983 resultados para Nicolas Philibert


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How did the counter-cultural aims of Radical Psychiatry coincide with those of documentary filmmaking in the 1960s? Where the forms and structures of new approaches to the documentary necessarily complicit in promoting the clinical and anti-clinical practices, and wider political agenda, of Radical Psychiatry? How did the documentary deal with the ethical, aesthetic, and audience-related issues associated with filming personalities and environments associated with Radical Psychiatry? How did Radical Psychiatry and the documentary shape postwar discourses on trauma, especially within conflict and post-conflict (PTSD) contexts? What is the legacy of Radical Pschiatry today, and how has it been explored by contemporary documentray film?

This article addresses these question by examining a range of documentaries dealing with the radical and 'anti-psychiatric' ideas and methods of figures such as R.D.Laing, David Cooper, Jan Bastiaans, Timothy Leary, and Franco Basaglia. Films analysed include Peter Robinson's Asylum (1972) and Psychiatry and Violence (1973); Ah, Sunflower (Klinkert and Sinclair, 1967); Anatomy of Violence (Davis, 1967); Turn On, Tune In, Drop Out (Robin Clarke, 1967), W. R. - Mysteries of the Organism (Makavejev, 1971); Raymond Depardon's San Clemente (1980) and Urgences (1988); and Louis van Gasteren's trilogy Now Do You Get it Why I am Crying (1969), The Price of Survival (2003), and There is No Plane to Zagreb (2012). 
The article concludes with a discussion of Nicolas Philibert's Every Little Thing (1997) within the context of the French documentary tradition and the film's more immediate subject - the famous clinic at La Borde established by Jean Oury, and associated with the methods and theories of figures such as Jacques
 Lacan, Francesc Tosquelles, Franz Fanon, and Félix Guattari.

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L'objectif de ce projet de recherche était d'approfondir notre compréhension des liens entre communauté et cinéma, rendus possibles par et pour le film documentaire, à travers l'analyse des interactions entre le cinéaste, la personne filmée et le spectateur. L'expérience cinématographique sera analysée d'une part en tant que pratique sociale à travers la prise en considération du contexte de production des films. D'autre part, le film sera aussi considéré comme expérience imaginaire de sociabilité. Les trois films de notre corpus s'intéressent à des expériences communautaires atypiques et mettent en scène des relations fragiles et précaires avec des personnes souffrant de troubles sociaux majeurs, c'est-à-dire des psychotiques, des déficients intellectuels profonds ou des autistes. C'est à partir de l'expérience de l'apparente insociabilité de ces individus que nous réfléchirons au lien d'accompagnement ainsi qu'au concept de care qui seront envisagés, aussi, comme pouvant traduire la relation particulière qui a lieu entre le spectateur et le film. En effet, le cinéma permet l'élaboration d'une expérience relationnelle construite dans les œuvres médiatiques. Le dispositif filmique donne l'occasion au spectateur d'expérimenter des postures morales et affectives nouvelles. Nous tiendrons compte, au cours de ce mémoire, de la façon dont les choix esthétiques du cinéaste peuvent éduquer et faire évoluer la sensibilité du spectateur. Nous essaierons aussi de souligner les différents jeux de pouvoir et d'influence entre les trois instances que sont le cinéaste, la personne filmée et le spectateur. Après avoir décrit le cadre et les enjeux théoriques du projet, le premier chapitre concernera le film La Moindre des choses (1996) dans lequel Nicolas Philibert filme, jour après jour, les pensionnaires de la clinique psychiatrique de la Borde. Ce film nous a servi de prétexte pour penser ou repenser la place du spectateur comme étant inclus dans la relation entre le cinéaste et la personne filmée et cela à partir de cette phrase d'un des protagonistes du film : « On est entre nous, mais vous aussi, vous êtes entre nous. » Le deuxième chapitre s'intéressera au film Ce Gamin là (1985) de Renaud Victor qui cherche à faire voir au spectateur ce que le projet de Fernand Deligny de vivre dans les Cévennes en compagnie d'enfants autistes a d'original et de particulier. Nous pensons que l'enfant autiste nous amène à dépasser nos expériences de sociabilités habituelles. Le lien d'accompagnement d'enfants autistes, puisque toujours fragile et précaire, révèle quelque chose sur nos façons d'avoir du commun. L'étude des médias et de la médiation est pertinente parce qu'elle nous permet de multiplier et de diversifier les modes de communications. Dans Ce Gamin-là, bien que les images permettent au cinéaste de rendre compte de l'événement d'un contact, l'accent sera mis sur l'analyse du commentaire de Deligny, puisqu'il accompagne le spectateur dans l'appréhension d'une réalité qui lui est étrangère. Ce film nous a aussi appris que l’étude des techniques utilisées nous renseigne sur les différentes façons de dire ou de montrer un lien communautaire, affectif ou social particulier. Le Moindre Geste (1971) qui permet à Yves Guignard, déficient intellectuel sévère, de devenir le héros d'un film, se distingue des deux autres films de par la distinction radicale entre les deux étapes du tournage et du montage. Le troisième chapitre se concentrera, d'une part, sur l'analyse de la relation qui se développe entre Yves et Josée Manenti à la caméra. Ensuite, nous verrons de quelle façon le jeu du montage de Jean-Pierre Daniel laisse une grande liberté à Yves, mais aussi au spectateur en multipliant les possibilités d'interprétations.

