719 resultados para Poulets de chair
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Le problème grandissant de l’antibiorésistance remet en question plusieurs pratiques reliées à l’utilisation des antibiotiques, dont l’usage à grande échelle pour des fins de promotion de la croissance chez les animaux de consommation. Depuis 2006, le retrait des antibiotiques dans les élevages de poulets de chair en Europe a été associé à la résurgence d’entérite nécrotique, une maladie intestinale causée par la bactérie Clostridium perfringens. Alors que la pathogénie de la maladie semblait bien comprise, le retrait des antibiotiques a montré que peu de solutions de remplacement sont disponibles afin de prévenir cette maladie. Très peu d’études se sont intéressées à mieux caractériser la dynamique des populations de C. perfringens dans les élevages avicoles et l’effet que pouvait avoir le retrait des antibiotiques sur l’évolution de ces populations. La présente étude a évalué l’impact du remplacement des antibiotiques promoteurs de croissance et des anticoccidiens pendant une période de 14 mois, dans huit élevages commerciaux de poulets de chair au Québec. Un protocole d’élevage alternatif, combinant des stratégies telles que des produits à base d’huiles essentielles, des acides organiques et inorganique, une vaccination contre la coccidiose ainsi qu’une amélioration des conditions de démarrage des poussins, a été utilisé en remplacement des antimicrobiens. Les performances zootechniques, la santé digestive ainsi que l’occurrence d’entérite nécrotique pour les lots de poulets soumis au protocole d’élevage alternatif ont été comparées avec celles de lots de poulets de chair recevant une ration conventionnelle. Des analyses moléculaires basées sur la PCR et le PFGE ont été utilisées afin de documenter l’impact de la mise en place du protocole d’élevage alternatif sur les populations de C. perfringens. Les résultats obtenus montrent qu’aucune différence entre les groupes soumis aux deux types de protocoles n'est observée en ce qui a trait à la viabilité en élevage, à l'âge d'abattage et aux taux de condamnations à l'abattoir. Toutefois, les lots soumis au traitement alternatif ont eu des performances moindres pour le poids moyen à l'abattage, le gain moyen quotidien et la conversion alimentaire. Un peu plus de 27% des lots soumis au protocole alternatif ont connu un épisode d’entérite nécrotique clinique. Les analyses ont aussi montré que l’un ou l’autre des protocoles ne semble pas exercer d’influence particulière sur la dynamique temporelle des populations de C. perfringens. Pour les lots soumis au protocole d’élevage alternatif, une forte diversité génétique pour C. perfringens a été liée à un risque augmenté de vivre un épisode d’entérite nécrotique. À l’opposé, les lots alternatifs ayant vécu des épisodes récurrents de la maladie ont montré une diminution significative de la diversité génétique, ainsi qu’une augmentation marquée du nombre de souches de C. perfringens transportant plusieurs gènes de virulence. La présente étude a permis de mieux documenter, d’un point de vue économique et scientifique, la production de poulets de chair élevés sans antibiotiques ni anticoccidiens au Québec. Cette étude est la seule du genre s’étant intéressée à la caractérisation et à la comparaison dans le temps des flores de C. perfringens retrouvées dans les deux types d’élevages. Elle a révélé que la production à grande échelle de poulets de chair élevés sans antibiotiques ni anticoccidiens est possible au Québec, mais que celle-ci présente des impacts sur les performances zootechniques des oiseaux, sur leur santé digestive et sur la dynamique des populations de C. perfringens. Mots-clés : poulets de chair, antibiotiques, huiles essentielles, acides organiques, vaccination coccidiose, performances zootechniques, santé digestive, entérite nécrotique, Clostridium perfringens, dynamique populationnelle
