplémentation prénatale et le gain de poids durant la grossesse, tant pour les primigestes que secondigestes, s’est révélée être la diététiste. Peu de femmes ont rapporté avoir reçu des professionnels de l’information à propos de la salubrité alimentaire et des risques de gagner trop de poids. Les résultats soulèvent une réflexion à l’égard de l’implication des professionnels en période prénatale et quant à la révision de leurs approches de counseling nutritionnel. Les résultats amènent également à réfléchir quant à l’amélioration des activités ayant pour objectif de répondre aux besoins d’informations des femmes enceintes immigrantes maghrébines à faible revenu en lien avec des thématiques liées à l’alimentation durant la grossesse. Pour terminer, il serait utile que de futures recherches s’attardent à mieux comprendre le comportement de recherche d’informations en lien avec des thématiques associées à l’alimentation de femmes enceintes de différents horizons culturels ou de celle de l’enfant à venir.
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PURPOSE: To evaluate the adequacy of gestational weight gain and to determine its association with maternal socioeconomic, demographic and nutritional factors and health care, to estimate the prevalence of low birth weight, macrosomia, preterm birth and cesarean delivery and to identify the association of these outcomes with the adequacy of weight gain. METHODS: A cross-sectional study was performed in 2009/2010 to obtain socioeconomic, demographic, nutritional, dietary and physical activity data of pregnant women assisted by primary health care in a municipality of the state of São Paulo. Subsequently, data were collected from the medical records to evaluate gestational weight gain. Type of delivery, birth weight and gestational age at delivery were obtained from the Livebirths Information System. Gestational weight gain was evaluated according to the recommendations of the Institute of Medicine (2009). Associations were investigated by comparing the frequencies and by logistic regression, with excessive weight gain (yes, no) and insufficient gain (yes, no) being the dependent variables. RESULTS: A total of 212 pregnant women were studied: 50.5% had excessive gain and 19.8% insufficient weight gain. Only prepregnancy nutritional status was associated with adequacy of weight gain: compared with normal weight, prepregnancy overweight women had a four-fold higher chance to gain excessive weight (OR 4.66, 95%CI 2.19-9.4). Nearly a third of babies were born by caesarian section, 5.7% were premature, 7.1% were underweight and 4.7% were macrosomic. There was no association between adequacy of gestational weight gain and these outcomes. CONCLUSION: The proportion of inadequate gestational weight gain was high. Overweight pregnant women have a four-fold higher chance to gain excessive weight, and priority should be given to actions promoting adequate prenatal weight gain.
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Multiple dietary deficiencies and high rates of infectious illness are major health problems leading to malnutrition and limitation of growth of children in developing countries. Longitudinal studies which provide information on illness incidence and growth velocity are needed in order to untangle the complex interrelationship between nutrition, illness and growth. From 1967 to 1973, researchers led by Dr. Bacon Chow of the Johns Hopkins University School of Hygiene undertook a quasi-experimental prospective study in Suilin Township, Taiwan to determine the effects of a nutritional supplement to the diets of pregnant and lactating women on the growth, development and resistance to disease of their offspring. This dissertation presents results from the analysis of infant morbidity and postnatal growth.^ Maternal nutritional supplementation has no apparent effect on the postnatal growth or morbidity of infants. Significant sex differences exist in growth response to illness and in illness susceptibility. Male infants have more diarrhea and upper respiratory illness. Respiratory illness is positively associated with growth rate in weight in the first semester of life. Diarrhea is significantly negatively associated with growth in length in the second semester. Small-for-date infants are more susceptible to illness in general and have a different pattern of growth response than large-for-date infants.^ Principal components analysis of illness data is shown to be an effective technique for making more precise use of ambiguous morbidity data. Multiple regression with component scores is an accurate method for estimating variance in growth rate predicted by indepenent illness variables. A model is advanced in which initial postnatal growth rate determines subsequent susceptibility to nutritional stress and infection. Initial growth rate is a function of prenatal nutrition, but is not significantly affected by maternal supplementation during gestation or lactation. Critical evaluation is made of nutritional supplementation programs which do not afford disease control.^
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An ever-expanding scientific literature highlights the impact of the prenatal environment on many areas of biology. Across all major farmed species, experimental studies have clearly shown that prenatal experiences can have a substantial impact on outcomes relevant to later health, welfare and productivity. In particular, stress or sub-optimal nutrition experienced by the mother during pregnancy has been shown to have wide-ranging and important effects on how her offspring cope with their social, physical and infectious environment. Variation in the conditions for development provided by the reproductive tract or egg, for instance by altered nutritional supply or hormonal exposure, may therefore explain a large degree of variation in many welfare- and productivity-relevant traits. The scientific literature suggests a number of management practices for pre-birth/hatch individuals that could compromise their later welfare. Such studies may have relevance for the welfare of animals under human care, depending on the extent to which real life conditions involve exposure to these practices. Overall, the findings highlight the importance of extending the focus on animal welfare to include the prenatal period, an aspect which until recently has been largely neglected. © 2012 Universities Federation for Animal Welfare The Old School.