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A partir del Tomo 20 aparecen Béchet Jeune y Labé como editores. A partir del Tomo 26, aparece Labé solo.

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Sketches and photographs are a familiar tool of the traveller-writer, who commonly draws on them when transforming experience into a textual narrative. The verbal thus displaces the visual — the latter retained, if at all, as mere illustration — in ways that echo James Heffernan's definition of ekphrasis as the ‘verbal description of visual representation’. Yet Nicolas Bouvier's 1963 travel narrative L'Usage du monde challenges conventional conceptions of ekphrasis. Juxtaposing the stark ink drawings of Thierry Vernet — Bouvier's travelling companion — with Bouvier's textual narrative, L'Usage du monde shifts representation away from a hierarchical relationship between verbal and visual; it offers instead an account of other cultures that is grounded in polyphony and exchange. This article applies Bouvier's own image of travel as a mosaic to the dual narrative form (or ‘iconotext’, to use Michael Nerlich's term) in order to consider a range of fluid relationships between Bouvier's text and Vernet's drawings. In examining these relationships of amplification, reduction, and absence, the article argues that the plurality of the narrative prompts a rethinking of conventional, binary paradigms of intercultural contact. Ultimately, the iconotextual nature of L'Usage du monde can be interpreted as a metaphor for the processes of cultural translation and transculturation that are central to Bouvier's travelling ethos.

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Travel literature's inherent intergenericity extends into the realm of the interaesthetic in Nicolas Bouvier's textual and photographic representations of Asia. Although produced as distinct narratives, successive editorial decisions and the layering of these two media in the mind of the reader have transformed Bouvier's already palimpsestic texts into fluid, phototextual constructs. This article will offer ‘contrapuntal’ readings of a selection of Bouvier's texts in relation to the photographs charting his intercultural encounters in China and Japan. Countering the relegation of these photographs to the conventional status of aide-mémoire, the article will consider the shifting relationships of complementarity, tension, or disjuncture between image and text. These relationships are characterised by slippage, subversion and paradox. Text does not ‘load’ image, and images do not illustrate text. Indeed, Bouvier's photographs frequently contest, modify, or debunk the textual narratives. Ultimately, the article will argue that Bouvier's representations of Asia, both textual and visual, offer a challenge to cultural essentialism, to self-other binaries, and to monolithic discourses of otherness.