875 resultados para Perception musicale
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L’amusie congénitale est un trouble neurogénétique qui se caractérise par une inhabileté à acquérir des habiletés musicales de base, telles que la perception musicale et la reconnaissance musicale normales, malgré une audition, un développement du langage et une intelligence normaux (Ayotte, Peretz & Hyde, 2002). Récemment, une éude d’aggrégation familiale a démontré que 39% des membres de familles d’individus amusiques démontrent le trouble, comparativement à 3% des membres de familles d’individus normaux (Peretz et al., 2007). Cette conclusion est intéressante puisqu’elle démontre une prévalence de l’amusie congénitale dans la population normale. Kalmus et Fry (1980) ont évalué cette prévalence à 4%, en utilisant le Distorted Tunes Test (DTT). Par contre, ce test présente certaines lacunes méthodologiques et statistiques, telles un effet plafond important, ainsi que l’usage de mélodies folkloriques, désavantageant les amusiques puisque ceux-ci ne peuvent pas assimiler ces mélodies correctement. L’étude présente visait à réévaluer la prévalence de l’amusie congénitale en utilisant un test en ligne récemment validé par Peretz et ses collègues (2008). Mille cent participants, d’un échantillon homogène, ont complété le test en ligne. Les résultats démontrent une prévalence globale de 11.6%, ainsi que quatre profiles de performance distincts: pitch deafness (1.5%), pitch memory amusia (3.2%), pitch perception amusia (3.3%), et beat deafness (3.3%). La variabilité des résultats obtenus avec le test en ligne démontre l’existence de quatre types d’amusies avec chacune une prévalence individuelle, indiquant une hétérogénéité dans l’expression de l’amusie congénitale qui devra être explorée ultérieurement.
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La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU).
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La musique est universelle et le chant est le moyen d’expression musicale le plus accessible à tous. Les enfants chantent spontanément entre un an et un an et demi (Ostwald, 1973). Pourtant, le développement de cette habileté est très peu étudié en neuropsychologie et ce, malgré le fait qu’elle représente une immense source d’informations sur le traitement de la musique par le cerveau. Les études proposées ici visaient à mieux comprendre le développement normal et pathologique des fonctions perceptives et vocales. Dans un premier temps, une étude sur le chant normal chez les enfants de 6 à 11 ans est présentée. Le développement du chant de 79 enfants d’âge scolaire y est analysé de manière systématique et objective. Cette étude se penche plus particulièrement sur l’influence de l’âge ainsi que d’autres facteurs (le genre, la perception musicale, la présence de paroles et la présence d’un accompagnement vocal) sur la qualité du chant. Les jeunes participants ont chanté une chanson familière dans différentes conditions, soit avec et sans paroles, après un modèle ainsi qu’à l’unisson avec ce dernier. Suite à l’analyse acoustique des performances, différentes variables mélodiques et rythmiques telles que le nombre d’erreurs d’intervalles, le nombre d’erreurs de contours, la taille des déviations d’intervalles, le nombre d’erreurs rythmiques, la taille des déviations temporelles et le tempo, ont été calculés. Les résultats montrent que certaines habiletés de base liées au chant se développent toujours après 6 ans. Toutefois, le rythme est maîtrisé plus tôt, et les enfants d’âges scolaires réussissent parfois mieux que les adultes sur le plan rythmique. De plus, il est plus difficile pour les enfants de chanter avec des ii paroles que sur une syllabe et chanter à l’unisson représente un défi plus grand que chanter après un modèle. Par ailleurs, le nombre d’erreurs de contours, d’intervalles et de rythme, de même que la taille des erreurs rythmiques, sont liés à nos mesures de perception musicale. La seconde étude présente le premier cas documenté d’amusie congénitale chez l’enfant. Elle implique l’analyse de la perception musicale et du chant d’une fillette de 10 ans nous ayant été référée par son directeur de chorale. De sévères déficits ont été relevés chez elle et un diagnostic d’amusie congénitale fut posé. En effet, ses résultats aux tests visant à évaluer sa perception musicale indiquent d’importantes difficultés tant sur le plan de la discrimination des différences mélodiques et rythmiques, qu’au niveau de la mémoire des mélodies. La fillette présente des lacunes claires quant à la perception des fines différences de hauteurs. L’analyse des réponses cérébrales en potentiels évoqués suggère que l’enfant souffre de déficits situés tôt au cours des processus de traitement auditif, tel que démontré par l’absence de négativité de discordance (MMN). Le chant de la jeune fille est lui aussi déficitaire, particulièrement en ce qui concerne le nombre d’erreurs d’intervalles et leurs tailles. En conclusion, nos études montrent que les aptitudes pour le chant sont toujours en développement au cours des premières années de scolarisation. Ce développement peut être entravé par la présence d’un déficit lié spécifiquement à la perception musicale. Pour la première fois, l’amusie congénitale, sera décrite chez l’enfant.
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Travail réalisé à l'École de bibliothéconomie et des sciences de l'information (EBSI), Université de Montréal, sous la direction de Mme Audrey Laplante dans le cadre du cours SCI6850 Recherche individuelle, à l'automne 2012.