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Des études précédentes ont montré qu’une carence en vitamine E prédispose à la myopathie du poulet de chair. L’effet d’un ajout de vitamine E dans la diète commerciale sur la dégénérescence des fibres musculaires de la poitrine et de la cuisse a été étudié chez les poulets de chair. Des poulets mâles ROSS 308 (n = 1100) ont été assignés de façon aléatoire à deux traitements alimentaires (aliment commercial + 25 à 50 mg de vitamine E surajouté par kg vs aliment commercial + 0 mg de vitamine E supplémentaire). Les poulets ont été répartis sur 10 parquets (cinq répétitions par traitement). Le poids corporel et la consommation d’aliment ont été mesurés hebdomadairement. Aux jours j28, j35, j42 et j49, du sang a été prélevé pour mesurer le niveau de vitamine E et l’activité de la créatine kinase (CK). Les muscles Pectoralis superficialis et Adductor magnus ont été prélevés pour des analyses histologiques aux jours j28, j42 et j49; les fibres dégénérées ont été dénombrées sur chaque muscle prélevé. La concentration plasmatique de vitamine E était plus élevée dans le groupe supplémenté (P = 0.001). L’activité de la CK n’était pas différente dans les deux groupes (P = 0.20) mais très élevée, et n’était pas toujours en relation avec les dommages musculaires, à cause de grandes fluctuations de la CK entre les individus du même groupe. Le nombre de fibres endommagées était plus élevé dans le muscle Pectoralis superficialis (poitrine) que dans le muscle Adductor magnus (cuisse) dans les deux groupes; il y avait aussi moins de fibres dégénérées à j28 dans la poitrine des poulets qui ont reçus la diète supplémentée. Ces résultats suggèrent que l’ajout de vitamine E à la diète conventionnelle augmente le niveau de vitamine E dans le plasma et dans les tissus, diminue le nombre de fibres dégénérées dans la poitrine des jeunes poulets sans pour autant modifier la conversion alimentaire. La mesure de l’activité plasmatique de la CK ne saurait suffire à elle seule pour détecter précocement la myopathie nutritionnelle dans les élevages de poulets de chair.
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L’utilisation d’antimicrobiens chez les animaux de consommation est une source de préoccupation importante pour la santé publique à travers le monde en raison de ses impacts potentiels sur l’émergence de micro-organismes résistants aux antimicrobiens et sur la présence de résidus antimicrobiens néfastes dans la viande. Cependant, dans les pays en développement, peu de données sont disponibles sur les pratiques d’utilisation des antimicrobiens à la ferme. Par conséquent, une étude épidémiologique transversale a été menée de juin à août 2011 dans des élevages de poulets de chair situés dans le sud du Vietnam, ayant pour objectifs de décrire la prévalence d’utilisation des antimicrobiens ajoutés à l’eau de boisson ou aux aliments à la ferme, et de tester les associations entre les caractéristiques des fermes et la non-conformité avec les périodes de retrait recommandés sur l’étiquette des produits. Un échantillon d’accommodement de 70 fermes a été sélectionné. Les propriétaires des fermes ont été interrogés en personne afin de compléter un questionnaire sur les caractéristiques des fermes et les pratiques d’utilisation d’antimicrobiens. Au cours des 6 mois précédant les entrevues, il a été rapporté que la colistine, la tylosine, l’ampicilline, l’enrofloxacine, la doxycycline, l’amoxicilline, la diavéridine et la sulfadimidine ont été utilisés au moins une fois dans les fermes échantillonnées, avec une fréquence descendante (de 75.7% à 30.0%). D’après deux scénarios de risque basés sur la comparaison de la période de retrait recommandée sur l’étiquette du produit et celle pratiquée à la ferme, de 14.3% à 44.3% des propriétaires de ferme interrogés n’ont pas respecté la période de retrait recommandée sur l’étiquette au moins une fois au cours des 6 derniers mois, et ce pour au moins un antimicrobien. Les facteurs de risque associés (p<0.05) avec une non-conformité avec la période de retrait recommandée sur l’étiquette pour au moins un des deux scénarios sont les suivants : élever des oiseaux qui n’appartiennent pas tous à des races d’origine asiatique, vacciner contre la bronchite infectieuse, avoir utilisé plus de 6 différents antimicrobiens à la ferme au cours des 6 derniers mois, et utiliser un mélange d’aliments fait maison et commerciaux. Nos résultats soulignent l’importance d’utiliser les antimicrobiens de façon judicieuse et en respectant les temps de retrait officiels, afin de protéger le consommateur contre les risques pour la santé causés par une exposition à des niveaux nocifs de résidus antimicrobiens.
