981 resultados para Philippe le Beau, roi de Castille. Poème de Molinet sur cet événement


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Contient : 1 Histoire de Dagobert et de son fils Louis (Clovis II), et faits et gestes de Assaillant, comte de Dammartin, et de son fils Guérard, en 12 chapitres. Table des chapitres. (Fol. 1.) Le premier chapitre commence par : « En l'an de l'incarnation Nostre Seigneur six cens trante, Dagobert, roy de France... ». (Fol. 4 v°.) Le douzième chapitre finit par : «... et confundirent les mecréans en exaltant tousjours la loy de Nostre Seigneur ». (Fol. 64 v°) ; 2 Dispute entre Alexandre, Annibal et Scipion, au sujet de la prééminence, et jugement de Minos ; 3 Pièce de vers en l'honneur d'une dame ; 4 « L'Epytaphe de Hector » ; 5 « L'Espytaphe d'Achilles » ; 6 Complainte sur la mort de Charles VIII, incomplète du commencement. Les premiers vers sont ; 7 « Epitaphe du roy Charles huitiesme de ce nom » ; 8 Sur la mort de Philippe Ier d'Autriche, roi d'Espagne, mort le 25 sept. 1506, agé de 28 ans ; 9 Note sur le mariage, le 1er sept. 1538, de « noble homme Françoys d'Orléans, seigneur de Rouzay, filz de ... Françoys d'Orléans, grenetier d'Issoidum », et de « Jehanne Boutet », et sur la naissance de leurs enfants

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Ce mémoire entend mettre en lumière la solution au problème du mal développée par Philippe le Chancelier dans la Summa de bono (1225-1228). À cet effet, notre analyse se polarise sur la notion du mal qui occupe à la fois le système des transcendantaux et la division du bien créé découlant du principe du souverain bien. La somme est bâtie d’après la primauté de la notion du bien transcendantal, et fut rédigée par opposition avec la doctrine manichéenne des Cathares, en vogue au XIIIe siècle, qui s’appuyait sur la prééminence de deux principes métaphysiques causant le bien et le mal, d’où devaient procéder toutes les choses de la Création. Ceci explique que nous ayons privilégié de seulement examiner les notions du bien et du mal en un sens général, car c’est au stade universel de l’ontologie du bien que l’auteur défait la possibilité du mal de nature, en amont des ramifications du bien créé, déployées, à l’envi, dans les questions de la somme où les réponses sont assignées à des problèmes spécifiques. Nous offrons ici, pour la première fois, une traduction en français d’une série de questions ayant permis de mener à bien ce projet.