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The aim of the present work is a historical survey on Gestalt trends in psychological research between late 19th and the first half of 20th century with privileged reference to sound and musical perception by means of a reconsideration of experimental and theoretical literature. Ernst Mach and Christian von Ehrenfels gave rise to the debate about Gestaltqualität which notably grew thanks to the ‘Graz School’ (Alexius Meinong, Stephan Witasek, Anton Faist, Vittorio Benussi), where the object theory and the production theory of perception were worked out. Stumpf’s research on Tonpsychologie and Franz Brentano’s tradition of ‘act psychology’ were directly involved in this debate, opposing to Wilhelm Wundt’s conception of the discipline; this clearly came to light in Stumpf’s controversy with Carl Lorenz and Wundt on Tondistanzen. Stumpf’s concept of Verschmelzung and his views about consonance and concordance led him to some disputes with Theodor Lipps and Felix Krueger, lasting more than two decades. Carl Stumpf was responsible for education of a new generation of scholars during his teaching at the Berlin University: his pupils Wolfgang Köhler, Kurt Koffka and Max Wertheimer established the so-called ‘Berlin School’ and promoted the official Gestalt theory since the 1910s. After 1922 until 1938 they gave life and led together with other distinguished scientists the «Psychologische Forschung», a scientific journal in which ‘Gestalt laws’ and many other acoustical studies on different themes (such as sound localization, successive comparison, phonetic phenomena) were exposed. During the 1920s Erich Moritz von Hornbostel gave important contributions towards the definition of an organic Tonsystem in which sound phenomena could find adequate arrangement. Last section of the work contains descriptions of Albert Wellek’s studies, Kurt Huber’s vowel researches and aspects of melody perception, apparent movement and phi-phenomenon in acoustical field. The work contains also some considerations on the relationships among tone psychology, musical psychology, Gestalt psychology, musical aesthetics and musical theory. Finally, the way Gestalt psychology changed earlier interpretations is exemplified by the decisive renewal of perception theory, the abandon of Konstanzannahme, some repercussions on theory of meaning as organization and on feelings in musical experience.
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This short paper presents a means of capturing non spatial information (specifically understanding of places) for use in a Virtual Heritage application. This research is part of the Digital Songlines Project which is developing protocols, methodologies and a toolkit to facilitate the collection and sharing of Indigenous cultural heritage knowledge, using virtual reality. Within the context of this project most of the cultural activities relate to celebrating life and to the Australian Aboriginal people, land is the heart of life. Australian Indigenous art, stories, dances, songs and rituals celebrate country as its focus or basis. To the Aboriginal people the term “Country” means a lot more than a place or a nation, rather “Country” is a living entity with a past a present and a future; they talk about it in the same way as they talk about their mother. The landscape is seen to have a spiritual connection in a view seldom understood by non-indigenous persons; this paper introduces an attempt to understand such empathy and relationship and to reproduce it in a virtual environment.
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In daily activities people are using a number of available means for the achievement of balance, such as the use of hands and the co-ordination of balance. One of the approaches that explains this relationship between perception and action is the ecological theory that is based on the work of a) Bernstein (1967), who imposed the problem of ‘the degrees of freedom’, b) Gibson (1979), who referred to the theory of perception and the way which the information is received from the environment in order for a certain movement to be achieved, c) Newell (1986), who proposed that movement can derive from the interaction of the constraints that imposed from the environment and the organism and d) Kugler, Kelso and Turvey (1982), who showed the way which “the degrees of freedom” are connected and interact. According to the above mentioned theories, the development of movement co-ordination can result from the different constraints that imposed into the organism-environment system. The close relation between the environmental and organismic constraints, as well as their interaction is responsible for the movement system that will be activated. These constraints apart from shaping the co-ordination of specific movements can be a rate limiting factor, to a certain degree, in the acquisition and mastering of a new skill. This frame of work can be an essential tool for the study of catching an object (e.g., a ball). The importance of this study becomes obvious due to the fact that movements that involved in catching an object are representative of every day actions and characteristic of the interaction between perception and action.
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Drawing from ethnographic, empirical, and historical / cultural perspectives, we examine the extent to which visual aspects of music contribute to the communication that takes place between performers and their listeners. First, we introduce a framework for understanding how media and genres shape aural and visual experiences of music. Second, we present case studies of two performances, and describe the relation between visual and aural aspects of performance. Third, we report empirical evidence that visual aspects of performance reliably influence perceptions of musical structure (pitch related features) and affective interpretations of music. Finally, we trace new and old media trajectories of aural and visual dimensions of music, and highlight how our conceptions, perceptions and appreciation of music are intertwined with technological innovation and media deployment strategies.
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This paper aimed to explore the proportion associated with the perceived importance and the actual use of performance indicators from manufacturing and non manufacturing industries. The sample was 86 small and medium sized-organizations in Thailand. The perceived importance and the actual use of financial and non financial indicators were found to be significantly related among manufacturing and non manufacturing industries. KPI 3, 9, and 12 (i.e. sales and sales growth; quality of products and /or services; and process time) were perceived the most importance among manufacturing managers (85.3%, 79.4% and 76.5% respectively). While KPI 6, 9, and 12 (i.e. customer satisfaction, quality of products and /or services; and process time) were perceived the most importance among non manufacturing managers (84.8%, 93.5%, and 84.8% respectively). Interestingly, the most used KPIs for manufacturing were sales and sales growth (64.7%); profit margins (61.8%); and customer satisfaction (84.8) while non manufacturing used quality products/services (60.9%); sales and sales growth (54.3%) and employee development (54.3%) respectively. Limitation and implication were also discussed.