8 resultados para Parménide


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L’objectif principal de ce mémoire de maîtrise sera d’examiner en détails les arguments que Gorgias avance dans le Traité sur le non-être pour supporter sa thèse de l’impossibilité de la connaissance. Ces arguments sont au nombre de trois : a) rien n’est; b) Si quelque chose est, c’est inconnaissable; c) Si c’est connaissable, c’est indémontrable aux autres. En plus de s’attaquer à la thèse parménidienne de la correspondance entre le « penser » (noein) et « l’être » (einai), ces arguments viennent justifier l’art rhétorique. En effet, sans la connaissance qui nous permettrait de départager le vrai du faux, l’être humain n’a plus rien d’autre que ses intérêts personnels et les moyens rhétoriques de les faire triompher. Dans un tel contexte, la rhétorique devient, à proprement parler, la seule science véritablement légitime.

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L’objectif principal de ce mémoire de maîtrise sera d’examiner en détails les arguments que Gorgias avance dans le Traité sur le non-être pour supporter sa thèse de l’impossibilité de la connaissance. Ces arguments sont au nombre de trois : a) rien n’est; b) Si quelque chose est, c’est inconnaissable; c) Si c’est connaissable, c’est indémontrable aux autres. En plus de s’attaquer à la thèse parménidienne de la correspondance entre le « penser » (noein) et « l’être » (einai), ces arguments viennent justifier l’art rhétorique. En effet, sans la connaissance qui nous permettrait de départager le vrai du faux, l’être humain n’a plus rien d’autre que ses intérêts personnels et les moyens rhétoriques de les faire triompher. Dans un tel contexte, la rhétorique devient, à proprement parler, la seule science véritablement légitime.

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Ce mémoire portera sur le problème de la signification, dans la pensée de Heidegger, de la métaphysique moderne, à partir de la conception de l’histoire de l’être qu’il développe dans les années 1930. Plus précisément, nous nous baserons sur l’écrit Die Zeit des Weltbildes, que l’on retrouve dans le recueil nommé Holzwege, mais également, dans une moindre mesure, sur l’écrit Niezsches Wort « Gott ist tot » du même recueil. Nous commencerons par introduire le lecteur à l’idée qu’il se fait de la métaphysique en général dans son rapport à l’homme, et du nihilisme que constitue son histoire, lequel s’accentue à l’époque moderne. Nous rentournerons alors brièvement aux premiers commencements de la métaphysique, chez Parménide et Platon principalement, dans le but de dégager les aspects de la métaphysique moderne qui y ont trouvé leur source. C’est alors que nous entrerons dans le vif du sujet, en expliquant en quoi consiste l’inauguration de la métaphysique moderne chez Descartes qui, face à l’obligation religieuse, pose la confirmation autonome de la vérité qui trouve son lieu propre dans la conscience de soi. Il sera dès lors question de montrer précisément comment se fait cette confirmation par soi-même du vrai, au travers de certaines notions centrales de l’analyse heideggerienne : la pro-position, la présentation et la représentation, l’instauration, la production, l’obtention, la préhension et la compréhension, notamment. Nous analyserons ensuite le mouvement de la volonté du sujet qui sous-tend cette confirmation autonome du savoir jusqu’à son aboutissement chez des penseurs tels que Schopenhauer. Nous mettrons par le fait même en évidence le rapport fondamental, souligné par Heidegger, entre le sujet et son objet, l’homme moderne se soulèvant et se donnant lui-même le statut éminent de centre de référence de toute chose, rapportant à lui-même tout chose. Ce mémoire se terminera par l’analyse que fait Heidegger d’un phénomène propre à la modernité, et donc émanent de la métaphysique qui aura été examinée au préalable, soit la science moderne. Celle-ci constitue la voie privilégiée où l’homme moderne, après avoir sciemment pris position au centre du monde, peut « procéder » dans le monde comme dans son royaume, un monde qui se révèle alors comme étant essentiellement à sa disposition. La science, émanant selon Heidegger de la conception moderne de la vérité et de l’étant, se révèle alors non seulement comme une réalisation de la métaphysique qui aura été analysée dans les chapitres précédents, mais peut-être même comme le phénomène duquel Heidegger semble s’être inspiré pour développer son idée de la métaphysique moderne.