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Au Québec, l’abattage des poulets se fait entre 33 et 40 jours. Pour permettre cet abattage, les poulets devront être vaccinés en présence d’anticorps maternels puisque la période d’attente après la vaccination est de 21 jours. L’objectif de cette étude a été de déterminer l’efficacité d’une forte dose de vaccin et de vitamine E à contourner les anticorps maternels et à vacciner par contact les poulets non vaccinés. Des vaccins à dose normale de 104,35 TCID50/ml/oiseau et à forte dose de 105,35 TCID50/ml/oiseau ont été utilisées sur 1200 poulets repartis en 4 groupes; (1) FD100%, groupe dans lequel tous les oiseaux ont été vaccinés, (2) FD10%, groupe dans lequel 10% des oiseaux ont été vacciné à forte dose, (3) DN100%, groupe dans lequel tous les oiseaux ont été vacciné à dose normale et (4) Contrôle, groupe dans lequel aucun oiseau n’a été vacciné. Chaque groupe a été divisé en 2 sous-groupes ; un a été supplémenté en vitamine E de 50 à 100UI/kg d’aliment et l’autre de 20 à 27 UI/kg. Les résultats de la présente étude ont montré que le virus vaccinal est capable de surmonter les anticorps maternels, qui ont persisté jusqu’à 20 jours d’âge, et à provoquer une réponse immunitaire humorale. Cette étude a aussi montré que le virus est capable de se transmettre par contact direct dans un même parquet et par contact indirect d’un parquet à l’autre. Aucun retour à la virulence ni une mutation du nucléotide VP2 n’a été observé au niveau des oiseaux vaccinés par contact. Cette étude a aussi montré qu’une amélioration de l’apport de vitamine E augmente la réponse humorale après vaccination avec un vaccin vivant contre la maladie de Gumboro.
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Campylobacter jejuni est l’agent causal de la campylobactériose, infection bactérienne importante en santé publique. Un des vecteurs de transmission de C. jejuni pour l’humain est le poulet via la chaîne alimentaire. Les mécanismes impliqués dans colonisation caecale commensale des oiseaux par C. jejuni sont toujours peu caractérisés, bien qu’une meilleure compréhension de ces mécanismes puisse apporter des solutions pour le contrôle du pathogène à la ferme. Cette étude avait pour buts de caractériser les propriétés phénotypiques et les facteurs génétiques impliqués dans la colonisation du poulet par C. jejuni et d’identifier de nouveaux mécanismes impliqués dans cette association. Des souches, issues d’élevages conventionnels échantillonnés en 2003 et en 2008 ainsi que d’élevages biologiques, ont été caractérisées afin d’obtenir leur profil de résistance aux antibiotiques, leur autoagglutination et leur chimiotactisme. Les souches des élevages conventionnels ont de plus été caractérisées pour leur capacité à adhérer et envahir une culture primaire de cellules caecales de poulet. Une puce à ADN a été développée pour détecter la présence de 254 gènes et variants associés à la colonisation des poulets ainsi qu’à la résistance aux antibiotiques chez les souches issues d’élevages conventionnels. Les propriétés phénotypiques et la présence de certains gènes chez les souches ont par la suite été comparées. Finalement, des souches ayant des caractéristiques différentes ont été utilisées dans un modèle de colonisation du poulet pour évaluer l’efficacité d’un nouvel additif alimentaire à base d’acides organiques et d’huiles essentielles sur le contrôle de C. jejuni. Les propriétés phénotypiques des souches étaient très variées et n’étaient pas corrélées entre elles, à l’exception de l’adhésion et de l’invasion. L’analyse génétique a révélé que le contenu en gènes des souches était variable, notamment au niveau des gènes de l’enveloppe bactérienne, au flagelle, aux récepteurs du chimiotactisme et à la résistance à l’arsenic. Les souches de 2003 et de 2008 étaient semblables lorsque leur contenu en gènes ainsi que leurs propriétés phénotypiques étaient comparés. Des gènes possiblement associés à un fort ou un faible potentiel de colonisation ont été identifiés. L’additif alimentaire a diminué la contamination des carcasses bien qu’une augmentation de la colonisation intestinale ait été observée pour certaines souches. La moitié des lots de poulets d’origine biologique étaient positifs pour C. jejuni. Les souches issues de ce type d’élevage étaient peu résistantes aux antibiotiques et possédaient