105 resultados para Polarons séparés spatiallement
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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The conductivity of highly doped polypyrrole is less than that of intermediately doped samples, by two orders of magnitude, at 4.2 K. This may be due to more number of bipolarons in highly doped samples. Bipolarons require four times more activation energy than single polarons to hop by thermally induced virtual transitions to intermediate dissociated polaron states than by the nondissociated process. The conduction process in these polyconjugated systems involve ionization from deep trapped states, having a View the MathML source dependence, hopping from localised states, having View the MathML source dependence, and intersite tunnel percolation, having T−1 dependence. The interplay of these factors leads to a better fit by View the MathML source. The mechanism for this exponential behaviour need not be same as that of Motts variable range hopping. Conduction by percolation is possible, if an infinite cluster of chains can be connected by impurity centers created by dopant ions. The tendency for the saturation of conductivity at very low temperatures is due to the possibility of intersite tunnel percolation is disordered polaronic systems.
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L’objectif principal de cette thèse de doctorat est de déterminer, à l’aide d’une grille d’observation des comportements parentaux après la séparation , si des catégories de la grille permettent de distinguer entre eux les couples parentaux où le risque de Détérioration du Lien Parent-Enfant en contexte de séparation conflictuelle (DLPE) est très élevé des couples parentaux où le risque de DLPE est très faible. De plus, trois objectifs secondaires s’ajoutent à notre objectif principal. Premièrement, nous avons tenté de voir s’il était possible de prédire les cas où les risques de DLPE sont très élevés. Deuxièmement, nous avons exploré comment la DLPE s’inscrit dans les conséquences pouvant découler de la séparation parentale. Et enfin, troisièmement, nous avons brièvement exploré la question des allégations d’agression sexuelle envers l’enfant dans les contextes de DLPE. Cette thèse est composée de deux articles et d’une note de recherche brève. Le premier article s’intitule En quoi et pourquoi les hommes et les femmes sont-ils affectés différemment par la séparation conjugale? Cet article est une recension critique de la littérature traitant des conséquences du divorce chez les adultes ainsi que des conséquences différentielles du divorce pour les hommes et les femmes. Dans cet article, des hypothèses explicatives quant à l’origine de ces diverses conséquences sont discutées et nous proposons de les conceptualiser sous la forme d’un éventail rendant compte des impacts tant positifs que négatifs, notamment à une extrémité du continuum où se retrouvent les dynamiques DLPE. Ce continuum sur lequel s’inscrit la DLPE permet de conceptualiser et de discuter de l’adaptation ou de la mésadaptation des individus face à la séparation. Dans cet article, notre regard sur la DLPE fait ressortir les lacunes de la recherche actuelle sur ce phénomène. Il ressort un manque flagrant de connaissances du contexte d’apparition du phénomène, de connaissances empiriques sur la question des allégations d’abus sexuel se produisant dans le cadre de telles dynamiques ainsi que de connaissances des caractéristiques et des comportements des individus qui y sont impliqués. Conséquemment, notre article met l’emphase sur la nécessité qu’une tradition de recherche se développe dans le domaine de la DLPE afin de clarifier tous ces aspects. Enfin, cet article met en lumière différents facteurs de risque et différents facteurs de protection susceptibles d’expliquer que le divorce ait des conséquences différentes chez les hommes et les femmes. Le deuxième article s’intitule Étude exploratoire des caractéristiques et des comportements de couples parentaux séparés engagés dans une dynamique de Détérioration du Lien Parent-Enfant. Cet article cherchait à déterminer si les couples parentaux séparés hautement à risque d’être engagés dans une dynamique de DLPE se distinguent des couples parentaux séparés dont le risque de DLPE est faible sur certaines variables. Nous avons étudié cette question auprès de notre échantillon de 82 couples parentaux séparés pour lesquels le risque de DLPE est évalué comme étant soit très faible (groupe de comparaison) ou soit très élevé (en tenant compte du fait que la mère ou le père soit le parent dénigrant). À cette fin, nous avons utilisé un instrument de mesure, la Grille d’observation de la Détérioration du Lien Parent-Enfant après la séparation (GODLPE), adapté de celui développé par Johnston, Walters, & Olesen, (2005). Les résultats obtenus à l’aide de tests d’analyse de variance et de khi-deux démontrent que les ex-couples du groupe de comparaison se distinguent des ex-couples du groupe où le risque de DLPE est très élevé par un mariage significativement plus long et un niveau de conflit plus élevé. Également, les résultats démontrent que les parents du groupe