16 resultados para Pentecôte


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Für Soli, Chor und Orgel

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Le récit de la Pentecôte (Actes des Apôtres 2) présente au lecteur un élément particulier qui se retrouve rarement dans le canon biblique : les « langues comme de feu ». Seuls les passages d’Isaïe 5,24 et Actes 2,3 utilisent cette expression; pourtant, leurs contextes diffèrent largement. Nous trouvons certains commentaires rabbiniques et fragments de rouleaux de la Mer Morte qui emploient cette même expression, et la littérature gréco-romaine utilise une image similaire où un feu divin se pose sur la tête de certains personnages. Puisque la fonction de cet élément diffère d’un ouvrage littéraire à un autre, comment devons-nous interpréter les langues de feu dans le récit de la Pentecôte? Les commentaires bibliques qui examinent cet élément proposent différentes hypothèses sur la symbolique des langues de feu. Afin de répondre à cette problématique, nous commencerons notre étude avec une présentation sur l’état de la question et des approches synchroniques utilisées. Nous présenterons ensuite l’analyse structurelle du récit de la Pentecôte afin de percevoir la place que notre expression occupe dans cette péricope. Au chapitre trois, nous ferons une analyse grammaticale de notre segment afin de voir la fonction grammaticale de l’expression, et présenter une recension des ouvrages hébraïques et gréco-romains qui utilisent cette expression ou une image similaire. Enfin, l’analyse philologique des termes γλῶσσα et πῦρ sera élaborée et comparée à l’utilisation retrouvée dans le livre des Actes des Apôtres. Subséquemment, nous serons en mesure de porter un regard critique sur quelques interprétations proposées afin de percevoir que la mise en réseau structurel du membre γλῶσσαι ὡσεὶ πυρός, avec les termes répétitifs et synonymiques du récit, nous orientent à percevoir l’accomplissement de la promesse du Saint-Esprit, qui à son tour habilite le croyant à réaliser la mission donnée : la proclamation du message christologique à toutes les ethnies.

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Le récit de la Pentecôte (Actes des Apôtres 2) présente au lecteur un élément particulier qui se retrouve rarement dans le canon biblique : les « langues comme de feu ». Seuls les passages d’Isaïe 5,24 et Actes 2,3 utilisent cette expression; pourtant, leurs contextes diffèrent largement. Nous trouvons certains commentaires rabbiniques et fragments de rouleaux de la Mer Morte qui emploient cette même expression, et la littérature gréco-romaine utilise une image similaire où un feu divin se pose sur la tête de certains personnages. Puisque la fonction de cet élément diffère d’un ouvrage littéraire à un autre, comment devons-nous interpréter les langues de feu dans le récit de la Pentecôte? Les commentaires bibliques qui examinent cet élément proposent différentes hypothèses sur la symbolique des langues de feu. Afin de répondre à cette problématique, nous commencerons notre étude avec une présentation sur l’état de la question et des approches synchroniques utilisées. Nous présenterons ensuite l’analyse structurelle du récit de la Pentecôte afin de percevoir la place que notre expression occupe dans cette péricope. Au chapitre trois, nous ferons une analyse grammaticale de notre segment afin de voir la fonction grammaticale de l’expression, et présenter une recension des ouvrages hébraïques et gréco-romains qui utilisent cette expression ou une image similaire. Enfin, l’analyse philologique des termes γλῶσσα et πῦρ sera élaborée et comparée à l’utilisation retrouvée dans le livre des Actes des Apôtres. Subséquemment, nous serons en mesure de porter un regard critique sur quelques interprétations proposées afin de percevoir que la mise en réseau structurel du membre γλῶσσαι ὡσεὶ πυρός, avec les termes répétitifs et synonymiques du récit, nous orientent à percevoir l’accomplissement de la promesse du Saint-Esprit, qui à son tour habilite le croyant à réaliser la mission donnée : la proclamation du message christologique à toutes les ethnies.

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F. 1-4v Noël (incompl. du début) : — Vers sibyllins (3v). F. 5 Fragment de l'office de s. Étienne. F. 7v S. Trophime (Gazay, dans Ann. du Midi, 1935, 227-229, d'après ce ms.). F. 127v S. Geniez. F. 147v S. André. F. 149v Dédicace. F. 151-153v et 162-171v Commun des saints. F. 154-161 Du 2e au 6e dim. après la Pentecôte. F. 172-174v Vita s. Marii, Badonensis abbatis (XIIIe s.). F. 174v Lectiones ad honorem... b. V. Mariae (XIIIe s.). F. 175v Kyrie des laudes de la Semaine sainte (XIIIe s.). F. 176v S. Césaire. Cf. Cavallin, Literarhist. Stud. (Lund, 1934), 126. F. 178 Dom. VII post Pent. F. 205v Dom. II mensis novembris (incompl. de la fin). Pour les vies de saints, cf. Cod. hag., III, 523.

