Ms. hebr. oct. 1 - Otsrot Ḥayyim

Vorbesitzer: Abraham Merzbacher

Ms. germ. oct. 1 - Cisioianus deutsch. Kalender- und Gesundheitsregeln. Argumente zu den Psalmen

Vorbesitzer: Frankfurter Museumsgesellschaft

Ms. lat. oct. 1 - Historia universalis

Vorbesitzer: Wilhelm Friedrich Hüsgen;

[Carta] 1705 oct. 1, Valencia, a Manuel Martín [Manuscrito]

Manuscrito encuadernado con: "Concilia Magnae Britanniae et Hiberniae a Synodo Verolamiensi..." (XVIII/68-TG)

Dissociation of Oct-1 from the Nuclear Peripheral Structure Induces the Cellular Aging-associated Collagenase Gene Expression

The cellular aging-associated transcriptional repressor that we previously named as Orpheus was identical to Oct-1, a member of the POU domain family. Oct-1 represses the collagenase gene, one of the cellular aging-associated genes, by interacting with an AT-rich cis-element in the upstream of the gene in preimmortalized cells at earlier population-doubling levels and in immortalized cells. In these stages of cells, considerable fractions of the Oct-1 protein were prominently localized in the nuclear periphery and colocalized with lamin B. During the cellular aging process, however, this subspecies of Oct-1 disappeared from the nuclear periphery. The cells lacking the nuclear peripheral Oct-1 protein exhibited strong collagenase expression and carried typical senescent morphologies. Concomitantly, the binding activity and the amount of nuclear Oct-1 protein were reduced in the aging process and resumed after immortalization. However, the whole cellular amounts of Oct-1 protein were not significantly changed during either process. Thus, the cellular aging-associated genes including the collagenase gene seemed to be derepressed by the dissociation of Oct-1 protein from the nuclear peripheral structure. Oct-1 may form a transcriptional repressive apparatus by anchoring nuclear matrix attachment regions onto the nuclear lamina in the nuclear periphery.

Ann Arbor artist Catherine Spurr tests her "wind sculpture" for the UM Arts andCraftsmen Guild Fall Air Fair, Sept. 30 and Oct. 1 in and around the Michigan Union

negative 5577

Equal educational opportunity in Michigan : hearings before the Select Committee on Equal Educational Opportunity of the United States Senate, Ninety-second Congress, first session, on equal educational opportunity : Washington, D. C., Sept. 29; Oct. 1; Nov. 3, 4, 1971.

Mode of access: Internet.

Catalog. Supplement, Oct. 1, 1906.

Mode of access: Internet.

Veterinary medical education act of 1966. Oct. 1, 1966.

Mode of access: Internet.

Constitution; with canons of church as adopted, Oct. 2, 1834, and amended Oct. 4, 1839, Oct. 1, 1841, and Sept. 30, 1842.

Mode of access: Internet.

Looking south on Main Street Red Jacket at corner of Elm Oct. 1, 1911

verso: parade? Church is in the 100 block (-L. Steck)

L’exploitation d’un modèle de levure présentant une déficience de l’absorption des anthracyclines révèle qu’une protéine de Caenorhabditis elegans, OCT-1, est un transporteur fonctionnel d’anthracyclines