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Contiene : Le sophiste- Parménide-Ménon-Philèbe.

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It is usually assumed that Heraclitus is, exclusively, the philosopher of flux, diversity and opposition while Parmenides puts the case for unity and changelessness. However, there is a significant common understanding of things (though in differing contexts), not simply an accidental similarity of understanding. Both philosophers, critically, distinguish two realms: on the one hand, there is the one, common realm, identical for all, which is grasped by the ‘logos that is common’(Heraclitus) or the steady nous (Parmenides) that follows a right method in order to interpret the real. On the other hand, the realm of multiplicity seen and heard by the senses, when interpreted by ‘barbarian souls’, is not understood in its common unity. Analogously, when grasped by the wandering weak nous it does not comprehend the real’s basic unity. In this paper I attempt to defend the thesis that both thinkers claim that the common logos (to put it in Heraclitean terms) or the steady intellect (to say it with Parmenides) grasp and affirm the unity of the real.

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The present article focuses on the study of the exegesis by Plotinus with regard to the meaning of the ineffability of the one provided in Plato’s Parmenides in the first hypothesis. He places this first ineffable one at the very centre of his system, which would have important implications from both an ontological point of view and with regard to understanding the language. The conception of reality that derives from the ineffability of the first principle and the implications for the nature of philosophical language that this postulate raises will be the centre of our reflections. To shed light on the position set down in the Enneads, we will review the key points based on the original texts that deal with this issue and related critical works. We will also look at the contemporary relevance of this position and its ability to go beyond the Heideggerian critique of metaphysics.

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Les théories poétiques de l’inscape et du sprung rhythm établies par le poète britannique Gerard Manley Hopkins (1844-1889) ont dérouté les critiques des années durant. La plupart d’entre eux se sont appuyés sur les poèmes publiés en quête d’indices quant à la signification de ses théories. Cette thèse approfondit l’analyse mise de l’avant en révélant que la genèse de la théorie de l’inscape provient des notes de Hopkins — alors étudiant de premier cycle — sur le philosophe présocratique Parménide, et est influencée par les commentaires sur l’oeuvre De la nature du philosophe. Un examen des lettres de Hopkins à ses collègues poètes Robert Bridges et Richard Watson Dixon révèle que le sprung rhythm découle de l’inscape, sa théorie de base. La technique du sprung rhythm consiste donc en l’application de l’inscape au schéma métrique de la poésie. Cette étude établit d’abord une définition opérationnelle de chacune de ces théories pour ensuite les appliquer aux manuscrits afin de déterminer dans quelle mesure Hopkins y adhérait et les exploitait lors de la rédaction de deux de ses poèmes canoniques, God’s Grandeur et The Windhover. L’étude s’inscrit ainsi dans le champ de la critique génétique, une approche mise au point en France, particulièrement à l’Institut des textes et manuscrits modernes (ITEM). Ce sont donc sur des oeuvres littéraires françaises ou sur des textes en prose qu’ont porté la majorité des analyses à ce sujet. Suppressions, ajouts, substitutions et constantes entre différentes versions témoignent de ce qu’étaient les priorités de Hopkins dans sa quête pour atteindre l’effet désiré. Par conséquent, cette thèse s’efforce de dévoiler la signification des théories poétiques de Hopkins en établissant leur genèse et leur application respectives dans deux de ses poèmes selon une perspective de critique génétique. Elle contribue également à enrichir la critique génétique en l’appliquant à des oeuvres littéraires écrites en anglais et sous forme de poésie plutôt que de prose. Enfin, son objectif ultime est de raviver l’intérêt pour le poète Hopkins en tant que sujet viable d’étude, et de favoriser l’appréciation de ses prouesses tant comme théoricien poétique que comme poète.