de comparaison, les parents dénigrés et les parents dénigrants se distinguent entre eux quant à leurs comportements coparentaux aliénants, à leur relation coparentale supportante, à leur relation coparentale méfiante et à leurs comportements de renversement de rôle. Finalement, notre étude révèle que la durée du mariage et l’intensité des conflits permettent de prédire le risque de DLPE. La note de recherche brève s’intitule Étude exploratoire des allégations d’agression sexuelle envers l’enfant dans un contexte de Détérioration du Lien Parent-Enfant. Cet note de recherche s’intéresse à ce qui a longtemps été considéré comme l’une des caractéristiques déterminantes des dynamiques de DLPE, soit les allégations d’agression sexuelle envers l’enfant professées par un parent à l’endroit de l’autre parent ou d’un membre de son entourage proche. Nous avons étudié cette question chez 82 couples parentaux séparés pour lesquels le risque de DLPE était évalué comme étant très faible ou très élevé. Les résultats indiquent qu’il n’existe aucune différence significative entre les groupes relativement à cette caractéristique. Cependant, les mères auraient davantage tendance à alléguer de tels abus que les pères. Enfin, aucune des allégations professées n’a été jugée suffisamment crédible pour que la Directeur de la protection de la Jeunesse (DPJ) juge nécessaire d’intervenir. Plusieurs hypothèses sont soulevées pour expliquer ces résultats.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Cet ouvrage présente une étude portant sur le polymère P3EHT (poly(3-(20-ethyl)hexyl-thiophene)). Parmi les nombreuses caractéristiques de la dynamique des polarons pouvant être étudiées, seules celles liées aux changement de morphologie le seront dans ce travail. De plus, la vérification du modèle HJ permet d’expliquer la photophysique des polymères conjugués, grâce à l’étude des spectres de photoluminescence. L’étude de la dynamique des polarons à travers l’absorption photo-induite en fonction de la fréquence a permis de trouver les durées de vie pour un même échantillon avec des morphologies différentes. Les résultats ont démontré que la morphologie est non seulement fondamentale pour l’étude des polarons, mais consiste aussi en une caractéristique essentielle pour comprendre le nouveau modèle HJ.
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Electron spin resonance (ESR) experiments give extremely important information concerning spin arrangements in conducting polymers. This is evidenced by the behavior of the ESR lines as a function of temperature and microwave power. Our ESR data of pressed pellets of ClO- 4 doped poly(3-methylthiophene) (P3MT) synthesized at 25 °C show the predominance of polarons. Instead, the sample prepared at 5 °C shows the predominance of bipolarons. Besides, for both types of samples, crystallization, observed from the ESR data, has shown a rearrangement of spin species.
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Absorption induced by electrochemically injected holes is studied in poly-9,9-dioctylfluorene (PFO) films. Injected charges form positive polarons which are delocalised over four fluorene units in the glassy phase and about seven fluorene units in its β-phase. Polaron absorption cross-sections at the 640 nm peak are similar to the published values of chemically reduced oligofluorenes in solution. The absorption cross-section of polaron in the β-phase at 470 nm is about eight times smaller than the stimulated emission cross-section derived from published data. This indicates that β-phase-rich PFO is an attractive candidate for a light-emitting layer in double-heterostructure organic laser diodes.
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Mode of access: Internet.
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International steering and sailing rules ... 9th January 1863; with Addenda to the regulations for preventing collisions at sea ... August 4th, 1868: p. 17-19
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The correlation between magnetic and transport properties is examined by studying poly(4,4'-methylenedianiline)(PMDA) salts and their bases using EPR and conductivity measurements. Five different PMDA salts (doped polymers)were prepared by chemical polymerization of 4,4'-methylenedianiline using different protonic acids. The PMDA bases were obtained by dedoping the salts using ammonium hydroxide. Ambient temperature electrical conductivity measurements show evidence for the doped PMDA system to be highly disordered. The EPR spectra of the samples were recorded in the range 20-200 "C, and the results were analyzed on the basis of the polaron-bipolaron model, which is typical of nondegenerate systems. Both PMDA salts and their bases consist of self-trapped, highly mobile polarons or radical cations. EPR studies on PMDA salts show evidence for the presence of thermally activated and temperature independent (or Pauli type) paramagnetism while the bases show thermally activated, Pauli and Curie-Weiss types of paramagnetism. The paramagnetism arises due to polarons.It is proposed that charge transport takes place through both polarons and bipolarons.
