999 resultados para Praxis sociale chrétienne


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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Au cours des dernières décennies, la recherche scientifique, toutes disciplines confondues, s’est particulièrement intéressée aux phénomènes et questionnements identitaires, notamment en ce qui concerne les groupes et les mouvements minoritaires ou marginaux, mais également en ce qui concerne la question des identités nationales dont se délectent à leur tour politiciens et médias. Véritable reflet d’un des enjeux majeurs de nos sociétés contemporaines, cet intérêt des chercheurs pour les phénomènes identitaires a particulièrement porté sur l’étude des processus de construction et d’affirmation des identités individuelles et collectives, c’est-à-dire sur les modes et les modalités à partir desquels les identités se construisent, se structurent et sont affirmées dans un rapport comparatif, compétitif et dialogique entre le Soi et l’Autre. Si notre compréhension des phénomènes identitaires s’est considérablement précisée et nuancée depuis la publication dans les années 1950, voire antérieurement, des études fondamentales et fondatrices, il n’en demeure pas moins que le concept d’identité, peu importe les multiples terminologies qu’il peut prendre selon les disciplines, pose actuellement de nombreux problèmes et s’avère abondamment galvaudé par certaines recherches récentes qui en font usage sans nécessairement le définir, voire pire, le maîtriser, comme un champ d’études à la mode qu’il convient d’investir afin d’alimenter un lectorat avide de ces questions et problèmes identitaires. Il est vrai que les travaux scientifiques sur les identités paraissent à un rythme soutenu, voire insoutenable tant cette production est abondante et diversifiée. Tour à tour, les identités ethniques, nationales, provinciales, régionales, politiques, culturelles, religieuses, de genre, des groupes ou mouvements minoritaires et marginaux, pour ne nommer que certains des principaux champs d’investigation, ont été interrogées. Loin de se limiter aux sociétés, aux individus et aux collectivités modernes, les identités du passé, toutes périodes confondues, ont également été revisitées à la lumière des outils d’interprétation développés, entre autres, par la sociologie, par l’anthropologie culturelle et par la psychologie sociale. Bien évidemment, les spécialistes de l’Antiquité n’ont pas échappé à cette tendance, partant à leur tour à la conquête de l’identité (ou des identités) grecque(s), romaine(s), barbare(s), judéenne(s) et chrétienne(s). Leur intérêt s’est également porté sur les identités propres aux diverses catégories ou collectivités sociales, politiques, juridiques, religieuses et professionnelles. Toutefois, aborder la question des identités dans l’Antiquité oblige à délaisser les définitions et compréhensions modernes au profit d’un tout autre mode raisonnement identitaire et d’appartenance propre aux sociétés et collectivités anciennes en prenant en considération les dimensions « – emic » et « – etic » que requiert l’utilisation de cette notion afin d’en avoir recours comme une catégorie d’analyse adéquate pour cette période particulière, une approche double et complémentaire trop souvent négligée par une majorité de recherches dont les résultats aboutissent inévitablement à une compréhension anachronique et « distorsionnée » des réalités anciennes, ce qui est d’autant plus le cas en histoire des religions et des communautés socioreligieuses de l’Antiquité en raison de nombreux présupposés idéologiques et théologiques qui dominent encore tout un pan de l’historiographie actuelle. Bien que le concept même d’identité n’existe pas dans l’Antiquité, le terme « identitas » renvoyant à une tout autre réalité, cela ne signifie pas pour autant que les Anciens n’avaient aucune conscience de leur(s) identité(s) et qu’il est impossible pour nous modernes d’étudier les phénomènes et les discours identitaires antiques. Toutefois, cela impose d’aborder ces phénomènes avec une très grande prudence et beaucoup de nuances en évitant les généralisations hâtives et en circonscrivant bien les contextes d’énonciation dans lesquels ces identités se sont construites et ont été affirmées, car, déterminées par les appartenances, la définition de ces identités s’est constamment élaborée et réélaborée sur un rapport Soi / Autre, inclusion / exclusion et a reposé sur des stratégies discursives qui ont varié selon les époques, les lieux, les auteurs et les contextes d’énonciation. L’enjeu principal est alors de comprendre les stratégies et les mécanismes mis en œuvre par les auteurs anciens dans les processus discursifs de construction identitaire de leur groupe d’appartenance. Produit d’une rhétorique, l’étude des identités anciennes oblige donc de distinguer, ce qui est certes complexe, discours et réalités sociales, du moins cela oblige, encore une fois, à une extrême prudence et beaucoup de nuances afin de ne pas confondre discours et réalités. Si les discours ont effectivement pour effet d’ériger des frontières identitaires fixes et imperméables entre les différents groupes et collectivités, l’étude de la réalité vécue par les acteurs sociaux montre que ces frontières étaient plutôt fluides et perméables. Pour étudier la question des identités dans l’Antiquité, plusieurs postes d’observation peuvent êtres