Platōnos phaidōn. Platonis Phaedo,

Stallbaum is the "editor germanus". cf. W. Engelmann, Bibliotheca scriptorum classicorum, 1880.

Apologia Socr[atis], Crito et Phaedo. Accedit emendationis specimen in nonnullis reliquorum dialogorum.

Greek texts with pref. and notes in Latin.

The trial and death of Socrates; being the Euthyphron, Apology, Crito and Phaedo of Plato;

Mode of access: Internet.

Plato's Phaedo,

Mode of access: Internet.

Phaedo; or, The immortality of the soul, by Plato.

Includes "A catalogue of books treating on the immortality of the soul."

Socrates. A translation of the Apology, Crito, and parts of the Phaedo of Plato.

Introduction signed: W. W. Goodwin.

The Apology, Phaedo, and Crito of Plato /

At head of title: The five-foot shelf of books.

Le rôle de l'expérience sensible dans les dialogues de maturité de Platon

Ce mémoire a pour but de définir le rôle de l’expérience sensible à l’intérieur de la théorie de la connaissance des dialogues de maturité de Platon, à savoir le Phédon, le Phèdre, le Banquet et la République. Pour atteindre ce but, nous nous questionnons d’abord sur la notion de réminiscence, principalement par l’étude de l’extrait 72-77 du Phédon et des différentes interprétations qu’il est possible d’en donner. Ensuite, nous montrons que les quatre dialogues partagent une structure épistémologique commune, pour finalement nous concentrer sur les différentes fonctions attribuées à l’expérience sensible. L’objectif poursuivi par cette étude est de démontrer qu’en dépit de l’attitude critique de Platon à l’égard des sens et de l’imperfection du monde sensible, il n’en demeure pas moins que la perception joue un rôle épistémologique et pédagogique important : elle fait partie intégrante du processus qui mène à la formation de concepts chez tout un chacun, elle incite le philosophe en devenir à se retourner vers le monde intelligible, et elle permet au philosophe accompli de se remémorer, à chaque instant, les arguments en faveur de l’immortalité de l’âme et de la nécessité de la philosophie.

Géométrie et évolution de la dialectique dans le Ménon de Platon

Ce mémoire a pour but de montrer l’impact du paradigme géométrique sur l’évolution de la dialectique dans le Ménon. La première partie de cette recherche est consacrée à la dialectique des premiers dialogues, l’elenchos. Cette pratique de la philosophie est ensuite comparée à la dialectique du Ménon qui est caractérisée par l’introduction de la notion de réminiscence. La seconde partie de cette étude concerne les deux passages géométriques du Ménon : le problème de la duplication du carré et la méthode hypothétique. Le premier passage permet à Platon de défendre la possibilité de la recherche scientifique, alors que le second (inspiré de l’analyse géométrique) est présenté comme un nouveau modèle pour mener à bien l’enquête philosophique. Cette méthode, qui consiste à réduire la difficulté d’un problème en postulant des hypothèses, permet notamment de passer de ce qui est logiquement second (de la qualité: « la vertu s’enseigne-t-elle? ») à ce qui est logiquement premier (à l’essence: « qu’est-ce que la vertu? »).

L'ésotérisme de la dramaturgie platonicienne : un regard sur le Banquet et le Phédon

Le présent mémoire se penche sur la dramaturgie que mettent en scène le Banquet et le Phédon de Platon. Dans le cas du premier dialogue, une étude de l'épilogue et du discours d'Alcibiade, assortie de parallèles ponctuels dans la République et la Lettre VII, permet de déceler un exemple de la rétention d'information platonicienne, telle que comprise sous l'égide des écoles platoniciennes de Tübingen et de Milan, de même qu'une attestation de l'existence de doctrines non-écrites qualitativement supérieures à celles que renferment les dialogues. L'épilogue du Banquet fait ensuite, à la lumière des conclusions susmentionnées, l'objet d'une interprétation qui distingue trois niveaux de lecture des dialogues platoniciens : l'extériorité, l'intériorité et l'oralité philosophique, symbolisées respectivement par le poète comique Aristophane, le poète tragique Agathon et le poète philosophique Socrate. Il va de soi que ce dernier renvoie sémantiquement au philosophe par excellence, titre que Platon endosse volontiers. L'essai exégétique touchant le Phédon se concentre pour sa part sur la dernière volonté de Socrate. Celle-ci survient au dénouement de la partie la plus « dramaturgique » du dialogue, c'est-à-dire après les discours proprement philosophiques sur l'immortalité de l'âme. En ciblant ces moments, de même que l'introduction, nous distinguons l'adjonction des tons tragique et comique, illustrant par là un procédé inhabituel dont le but, ultimement, est de soustraire le dialogue au registre tragique afin d'éviter la propagation d'émotions contraires à la philosophie. En exploitant l'oxymore comique-tragique sur un plan mimétique, nous montrerons que la dernière volonté de Socrate véhicule un dessein parénétique.