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Optical characteristics of H2-reduced LiNbO3 have been studied. The optical transmission in the spectral range 0.3 to 5 mu m is progressively narrowed as the sample is reduced. An absorption band centred at about 2.48 eV is assigned to small polarons. This interpretation is consistent with the published defect structure, transport and spectroscopic reports on reduced LiNbO3. A semi-quantitative analysis of the 2.48 eV absorption band is carried out by employing the Reik and Heese theory (1967) for optical properties of small polarons.
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Electronic, magnetic, or structural inhomogeneities ranging in size from nanoscopic to mesoscopic scales seem endemic and are possibly generic to colossal magnetoresistance manganites and other transition metal oxides. They are hence of great current interest and understanding them is of fundamental importance. We show here that an extension, to include long-range Coulomb interactions, of a quantum two-fluid l-b model proposed recently for manganites [Phys. Rev. Lett. 92, 157203 (2004)] leads to an excellent description of such inhomogeneities. In the l-b model two very different kinds of electronic states, one localized and polaronic (l) and the other extended or broad band (b) coexist. For model parameters appropriate to manganites and even within a simple dynamical mean-field theory (DMFT) framework, it describes many of the unusual phenomena seen in manganites, including colossal magnetoresistance (CMR), qualitatively and quantitatively. However, in the absence of long-ranged Coulomb interaction, a system described by such a model would actually phase separate, into macroscopic regions of l and b electrons, respectively. As we show in this paper, in the presence of Coulomb interactions, the macroscopic phase separation gets suppressed and instead nanometer scale regions of polarons interspersed with band electron puddles appear, constituting a kind of quantum Coulomb glass. We characterize the size scales and distribution of the inhomogeneity using computer simulations. For realistic values of the long-range Coulomb interaction parameter V-0, our results for the thresholds for occupancy of the b states are in agreement with, and hence support, the earlier approach mentioned above based on a configuration averaged DMFT treatment which neglects V-0; but the present work has features that cannot be addressed in the DMFT framework. Our work points to an interplay of strong correlations, long-range Coulomb interaction, and dopant ion disorder, all inevitably present in transition metal oxides as the origin of nanoscale inhomogeneities rather than disorder frustrated phase competition as is generally believed. As regards manganites, it argues against explanations for CMR based on disorder frustrated phase separation and for an intrinsic origin of CMR. Based on this, we argue that the observed micrometer (meso) scale inhomogeneities owe their existence to extrinsic causes, e.g., strain due to cracks and defects. We suggest possible experiments to validate our speculation.
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A recent, major, puzzle in the core-level photoemission spectra of doped manganites is the observation of a 1–2 eV wide shoulder with intensity varying with temperature T as the square of the magnetization over a T scale of order 200 K, an order of magnitude less than electronic energies. This is addressed and resolved here, by extending a recently proposed two-fluid polaron–mobile electron model for these systems to include core-hole effects. The position of the shoulder is found to be determined by Coulomb and Jahn-Teller energies, while its spectral weight is determined by the mobile electron energetics which is strongly T and doping dependent, due to annealed disorder scattering from the polarons and the t2g core spins. Our theory accounts quantitatively for the observed T dependence of the difference spectra, and furthermore, explains the observed correspondence between spectral changes due to increasing doping and decreasing T.
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We mention here an unusual disorder effect in manganites, namely the ubiquitous hopping behavior for electron transport observed in them over a wide range of doping. We argue that the implied Anderson localization is intrinsic to manganites, because of the existence of polarons in them which are spatially localized, generally at random sites (unless there is polaron ordering). We have developed a microscopic two fluid lb model for manganites, where l denotes lattice site localized l polarons, and b denotes band electrons. Using this, and the self-consistent theory of localization, we show that the occupied b states are Anderson localized in a large range of doping due to the scattering of b electrons from l polarons. Numerical simulations which further include the effect of long range Coulomb interactions support this, as well the existence of a novel polaronic Coulomb glass. A consequence is the inevitable hopping behaviour for electron transport observed in doped insulating manganites.