sollicités en s’intéressant, notamment, à la formation des identités, à l’identité en auto-définition, à l’identité dans le miroir de l’Autre, à l’impact des interactions entre le Soi et l’Autre sur les définitions identitaires, aux frontières identitaires et à leurs transgresseurs, aux marqueurs identitaires, etc. Ces différentes approches, notamment lorsqu’elles sont combinées les unes aux autres, contribuent à mettre en évidence la complexité des processus de construction des identités dans l’Antiquité dont on reconnaît désormais le caractère fluide, dynamique et discursif, malgré les idéologies de stabilité sur lesquelles elles se sont élaborées et polémiquées. Loin de susciter de vains débats, les études sur les identités dans l’Antiquité permettent d’aborder sous un angle novateur certains acquis de la recherche et de leur apporter de riches nuances. Cependant, interpréter les phénomènes identitaires anciens à partir de paradigmes, de terminologies et de catégories erronés ou anachroniques a également pour conséquence indéniable de parvenir à une relecture « distorsionnée », si ce n’est orientée, du passé, en lui imposant des catégories de définition et d’auto-définition identitaires qui n’existaient pas dans l’Antiquité. C’est pourquoi il importe également, lorsqu’on tente d’aborder ces phénomènes identitaires, de réfléchir sur les paradigmes, les terminologies et les catégories qui sont invoqués par en parler et ne pas hésiter à les remettre en question en refusant d’adhérer, de manière consciente ou inconsciente, à un quelconque modèle préétabli. S’inscrivant dans ce courant réflexif majeur de l’historiographique actuelle sur l’étude des phénomènes de construction identitaire dans l’Antiquité, notre recherche s’intéresse plus particulièrement aux processus de construction de discours d’appartenance dans la littérature judéenne et chrétienne aux Ier et IIe siècles. Sans avoir cherché à circonscrire une définition unique et unilatérale des identités judéennes et chrétiennes de cette période – définition qui s’avère, selon nous, plus utopique que réaliste en raison de la pluralité des mouvements qui composent le « judaïsme » et le « christianisme » anciens et des auteurs qui ont tenté, par leurs discours, de définir et présenter ces identités – ou tenter d’établir une liste de critères à respecter pour délimiter ce qu’est l’identité judéenne ou chrétienne – et, par conséquent, ceux qui peuvent ou non se réclamer d’être Judéens ou chrétiens –, la perspective que nous adoptons dans cette recherche est plutôt de réfléchir à la manière dont il convient d’aborder les identités anciennes et les processus de construction identitaire dans l’Antiquité. Notre réflexion se veut donc d’abord et avant tout une réflexion méthodologique, épistémologique, terminologique et historiographique des questions et phénomènes identitaires dans l’Antiquité, notamment en ce qui concerne les identités judéennes et chrétiennes des Ier et IIe siècles qui sont abordées à partir de divers postes d’observation et dans une perspective socio-historique qui adopte une démarche « – emic » et « – etic ». Notre recherche est divisée en trois parties. La première sera consacrée aux discussions d’ordre « – etic », c’est-à-dire aux réflexions et aux remarques méthodologiques, épistémologiques, terminologiques et historiographies sur l’approche des phénomènes identitaires et de l’identité chrétienne dans l’Antiquité. Le chapitre I présentera des remarques historiographiques sur les travaux récents en histoire du « christianisme » ancien. Dans le chapitre II, nous discuterons des concepts modernes d’« identité », de « race » et d’« ethnie ». Le chapitre III présentera quelques réflexions épistémologiques et méthodologiques sur l’application des théories et concepts modernes aux réalités antiques dans l’approche des phénomènes identitaires. Finalement, le chapitre IV reviendra sur les différents paradigmes interprétatifs qui ont été utilisés dans le débat moderne sur la question du Parting of the Ways. La deuxième partie sera consacrée à la présentation des cadres contextuels du « judaïsme » et du « christianisme » anciens. Le chapitre V dressera un portrait général de la pluralité qui caractérise le « judaïsme » ancien à la période romaine (Ier – IIe siècles) et des principaux marqueurs identitaires des communautés judéennes de cette époque. Dans le chapitre VI, il sera question de l’origine et de l’expansion du « judaïsme chrétien » dans l’Empire romain (Ier – IIe siècles) de même que de la pluralité des courants chrétiens. La troisième partie abordera la dimension « – emic » de notre recherche en s’intéressant aux processus discursifs de construction de l’identité chrétienne à partir de différents postes d’observation. Le chapitre VII analysera la présentation que l’auteur des Actes des apôtres fait des conditions d’entrée et des premières règles de vie dans la communauté chrétienne. Le chapitre VIII s’intéressera aux enjeux liés à la perception et à la représentation du Soi et de l’Autre en tentant de comprendre comment le mouvement chrétien a tenté de s’auto-définir et comment il a été défini par l’Altérité. Finalement, le chapitre IX analysera la manière dont les auteurs chrétiens se sont approprié le terme « γένος » et comment ils l’ont redéfini sur la base de critères cultuels ou religieux afin de présenter l’originalité distinctive du mouvement chrétien.