A morada do pensamento: um encontro com Platão na busca da natureza do sentido em Frege

The ontological investigation of sense, from German philosopher Gottlob Frege s point of view, has, as its foundation, the understanding of reference, representation, thought and sense s categories. According to Frege s writings, On Sense and Reference, and Thoughts Logical Investigations, sense carries itself the solution for the problem of identity s relation. Sense gives us the knowledge s increment that identity doesn t give. But still there is a problem: the definition of sense's nature. Sense couldn t have its nature strictly defined because, in this case, it would be reduced to reference s category and thus, sense would be identified with the own extra-linguistic object, and this is a misconception. But Frege said that thought must be considered as the sense of the sentence. So, with this close relationship between sense and thought, a new goal in this investigation is putt in focus: thought. To Frege, thought is not a simple subjective performance of thinking, it is not a subjective representation, but it is an objective content that is real, eternal, and that exists by itself in a third realm . Thought exists in a realm beyond the world of subjective representations and beyond the world of sensible perception. From this point, the present investigation went back to Plato s World of Ideas. So, the platonic thinking was included in this debate about the metaphysic of the third realm in Frege, trying to clarify the original concepts of knowledge, reality and truth. To achieve this objective, the following dialogues had been included in our research: Theaetetus, Republic and Phaedo. And the following fregean questions had been brought to Plato's scope: how happens the new knowledge? What is the third realm s reality? What is the relation between truth and thought? Doing that we could see as much some of the platonic origins of Frege's approach, as some differences between this two philosophers

O argumento dos opostos e a hipótese sobre imortalidade no fédon de Platão

Plato, in his Phaedo, develops an investigation concerning the relationship between opposites. The account of Socrates s historical death (57 a 60 a / 116 a - 118), the palaios logos (60 b 70 c), the reciprocal generation between opposites (70 c 72 e), the recollection argument (77 d 80 e), the reciprocal exclusion between opposites (95 e 107 a) and the myth (107 b 116 a), are all instruments to define death for the philosopher. The core of this research, or the argument of the opposites in both its modes of articulation: double generation (70 c 72 e) and double exclusion of opposites (103 a), when added to the recollection argument (72 c d) becomes decisive in discerning both the real cause of generation and the understanding of what occurs in the process of exclusion between opposites (70 c 72 e)

Platão e a matemática: uma questão de método

Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)

Socrates on the Moral Mischief of Misology

In Plato’s dialogues, the Phaedo, Laches, and Republic, Socrates warns his interlocutors about the dangers of misology. Misology is explained by analogy with misanthropy, not as the hatred of other human beings, but as the hatred of the logos or reasonable discourse. According to Socrates, misology arises when a person alternates between believing an argument to be correct, and then refuting it as false. If Socrates is right, then misanthropy is sometimes instilled when a person goes from trusting people to learning that others sometimes betray our reliance and expectations, and finally not to placing any confidence whatsoever in other people, or, in the case of misology, in the correctness or trustworthiness of arguments. A cynical indifference to the soundness of arguments generally is sometimes associated with Socrates’ polemical targets, the Sophists, at least as Plato represents Socrates’ reaction to these itinerant teachers of rhetoric, public speaking and the fashioning of arguments suitable to any occasion. Socrates’ injunctions against misology are largely moral, pronouncing it ‘shameful’ and ‘very wicked’, and something that without further justification we must ‘guard against’, maintaining that we will be less excellent persons if we come to despise argument as lacking the potential of leading to the truth. I examine Socrates’ moral objections to misology which I show to be inconclusive. I consider instead the problem of logical coherence in the motivations supposedly underlying misology, and conclude that misology as Socrates intends the concept is an emotional reaction to argumentation on the part of persons who have not acquired the logical dialectical skills or will to sort out good from bad arguments. We cannot dismiss argument as directed toward the truth unless we have a strong reason for doing so, and any such argument must itself presuppose that at least some reasoning can be justified in discovering and justifying belief in interesting truths. The relevant passages from Socrates’ discussion of the soul’s immortality in the Phaedo are discussed in detail, and set in scholarly background against Socrates’ philosophy more generally, as represented by Plato’s dialogues. I conclude by offering a suggestive list of practical remedies to avoid the alienation from argument in dialectic with which Socrates is concerned.

El agón entre sofística y filosofía : Entre la esclavitud del alma y la esclavitud del cuerpo

Este trabajo analiza una de las instancias del clásico agón entre sofística y filosofía, tal como aparece planteado en el Fedón de Platón. El eje de mi abordaje está constituido por las diversas relaciones de esclavitud que se pueden establecer entre el alma y el cuerpo. La hipótesis que aspiro a demostrar es que mientras la esclavitud del cuerpo al alma es postulada como la condición filosófica por excelencia, la esclavitud inversa (del alma al cuerpo) admite ser calificada de "sofística". Esto no significa que el sofista sea el creador de tal esclavitud anti-filosófica; la misma no es más que la forma de vida cotidiana del pueblo ateniense, regulada por deseos corporales que persiguen constantemente la consecución del placer. El rol del sofista en este contexto consistiría específicamente en la justificación y profundización de esa disposición preexistente, tanto a través de sus enseñanzas teóricas como de su práctica política