Les anthracyclines, comme la doxorubicine (DOX) ou la daunorubicine (DNR), sont utilisées dans le traitement d’une grande variété de cancers allant des lymphomes, au cancer du sein, en passant par certaines leucémies. Encore aujourd’hui, beaucoup pensent que les anthracyclines entrent dans les cellules par diffusion passive, toutefois, la plupart de ces mêmes personnes sont d’accord pour dire que la p-glycoprotéine est responsable d’exporter ces molécules hors de la cellule. Mais pourquoi une molécule aurait besoin d’un transporteur pour sortir de la cellule, et pas pour y entrer ? Qu’est-ce qui ferait que la diffusion passive fonctionnerait dans un sens, mais pas dans l’autre, d’autant que l’entrée des anthracyclines dans les cellules est très rapide ? Nous pensons qu’il existe bel et bien un transporteur responsable de faire passer les anthracyclines du milieu extracellulaire au cytoplasme, et nous voulons développer un modèle de levure qui permettrait de déterminer si une protéine, un transporteur, issue d’un autre organisme eucaryote est en mesure de transporter la DOX à l’intérieur de la cellule. Pour ce faire, nous avons rassemblé un groupe de mutants présentant une déficience dans l’absorption d’autres molécules chargées positivement telles que la bléomycine ou le NaD1 et avons déterminé le taux d’absorption de DOX de chacun de ces mutants. Les simples mutants sam3Δ ou dur3Δ n’ont montré qu’une faible réduction de l’absorption de DOX, voire, aucune, par rapport à la souche parentale. Si le double mutant sam3Δdur3Δ a montré une réduction relativement importante de l’absorption de DOX, c’est le mutant agp2Δ qui présentait la plus grande réduction d’absorption de DOX, ainsi qu’une résistance notable à son effet létal. Nous avons utilisé, par la suite, ce mutant pour exprimer, à l’aide d’un vecteur d’expression, une protéine du ver Caenorhabditis elegans, OCT-1 (CeOCT-1). Les résultats ont montré que cette protéine était en mesure de restaurer l’absorption de DOX, compromise chez le mutant agp2Δ ainsi que d’augmenter la sensibilité de la souche parentale à son effet létal, lorsqu’exprimée chez celle-ci. Cela suggère que CeOCT-1 est un transporteur fonctionnel de DOX et contredit également le dogme selon lequel les anthracyclines entrent dans les cellules par diffusion passive.

L’exploitation d’un modèle de levure présentant une déficience de l’absorption des anthracyclines révèle qu’une protéine de Caenorhabditis elegans, OCT-1, est un transporteur fonctionnel d’anthracyclines

Les anthracyclines, comme la doxorubicine (DOX) ou la daunorubicine (DNR), sont utilisées dans le traitement d’une grande variété de cancers allant des lymphomes, au cancer du sein, en passant par certaines leucémies. Encore aujourd’hui, beaucoup pensent que les anthracyclines entrent dans les cellules par diffusion passive, toutefois, la plupart de ces mêmes personnes sont d’accord pour dire que la p-glycoprotéine est responsable d’exporter ces molécules hors de la cellule. Mais pourquoi une molécule aurait besoin d’un transporteur pour sortir de la cellule, et pas pour y entrer ? Qu’est-ce qui ferait que la diffusion passive fonctionnerait dans un sens, mais pas dans l’autre, d’autant que l’entrée des anthracyclines dans les cellules est très rapide ? Nous pensons qu’il existe bel et bien un transporteur responsable de faire passer les anthracyclines du milieu extracellulaire au cytoplasme, et nous voulons développer un modèle de levure qui permettrait de déterminer si une protéine, un transporteur, issue d’un autre organisme eucaryote est en mesure de transporter la DOX à l’intérieur de la cellule. Pour ce faire, nous avons rassemblé un groupe de mutants présentant une déficience dans l’absorption d’autres molécules chargées positivement telles que la bléomycine ou le NaD1 et avons déterminé le taux d’absorption de DOX de chacun de ces mutants. Les simples mutants sam3Δ ou dur3Δ n’ont montré qu’une faible réduction de l’absorption de DOX, voire, aucune, par rapport à la souche parentale. Si le double mutant sam3Δdur3Δ a montré une réduction relativement importante de l’absorption de DOX, c’est le mutant agp2Δ qui présentait la plus grande réduction d’absorption de DOX, ainsi qu’une résistance notable à son effet létal. Nous avons utilisé, par la suite, ce mutant pour exprimer, à l’aide d’un vecteur d’expression, une protéine du ver Caenorhabditis elegans, OCT-1 (CeOCT-1). Les résultats ont montré que cette protéine était en mesure de restaurer l’absorption de DOX, compromise chez le mutant agp2Δ ainsi que d’augmenter la sensibilité de la souche parentale à son effet létal, lorsqu’exprimée chez celle-ci. Cela suggère que CeOCT-1 est un transporteur fonctionnel de DOX et contredit également le dogme selon lequel les anthracyclines entrent dans les cellules par diffusion passive.