des phénotypes variés. Cette étude a permis de mieux définir les caractéristiques importantes de C. jejuni qui sont associées à la colonisation intestinale du poulet. Elle a établi pour la première fois au Canada la présence du pathogène dans les élevages de poulets biologiques. Cette étude fait partie des quelques études qui décrivent la présence des gènes de colonisation et de résistance aux antibiotiques dans une collection de souches issues uniquement du poulet. Elle a également remis en doute l’importance de certains gènes dans la colonisation. La caractérisation exhaustive des souches a également permis d’identifier de nouveaux gènes possiblement associés à la colonisation de poulet par C. jejuni. Finalement, elle a indiqué que l’utilisation d’un mélange d’huiles essentielles et d’acide organique encapsulés pouvait être efficace pour réduire la contamination des carcasses de poulet par C. jejuni et que son effet était souche-dépendant.
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The seat is an externally fixed seat for the public located at the entrance to the Prince Charles Hospital. The form of the seat is designed specifically for two, to celebrate the marriage of Charles and Camilla. The design of bench structure represents the Southern Cross which is predominant in our night sky, distinguishing us in location from Charles and Camilla, the night of their wedding. The design also incorporates references to undulating forms of the Queensland Landscape.
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I begin by offering a formal acknowledgement to the Darumbal people. I thank Wade Mann for his Welcome as a member of the Darumbal people and the Dance Troupe for dancing on this day. I thank the other people who are here today from other Country that surrounds and borders Darumbal Country and on which this university also works: the Woppaburra; Gungalou; Bidjara; Gurang Gurang; Birri Gubba; and others. I thank the members of the Fitzroy Basin Elders for supporting this event...
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An Interview with Sylvère Lotringer, Jean Baudrillard Chair at the European Graduate School and Professor Emeritus of French Literature and Philosophy at Columbia University, on the Architectural Contribution to Semiotext(e), Schizoculture, and the Early Deleuze and Guattari Scene at Columbia University, which took place at the Department of French, Columbia University, New York City, July 2003. This interview exists as an audio cassette tape recording.
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PURPOSE: The purpose of the present study was to analyze the neuromuscular responses during the performance of a sit to stand [STS] task in water and on dry land. SCOPE: 10 healthy subjects, five males and five females were recruited for study. Surface electromyography sEMG was used for lower limb and trunk muscles maximal voluntarty contraction [MVC] and during the STS task. RESULTS: Muscle activity was significantly higher on dry land than in water normalized signals by MVC from the quadriceps-vastus medialis [17.3%], the quadriceps - rectus femoris [5.3%], the long head of the biceps femoris [5.5%], the tibialis anterior [13.9%], the gastrocnemius medialis [3.4%], the soleus [6.2%]. However, the muscle activity was higher in water for the rectus abdominis [-26.6%] and the erector spinae [-22.6%]. CONCLUSIONS: This study for the first time describes the neuromuscular responses in healthy subjects during the performance of the STS task in water. The differences in lower limb and trunk muscle activity should be considered when using the STS movement in aquatic rehabilitation.
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Wheelchair is required for the mobility of the disabled people. It can be categorized into two categories: manual, powered wheelchair. This paper deals with series hybrid combination of manual and battery powered wheelchair. The control scheme used is simpler than other hybrid wheelchairs. It includes the sensor less control of the speed. Battery assisted wheelchair (BAW) has less number of components in its hardware. Effort made by rider is reduced considerably. The control scheme also includes the dead man's switch feature. Speed loop is provided for the smooth variation of the speed. The current limit is governed by peak current mode control.