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F. 1 Messes votives et diverses (incompl. du début). F. 2 Messes des ss. Silvestre, Adrien [III], Senèse et Théopompe (dont les reliques étaient à Nonantola). — Addit. XIIIe s. F. 5v Incipit, Préface, Sanctus et Canon jusqu'à l'Agnus Dei. F. 10 Bénédictions épiscopales et ordinations. F. 15v Messes du Temporal et du Sanctoral mêlés : s. Denis (79v). F. 88v Oraisons diverses. F. 101v Messes de la Pentecôte à l'Avent. F. 105 Commun des saints (incompl.). — Addit. XIIIe s. F. 106 Consécration d'église. F. 108 Ordinations. F. 111v Messe pour la dédicace. — Addit. XIe s.

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F. 1-12v. Calendrier en français, à l’encre rouge et noire, où l’on remarque des formes dialectales picardes et plusieurs saints du Nord : « sainte Audegonde » (30 janvier) ; « le Candelier » (2 févr.) ; « ste Gertrude » (17 mars) ; « saint Quentin » (2 mai) ; « saint Ernoulx » [ep. Suessonensis] (16 août) ; « saint Bertin » (5 septembre) ; « saint Lambert » (17 septembre) ; « saint Franchois » (4 oct.) ; « saint Gillain » [mart. in Hannonia] (16 oct., Ghislain); « le jour st Estievene » (26 déc., rouge). Une deuxième main très cursive ajouté d’autres saints, dont « s. Amand » (6 févr.) ; « s. Waleri » (1er avril) ; « s. Fuscien » [mart. Ambianensis] (27 juin et 10 déc.) ; « s. Firmin » [mart. Ambianensis] (25 septembre) ; « s. Bavon » (1er oct.). F. 13v-17v. « ... hore sancte Crucis». F. 18v-22v. « ... hore de sancto Spiritu ».F. 23v-85. « ... hore beate marie virginis secundum usum romanum ». F. 86v-94v. Office de la Vierge, selon les temps de l’année. « ... officum beate Marie virginis quod dicitur per totum adventum ad vesperas ».F.95-115. « ... septem psalmi penitentiales cum suis litaniis et precibus ». A noter « ... sancte Lamberte... sancte Rumolde [ep. Mechlinensis]... sancte Fursee [ab. Latiniacensis] ... sancte Amande... sancte Vedaste, sancte Bavo... sancte Philiberte... santa Ursula... sancta Brigida... sancta Aldegondis, sancta Gertrudis... ».F.116v-152v. « ... vigilie mortuorum » office des morts à l’usage de Sarum-Normandie-Metz ; cf. K. Ottosen, Responsories..., p. 242 (116v-151). — « Octo versus beati Bernardi ». « Illumina oculos meos ne umquam obdormiam... » ; cf. Leroquais, Livres d’heures, I, XXX-XXXI (151-152v).F.153-158v. « Initium sancti evvangelii secundum Johannem... secundum Lucam... secundum Matheum... secundum Marcum ».F. 158v-166. Suffrages aux saints : « Memoria de santo Johanne Baptista... ; devota oratio... » ; — « ... de sancto Adriano » ; — « ... de sancto Sebastiano » ; — « ... de sancto Anthonio » ; — « ... de sancto Quintino » ; — « ... de sancto Nicholae » ; — « ... de sancto Andrea » ; — « ... de sancto Fiacro ».F.166v-174v. Prières à la Vierge. « ... devotissima oratio ad beatem virginem Mariam ». « O intemerata... O Johannes... » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 488-490) (166v-169v). — « Alia oratio ad beatam virginem Mariam ». « Obsecro te.... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, II, 346-347) (169v-174). Les deux prières sont rédigées à la forme masculine. — « Laus Marie virginis ». « Salve regina... » (Analecta Hymnica, L, 318-319, n° 245) (174-174v). F. 175-184v. Suffrages aux saintes : « ... de santa Barbara » ; — « ... de sancta Margareta » ; — « ... de sancta Katerina » ; — « ... de sancta Maria Magdelena » ; — « ... de sancta Appolonia » ; — « ... de sancta Venicie [Venice, forme dérivée de Véronique] » « Veni sponsa Christi... Versus. Diffusa est gratia... Oratio. Exaudi nos Deus ut sicut de beate Venicie festivitate gaudemus, ita pie devotionis erudiamur. Per.... » ; sur le culte de sainte Véronique/Venice, en particulier à Paris, voir Gr. A. RUNNALS, Le mystère de sainte Venice, Exeter, 1980 (Textes littéraires) (175-180v). — Prières diverses : « ... quinque gaudia de beata virgine Maria » « Gaude Virgo mater Christi... » (éd. Leroquais, Livres d’heures, I, XXVI-XXVII) (180v-182). — « Oratio devota ad Jesum Christum ». « Ave domine Jhesu Christe verbum patris » (éd. Wilmart, Auteurs spirituels, 412 [III]) (182-183). — « Oratio devota que dicitur ad elevationem Domini ». « Ave verum corpus Domini nostri... » (éd. Szövérffy, Die Annalen , II, 298-299) (183-184). — « Memore de saint Miquiel », en latin (184-184v).

