4 resultados para Pleroma
Resumo:
The Melastomataceae display greater trichome diversity. Dr. Wurdack, in his Atlas of hairs, recognized 46 types of trichomes for the Neotropical Melastomataceae through the Scanning Electron Microscope (SEM), and referred 17 of them to the genus Tibouchina. The trichome morphology has been extensively used in the delimitation of the taxa in Melastomataceae, as well as in previous studies by Cogniaux, the monograph of Brazilian Melastomataceae published in 1885. The morphology of the trichomes was essential for the delimitation of several species in Tibouchina section Pleroma. The use of SEM provided the best characterization of the 15 different types of trichomes recognized among the 41 species examined. These were described based on the morphological appearance, both optical microscopy and scanning electron microscopy, and illustrated by scanning electron micrographs and photomicrographs.
Resumo:
Melastomataceae é a família que apresenta a maior diversidade de tricomas. Dr. Wurdack em seu Atlas of hairs reconheceu 46 tipos de tricomas para as Melastomataceae neotropicais com o uso de MEV, e referiu 17 destes para o gênero Tibouchina. em Melastomataceae a morfologia dos tricomas tem sido extensivamente usada na delimitação dos táxons, assim como em estudos que antecederam ao trabalho de Cogniaux, a monografia das Melastomataceae brasileiras publicada em 1885. em Tibouchina sect. Pleroma a morfologia dos tricomas foi substancial para a circunscrição de várias espécies. O uso da MEV permitiu uma caracterização dos 15 tipos diferentes de tricomas observados nas 41 espécies examinadas. Os diferentes tipos são descritos com base no aspecto morfológico tanto em MO como em MEV e ilustrados através de eletromicrografias de varredura e fotomicrografias.
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Reprendre contact avec les réalités de l’âme, rouvrir la source où l’être rejaillit éternellement : tel est l’idéal occulte, inavouable, d’où procède la poétique d’Hubert Aquin. Depuis sa jeunesse, Aquin s’emploie clandestinement à défaire les mailles de la conscience et à rebrousser chemin vers les arrière-plans ténébreux du Moi, vers le Plérôme de la vie nue. Il manœuvre pour se mettre au service de l’intentionnalité impersonnelle inscrite au plus profond de sa psyché, pour devenir l’instrument du vouloir aveugle « qui opère en lui comme une force d’inertie ». Son œuvre ne s’accomplit pas dans le texte, mais à rebours du texte, voire à rebours du langage ; elle se déploie sur le terrain d’une confrontation enivrée avec le Négatif — avec la Parole sacrée issue de l’abîme. En d’autres termes, elle prend la forme d’une Gnose, c’est-à-dire d’un exercice de dé-subjectivation, de destruction de soi, consistant à réaliser la connaissance participative de l’empreinte imaginale scellée derrière les barreaux de la finitude. Essentiellement consacrée à l’analyse de la dimension gnostique de l’œuvre d’Hubert Aquin, cette thèse vise à montrer que la connaissance du hiéroglyphe mystérieux gravé au fond de l’âme n’est pas une sinécure. Il s’agit plutôt d’un opus contra naturam qui comporte bien des risques (en tout premier lieu celui d’une inflation psychique). Pourtant, ce travail est aussi, aux yeux de l’auteur, le seul véritablement digne d’être accompli, celui qui donne à l’homme le moyen de se soustraire à l’engloutissement de la mort et la possibilité de renaître. Comme l’écrit Aquin dans un texte de jeunesse, l’ouverture inconditionnelle au Négatif (la destruction de soi) est « une façon privilégiée d’expérimenter la vie et un préalable à toute entreprise artistique » ; elle correspond à « un mode supérieur de connaissance », à un savoir « impersonnel » qui offre immédiatement le salut.
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Extra volume edited by James Hastings and J.A. Selbie.