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La prééclampsie est responsable du quart des mortalités maternelles et est la deuxième cause de décès maternels associés à la grossesse au Canada et dans le monde. L’identification d’une stratégie efficace pour la prévention de la prééclampsie est une priorité et un défi primordial dans les milieux de recherche en obstétrique. Le rôle des éléments nutritifs dans le développement de la prééclampsie a récemment reçu davantage d’attention. Plusieurs études cliniques et épidémiologiques ont été menées pour déterminer les facteurs de risque alimentaires potentiels et examiner les effets d’une supplémentation nutritive dans le développement de troubles hypertensifs de la grossesse. Pour déterminer les effets de suppléments antioxydants pris pendant la grossesse sur le risque d’hypertension gestationnelle (HG) et de prééclampsie, un essai multicentrique contrôlé à double insu a été mené au Canada et au Mexique (An International Trial of Antioxidants in the Prevention of Preeclampsia – INTAPP). Les femmes, stratifiées par risque, étaient assignées au traitement expérimental quotidien (1 gramme de vitamine C et 400 UI de vitamine E) ou au placebo. En raison des effets secondaires potentiels, le recrutement pour l’essai a été arrêté avant que l’échantillon complet ait été constitué. Au total, 2640 femmes éligibles ont accepté d’être recrutées, dont 2363 (89.5%) furent incluses dans les analyses finales. Nous n’avons retrouvé aucune évidence qu’une supplémentation prénatale de vitamines C et E réduisait le risque d’HG et de ses effets secondaires (RR 0,99; IC 95% 0,78-1,26), HG (RR 1,04; IC 95% 0,89-1,22) et prééclampsie (RR 1,04; IC 95% 0,75-1,44). Toutefois, une analyse secondaire a révélé que les vitamines C et E augmentaient le risque de « perte fœtale ou de décès périnatal » (une mesure non spécifiée au préalable) ainsi qu’une rupture prématurée des membranes avant terme. Nous avons mené une étude de cohorte prospective chez les femmes enceintes recrutées dans l’INTAPP afin d’évaluer les relations entre le régime alimentaire maternel en début et fin de grossesse et le risque de prééclampsie et d’HG. Un questionnaire de fréquence alimentaire validé était administré deux fois pendant la grossesse (12-18 semaines, 32-34 semaines). Les analyses furent faites séparément pour les 1537 Canadiennes et les 799 Mexicaines en raison de l’hétérogénéité des régimes alimentaires des deux pays. Parmi les canadiennes, après ajustement pour l’indice de masse corporelle (IMC) précédant la grossesse, le groupe de traitement, le niveau de risque (élevé versus faible) et les autres facteurs de base, nous avons constaté une association significative entre un faible apport alimentaire (quartile inférieur) de potassium (OR 1,79; IC 95% 1,03-3,11) et de zinc (OR 1,90; IC 95% 1,07-3,39) et un risque augmenté de prééclampsie. Toujours chez les Canadiennes, le quartile inférieur de consommation d’acides gras polyinsaturés était associé à un risque augmenté d’HG (OR 1,49; IC 95% 1,09-2,02). Aucun des nutriments analysés n’affectait les risques d’HG ou de prééclampsie chez les Mexicaines. Nous avons entrepris une étude cas-témoins à l’intérieur de la cohorte de l’INTAPP pour établir le lien entre la concentration sérique de vitamines antioxydantes et le risque de prééclampsie. Un total de 115 cas de prééclampsie et 229 témoins ont été inclus. Les concentrations de vitamine E ont été mesurées de façon longitudinale à 12-18 semaines (avant la prise de suppléments), à 24-26 semaines et à 32-34 semaines de grossesse en utilisant la chromatographie liquide de haute performance. Lorsqu’examinée en tant que variable continue et après ajustement multivarié, une concentration de base élevée de gamma-tocophérol était associée à un risque augmenté de prééclampsie (quartile supérieur vs quartile inférieur à 24-26 semaines : OR 2,99, IC 95% 1,13-7,89; à 32-34 semaines : OR 4,37, IC 95% 1,35-14,15). Nous n’avons pas trouvé de lien entre les concentrations de alpha-tocophérol et le risque de prééclampsie. En résumé, nous n’avons pas trouvé d’effets de la supplémentation en vitamines C et E sur le risque de prééclampsie dans l’INTAPP. Nous avons toutefois trouvé, dans la cohorte canadienne, qu’une faible prise de potassium et de zinc, tel qu’estimée par les questionnaires de fréquence alimentaire, était associée à un risque augmenté de prééclampsie. Aussi, une plus grande concentration sérique de gamma-tocophérol pendant la grossesse était associée à un risque augmenté de prééclampsie.
