Économie de la perversité baudelairienne. Une lecture de Donner le temps de Jacques Derrida

Jacques Derrida n’a écrit qu’un seul ouvrage sur Baudelaire : Donner le temps I. La fausse monnaie (1991). Dans cette étude, il s’agit de préciser, notamment autour de la question de la perversité, les liens unissant le poète au philosophe en accordant une attention particulière aux textes « Le mauvais vitrier » (Baudelaire), « The Imp of the Perverse » (Edgar Poe), « La fausse monnaie » (Baudelaire) et Mémoires d’aveugle (Derrida). Imbriquées dans une logique de l’événement, les deux notions de perversité et de don peuvent s’éclairer mutuellement et ont des répercussions jusque dans les textes et pour la littérature elle-même.

Report of a Committee of the Corporation of Harvard College appointed “to consider the expediency of making further regulations relative to Commons,” May 19, 1807

This report expressed the opinion of the Committee that, despite the students' complaints, Commons should be not changed in any meaningful regard (save for the method of purchasing beef). Among other reasons for explaining the inflexible position of the Corporation, they stated, “alacrity, cheerfulness and docility are the companions of temperance; petulance, disquietude and perverseness are the intractable offspring of indulgence.” In addition, they suggested that students should refrain from sampling delicacies in town to better appreciate the "plain, simple, and wholesome food of the hall."