969 resultados para Police training - Moçambique
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Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
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National Highway Traffic Safety Administration, Washington, D.C.
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"Experimental Movie Project" (1945-46):; 1. "Below the Surface", Drehbuch des Testfilms, a) als Typoskript vervielfältigt, 46 Blatt, b) als Typoskript vervielfältigt, 26 Blatt, c) als Typoskript vervielfältigt, 26 Blatt, d) als Typoskript vervielfältigt, 26 Blatt "Experimental Movie Project" (1945-46): Memoranden zum Test; 2. 'Notes' 25.4.1946, Typoskript, 1 Blatt; 3. "Memorandum on Experimental Movie Project", 19.4.1946. Typoskript, 3 Blatt; 4. "Memorandum re: 'Below the Surface" (Juli 1945). Typoskript, 2 Blatt; 5. Dore Schary und Allen Rivkin: 'Memorandum, Subject: New Suggested Treatment for 'Below the Surface'", 13.7.1945. Typoskript, 2 Blatt; 6. Hans Richter: "Report about the film script 'Below the surface'", 7. u. 8.7.1945, a) Typoskript, 1 Blatt, b) Typoskript, 1 Blatt; 7. Hans Richter: Bestätigung der Vereinbarung mit dem American Jewish Committee, 3.7.1945. Typoskript, 1 Blatt; 8. "Notes and Suggestions re Experimental Motion Picture", Juni 1945. Typoskript, 2 Blatt; 9. Siegfried Kracauer; "Suggestions for the Dialogue" (4.4.1945). Typoskript, 3 Blatt; 10. "Motion Picture", März 1945. Typoskript, 5 Blatt; 11. "Project on a Test film", a) Typoskript, 4 Blatt, b) Typoskript, 5 Blatt; 12. "Memorandum re: 'Below the Surface'", a) Typoskript, 3 Blatt, b) Typoskript mit eigenhändigen Korrekturen von Theodor W. Adorno, 3 Blatt; "Experimental Movie Project" (1945-46): Korrespondenz zum Test-Film-Projekt:; 13. Friedrich Pollock: 1 Brief an Max Horkheimer, Santa Monica, California, 12.10.1945; 14. Theodor W. Adorno: 2 Briefe an Max Horkheimer, Los Angeles und Santa Monica, California, 1945; 15. Joseph M. Proskauer: 1 Brief von Max Horkheimer, o.O., 29.6.1945, 1 Brief mit Unterschrift an Max Horkheimer, o.O., o.D., 3 Blatt; 16. Alexander Hackenschmied, 1 Brief mit Unterschrift an Max Horkheimer, New York, 19.6.1945, 1 Blatt; 17. Gilbert Gabriel: 1 Brief von John Slawson, o.O., 22.3.1945, 2 Blatt; "The Police and Minority Groups" (1946):; 1. "The Police and Minority Groups". Typoskript, 2 Blatt; 2. Robert W. Kenny: "Police and Minority Groups - an Experiment". Als Typoskript vervielfältigt, 17 Blatt; 3. Davis McEntire, Robert B. Powers: "Police Training Bulletin. A Guide to Race Relations for Police Officers", State of California, 1946, 38 Seiten; Max Horkheimer: "Memorandum on a Study of Race Hatred in Post-War Germany" (1946):; 1. Memorandum, a) Typoskript, 8 Blatt, b) Typoskript mit eigenhändigen und handschriftlichen Korrekturen, 6 Blatt, c) Typoskript, 5 Blatt, d) Teilstück, Typoskript mit eigenhändigen Korrekturen, 1 Blatt e) Typoskript mit eigenhändigen Korrekturen, 5 Blatt, f) Teilstück, Typoskript mit handschriftlichen Korrekturen, 2 Blatt, g) Typoskript mit eigenhändigen Korrekturen, 7 Blatt, h) Teilstück, Typoskript mit eigenhändigen Korrekturen und Ergänzungen, 1 Blatt, i) Typoskript, 2 Blatt; 2. Theodor W. Adorno: "Ad Memorandum Neumann", Manuskript, 3 Blatt;
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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.
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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.
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