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The purpose of this study was to assess the effect of maternal pre-pregnancy weight status on the relationship between prenatal smoking and infant birth weight (IBW). Prenatal cigarette smoking and maternal weight exert opposing effects on IBW; smoking decreases birth weight while maternal pre-pregnancy weight is positively correlated with birth weight. As such, mutual effect modification may be sufficiently significant to alter the independent effects of these two birth weight correlates. Finding of such an effect has implications of prenatal smoking cessation education. Perception of risk is an important determinant of smoking cessation, and reduced or low birth weight (LBW) as a smoking-associated risk predominates prenatal smoking counseling and education. In a population such as the US, where obesity is becoming epidemic, particularly among minority and low-income groups, perception of risk may be lowered should increased maternal size attenuate the effect of smoking. Previous studies have not found a significant interaction effect of prenatal smoking and maternal pre-pregnancy weight on IBW; however, use of self-reported smoking status may have biased findings. Reliability of self-reported smoking status reported in the literature is variable, with deception rates ranging from a low of 5% to as high as 16%. This study, using data from a prenatal smoking cessation project, in which smoking status was validated by saliva cotinine, was an opportunity to assess effect modification of smoking and maternal weight using biochemically determined smoking status in lieu of self report. Stratified by saliva cotinine, 151 women from a prenatal smoking cessation cohort, who were 18 years and older and had full-term, singleton births, were included in this study. The effect of smoking in terms of mean birth weight across three levels of maternal pre-pregnancy weight was assessed by general linear modeling procedures, adjusting for other known correlates of IBW. Effect modification was marginally significant, p = .104, but only with control for differential effects among racial/ethnic groups. A smaller than planned sample of nonsmokers, or women who quit smoking during the pregnancy, prohibited rejection of the null hypothesis of no difference in the effect of smoking across levels of pre-pregnancy weight. ^
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Acknowledgments Supported by the Wellcome Trust project grant 088208 (DJC), Wellbeing of Women research training fellowship 318 (DJC), Scottish Government Work package 4.2 (JMW, JSM and RPA), National Institute for Health Research University College London Hospitals Biomedical Research Centre (ALD) and Hatch ProjectND01748 (DAR).
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It is important to detect and treat malnutrition in hospital patients so as to improve clinical outcome and reduce hospital stay. The aim of this study was to develop and validate a nutrition screening tool with a simple and quick scoring system for acute hospital patients in Singapore. In this study, 818 newly admitted patients aged above 18 years old were screened using five parameters that contribute to the risk of malnutrition. A dietitian blinded to the nutrition screening score assessed the same patients using the reference standard, Subjective Global Assessment (SGA) within 48 hours. The sensitivity and specificity were established using the Receiver Operator Characteristics (ROC) curve and the best cutoff scores determined. The nutrition parameter with the largest Area Under the ROC Curve (AUC) was chosen as the final screening tool, which was named 3-Minute Nutrition Screening (3-MinNS). The combination of the parameters weight loss, intake and muscle wastage (3-MinNS), gave the largest AUC when compared with SGA. Using 3-MinNS, the best cutoff point to identify malnourished patients is three (sensitivity 86%, specificity 83%). The cutoff score to identify subjects at risk of severe malnutrition is five (sensitivity 93%, specificity 86%). 3-Minute Nutrition Screening is a valid, simple and rapid tool to identify patients at risk of malnutrition in Singapore acute hospital patients. It is able to differentiate patients at risk of moderate malnutrition and severe malnutrition for prioritization and management purposes.