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F. 3 Calendrier de Senlis. Cf. Morel, dans Bull. Soc. hist. Compiègne, XIV (1911), 353-399. F. 9 Psautier, litanies de Senlis et « preces ». F. 102 Bénédictions pour les leçons de matines. F. 103-173 Temporal : — De Trinitate (170). F. 173-307v Sanctoral : — s. Frambourg (234v) ; — s. Vigor (286) ; — ss. Agricole et Vital (307). F. 307v Commun des saints. F. 1-2v et 335-336v Fragments d'offices notés des XIe, XIIe et XVe dim. après la Pentecôte (début XIIIe s.).

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Ce titre est suivi de quatre vers latins que voici : « Ecce recente toga venio, liber undique mundus, Promere quos reges Francia celsa tulit ; Tempora, gesta, locos, sortem, preludia, famam, Ex multis lecta codice claudo brevi » . Au-dessous de ces vers on lit, semble-t-il, Gaguinettus », comme si l'auteur du présent abrégé, se comparant à Gaguin, voulait signifier par ce diminutif « Gaguinettus », qu'il est un petit Gaguin, un abrégé de Gaguin. Puis vient une devise : « Pour esperer mieulx prosperer ». Sur le feuillet 3 v°, en face du feuillet 4 r°, qui contient le titre ci-dessus énoncé, est tracée à l'encre l'image d'une dame ayant un dragon à ses pieds. Elle tient de la main droite un écusson, aux armes de France, et de la gauche un autre écusson où sont représentées 3 tortues, deux en chef et une en pointe. Les feuillets 5-7 sont occupés par une dédicace de l'auteur « Audebrand, advocat d'Aulge et de Honnefleu... à très prudent et ingenieux homme Michelot Feré, grand architecteur du Havre de Grace ». Cette dedicace est datée « de Honnefleu, ce derrain jour de l'an 1518 ». Après la dédicace qui précède, terminée par la devise : « Par esperer mieulx prosperer », s'ouvre le « prologue du present livre », où l'auteur énumère ses autorités : Bérose, Manéthon, Métasthènes, Josèphe, Diodore, Pline, Robert Frescher, Robert Gaguin, Jean Lemaire de Belges. (Fol. 8-10). Le traité intitulé : Les Antiquités de Gaule commence (fol. 11) par : « Ante aquarum cladem... Or dit Berose que devant le deluge... » et finit (fol. 138) par : «... la fondation du Havre de Grace, que le roi François Ier a faict pour la protection de son royaulme... au cap de Caulx ». L'auteur attribue l'honneur d'avoir conduit les travaux à « monseigneur de Chillon, vis-admiral de France et capitaine de Honnefleu », et l'exécution à Michelot Feré, « homme... plain d'ingenieuse solercie, grand maistre et architecteur de l'oeuvre ». Il termine par le souhait que la construction du Havre soit menée à bonne fin, «... priant à Dieu donner au bon roy et à ses amys par esperer bien prosperer ». Puis il ajoute, ledit traité étant divisé en six livres : « La fin du VIe livre des Antiquités de Gaulle et consequemment de tout nostre petit labeur sur la 4e lignée des roys de France, selon la tradition de Gaguin ». Reliure du XVIe siècle en cuir estampé. Sur le premier plat, autour de la Vierge et de S. Jean, au pied de la croix on lit : « Christus filius Dei, vivis miserere nobis ». Sous la croix deux anges soutiennent un écu contenant l'agneau nimbé et portant la croix, surmonté de trois fleurs de lis. Le second plat représente la Pentecôte. Légende : « Veni, sancte spiritus, reple tuorum corda ».

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Graduel à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans. F. 1-164v Temporale. Incomplet du début par lacune matérielle, le temporal commence le 27 décembre, au milieu du graduel de s. Jean apôtre, et se termine avec la fête de la Trinité, placée à la suite du 23e dimanche après la Pentecôte. Les versets alleluiatiques des dimanches après la Pentecôte sont attestés à Orléans; cf. Leroquais, Versets alleluiatiques, ms. NAL 3164, f. 41-41v. F. 164v-168v "In dedicatione ecclesie" (164v-166v); — "In festo s. Crucis" (166v-168v). F. 168v-235v Sanctorale. De festis s. Mariae (168v-177v); — de angelis (177v-179); — de s. Johanne Baptista (179-182); — de apostolis (182-192v); — de s. Laurentio (192v-195v) et de martyribus (195v-220); — de confessoribus (220-228); — de una virgine (228-235v); — pro fidelibus defunctis (235v-237). Le manuscrit a été composé à l'usage de l'église cathédrale Sainte-Croix d'Orléans: l'usage est celui d'Orléans, et la fête de la Sainte-Croix suit immédiatement celle de la dédicace. Le manuscrit a servi longtemps: au bas de nombreux feuillets des mains différentes, datables du XVe au XVIIe s., ont développé la musique et le texte des versets psalmodiques de l'introit. A plusieurs reprises le texte et la musique des versets alleluiatiques ont été effacés et changés, notamment ff. 107, 108v, 112-113 et ff. 133, 134v-135 pour les semaines de Pâques et de la Pentecôte. Notes en français dans les marges des ff. 105, 124v, etc.