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Front row Walter (left) and Freddy; middle row Kurt (left) and Hal; back row Ursula (left) and Elizabeth
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Matrix metalloproteinase (MMP) -8, collagenase-2, is a key mediator of irreversible tissue destruction in chronic periodontitis and detectable in gingival crevicular fluid (GCF). MMP-8 mostly originates from neutrophil leukocytes, the first line of defence cells which exist abundantly in GCF, especially in inflammation. MMP-8 is capable of degrading almost all extra-cellular matrix and basement membrane components and is especially efficient against type I collagen. Thus the expression of MMP-8 in GCF could be valuable in monitoring the activity of periodontitis and possibly offers a diagnostic means to predict progression of periodontitis. In this study the value of MMP-8 detection from GCF in monitoring of periodontal health and disease was evaluated with special reference to its ability to differentiate periodontal health and different disease states of the periodontium and to recognise the progression of periodontitis, i.e. active sites. For chair-side detection of MMP-8 from the GCF or peri-implant sulcus fluid (PISF) samples, a dip-stick test based on immunochromatography involving two monoclonal antibodies was developed. The immunoassay for the detection of MMP-8 from GCF was found to be more suitable for monitoring of periodontitis than detection of GCF elastase concentration or activity. Periodontally healthy subjects and individuals suffering of gingivitis or of periodontitis could be differentiated by means of GCF MMP-8 levels and dipstick testing when the positive threshold value of the MMP-8 chair-side test was set at 1000 µg/l. MMP-8 dipstick test results from periodontally healthy and from subjects with gingivitis were mainly negative while periodontitis patients sites with deep pockets ( 5 mm) and which were bleeding on probing were most often test positive. Periodontitis patients GCF MMP-8 levels decreased with hygiene phase periodontal treatment (scaling and root planing, SRP) and even reduced during the three month maintenance phase. A decrease in GCF MMP-8 levels could be monitored with the MMP-8 test. Agreement between the test stick and the quantitative assay was very good (κ = 0.81) and the test provided a baseline sensitivity of 0.83 and specificity of 0.96. During the 12-month longitudinal maintenance phase, periodontitis patients progressing sites (sites with an increase in attachment loss ≥ 2 mm during the maintenance phase) had elevated GCF MMP-8 levels compared with stable sites. General mean MMP-8 concentrations in smokers (S) sites were lower than in non-smokers (NS) sites but in progressing S and NS sites concentrations were at an equal level. Sites with exceptionally and repeatedly elevated MMP-8 concentrations during the maintenance phase were clustered in smoking patients with poor response to SRP (refractory patients). These sites especially were identified by the MMP-8 test. Subgingival plaque samples from periodontitis patients deep periodontal pockets were examined by polymerase chain reaction (PCR) to find out if periodontal lesions may serve as a niche for Chlamydia pneumoniae. Findings were compared with the clinical periodontal parameters and GCF MMP-8 levels to determine the correlation with periodontal status. Traces of C. pneumoniae were identified from one periodontitis patient s pooled subgingival plaque sample by means of PCR. After periodontal treatment (SRP) the sample was negative for C. pneumoniae. Clinical parameters or biomarkers (MMP-8) of the patient with the positive C. pneumoniae finding did not differ from other study patients. In this study it was concluded that MMP-8 concentrations in GCF of sites from periodontally healthy individuals, subjects with gingivitis or with periodontitis are at different levels. The cut-off value of the developed MMP-8 test is at an optimal level to differentiate between these conditions and can possibly be utilised in identification of individuals at the risk of the transition of gingivitis to periodontitis. In periodontitis patients, repeatedly elevated GCF MMP-8 concentrations may indicate sites at risk of progression of periodontitis as well as patients with poor response to conventional periodontal treatment (SRP). This can be monitored by MMP-8 testing. Despite the lower mean GCF MMP-8 concentrations in smokers, a fraction of smokers sites expressed very high MMP-8 concentrations together with enhanced periodontal activity and could be identified with MMP-8 specific chair-side test. Deep periodontal lesions may be niches for non-periodontopathogenic micro-organisms with systemic effects like C. pneumoniae and possibly play a role in the transmission from one subject to another.