“NYAM CHIEM” RECONSTRUCTING AND PERFORMING NIGHTMARE: A DANCE RESEARCH IN PERFORMANCE OF SLEEP PARALYSIS.

This paper is a documentation of a practice-based dance work of the creative process, research and performance presentation of the piece “Nyam chiem.” This thesis examines the phenomenon of sleep paralysis through a personal reflexive research. The work challenges the notion that sleep paralysis is evil, revealing the phenomenon as a part of the human experience. The research is in two parts, practical and theory. The practical component includes; dance rehearsals, and staging of the piece as presentation. The theoretical component includes the documentation of the work in a written format capturing my personal stories, and salient issues arising from the process into a scholarly paper.

Copeptin concentration in cord blood in infants with early-onset sepsis, chorioamnionitis and perinatal asphyxia

Background Vasopressin is one of the most important physiological stress and shock hormones. Copeptin, a stable vasopressin precursor, is a promising sepsis marker in adults. In contrast, its involvement in neonatal diseases remains unknown. The aim of this study was to establish copeptin concentrations in neonates of different stress states such as sepsis, chorioamnionitis and asphyxia. Methods Copeptin cord blood concentration was determined using the BRAHMS kryptor assay. Neonates with early-onset sepsis (EOS, n = 30), chorioamnionitis (n = 33) and asphyxia (n = 25) were compared to a control group of preterm and term (n = 155) neonates. Results Median copeptin concentration in cord blood was 36 pmol/l ranging from undetectable to 5498 pmol/l (IQR 7 - 419). Copeptin cord blood concentrations were non-normally distributed and increased with gestational age (p < 0.0001). Neonates born after vaginal compared to cesarean delivery had elevated copeptin levels (p < 0.0001). Copeptin correlated strongly with umbilical artery pH (Spearman's Rho -0.50, p < 0.0001), umbilical artery base excess (Rho -0.67, p < 0.0001) and with lactate at NICU admission (Rho 0.54, p < 0.0001). No difference was found when comparing copeptin cord blood concentrations between neonates with EOS and controls (multivariate p = 0.30). The highest copeptin concentrations were found in neonates with asphyxia (median 993 pmol/l). Receiver-operating-characteristic curve analysis showed that copeptin cord blood concentrations were strongly associated with asphyxia: the area under the curve resulted at 0.91 (95%-CI 0.87-0.96, p < 0.0001). A cut-off of 400 pmol/l had a sensitivity of 92% and a specifity of 82% for asphyxia as defined in this study. Conclusions Copeptin concentrations were strongly related to factors associated with perinatal stress such as birth acidosis, asphyxia and vaginal delivery. In contrast, copeptin appears to be unsuitable for the diagnosis of EOS.

Rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’insuffisance rénale chronique

L’insuffisance rénale chronique (IRC) se définit par un défaut de filtration glomérulaire et est associée à plusieurs désordres. La perturbation de l’homéostasie glucidique en fait partie. L’homéostasie glucidique est contrôlée principalement par l’insuline, soit l’hormone sécrétée en réponse au glucose par les cellules bêta-pancréatiques contenues dans les îlots de Langerhans. La préservation de la fonction de la cellule bêta est essentielle au maintien de l’homéostasie glucidique. Il a été démontré que la sécrétion de l'insuline est altérée au cours l'IRC, cependant les mécanismes demeurent peu connus. Au cours de l’IRC, l’accumulation chronique de toxines urémiques pourrait contribuer à la défaillance de la cellule bêta. L’urée est une toxine urémique majeure et sa toxicité a été récemment rapportée dans plusieurs tissus. Le but de ce mémoire était donc de vérifier le rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC. Nous avons démontré que l’exposition des îlots de souris à des concentrations pathologiques d’urée entraîne une diminution de la sécrétion d’insuline via l’augmentation du stress oxydant et des O-glycosylations. Ce défaut est dû à une perturbation du métabolisme intracellulaire du glucose. Entre autres, nous avons observé une baisse de la glycolyse associée à la réduction de l’activité enzymatique de la phosphofructokinase-1. Ces résultats démontrent un effet toxique direct de l’urée sur la sécrétion d’insuline et permettent de mieux comprendre le mécanisme de dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC.

Rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’insuffisance rénale chronique

L’insuffisance rénale chronique (IRC) se définit par un défaut de filtration glomérulaire et est associée à plusieurs désordres. La perturbation de l’homéostasie glucidique en fait partie. L’homéostasie glucidique est contrôlée principalement par l’insuline, soit l’hormone sécrétée en réponse au glucose par les cellules bêta-pancréatiques contenues dans les îlots de Langerhans. La préservation de la fonction de la cellule bêta est essentielle au maintien de l’homéostasie glucidique. Il a été démontré que la sécrétion de l'insuline est altérée au cours l'IRC, cependant les mécanismes demeurent peu connus. Au cours de l’IRC, l’accumulation chronique de toxines urémiques pourrait contribuer à la défaillance de la cellule bêta. L’urée est une toxine urémique majeure et sa toxicité a été récemment rapportée dans plusieurs tissus. Le but de ce mémoire était donc de vérifier le rôle de l’urée dans la dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC. Nous avons démontré que l’exposition des îlots de souris à des concentrations pathologiques d’urée entraîne une diminution de la sécrétion d’insuline via l’augmentation du stress oxydant et des O-glycosylations. Ce défaut est dû à une perturbation du métabolisme intracellulaire du glucose. Entre autres, nous avons observé une baisse de la glycolyse associée à la réduction de l’activité enzymatique de la phosphofructokinase-1. Ces résultats démontrent un effet toxique direct de l’urée sur la sécrétion d’insuline et permettent de mieux comprendre le mécanisme de dysfonction de la cellule bêta-pancréatique au cours de l’IRC.