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Depuis son émergence, il y a maintenant plus de vingt ans, le projet sociétal du Développement durable s’institutionnalise en France, notamment dans un contexte de priorisation de l’environnement. Le commerce équitable, défini institutionnellement comme contribuant au Développement durable, renouvelle alors son paradigme et semble se trouver à moment charnière de sa construction sociale, celui d’un « commerce durable ». L’intégration de ce nouveau cadre offrirait alors aux organisations du commerce équitable des opportunités notamment en termes de stratégies et pratiques environnementales. Cependant, cette évolution les expose aussi à un « écoloscepticisme » ambiant et pose clairement l’effectivité de leur logique originelle, anthropocentrique, celle d’avoir comme essence les producteurs défavorisés au Sud.

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Pour des raisons de limitation, cette thèse analyse le thème de la réconciliation à partir des pratiques traditionnelles des Baluba du Katanga; elle concerne et s'applique également aux autres ethnies bantu en Afrique Centrale où ces pratiques sont similaires.

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Over a long period the philosopher, Maurice Blondel, was an outspoken critic of exaggerated nationalism. The series of articles that appeared in 1909-10 in the Annales de philosophie chrétienne under the title of « La Semaine sociale de Bordeaux », and later were published in book form, contained a philosophically and theologically motivated critique of the early support shown by French Catholics for the doctrinaire nationalism of Charles Maurras. In 1928 Blondel returned to a critique of this same nationalism in his detailed article « Patrie et Humanité ». But the further criticism of nationalism contained in parts of his book Lutte pour la civilisation et philosophie de la paix, which was published in 1939 (and anew in 1947 in a slightly revised edition), was of a different order, being focused on the nationalism associated with what Blondel termed totalitarisme in its then German or Nazi form. Despite this record, it would be a mistake to assume that Blondel was an internationalist fitting clearly into the Briand mould. After the First World War Blondel favoured the hard-line foreign policy advocated by Poincaré and Foch, in particular over the future of the Rhineland. And he remained a conservative Catholic. His book of 1939 denounced not only totalitarisme in both its Nazi and Soviet forms, but also, on an opposing front, liberalism in the social and economic sphere. As to the deleterious effect of nationalism on international relations, he was an advocate of strengthening international law, notably the corpus of law emanating from The Hague. Maurice Blondel was greatly admired by Robert Schuman, the prominent French foreign minister under the Fourth Republic and a key figure for post-war European integration.

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In this chapter I introduce an ecological-philosophical approach to artmaking that has guided my work over the past 16 years. I call this ‘Ecosophical praxis’. To illustrate how this infuses and directs my research methodologies, I draw upon a case study called Knowmore (House of Commons), an emerging interactive installation due for first showings in late 2008. This allows me to tease out the complex interrelationships between research and practice within my work, and describe how they comment upon and model these eco-cultural theories. I conclude with my intentions and hopes for the continued emergence of a contemporary eco-political modality of new media praxis that self-reflexively questions how we might re-focus future practices upon ‘sustaining the sustainable’.

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Background: In order to design appropriate environments for performance and learning of movement skills, physical educators need a sound theoretical model of the learner and of processes of learning. In physical education, this type of modelling informs the organization of learning environments and effective and efficient use of practice time. An emerging theoretical framework in motor learning, relevant to physical education, advocates a constraints-led perspective for acquisition of movement skills and game play knowledge. This framework shows how physical educators could use task, performer and environmental constraints to channel acquisition of movement skills and decision making behaviours in learners. From this viewpoint, learners generate specific movement solutions to satisfy the unique combination of constraints imposed on them, a process which can be harnessed during physical education lessons. Purpose: In this paper the aim is to provide an overview of the motor learning approach emanating from the constraints-led perspective, and examine how it can substantiate a platform for a new pedagogical framework in physical education: nonlinear pedagogy. We aim to demonstrate that it is only through theoretically valid and objective empirical work of an applied nature that a conceptually sound nonlinear pedagogy model can continue to evolve and support research in physical education. We present some important implications for designing practices in games lessons, showing how a constraints-led perspective on motor learning could assist physical educators in understanding how to structure learning experiences for learners at different stages, with specific focus on understanding the design of games teaching programmes in physical education, using exemplars from Rugby Union and Cricket. Findings: Research evidence from recent studies examining movement models demonstrates that physical education teachers need a strong understanding of sport performance so that task constraints can be manipulated so that information-movement couplings are maintained in a learning environment that is representative of real performance situations. Physical educators should also understand that movement variability may not necessarily be detrimental to learning and could be an important phenomenon prior to the acquisition of a stable and functional movement pattern. We highlight how the nonlinear pedagogical approach is student-centred and empowers individuals to become active learners via a more hands-off approach to learning. Summary: A constraints-based perspective has the potential to provide physical educators with a framework for understanding how performer, task and environmental constraints shape each individual‟s physical education. Understanding the underlying neurobiological processes present in a constraints-led perspective to skill acquisition and game play can raise awareness of physical educators that teaching is a dynamic 'art' interwoven with the 'science' of motor learning theories.

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Effective staff development remains a challenge in higher education. This paper examines the non-traditional methodology of arts-based staff development, its potential to foster transformational learning and the practice of professional artistry, through perceptions of program impact. Over a three year period, eighty academics participated in one metropolitan Australian university’s arts-based academic development program. The methodology used one-on-one hermeneutic-based conversations with fifteen self-selected academics and a focus group with twenty other academics from all three years. The paper presents a learning model to engender academic professional artistry. The findings provide developers with support for using a non-traditional strategy of transformational learning.

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Effective academic workforce staff development remains a challenge in higher education. This thesis-by-publication examined the importance of alternative paradigms for academic staff development, focusing specifically on arts-based learning as a non-traditional approach to transformative learning for management and self-development within the business of higher education. The research question asked was whether or not the facilitation of staff development through the practice of arts-based transformational learning supported academic aims in higher education, based on data obtained with the participants of the academic staff development program at one Australian university over a three year period. Over that three year period, eighty academics participated in one large metropolitan Australian university’s arts-based academic development program. The research approach required analysis of the transcribed one-on-one hermeneutic-based conversations with fifteen self-selected academics, five from each year, and with a focus group of twenty other self-selected academics from all three years. The study’s findings provided evidence that supported the need for academic staff development that prepared academics to be engaged and creative and therefore more likely to be responsive to emerging issues and to be innovative in the presence of constraints, including organisational constraints. The qualitative participative conversation transcription data found that arts-based lifelong learning processes provided participant perception of enhanced capabilities for self-creation and clarity of transformational action in academic career management. The study presented a new and innovative Artful Learning Wave Trajectory learning model to engender academic professional artistry. The findings provided developers with support for using a non-traditional strategy of transformational learning.

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Individual science teachers who have inspired colleagues to transform their classroom praxis have been labelled transformational leaders. As the notion of distributed leadership became more accepted in the educational literature, the focus on the individual teacher-leader shifted to the study of leadership praxis both by individuals (whoever they might be) and by collectives within schools and science classrooms. This review traces the trajectory of leadership research, in the context of learning and teaching science, from an individual focus to a dialectical relationship between individual and collective praxis. The implications of applying an individual-collective perspective to praxis for teachers, students and their designated leaders are discussed.